[bencuck]

J’ai rencontré ma copine quand j’avais 23 ans. Elle avait 29 ans et je l’ai rencontrée au travail où je suis arrivé en tant que stagiaire. Je l’ai rapidement rencontrée comme elle travaille aux RH et je l’ai tout de suite trouvée très belle. Elle est de taille moyenne, assez mince mais avec de très jolies fesses. Ses seins ne sont pas très gros mais je découvrirai plus tard qu’ils sont parfaits, bien ronds et avec de jolis tétons. Elle a beaucoup d’assurance et des yeux magnifiques avec un regard qui me déstabilisait. C’est elle qui a commencé à me draguer, je n’aurai jamais osé dragué une femme aussi belle et sexy. Elle s’habille assez simplement mais avec un style qui renforce son côté autoritaire. Nous sommes rapidement sortis ensemble et nous avons tout de suite beaucoup fait l’amour, j’avais parfois du mal à suivre le rythme. Elle m’impressionnait et j’ai eu quelques pannes. Aujourd’hui, nous faisons encore régulièrement l’amour et quasiment tout nos rapports commencent par un cuni. Elle adore que je lui lèche la chatte et je le fais jusqu’à ce qu’elle jouisse. Ensuite, je la pénètre et je jouis en général assez rapidement. Parfois, j’ai plus de mal à jouir et je finis par perdre mon érection, sans pouvoir jouir. J’ai aussi eu quelques phases où je n’arrivais pas à bander avant même le rapport et je ne pouvais pas la pénétrer, ce qui l’a fruste particulièrement. Dans le couple, c’est elle qui décide de la plupart des choses et j’aime qu’elle prenne les choses en main. Deux ou trois fois, quand nous revenions de soirée alcoolisés, nous avons fait des jeux de domination. Je devais la vouvoyer et l’appeler maîtresse et obéir à tous ses ordres. Je lui faisais de longs cunis, mais elle m’a aussi fait lécher son anus et j’ai adoré ça. Elle aime mettre son string dans ma bouche et me mettre un collant autour du cou et me fait marcher à 4 pattes dans l’appartement comme un petit chien. Si je n’obéis pas bien, elle me donne la fessée et prend plaisir à faire rougir mon cul. Elle me donne aussi de petites tapes sur mes couilles et je suis à ce moment prêt à obéir à n’importe quel ordre pour éviter la sanction. Une fois, elle m’a également sodomisé avec un gode et j’ai adoré me sentir très salope, ce qu’elle n’a pas manqué de souligner. J’aime beaucoup ces séances, mais ce qui m’excite le plus c’est ses pieds. Je suis fétichiste, elle a de très jolis pieds et elle met souvent un vernis rouge qui me rend dingue. Je les sens, les lèche et les suce autant que possible à chaque préliminaire, ce qui peut exciter ma copine comme ça peut l’agacer, surtout quand je finis par perdre mon érection. Parfois, quand on regarde la télévision, elle me caresse le torse ou le visage avec ses pieds et je me retrouve vite la tête entre ses cuisses. J’aimerais que ces séances de domination soient plus régulières et j’allais bientôt être servi.

[bencuck]

C’était quelques jours avant Noel lorsque ma copine est revenu du travail un peu après moi.

- Tu as passé une bonne journée ? lui demandais-je.
- J’ai eu envie de faire l’amour toute la journée, j’y pensais toute la journée.
- Ah oui ? répondais-je sans trop savoir quoi ajouter.
- Je pourrai pas attendre plus, viens on va dans la chambre, viens me baiser.

Elle alla directement dans la chambre et je la suivis en admirant ses jolies fesses. Je commençai à être excité et je l’embrassai sur le lit, mais elle était pressée.

- Mets toi à poil, j’ai trop envie que tu me prennes.

Elle se déshabilla rapidement et j’en fis autant. J’étais nu mais mon sexe n’était pas encore dur, et je commençai à l’embrasser avant d’être assez dur pour la pénétrer. Je lui fis des bisous sur le bas du ventre pour gagner du temps, mais elle me ramena vers elle.

- Baise moi, j’en peux plus, j’ai attendu toute la journée.

Elle posa sa main sur mon sexe pour constater qu’il était tout mou. Elle me caressa les couilles et me branla activement, me faisant même un peu mal, ce qui ne m’aida pas à bander. Elle me fit changer de position en m’allongeant sur le dos, et frotta ma bite sur sa chatte, mais plus j’y pensais, et plus j’étais loin d’une érection. Après quelques instants embarrassants, elle abandonna et s’écroula sur le lit en soufflant de frustration.

- Pourquoi tu bandes pas ? Je ne suis pas bandante ?
- Si, bien sûr que si, je ne sais pas pourquoi j’y arrive pas.
- Quand tu te branles, tu arrives à bander ?
- Oui.
- Et tu te branles souvent ?
- Je ne sais pas, ça dépend.
- Bah tu dois bien le savoir. Une fois par semaine? Deux-trois fois? Tous les jours?

Me masturbant très souvent, j’étais embarrassé mais elle ne voulait pas abandonner le sujet.

- Parce que c’est pas la première fois que t’es impuissant, j’ai regardé sur internet et certains mecs se branlent trop souvent et ils arrivent pas à bander pour faire l’amour avec une fille. C’est ton cas?
- Peut-être oui.
- Tu te branles combien de fois ? Après si tu veux pas régler le problème tu me le dis, on arrête là et je vais trouver un autre mec qui me baise convenablement. Tu te branles tous les jours? Le matin ? La nuit quand je dors ?
- Quasiment tous les jours oui.
- Mais je ne suis pas assez pour toi ? Je ne te satisfais pas ?
- Non c’est pas ça, c’est une habitude, quasiment un réflexe, quand je suis sous la douche, je ne me contrôle pas
- Ouais j’ai vu ça sur internet. La solution est simple en fait, faut arrêter de se branler. Tu serais d’accord pour ne pas le faire pendant une semaine ?
- Oui.
- Tu le promets ?
- Oui, je le promets.
- Bien, c’était ton cadeau de noël mais il va arriver un peu en avance, me dit-elle en me tendant un paquet cadeau.

J’ouvre le paquet en ayant le cœur qui bat, et je découvre une cage de chasteté.

- Tu sais ce que c’est ?

J’ai souvent regardé du porno de domination féminine, c’est même ma catégorie préférée, je sais ce que c’est mais je ne veux pas porter de cage.

- Oui, je sais ce que c’est, mais je ne peux pas porter ça.
- Si, tu m’as promis de ne pas te toucher, tu vas la porter pendant une semaine.
- Mais je peux le faire sans porter de cage.
- Non, tu m’as avoué que tu n’arrivais pas à te contrôler, et comme ça je serai sûre que tu ne triches pas. Soit tu portes la cage, soit tu arrives à me baiser maintenant, soit je pars me faire baiser par un autre, tu choisis.
- D’accord pour la cage, répondis je honteusement.

Avec un plaisir certain, elle retira la cage de son emballage.

- Tu vas voir, ça va te plaire, ça plait toujours aux petites salopes dans ton genre, dit-elle.

Elle sort la cage avec ses mains vernis et commence à embrasser la cage. La situation m’excite et je commence à bander, ce qu’elle remarque.

- Ah non, c’est trop tard maintenant ! Interdiction de bander.

Elle part de la chambre et revient avec des glaçons, qu’elle pose sur mes couilles et ma bite. Un frisson me parcourt tout le corps et je perds instantanément mon érection.

- On va te raser les poils des couilles aussi, ça sera plus pratique.

Elle joint le geste à la parole et m’épile intégralement, je n’ai plus aucun poil. Ma copine jubile.

- T’as déjà pas un grand sexe, mais sans poil ça te fait plus un sexe d’enfant que de vrai mec.

J’encaisse sa remarque et elle se saisit de la cage avant de le mettre aisément autour de mon sexe. Puis, sans que je puisse dire quoi que ce soit, elle se saisit du cadenas, et avec un air de défi et de satisfaction, elle le ferme puis s’approche de mon oreille pour souffler:

- Tu es à moi maintenant petite salope, tu m’appartiens.

