[philove]

Candauliste "non-pratiquant", cette question d'humiliation me taraude depuis que le sujet est remonté.

L'exclusivité du couple n'est certainement pas le lieux des expériences *****.
Je m'explique:
La maison, c'est bien, mais il y a mieux, et de temps en temps, on va dans un super hôtel.
Je cuisine pas mal, mais pareillement, de temps en temps, un bon resto gastronomique, ça le fait.
Je pense être relativement drôle, mais à côté de ça, il y a des gens dont c'est le talent et/ou le métier.
Etc. etc.
En fait, ça ne doit même pas forcément être bien meilleur, mais parfois juste différent, dépaysant, un vent frais (quand c'est mauvais, ça reste mauvais...), et il n'y a aucune "humiliation" quand c'est "mieux qu'à la maison".
Le couple en tant que foyer de confiance, est finalement ce lieu dont la moyenne est la meilleure.
La particularité du candauliste, j'ai l'impression qu'elle se trouve dans la compersion, dans la reconnaissance de la générosité à vouloir que sa partenaire puisse expérimenter librement et y prendre du plaisir, une sexualité à l'opposé du plaisir égoïste.

Au plus j'y réfléchis, et au moins je vois d'humiliation.

[Saxojaune]

Je pense que cela commence par le candaulisme et petit à petit l'humiliation devient inévitable et même souhaitée !

10 ans après tu as ressenti le besoin de dire ça.
Tu peux développer ?
ça parle de toi ou bien c'est une tentative de généraliser ?

[Olivierito]

@cocusexuel accidentel, je ne crois pas. Encore, le "J'aime sa queue" est super excitant mais pas forcément humiliant en tant que tel. Il appelle la question "Meilleure que la mienne ?" et elle te livre la réponse: "Il me baise mieux que toi". Au moment où elle te le dit, il n'y a pas accident mais volonté, claire. De t'humilier, oui, mais vraisemblablement en sachant que ça va te plaire... C'est un jeu à deux (ou à trois quand le complice en rajoute !

[kadokando]

Candauliste "non-pratiquant", cette question d'humiliation me taraude depuis que le sujet est remonté.

L'exclusivité du couple n'est certainement pas le lieux des expériences *****.
Je m'explique:
La maison, c'est bien, mais il y a mieux, et de temps en temps, on va dans un super hôtel.
Je cuisine pas mal, mais pareillement, de temps en temps, un bon resto gastronomique, ça le fait.
Je pense être relativement drôle, mais à côté de ça, il y a des gens dont c'est le talent et/ou le métier.
Etc. etc.
En fait, ça ne doit même pas forcément être bien meilleur, mais parfois juste différent, dépaysant, un vent frais (quand c'est mauvais, ça reste mauvais...), et il n'y a aucune "humiliation" quand c'est "mieux qu'à la maison".
Le couple en tant que foyer de confiance, est finalement ce lieu dont la moyenne est la meilleure.
La particularité du candauliste, j'ai l'impression qu'elle se trouve dans la compersion, dans la reconnaissance de la générosité à vouloir que sa partenaire puisse expérimenter librement et y prendre du plaisir, une sexualité à l'opposé du plaisir égoïste.

Au plus j'y réfléchis, et au moins je vois d'humiliation.

@philove
Félicitation pour avoir su te servir à bon escient du terme de compersion ( prendre du plaisir au plaisir de sa conjointe ou son conjoint quelle qu'en soit la source ) qui est probablement l'essence même du candaulisme d'empathie, tel que nous l'aimons.
Jusqu'à maintenant, ici, j'avais peur d'intellectualiser un peu trop mon propos en y faisant appel, mais je trouve que dans ton discours il a trouvé sa place avec un parfait naturel. Bravo !
Sinon, pour ma part, je suis tout à fait ok avec ton analyse, à partir du moment où, le candaulisme que tu vas pratiquer sera, à l'évidence, basé prioritairement sur l'amour, la générosité et le partage.
Bienvenue au club !

[Saxojaune]

@kadokando je suis totalement en accord avec toi concernant le post de @philove, même si je ne connaissais pas le terme de "compersion" (j'aurais bien aimé en disposer parfois pour décrire mon ressenti )

[Dikoku]

Humiliation et le cuckolding dépendent vraiment du désir de chacun, mais ne sont pas obligatoires. Certains cando sont des dresseurs de leurs épouses et la font saillir. D'autres cando s'excitent lorsque leur femme est sur un piédestal et les dominent. Mais ne restez pas dans vos certitudes... Nombre d'anciens mâles dominant du couple deviennent des cocus obéissants et soumis, et en tirent un plaisir formidable...

[michpat]

Les avis sont plus ou moins nuancés, voir divergents et pourtant...je like ! Comme quoi, c'est tellement abstrait tout ça !
Je pense que "humiliation" , c'est comme le mot "cocu" chacun l'interprète comme il a envie et selon le plaisir qu'il en retire...ou pas!
Pour ma part, je ne me suis jamais senti humilié et pourtant...

[Liberticpl31]

Je rejoins tout à fait le discours de @philove, "La particularité du candauliste, j'ai l'impression qu'elle se trouve dans la compersion, dans la reconnaissance de la générosité à vouloir que sa partenaire puisse expérimenter librement et y prendre du plaisir, une sexualité à l'opposé du plaisir égoïste.".

Ma version du candaulisme, ce n'est pas du tout d'être humilié. D'ailleurs, je n'ai jamais eu l'envie d'être traité de cocu. Pour moi, un cocu est un homme qui n'est pas au courant. Un homme trompé par sa femme.

Pour notre part, c'est moi qui ai soumis l'idée à ma femme et je pense qu'elle y consent aussi par ses désirs de soumission.
Est-ce que le cocktail est bon, on ne sait pas encore, mais on a tous les deux envie d'essayer, mais sans volonté d'humiliation de l'autre. Pour moi, c'est de prendre du plaisir à voir ma femme prendre aussi du plaisir sous différentes formes, mais aussi le plaisir de la voir donner du plaisir à d'autres hommes (ou femmes) en la partageant.

Pour l'avoir déjà largement partagée lors de notre dernière virée en sauna libertin, j'avoue ne pas regretter l'expérience et j'y ai pris énormément de plaisir sans jamais avoir eu le sentiment d'être humilié. D'ailleurs, les autres hommes présents, qui ont bien compris que j'étais le mari, n'ont eu aucune volonté de m'humilier, trop contents de pouvoir profiter de ma femme, de sa bouche experte et de sa chatte.

Le candaulisme est plus cérébral. D'ailleurs, je suis TRES cérébral. J'adore voir ma femme habillée sexy, avec bas, talons, porte-jarretelles, et forcément, cela fait partie de l'ensemble. Peut-être aussi une envie de redécouvrir ma femme dragueuse, aguicheuse voire cochonne, car je sais qu'elle peut aller très loin en étant excitée.
Mais je sais aussi que de son côté, elle sera partageuse et que si une femme vient à venir profiter de moi par exemple en club alors qu'elle est occupée, elle ne sera pas du tout outrée de me voir donner et prendre du plaisir avec une autre.

Le candaulisme est un moyen d'arriver à un plaisir différent, avec un autre homme ou d'autres hommes, car les possibilités sont multiples. Et pour moi, pas de limite quasiment. Ma femme pourra, si elle le souhaite, être recouverte de sperme de ces amants ponctuels, je n'y verrai aucun inconvénient, bien au contraire.

Cela remonte peut-être à une époque où elle avait fait une séance photo avec un photographe. ON le savait libertin. Elle a fait la séance seule avec lui, ça s'est terminé par une fellation de sa part. Elle me l'a rapidement avoué, sur le coup, légèrement frustré, mais finalement, très excité. Et depuis ce temps (ça remonte à plus de 10 ans), j'y repense de temps en temps.

Donc pour moi, peut-être que certaines pratiques candaulistes mettent en oeuvre de l'humiliation, mais pas toutes, et en tous cas, ce n'est pas vers ce type de candaulisme que nous voulons nous tourner.

[cocusexuel]

@nacra29
Bien sur quelques temps plus tard, ayant laissé la soupe refroidir, nous avons discuté sur son lâché prise concernant le "il me baise mieux que toi".
Bérénice était confuse tout en m'expliquant qu'elle jouissait vraiment d'une façon si forte avec ce libertin qu'elle avait comme perdu la notion de ce que l'on peut dire ou pas. Je crois me souvenir qu'elle m'a expliqué que son plaisir était si intense, l'orgasme si violent qu'elle m'a pas résisté à me dire qu'effectivement ce libertin la baisait et la faisait jouir plus que moi lorsque je lui fais l'amour.
On pose des "limites" d'un façon tacite, mais parfois ces limites sont dépassées dans le feu de l'action.
Naturellement Bérénice a été genée de me dire, lorsque le libertin la défonçait, de me lâcher cette phrase. Nous avons revu ce libertin plusieurs fois. Il la faisait toujours autant grimper aux rideaux, mais elle se contentait de me dire entre deux gémissements/cris : "j'aime sa queue, j'adiore sa queue" et une fois tous les deux elle me disait : "qu'est-ce qu'il me baise bien".