[bencuck]

Ma copine se saisit ensuite de la clé du cadenas.

- On va la mettre où ? Il ne faudrait pas la perdre. Je vais la mettre à mon collier, comme ça tu te rappelleras que tu es une petite salope encagée quand tu materas mes seins. Lèche moi la chatte maintenant, puisque t’es bonne qu’à ça.

Encore complètement nu mais avec maintenant une cage, je m’exécute et je lui lèche la chatte du mieux que je peux. J’étale mon visage sur son vagin et j’ajoute quelques gémissements qui finissent par énerver ma copine. Elle me repousse en posant son pied sur mon visage.

- Non, arrête, j’avais envie de bite aujourd’hui, pas que tu me lèches encore la chatte.

Elle se saisit de mes couilles, je suis encore surpris de voir mon sexe engagé et elle me demande:

- Ca va me servir ça pour mes envies ?

Je baisse les yeux vers mon sexe sans rien dire.

- Réponds chienne. Elle va m’être utile ta bite maintenant ?
- Non.
- Non qui ?
- Non maîtresse.
- C’est mieux. Va me chercher le gode dans la salle de bain. Il est dans mon tiroir du milieu.

Je pars dans la salle de bain et prend le gode, un lapin. Elle me regarde revenir et je lui tends le gode qu’elle pose sur le lit, avant de me demander de me retourner. Je m’exécute sans comprendre pourquoi, et elle m’administre une violente claque sur les fesses qui me fait pousser un petit cri.

- Va reposer le gode sur le petit meuble et revient ici.

Je m’exécute à nouveau, je ne suis déjà plus en mesure de lui résister et me mets sur le lit à sa demande.

- Les petites chiennes comme toi ça se met à 4 pattes, ça marche pas sur ses deux jambes, compris ?
- Oui, maîtresse.
- Tu vas être puni, mets toi bien a 4 pattes. Je vais te fesser pour que tu t’en rappelles bien.

J’obéis et elle me donne de nombreuses fessées, alternant l’intensité et le rythme. Elle me fesse pendant dix bonnes minutes et j’ai le cul en feu. Lorsque je la supplie d’arrêter, elle frappe encore plus fort et je décide donc de me taire et d’attendre qu’elle décide de mettre elle même fin au calvaire.

- Retourne me chercher le gode grosse chienne.

Je pars a 4 pattes vers la salle de bain et je sens que ma maîtresse m’accompagne du regard. Elle peut me voir depuis la salle de bain et m’ordonne de mettre le gode dans ma bouche pour pouvoir revenir vers elle a 4 pattes. Elle me fait ensuite sucer le gode en me demandant de mettre beaucoup de salive, mais je ne suce pas vraiment le gode, c’est plutôt elle qui me baise la bouche avec et j’ai du mal à mettre de la salive.

- Meme ça t’en es incapable petite pute. Va chercher le lubrifiant, il est dans le même tiroir.

Je m’exécute à nouveau, toujours a 4 pattes. J’ai honte de la situation mais je suis aussi très excité et je découvre la douleur de bander dans une cage. Je ramène le lubrifiant entre mes dents et je ne comprends pas comment j’étais incapable de bander il y a à peine 30 minutes.

- Bon toutou, me dit-elle en mettant le lubrifiant sur le gode. Tu peux te mettre au bout du lit et me lécher les pieds.
- Oh merci maîtresse.

Je me dépêche de lui lécher les pieds pendant qu’elle s’enfonce directement le gode au fond de sa chatte. Je peux la voir se donner du plaisir avec le gode en accélérant les aller retours, elle gémit et je crois bien n’avoir jamais été excité de ma vie, surtout quand elle se retire le gode entièrement de sa chatte pour le remettre ensuite. Ma copine se rend compte de mon excitation et me dit:
- Viens sucer le gode si t’aimes ça.

Je quitte ses pieds magnifiques pour me rapprocher du gode, et sans hésiter je le prends en bouche.

- Voila, c’est bien, suce bien, cocu.

Le dernier mot me fait frémir et je marque un temps d’arrêt. Je regarde ma copine dans les yeux et elle me regarde avec défi, se pincent les lèvres.

- Continue à sucer, t’arrêtes pas, garde le bien dur et mouillé. Regarde moi quand tu suces cocu.

Je ne sais plus où est la limite du jeu et où elle va s’arrêter, mais j’obéis à ma maîtresse et je fais du mieux que je peux pour sucer le gode, essayant même de l’enfiler en entier dans ma bouche. Ma maîtresse me retire ensuite le gode de la bouche.

- Ca suffit, y’a pas que toi qui aime la bite, salope.

Elle alterne les moments où elle s’enfile le gode bien au fond de la charte, ce qui m’excite toujours autant, et les moments où elle me donne le gode à sucer, ce qui me plait aussi beaucoup, me traitant de cocu impuissant, ce qui m’inquiète beaucoup plus. Au bout d’un moment, elle me dit:

- Retourne lécher mes pieds vilain cocu, je vais me faire jouir avec le gode.

Je retourne à ses pieds désormais transpirants, j’avale sa sueur et renifle ses orteils, tout en la regardant se faire plaisir avec le gode. Je suis frustré par la cage, mais incroyablement excité, surtout quand je la vois finalement jouir bruyamment. Elle retire ensuite délicatement le gode de son sexe et m’ordonne d’aller le laver.

- Tu peux être debout pour aller le laver et reviens debout vers le lit aussi chéri. Lave le bien, on va vite s’en resservir.

Je m’exécute et j’ai un peu de temps pour repenser à ce qu’il s’est passé. Ce matin j’étais libre et ce soir je suis engagé, soumis aux ordres de ma chérie, et cela me plaît beaucoup. Je reviens ensuite dans le lit, ma chérie s’est déjà mise en pyjama et est prête à dormir. Je m’apprête à remettre mon caleçon mais elle m’interrompt.

- Qu’Est ce que tu fais ?
- Bah… je me rhabille
- Non, les petites chiennes encagées dans ton genre, elles dorment nues. Je veux pouvoir sentir ta cage dans la nuit si j’en ai envie.

Elle vient se blottir contre moi et pose sa main sur ma cage, en me disant:

- T’aimes ça hein, être ma salope ?
- Oui, ça m’excite beaucoup.
- Oui qui ?
- Oui maîtresse.
- C’est bien, apprenti soumis. Demain si tu es sage, je te laisserai me bouffer la chatte.
- Merci maîtresse. Bonne nuit maîtresse.

[sergio]

Voila qui promet.

[bencuck]

J’ai passé une première nuit encagé très difficile, en me réveillant souvent. La journée a aussi été compliquée et je retrouve le soir ma copine.

- Alors petite chienne soumise, comment a été ta journée ?
- J’ai eu du mal à dormir et je dois faire pipi assis maintenant.
- Oh tu dois faire pipi assis comme une petite salope maintenant ? C’est ce que t’es maintenant de toute façon, une salope ?
- Oui maîtresse

Ma maîtresse veut m’apprendre des signes pour éviter d’avoir à me parler quand elle me donne un ordre.

- Le premier signe c’est lorsque je place mon index et mon petit doigt au niveau de ma chatte puis je me lèche la lèvre, tu devras alors te mettre entièrement nu et tu attendras les instructions suivantes pour me lécher la chatte.
- D’accord maîtresse.
- Qu’est-ce que tu attends pour te mettre à poil alors ?

Je m’exécute et une fois que je suis totalement nu, elle se moque de mon sexe emprisonné et part dans la chambre en disant qu’elle va lire un peu. Elle se saisit de mon téléphone et m’interdit de regarder la télévision avant de partir dans la chambre. J’ai donc du temps pour penser à ma nouvelle condition de soumis et à quel point la situation m’excite en même temps qu’elle me fait peur. Environ une demi-heure plus tard, ma maîtresse revient dans le salon, en sous-vêtements. Elle me fait allonger sur le canapé sur le dos, la tête au bout du canapé. Ma maîtresse retire son string et s’assoit sur mon visage, m’obligeant à lui lécher la chatte. J’ai une vue incroyable sur seins et ses yeux perçants, je suis fou d’elle. La position est très inconfortable pour moi, mais cela ne gêne pas ma maîtresse qui pousse quelques cris de jouissance. Elle retire ensuite son soutien-gorge.

- Caresse moi les seins, petit soumis.

Je m’exécute avec plaisir, sa chatte est délicieuse et j’adore lui toucher les seins, mais la position devient encore plus inconfortable après quelques minutes. J’ai très mal aux avants bras et je dois arrêter de lui caresser les seins pour reposer mes bras.

- Je t’ai pas dit d’arrêter de me caresser les seins.

Je caresse à nouveau ses seins mais la douleur revient de plus belle et je marque une nouvelle pause dans mes caresses.

- T’oublies encore mes seins ! Il faut que j’appelle quelqu’un d’autre pour me caresser les seins ?
- Oh non, pardon.
- Pardon qui ?
- Pardon maîtresse.
- Ça te plairait pas ça, tu me lèches et un autre mec vient jouer avec mes seins ?
- Non, je peux faire les deux maîtresse.
- Ah oui, et si j’ai envie de me faire baiser après ça, tu vas le faire avec ta petite cage ?
- Pitié maîtresse.
- Répond à la question cocu. T’es capable de me baiser avec ta cage ?
- Non maîtresse…
- Continue de bien me lécher la chatte, je suis sûr que je pourrais trouver plein de mecs pour te faire cocu. T’aimerais ça être cocu hein ?
- Oh non, pitié maîtresse.
- Oui continue de supplier le cocu, ça m’excite.

Ça doit effectivement exciter ma maîtresse puisqu’elle ne tarde pas à avoir un puissant orgasme. Elle reprend ensuite ses esprits et récupère ses sous-vêtements.

- Viens avec moi dans la salle de bain.

Je suis ma maîtresse en me mettant directement à quatre pattes et elle me félicite d’être une bonne chienne obéissante. Je suis flatté et heureux, et dans la salle de bains, elle me dit:

- Mes sous-vêtements sont délicats, maintenant tu vas les laver à la main avec ce produit. Je veux qu’ils soient parfaitement propres, mais je te préviens, tu as interdiction de les renifler ou de les lécher, je sais comment pensent les petites salopes dans ton genre. Tu les laves et c’est tout, tu reviens quand tu as fini. Moi je vais regarder la télévision pendant ce temps.

Je lave les 5 strings et soutien-gorges de la semaine, mais l’excitation est telle que je désobéi à ma maîtresse et sens les 5 strings. Sur certains, je remarque des traces de mouille et je ne peux m’empêcher de les lécher avant de les laver. Je retourne ensuite dans le salon, toujours à quatre pattes.

- Tu as fini chienne ?
- Oui maîtresse.
- Tu as bien tout laver chienne ?
- Oui maîtresse.
- Et tu n’as pas senti ou lécher mes culottes.
- Oh non maîtresse
- Tu es sûr, petit cocu ?
- Oui maîtresse.

Je choisis de mentir, craignant les conséquences.

- J’ai laissé mon portable dans la salle de bains pour te filmer, je vais regarder les 30 minutes. Si jamais tu m’as désobéi, je te conseille fortement de me le dire tout de suite… Dis la vérité à ta maîtresse, tu as senti mes strings ?
- Oui maîtresse, pardon maîtresse.
- C’est un peu tard pour s’excuser. Tu les as léchés aussi ?
- J’en ai léché deux maîtresse, pardon maîtresse.
- Tu n’as pas fini d’être désolé. Et tu en as senti combien ?
- Tous maîtresse, l’odeur est trop bonne.
- Tu as senti les 5 ?
- Oui maîtresse, je n’ai pas pu m’en empêcher maîtresse.
- Je suis en colère mais c’est bien de m’avouer tes fautes.

Ma maîtresse sort alors son portable de sa poche et me dit:

- T’es vraiment un bénet, ça m’étonne pas que tu sois une salope soumise. Tu vas être puni. Puisque t’aimes sentir mes culottes tu vas être servi. J’ai mes deux culottes que j’ai portées cette semaine pour le sport. Je vais en mettre une dans ta bouche que tu vas garder deux heures, pour les deux que tu as léchées, et je vais mettre une culotte sur ton nez pendant 5 heures pour les cinq que tu as senties.

Elle me met une culotte dans la bouche et bloque l’autre sur mon nez avec un élastique. L’odeur est très forte et j’ai du mal à respirer, mais je bande comme un fou dans ma cage.

- Maintenant mets toi à quatre pattes sur le canapé, je vais te mettre une fessée comme tu t’en as jamais reçue, petite salope désobéissante.

[bencuck]

Le lendemain, je me réveille en ayant encore mal aux fesses et avec l’odeur du string de ma maîtresse dans le nez et la bouche.

- Puisque tu as reçu ton cadeau de Noël en avance avec ta cage, on va allez chercher le mien aussi.

Nous partons en métro sans qu’elle ne me donne plus d’indications. Ma chérie s’est habillée sexy avec des talons et un décolleté qui laisse apparaître la clé. Dans le métro, j’ai l’impression que tout le monde regarde la clé et sait que je suis un soumis encagé. Nous arrivons à Pigalle et je comprends ce que veut ma maîtresse. Nous entrons dans un sex shop et elle regarde les sextoys. Une vendeuse s’approche

- Vous avez besoin d’aide ?
- Oui, mon mari porte une cage de chasteté et a interdiction de me pénétrer, donc je cherche plutôt des godes.
- Ah, je vois.

Je suis mort de honte et je baisse les yeux. La vendeuse est en plus très sexy, du maquillage renforce son regard perçant, elle est habillée tout en noir, avec un décolleté qui met en valeur une poitrine plus grosse que celle de ma maîtresse. Elle porte aussi un pantalon moulant en cuir et je peux admirer son magnifique cul lorsqu’elle se déplace vers l’étagère des godes. Elle a aussi des chaussures ouvertes avec un vernis rouge très sexy et je peux fantasmer sur ses pieds lorsque je baisse les yeux.

- Vous avez ici des lapins ou sinon il y a des godes qui ressemblent à des sexes masculins, de taille différente.

Ma maîtresse se saisit d’un gode imitation pénis d’une taille impressionnante et me le met près du nez.

- Il te plaît celui la, petit cochon ?
- C’est un peu gros non ?
- C’est pour toi ou pour moi ? Il va aller dans mon vagin ou dans ton cul ? Répond soumis.
- Dans votre vagin maîtresse.
- Alors qu’est-ce que ça peut te faire ? C’est toi qui décide ?
- Non, c’est vous maîtresse.
- Bien, on va prendre celui la et on verra s’il ne finit pas un jour dans ton trou du cul de pucelle.

Nous nous présentons à la caisse et j’ai un instant d’hésitation avant de sortir ma carte bancaire.

- Je vais quand même pas payer pour un gode qui va me faire ce que tu es incapable de faire.

Je paye rapidement en évitant le regard du vendeur. En sortant de la boutique, ma maîtresse me dit:

- Tu crois que je ne t’ai pas vu mater la vendeuse ?
- Non maîtresse, j’ai juste regardé rapidement.
- C’est ça, prends moi pour une conne en plus. Tu vas le regretter soumis, tu seras puni en rentrant. Mais en réfléchissant je n’ai pas envie de te prêter mon gode. Suis moi sous mâle, on va te trouver un truc pour ton cul.

Ma maîtresse rentre dans un autre sex shop où nous sommes cette fois accueilli par un vendeur assez beau gosse et musclé. Elle se présente directement à lui.

- Bonjour, mon mari m’est soumis et porte une cage de chasteté. J’aimerais lui trouver un gode pour qu’il puisse jouir du cul.

Le vendeur lui présente plusieurs godes et elle choisit un gode ceinture sans me demander mon avis.