bereniceGB (19).JPG

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[Enrique78]

Elle a dit ce qu'elle pensait sur le moment je pense ne crois tu pas? Il y a forcément ce genre de chose qui arrive ...

[cocusexuel]

@Enrique78
Oui ma femme a été spontanée et elle a dit dans l'action ce qu'elle pensait sans imaginer le coté humiliant de sa phrase.
Je la revois son visage plissé de plaisir, ses yeux perdus dans le vague, sa bouche ouverte, elle me regardait et après un gémisseemnt fort et profond elle me dit dans un soufle : " il me baise mieux que toi".
Même si je sais que ce libertin est chez nous pour ça, c'est difficile a entendre.

[Enrique78]

Oui je suis de ton avis elle a pas dit cela pour être blessante c'était les trop pleins d'émotion et de plaisir donc elle a dit ce qu'elle pense sur le moment et son amant la baiser en ce sens mais cela est blessant je suis d'accord avec toi.

[cocusexuel]

Est-ce de l’humiliation, de la soumission ou un simple jeu sexuel ?
Déjà je précise que je ne suis pas bi, même si quelques fois j’ai sucé une queue avec Bérénice, ou tenu et guider une queue dans sa chatte, son cul et quelques fois léché sa chatte fraîchement remplie.
En 2022 nous avions un véritable « régulier » nous sommes partis en vacances avec lui en juillet. Il n’y a eu aucun problème concernant la vie de couple en trio, bien au contraire, c’était chaud, coquin, excitant.
Un soir sur le canapé de notre location, Bérénice à genoux nous suçait en alternance. Thierry et moi avons des queues presqu’identiques, il est légèrement plus épais et plus long. Au bout d’un moment, mal aux genoux, Bérénice est venue s’asseoir à coté de moi. Thierry s’est mis debout en face d’elle pour continuer la fellation. Bérénice s’est collée à moi pour finir joue contre joue, je sentais le gland de Thierry de sa joue à la mienne. Bérénice me roulait une petite pelle et resuçait Thierry. Lorsque nous nous embrassions, Thierry a glissé sa queue entre nos lèvres, Bérénice me l’a poussée dans la bouche en me murmurant, du style un peu à ton tour. Il y a eu 4-5 aller-retour entre la bouche de Bérénice et moi, puis il est resté dans la mienne. Bérénice me disait coquine oui oui vas-y continue, je regarde. Très rapidement c’est devenu une véritable fellation comme une femme avec un homme. J’étais assis contre le dossier du canapé, Bérénice contre moi, elle me branlait. Elle échangeait des regards avec Thierry qui était monté à moitié debout sur le canapé. Je ne suçais plus, Thierry me prenait par la bouche. Au bout d’un moment impossible à quantifier. Bérénice a mis sa main sous mon menton, en tenant ma mâchoire, elle me disait laisse faire, laisse le faire, serre bien tes lèvres, elle me faisait des baisers sur la joue, par moment d’une main elle appuyait sur les fesses de Thierry. Bérénice a remis sa main sous mon menton, elle avait le souffle court dans mon oreille, elle murmurait en continu laisse le faire, laisse le faire. Thierry a gémi, un râle que je connais bien, son sperme a envahi ma bouche, Bérénice me tenait bien le menton, elle me murmurait serre bien tes lèvres, avale maintenant, allez avale. Elle s’adressait à Thierry en lui disant, continue, continue vas jusqu’au bout.
J’ai avalé, c’est pas facile, ça colle, le goût est indéfinissable, déglutir n’est pas facile. Thierry a mis sa main derrière ma tête comme on le fait parfois aux femmes. Lorsque sa queue devenait moins rigide, il est ressorti…
Bérénice ma roulé une pelle d’enfer, en me disant après le baiser, qu’elle avait adoré.
Le lendemain soir, nous trois en trio, j’ai été sodomisé pour la toute 1ere fois de ma vie. Je n’ai pas refait depuis.