- Avec ça, tu devrais être plus docile.
- Et por vous madame ? J’ai quelques jouets à vous présenter, dit le vendeur.

Ma maîtresse choisit un nouveau gode qui ressemble à un sexe masculin, mais il est cette fois de couleur noir et a un réservoir pour simuler une éjaculation.

- Ca remplace pas une vraie bite sur le long terme mais ça peut faire l’affaire un moment, ajoute le vendeur.
- Oui, de toute façon mon mari a un petite sexe, dont ça sera toujours mieux avec ça.
- Ah il vous faut trouver une vraie bite pour vous faire jouir, on n’a pas tous une petite bite.
- J’imagine que ce n’est pas votre cas.
- Non en effet, mais si vous voulez en avoir le cœur net, je peux vous le prouver.
- Oui je suis curieuse, beaucoup de mecs se vantent de leur sexe et j’ai déjà été déçue.
- Vous ne le serez pas avec moi.
- Et si j’ai des réclamations sur les godes, je peux vous appeler ?
- Oui bien sûr, on peut les reprendre avant utilisation bien sûr. Je vais vous donner mon numéro personnel, ça sera plus simple.

J’assiste à la scène impuissant et je regarde ce mec filer son numéro à ma maîtresse, sans qu’elle soit gênée une seule fois. Je ressors du magasin avec les godes et je suis mort de honte.

- Qu’est-ce que t’as ? T’as pas l’air bien ?
- Bah tu as dragué ce mec devant moi.
- Dragué ? C’est lui qui m’a rentrée dedans, j’y peux rien. Je vais pas le baiser devant toi. T’es culotté quand même, tu mates la vendeuse et tu viens te plaindre alors que je n’ai pas cherché le vendeur. Je vais t’apprendre à obéir petite salope, viens avec moi.

Nous rentrons dans un troisième sex-shop et elle recommence son numéro, en exposant ma chasteté aux vendeurs, sans chercher à être discrète. Cette fois, elle prend de nombreux accessoires pour asseoir sa domination. Des bougies, des masques et bandeaux, des menottes, des plugs, une laisse, un fouet, un bâillon, tout y passe et la note est salée. Je me dépêche ensuite pour prendre le métro en évitant d’exposer les sacs plastiques des sex shop mais ma maîtresse veut prendre son temps et marche tranquillement. De retour à la maison, elle me dit:

- J’ai beaucoup marché, met toi nu et viens me masser les pieds.

Elle s’installe sur le canapé et je me mets à 4 pattes, portant seulement ma cage, pour lui masser les pieds. Je lui masse les pieds pendant 20 minutes et elle regarde pendant ce temps son téléphone. Elle m’ordonne ensuite d’aller chercher le nouveau gode, qu’elle enfonce dans sa chatte. Le spectacle est incroyable et mon bonheur s’amplifie quand elle me demande de lui lécher les pieds. Elle jouit comme cela avec le gode et m’autorise ensuite à sucer le gode et à lui lécher la chatte jusqu’à lui procurer un autre orgasme.

- C’est bien salope, mais tu devras encore être puni pour ta petite crise de jalousie quand j’ai pris le numéro du vendeur.

[Mex]

Génial j'adore j'ai pas pu m'empêcher d ejaculer quel excellente maîtresse tu as de la chance

[bencuck]

Le lendemain, ma maîtresse se réveille excitée et me demande de faire un massage. Elle me demande ensuite de me mettre à genou devant elle et s’amuse à donner des petits coups de pied sur mes testicules et ma cage.

- Ca fait quoi d’être un sous-mâle, petite chienne ?
- J’aime ça maîtresse, merci maîtresse.
- Montre moi une vidéo de domination, je suis sûr que tu en connais, salope comme t’es.

Ma maîtresse a raison, j’ai beaucoup regardé du porno de domination féminine, et je prends mon téléphone pour en trouver une, en prenant soin d’en trouver une avec une femme et un seul homme. Ma maîtresse regarde la vidéo et m’enfonce un plug dans le cul, mais à part une masturbation, il ne se passe pas grand chose dans la vidéo.

- C’est chiant ta vidéo, tu l’as fait exprès d’en prendre une, benêt ? Tu vas être puni, je vais te donner une fessée. Mets toi à 4 pattes, vilaine chienne.

Ma maîtresse regarde dans les vidéos suggérées et tombe sur une vidéo où une femme donne une fessée à son mari bâillonné. Elle imprime le même rythme et la même intensité, mais dans la vidéo un agent immobilier entre dans la chambre et rate une vente à cause de la scène embarrassante. L’agent commence alors à caresser la femme devant le mari impuissant et tenu en laisse.

- Ca devient interessant, dit ma maîtresse.

Ma maîtresse va chercher une laisse et le gode avec la pompe pour simuler le sperme. Elle commence à sucer le gode avec passion en me regardant puis comme dans la vidéo, elle m’ordonne de sucer le gode alors que l’agent immobilier lui caresse les seins et la chatte. Elle récupère ensuite le gode pour l’introduire dans sa charte et me demande de lui lécher les pieds. Elle alterne ces moments avec ceux où elle m’ordonne de sucer le gode et en profite pour me claquer les fesses. L’agent continue de baiser la femme pendant que le soumis lui lèche le cul.

- Ca t’exciterait ça, hein ? Que je te fasse cocu.

J’hésite à répondre mais la situation m’excite complètement et j’oublie mes doutes.

- Réponds moi, soumis. T’aimerais me voir prendre mon bien avec d’autres personnes ?
- Oui maîtresse.
- Ça t’exciterait d’être cocu hein ?
- Oui maîtresse.
- Tu bandes dans ta cage, cocu ?
- Oui maîtresse
- C’est bien, j’aime les salopes comme toi. Continue de me lécher les pieds cocu, pendant que je me faisais baiser par de vrais mecs.

Ça doit exciter ma maîtresse aussi puisqu’elle a un puissant orgasme. Dans la vidéo, le cocufieur jouit sur le vagin et le bas ventre de la maîtresse et le cocu doit tout lécher.

- Elle va servir à quelque chose cette pompe à sperme.

Ma maîtresse s’asperge du liquide blanc, qui ressemble beaucoup au sperme. Elle en a sur le vagin et le bas ventre.

- Viens lécher cocu, viens bouffer le sperme de mon amant.

Je m’approche un peu hésitant et avec son pied, ma maîtresse me plonge la tête dans son vagin. Je suis très excité et je lèche tout.

- Vas-y mon cocu, bouffe moi bien la chatte. Nettoie tout cocu, tu as oublié une goutte ici.

Je continue de tout lécher en étant très excité.

- T’as tout bien nettoyé cocu ?
- Oui, maîtresse.
- C’est bien, c’est un bon cocu obéissant ça. Continue de me bouffer la chatte, fais moi jouir avec ta langue, t’es bonne qu’à ça salope.

Je continue de la lécher et je lui donne un nouvel orgasme puissant. Nous reprenons nos esprits et j’ai un peu honte de ce qu’il s’est passé, je suis très excité par mon nouveau rôle de soumis mais je ne tiens pas à ce quelqu’un saute ma chérie. Elle s’aperçoit peut-être de ma gêne puisqu’elle me dit:

- Ca t’excite quand je te traite de cocu ? Moi ça m’excite grave.
- Je ne sais pas trop…
- C’est un fantasme mon chéri, je ne veux pas te tromper dans ton dos, mais ça me fait mouiller de t’imaginer cocu soumis. On peut continuer à jouer à ça alors ?
- Oui, tant que ça reste entre nous deux.
- Si c’est toi qui décide… Tu seras mon petit cocu virtuel.
- Oui voilà.
- Oui qui ?
- Oui maîtresse.
- C’est mieux. D’ailleurs je dois encore te punir pour ta petite crise de jalousie inutile à Pigalle. Comme on a utilisé le premier gode, on va prendre le deuxième, mets toi à 4 pattes chienne, je vais t’enculer.

Ma maîtresse plus dominatrice que jamais va chercher le gode ceinture qu’elle enfile directement.

- Suce moi un peu avant.

Toujours à 4 pattes je m’exécute et commence à sucer le gode qu’elle me présente. Elle continue de m’insulter et de se moquer de mon sexe encagé, puis commence à me fouetter les fesses. Le fouet tape parfois sur mes couilles, ce qui me fait hurler de douleur. Ma maîtresse me met alors un bâillon.

- Je ne veux plus t’entendre salope.

Elle continue pendant quelques minutes la punition puis me dit:

- Maintenant, je vais te sodomiser comme la chienne que tu es. Si tu ne veux pas, dis clairement et distinctement non.

Avec le bâillon, j’en aurais été incapable mais je ne l’aurais de toute façon pas fait. Je suis très excité et je me sens très salope, j’ai envie qu’elle m’encule avec ce gros gode, j’ai envie de le sentir au plus profond de mon corps.

Elle commence à me limer la rondelle en allant de plus en plus vite et plus en plus fort. Elle me traite de pute bonne qu’à être baisée et pour rajouter a l’humiliation, elle me demande de me pencher et mettre mon visage sur le lit, et elle vient l’écraser avec son pied. Je suis aux anges.

- Redresse toi cochonne, met toi le dos bien droit.

Je reste a 4 pattes et je sens qu’elle pose un objet sur mon dos.

- Ca a pas intérêt à tomber je te préviens. On va remercier le vendeur quand même, t’en penses quoi cocu ?

Je ne peux toujours rien dire avec le bâillon dans la bouche qui commence à me gêner. Je comprends que l’objet est un téléphone quand ma maîtresse se met à parler.

- Allo Fabien ? C’est Marie, je voulais te remercier pour les deux godes que tu nous a conseillés.

Je n’entends pas de réponse, je ne sais pas si elle appelle vraiment le vendeur ou si elle fait juste semblant, mais elle continue sa conversation.

- J’ai bien joui avec le premier et mon mari est venu lécher le faux sperme sur ma chatte comme un bon cocu.
- …
- Oui, mais vu la petite bite de mon mari, je suis mieux avec le gode.
- …
- C’est vrai, mais pour l’instant ça fait l’affaire.
- …
- Oui j’utilise le deuxième gode, je l’encule comme une grosse chienne le cocu, mas il a l’air d’aimer ça.
- …
- Vous êtes pas tous comme ça.
- …
- Ah j’aimerais bien voir ça. Et goûter ça aussi, si tu vois ce que je veux dire.
- …
- Je suis peut-être une grosse salope d’allumeuse, mais tu seras bien content quand je t’offrirai mon cul.
- …
- Voilà c’est ça, allez je vais continuer de limer ma salope, je t’embrasse.
- …
- Partout où tu veux, gros cochon.

Ma maîtresse semble raccrocher et me dit:

- T’entends ça cocu, il veut me faire ce que t’es incapable de faire.

Je ne peux rien dire, et je ne sais toujours pas si la discussion était réelle ou non, mais ma maîtresse accélère encore le rythme avec le gode ceinture et je suis au bord d’exploser dans ma cage.


Le lendemain, nous sommes enfin en vacances et le soir, ma chérie me câline en regardant la télévision. Nous mangeons ensuite et elle ne fait aucune référence ou allusion à mon statut de soumis. Une fois dans le lit, elle continue ses caresses et comme à me déshabiller, tout en se déshabillant elle aussi.

- J’ai envie de toi, j’ai envie de sexe.

Je n’ose rien dire et elle met finalement la main dans mon caleçon, la heurtant avec ma cage.

- Putain ! J’ai oublié que t’étais un con de soumis encagé ! J’ai trop envie de baiser. Comment on fait ?

Je suis en cage depuis quelques jours mais j’ai l’impression que ça fait une éternité. J’y pense constamment et ma chérie est devant moi, ses magnifiques seins à l’air. J’ai très envie d’elle et vu mon état d’excitation je suis certain que je n’aurais pas de problème à bander.

- Retire ma cage stp, j’ai trop envie de toi, tu me rends dingue.
- Pardon ? Tu me tutoies ? Quand tu es en cage, tu me vouvoies. Et tu as promis de ne pas te masturber pendant une semaine, tu vas tenir cette promesse.
- Mais tu pourras me remettre la cage juste après avoir fait l’amour, je ne tiens plus, stp.
- Et tu me tutoies encore soumis ?

Par énervement, elle me claque les couilles et je reprends ma position de soumis.

- Pardon maîtresse, je suis désolé. Je vous aime et j’ai trop envie de vous faire l’amour.
- Tu seras puni pour ta désobéissance. Tu vas rester un jour de plus en cage, tu feras 8 jours en tout, d’accord soumis ?
- Oui maîtresse, merci maîtresse.
- Bien. Mais ça ne règle pas mon problème d’envie de sexe, tu as pas une idée pour ça ? Moi j’ai une petite idée…
- Je ne sais pas, maîtresse…
- T’es vraiment bête ou tu le fais exprès ? Mais non, ne t’inquiète pas, je ne vais pas te faire cocu aujourd’hui. Je vais te prêter mon gode ceinture, tu vas l’enfiler et me pénétrer avec. Va le chercher le chien.

J’obéis rapidement et le temps de revenir dans la chambre ma maîtresse est complètement nue.

- Viens me prendre, viens me baiser.

Je commence à pénétrer ma maîtresse en missionnaire et la frustration est énorme. Je la vois prendre son pied mais je ne ressens rien. J’essaye de la pénétrer plus fort mais évidemment je n’ai aucune sensation.

- Oh oui, baise moi comme ça, vas-y, c’est trop bon. Elle est bien dure ta queue, je la sens bien. Fais moi jouir avec ta grosse bite, j’étais plus habitué. Baise moi fort, c’est trop bon.

Ma copine regarde au plafond ou ferme les yeux, ce qui renforce ma solitude. J’essaye de créer une connexion en la regardant dans les yeux, mais quand elle me regarde enfin, elle me repousse en collant son pied à mon visage et finit par me pousser complètement, me forçant à me retirer d’elle. Elle change de position et se met a 4 pattes.

- Prends moi par derrière.

Je ne sais pas si elle veut que je la prenne en levrette ou si elle veut que je la sodomise, mais elle précise ensuite.

- Baise moi la chatte comme ça, mon cul je le réserve pour une vraie bite.

J’obéis à ses ordres et je ne vois plus que ses cheveux, son dos et ses magnifiques fesses.

- Oh oui putain, c’est trop bon, j’aime trop ta bite. Vas-y fais le bien cocu cet éjaculateur précoce, il mérite que ça d’être cocu.

Je continue à pénétrer ma maîtresse malgré l’humiliation, je ne peux de toute façon pas faire grand chose.

- Oh oui c’est trop bon avec toi, j’adore être baisée par une bite bien dur, fais moi jouir avec ta queue, laisse ton empreinte pour mon cocu.

Elle finit par jouir et je retire le gode ceinture. Ma maîtresse me dit:

- A ton tour maintenant, c’était bon mais tu aurais pu aller plus vite. Met moi le gode, met toi à 4 pattes, je vais te montrer comment j’aime être baisée.

[Soum68]

Un rêve de vivre ça

[bencuck]

Le lendemain, nous prenons le petit déjeuner et ma chérie semble être agacée rien qu’en me regardant. Elle prend finalement mon assiette avec deux tartines grillées. Elle pose l’assiette par terre et me dit:

- Les chiens ça mange par terre.

Je me mets immédiatement à 4 pattes et elle coince entre ses orteils une tartine pour que je la mange. Il y a des miettes et de la confiture partout sur ses pieds et je finis mon repas en léchant ses pieds divins.

- Merci maîtresse.
- Chut, les chiens ça parle pas. Tu sais j’ai été très frustrée hier d’avoir oublié que tu étais en cage, donc maintenant quand tu rentreras du travail, si il y a un collier à l’entrée de l’appartement, tu mettras ce collier et tu te mettras tout nu, tu n’auras le droit que de marcher à 4 pattes, compris le chien ?
- Oui maîtresse.
- Non, un chien ça ne parle pas. Aboie pour dire que tu es d’accord.
- Ouaf !

Ma maîtresse rigole et je suis une nouvelle fois humilié mais à la fois excité.

Nous fêtons ensuite le réveillon de noël chez mes parents sans qu’il se passe grand chose, même si ma chérie est plus autoritaire à mon égard. Le soir, elle se met nue et me demande de la réveiller le lendemain avec un cunnilingus. J’obéis avec plaisir et je la réveille ainsi le lendemain ce qu’elle semble apprécier puisqu’elle a un puissant orgasme au bout d’une dizaine de minutes.

- Tu es une bonne chienne, je vais te récompenser. Je vais te marquer.

Elle se saisit d’un marqueur et commence à écrire sur mon bas ventre. J’essaye de voir ce qu’elle écrit mais elle change de position et met ses pieds sur mon visage.

- Non, regarde pas, lèche moi les pieds plutôt petite chienne.

Après un massage des pieds, je peux finalement voir ce qu’elle a écrit sur mon bas ventre: salope, soumis, suceuse.

- Avec ça je doute que tu retournes tout de suite au foot et prenne une douche collective. Quoi que ça serait marrant ! Viens, on va ouvrir les cadeaux.

Je lui offre mon cadeau, un voyage pour deux à Barcelone pour la Saint Valentin.

- Je me demande avec qui je vais pouvoir y aller, dit-elle.
- Bah avec moi chérie…
- Je ne sais pas, je compte bien me faire baiser comme une reine le week-end et je ne sais pas si tu en seras capable. Tu auras réglé des problèmes d’érection d’ici là ?
- Oui.
- Tu es sûr ?
- Je ne sais pas…
- On verra bien, petit cocu.

Elle m’offre ensuite son cadeau, un gode bâillon que je peux mettre à ma bouche et à sa chatte. Je sens que je vais encore être très frustré pour son plus grand plaisir, mais je vais bientôt retrouver ma liberté avec la fin de la cage. Nous partons ensuite chez ses parents pour Noël et elle est encore plus directive avec moi. Sa famille me demande si j’ai perdu du poids, j’avais commencé effectivement un régime qui s’est accéléré depuis ma mise en cage. Ma maîtresse m’interdit toute nourriture grasse ou sucrée et je dois faire des pompes ou des abdos en lui léchant les orteils à chaque mouvement. Les résultats sont déjà visibles et ma chérie me dit:

- Montre nous tes abdos.

Je me liquéfie en sachant mon nouveau tatouage sur le bas ventre mais heureusement personne n’insiste et je peux garder ma chemise fermée. Ma chérie est très complice aussi avec son beau frère, ils s’échangent des plaisanteries et des regards et lors d’une pause clope où on est tous les 3, elle lui confie même qu’elle m’a acheté un gode car je n’étais pas toujours doué au lit. Son beau frère me regarde avec amusement et je suis humilié. En rentrant, ma maîtresse est d’humeur coquine. Elle me fait attendre 30 minutes devant la portée et je trouve ensuite le collier à l’entrée, devant me mettre nu et à 4 pattes. Elle me demande de la prendre en photo, d’abord en sous-vêtements puis toute nue dans tes positions suggestives. Elle me demande ensuite de la prendre avec le gode bâillon. La frustration est bien présente pour moi et elle jouit rapidement. Elle m’ordonne ensuite de lui lécher le cul et profite de ce temps pour appeler Vincent, le vendeur de Pigalle.

- Joyeux Noël ! Ton cadeau t’a plu ?
- …
- Ah oui, quelle photo tu as préféré ?
- …
- Celle avec mes doigts ou avec le gode ?

Je m’arrête un instant de lécher le cul de ma maîtresse mais elle me reprend et ordonnant à voix haute:

- Continue de me lécher le cul cocu.
- …
- Non, il est pas encore cocu, mais ça devrait pas tarder s’il continue comme ça.




Deux jours plus tard c’est enfin le jour de ma libération. Après 8 jours en cage, je vais retrouver ma liberté. Le soir, le collier n’est pas à l’entrée à mon grand soulagement. Ma chérie ne fait aucune mention et j’ose aborder le sujet.

- On retire la cage ce soir ?
- On ? C’est toi, c’est moi ou c’est nous qui avons la clé ?
- C’est toi.

Ma réponse ne semble pas la satisfaire, elle fait le signe où je dois me mettre nu immédiatement et attendre pour lui lécher la chatte. Je m’exécute et elle me dit:

- Je t’aime en soumis, tu as été très obéissant cette semaine. Tu as fait toutes les taches ménagères et la cuisine, et tu as été beaucoup plus attentionné.
- Merci maîtresse.
- Je crains que tout redevienne comme avant si je te libère. Tu vas continuer à te branler sous la douche ?
- Non maîtresse.
- Tu promets ? C’est ta résolution de la nouvelle année ?
- Oui maîtresse
- Mais c’est pas encore la nouvelle année, c’est dans deux jours. Tu es d’accord que tu es un meilleur amant avec ta cage que sans ? Amant dans le sens amoureux, amant dans l’autre sens c’est les autres hommes. Tu es plus soumis avec ta cage hein cocu ?
- Oui maîtresse
- Je veux que tu la gardes jusqu’au nouvel an, je veux que tu passes la nouvelle année en cage.
- Oui maîtresse, merci maîtresse.
- Maintenant lèche moi la chatte pour me remercier d’être une si bonne maîtresse.

Deux jours plus tard, nous fêtons la nouvelle année chez nous avec des amis à elle. Ma chérie est incroyablement sexy avec des collants, des chaussures à talons haut et une robe noire avec un joli décolleté. Nous buvons beaucoup puis arrive minuit. Ma chérie m’embrasse et me glisse à l’oreille.

- Bonne année mon soumis. Je vais bien te faire cocu cette année.

Nous faisons ensuite un action vérité tourné vers le sexe et la première humiliation vient lorsque ma chérie reçoit une vérité lui demandant son fantasme.

- Faire l’amour avec plusieurs mecs en même temps.

Tout le monde me regarde et au tour suivant j’hérite de la même question. Ma chérie répond avant moi.

- Voir sa femme faire l’amour avec plusieurs mecs en même temps.

Tout le monde rigole sauf moi, et je bredouille que je n’ai pas vraiment de fantasme.

- Ah ça va vraiment être celui de me voir me faire baiser alors, ajoute ma copine.
- Non, peut-être faire l’amour avec deux filles.
- Faudrait déjà que tu saches t’en occuper d’une pour commencer.

Les regards sont gênés ou amusés et moi je suis mort de honte. Ma copine me demande même comment je me sens dans ma cage et je ne répond pas. Au tour suivant, elle doit embrasser le garçon qu’elle trouve le plus sexy. Je m’attends à ce qu’elle m’embrasse mais elle se lève et part embrasser Thibault, un garçon célibataire qui enchaîne les conquêtes. Ma chérie revient s’asseoir à côté de moi et me dit:

- Ça va c’est juste un bisou sur la bouche, je ne l’ai pas emballé
- C’est pas ça, tu aurais pu choisir moi.
- Ah, je suis honnête moi, c’est important de dire la vérité, tu crois pas ?

Ma chérie reçoit une vérité qui lui demande qu’elle est ma meilleure qualité.

- Ses cunnilingus, il me fait les meilleurs que j’ai jamais reçu et on m’en a fait souvent. Et il me lèche très bien le trou du cul, mais on me l’a fait moins souvent
- Le trou du cul ?
- Ouais, elle adore ça cette salope

Ma chérie me demande ensuite de me mettre torse nu ou alors elle retirera son haut. Je suis déjà suffisamment humilié et je ne veux pas que quelqu’un découvre mon « tatouage » de salope, soumis et suceuse sur le bas ventre. Je fais donc mine de vouloir que tout le monde voit ma chérie dénudée. Elle retire le haut mais comme c’est une robe, elle se retrouve en sous-vêtements et retire même son soutien gorge malgré mes protestations.

- J’ai dit torse nu, pas torse soutif.

Elle dévoile à tous sa magnifique poitrine et je suis complètement fou dans ma cage. Tout le monde remarque la clé en pendentif autour du cou de ma chérie et on lui demande ce qu’elle ouvre.

- Elle ouvre la liberté de la femme. La totale liberté et jouissance.

Une autre action demande à Thibault de caresser les seins de ma copine. Je m’y oppose mais ma chérie me dit qu’un autre joueur n’a pas à s’opposer au gage entre deux personnes et que elle est d’accord. Je regarde donc Thibault caresser les seins de ma maîtresse et les deux se dévorent du regard. Une autre action plus hot demande à Suzanne, une copine de ma chérie, de me caresser à travers le pantalon. Elle s’exécute sans problème et me caresse les testicules puis la cage. Elle s’aperçoit d’un problème et continue de caresser la cage puis semble comprendre de quoi il s’agit, soufflant de satisfaction. L’action que je reçois de ma chérie est de me mettre torse nu, sans avoir cette fois le choix. Je m’exécute à contre cœur et tout le monde voit mon tatouage, ma copine expliquant sans sourciller que je suis devenu soumis à ses moindres désirs. Je suis humilié mais l’action de ma chérie est pire. Elle doit sucer pendant une minute tous les mecs qui bandent. Un joueur en couple refuse de participer, il n’y a plus que deux autres candidats et je prétexte de ne pas avoir envie de me faire sucer en même temps que les autres pour ne pas montrer ma cage.

- Mets toi en ligne en caleçon avec les autres, je veux voir si je te fais encore bander, ordonne ma maîtresse.

Nous sommes trois en ligne en caleçon et d’un geste rapide, ma maîtresse dévoile deux érections et ma bite encagée qui surprend les uns et fait rire les autres. Ma maîtresse explique la situation que nous vivons depuis dix jours. Elle me regarde ensuite et me dit que sucer n’est pas tromper puis suce Thibault pendant une minute. J’encaisse sans vraiment savoir comment et elle lâche à contre cœur la bite de Thibault, ajoutant quelques derniers coups de langue au delà de la limite. Ma chérie passe ensuite au deuxième mec, pourtant en couple mais sa copine l’autorise, disant qu’elle n’aime pas le sucer. Il doit en effet pas avoir l’habitude car en trente secondes le mec jouit. Cela fait rire tout le monde sauf moi, qui me rend compte qu’un mec vient de jouir dans la bouche de ma chérie. Ma chérie s’approche de moi et crache d’un coup tout le sperme sur mon bas ventre et sur ma cage.

- Tu voulais pas que j’avale quand même ?
- Non, mais tu aurais pu cracher ailleurs, tu m’en as mis partout.

Je pars dans la salle de bain et ma copine me rejoint.

- Je suis pas allée trop loin j’espère ?
- Bah un petit peu quand même.
- Désolé chéri, j’étais prise dans le jeu et l’alcool a aidé. Si tu veux aller dormir, j’expliquerai aux autres que tu étais fatigué.

Après tant d’humiliations je ne tiens pas à revoir les autres et j’explique à ma chérie que je vais aller dormir. Elle plonge alors sa main dans son string pour se caresser et m’étale sa mouille au visage.

- Regarde comme je suis excitée. Repose toi bien chéri, je vais continuer à m’amuser.

J’ai ensuite entendu beaucoup de rires au cours de la soirée puis des moments plus calmes et ma chérie ne m’a rejoint dans le lit qu’à huit heures du matin, visiblement essoufflée.

[zztop]

A suivre avec intérêt

[elianeetserge]

wahou je suit moi aussi

[bencuck]

Aujourd’hui, ma chérie me retire enfin ma cage. Elle se saisit de la clé avec un air malicieux et me dit:

- Tant mieux, j’ai vraiment envie de baiser aujourd’hui. Va te laver et rejoins moi dans le lit.

Je m’exécute et je la retrouve dans le lit où elle est déjà en sous-vêtements.

- Pourquoi tu t’es rhabillé alors que tu savais qu’on allait faire l’amour ?

Nous commençons à nous embrasser et elle me déshabille.

- Tu crois que tu vas bander suffisamment pour me baiser ?

Je me concentre sur mon érection et, même si je suis resté dix jours enfermé avec les pensées les plus obscènes, je ne parviens pas à bander. Plus j’y pense et plus je suis mou.

- Putain j’y crois pas ! Même la cage ne suffit pas, s’énerve ma chérie. Tu sais, c’était un fantasme mais je crois bien que je vais te faire vraiment cocu. Je t’aime, je veux faire ma vie avec toi et j’aime comment tu me traites, mais j’aime le sexe, j’adore ça et j’ai besoin de me faire baiser souvent, je peux pas me contenter de godes. Et toi, même quand t’es dur, tu me fais l’amour avec douceur, j’aime ça, mais parfois j’ai aussi besoin de me sentir très salope et qu’on me baise à me faire oublier comment je m’appelle. Toi, j’adore quand tu me lèches les pieds, mais pendant ce temps là mes trois trous sont libres.

Je dois faire une tête bizarre car elle ajoute.

- Ca va, j’ai pas dit que j’allais me faire prendre par trois mecs en même temps, mais j’ai besoin d’être épanouie sexuellement et je vais te faire cocu. Il y a plein de mecs qui veulent me défroncer, je veux être bien baisée par des vrais mecs avec des bites bien dures, pas ta petite queue toute molle.

Elle regarde alors mon sexe et dit:

- Mais dis donc petite salope, ça t’excite d’être cocu !
- Non…
- C’est pas une question, c’est une affirmation, regarde toi, je te dis baise moi t’es tout mou, je te dis je vais me faire baiser par d’autres, tu bandes comme un taureau. Je le savais de toute façon, je te vois bien t’exciter quand je te traite de cocu, il faut juste que tu acceptes ta nature de cocu. Demande moi de te faire cocu.
- Fais moi cocu…

Elle me repousse du pied et me dit:

- Non pas comme ça, met toi à genou par terre, et appelle moi maîtresse
- Faites moi cocu svp maîtresse, je vous en supplie.
- C’est mieux, trouve moi trois bonnes raisons de te faire cocu.
- Vous avez besoin d’être épanouie sexuellement et je ne suis pas capable de bien vous baiser, ça fortifiera notre couple et… ça m’excite d’être un cocu.
- Parfait petit cocu.

Même si j’ai peur, ma maîtresse a raison et je ne suis pas capable de lui faire l’amour, autant que d’autres mecs en profitent et qu’elle soit heureuse. Je suis encore à genou devant elle et elle me caresse mon sexe en érection d’un pied et le torse et le visage avec l’autre pied.

- T’es bien dur là, tu pourrais me prendre une dernière fois avant d’être cocu, qu’est-ce que tu en penses ?
- Oui maîtresse.
- A une condition, je t’interdis de jouir avant moi. Tu peux me prendre la chatte, mais je veux qu’on jouisse ensemble. Tu vas pouvoir te retenir jusqu’à ce que je jouisse ?
- Oui maîtresse.
- Tu es sûr, parce que je ne veux pas que tu rentres en moi si c’est pour jouir au bout de 5 secondes, je veux que tu me baises comme un vrai mec.

Je suis très excité et elle continue ses massages des pieds.

- Maîtresse, je vais jouir.
- Oh non pas maintenant, c’est les petits cocus qui jouissent tout de suite.

Sa dernière phrase finit de m’achever et je jouis une quantité impressionante de sperme, n’ayant pas vraiment joui depuis deux semaines. Il y a du sperme partout, sur les pieds et les jambes de ma maîtresse et par terre.

- Nettoie moi tout ça, soumis.

Je commence à me relever mais elle me dit:

- Tu vas où ? Tu as une langue, c’est fait pour ça.

Je suis un peu dégoûté, mais je commence à lui lécher les pieds recouverts de mon sperme.

- C’est bon le sperme, hein cocu ? Comment veux tu que je ne fasse pas cocu après ça. Nettoie tout bien, il y a encore des gouttes sur ma jambe. Après tu nettoieras le sol avec ta langue.

Je finis de lui lécher les pieds et les jambes et elle me félicite après une scrupuleuse inspection.

- Va te rincer la bouche et lèche moi là chatte ensuite, t’es bonne qu’à ça.

J’obéis à nouveau et je commence à lui lécher la chatte. Elle se saisit de son téléphone pendant que je lui fais le cunnilingus.

- Allô Fabien, tu fais quoi ?
- …
- Mon mec est en train de me lécher la chatte. Je voulais baiser mais il bande mou.
- …
- Ah ouais ? Tu me ferais quoi ?
- …
- Hummm j’aimerais ça. Dans le cul aussi.
- ….
- Je peux te rejoindre d’ici une heure, ça irait ?
- …
- Parfait, à tout à l’heure.

Ma maîtresse finit par raccrocher et me dit:

- T’entends ça, tu vas bien être cocu aujourd’hui. En fait, arrête de me lécher la chatte, je veux être bien excitée pour Fabien, je vais prendre une douche.

Ma maîtresse m’appelle ensuite pour que je l’aide à se préparer. Elle choisit une tenue très sexy et fait de nombreux commentaires sur comment elle va être bien baisée. Elle quitte ensuite l’appartement, plus sexy que jamais, et en me traitant une dernière fois de cocu. Une heure plus tard, je reçois un appel et je comprends que ma maîtresse s’est mise sur haut parleur pour que je l’entende faire l’amour. Je l’entends motiver son partenaire à la prendre, elle multiplie les gémissements, il n’y a plus de doute, je suis bien cocu. Et cela me fait bander très fort, je me branle en prenant garde à ne pas éjaculer trop vite pour garder l’excitation, mais je finis par jouir dans un mouchoir. Ma maîtresse revient trois heures plus tard, décoiffée mais visiblement heureuse. Elle me retrouve dans le lit et m’embrasse avec la langue.

- J’ai une haleine qui sent la bite ? Réponds salope.

Elle m’embrasse à nouveau avec la langue puis me souffle au visage.

- Alors, je sens la bite ?
- Oui maîtresse.
- Tu veux sentir ma chatte aussi ?
- Oui maîtresse.

Elle se déshabille et me dit:

- Tu peux sentir ma chatte mais interdit de poser ton nez ou ta langue dessus, tu sens c’est tout. Alors tu la sens cette odeur de bite.
- Oui maîtresse.
- T’aimes ça ?
- Oui maîtresse.
- Tu crois que je me suis pris une bite ?
- Bah oui maîtresse, ça se voit.
- Prends pas ce ton avec moi, soumis. Mais je te confirme mon chéri que tu es bien un cocu. Tu t’es branlé quand je t’ai appelé ? J’ai vu que c’était moi qui avait mis fin à l’appel, tu as tout écouté petit cochon. Tu t’es branlé alors ?
- Oui.
- Tu as joui sur toi ?
- Non, dans un mouchoir.
- Quoi ? Va me chercher le mouchoir.

Je vais le chercher dans la poubelle et ma maîtresse m’oblige à le manger.

- Maintenant cocu, à chaque fois que tu jouiras tu devras lécher ton sperme. Et tu auras droit à un orgasme tous les 10 orgasmes pour moi. Maintenant raconte moi comment tu penses que ça s’est passé avec Fabien ce soir.
- Vous avez bu un verre et puis vous vous êtes embrassés. Il vous a déshabillé et vous avez fait l’amour.
- T’es bien trop romantique mon cocu. Dès qu’on s’est vu, il m’a fait mettre à genou et m’a demandé de le sucer, je l’ai sucé à la porte d’entrée. Et après tu crois qu’il m’a pris dans quelle position ?
- En missionnaire.
- Il m’a pris dans toutes les positions cocu. Mais je ne lui ai pas donné mon cul, tu es content cocu ?
- Oui maîtresse.
- A toi aussi je ne l’ai jamais donné, hein cocu ?
- Non maîtresse.
- Moi je t’ai déjà enculé par contre.

Ma maîtresse continue de me raconter comment elle s’est fait prendre et dans quelles positions elle a joui. Elle s’interrompt ensuite:

- Mais tu bandes encore ! Tu as joui deux fois aujourd’hui, et tu bandes quand je te dis à quel point j’aime les autres bites que la tienne. Comme tu as été un bon cocu, tu vas pouvoir jouir encore. Viens mettre ta bite dans ma chatte, là où il y avait une autre bite qui me limait il y a deux heures.

Cette fois, je bande très dur et je parviens à pénétrer ma maîtresse. Elle me traite à nouveau de cocu et de petite bite et me demande si je sens que sa chatte est élargi. Je jouis très vite en elle, puis elle me fait mettre sur le dos et pose sa chatte sur ma tête, me demandant de bien lécher tout mon foutre de cocu.

[elixir27]

Bravo excellent vivement des photos de ta soumission et de ton cocufiage

[bencuck]

Aujourd’hui, je suis à nouveau en cage, ce que méritent les cocus dans mon genre selon ma maîtresse. A l’appartement je suis très souvent nu, à 4 pattes et avec un collier et je fais toutes les taches ménagères. Ma maîtresse a revu Fabien et elle me trompe régulièrement avec lui.

Nous recevons à la maison Thibault, le pote célibataire que ma chérie a sucé devant moi, et Suzanne, une amie que son petit ami vient de quitter pour une autre femme. Nous reparlons de la soirée du 31 et Suzanne nous pose des questions à propos de la cage de chasteté.

- Et il fait vraiment des bons cunnis ? demande Suzanne à ma maîtresse.
- Surtout quand il est en cage oui.
- T’en as de la chance, ça fait longtemps que je me suis pas fait lécher la chatte.
- Si tu veux, je te prête ma salope, je vais lui demander d’être bien obéissant, tu peux lui demander tout ce que tu veux, s’il n’obéit pas, tu le punis. Et nous, qu’est-ce qu’on pourrait faire pendant ce temps ? Demande ma chérie à Thibault.
- Je veux juter dans ta bouche, la dernière fois Guillaume a joui dans ta bouche quand tu l’as sucé et pas moi.
- Mais il a joui en 30 secondes ! Toi, t’es plus endurant.
- Oui mais quand même…
- Bon, on va dans la chambre et tu pourras me faire ce que tu veux. Suzanne, tu restes dans le salon et tu peux faire ce que tu veux à ma salope. Ma salope est ta salope.

Sans qu’on me demande mon avis, je me retrouve seul dans le salon avec Suzanne alors que je vois ma maîtresse partir dans la chambre en tenant la main de Thibault.

- Alors comme ça tu es une petite salope soumise ?
- Oui.
- C’est « oui maîtresse Suzie ». Met toi nu petite pute, montre moi ta petite cage.
- Oui maîtresse Suzie.

Je me retrouve nu devant la pote de ma chérie, maintenant ma nouvelle maîtresse.

- En voilà une petite bite, ça m’étonne pas que tu sois enfermé. Met toi à genoux sur le canapé, tu va sucer un gode avant de me lécher la chatte.

Elle semble déjà connaître les lieux puisqu’elle va dans le meuble où se trouvent les godes et choisit le plus gros, celui qui ressemble à une bite noire. Le gode est très long et le diamètre est encore plus impressionnant.

- Tiens, suce une belle bite de black.

Sans avoir le choix, je m’exécute mais je peux à peine sucer le bout du gode, malgré les efforts de maîtresse Suzie qui me l’enfonce dans la bouche.

- Il va finir dans ton cul si tu t’appliques pas.

Je fais de mon mieux mais ce n’est toujours pas suffisant pour ma nouvelle maîtresse.

- Tends moi bien ton cul, tu vas le sentir passer.
- Suzanne je ne peux pas, celui la est trop gros.

J’arrête le jeu, le gode étant vraiment démesuré. Sans relever plus que cela, maîtresse Suzie se place devant moi, toujours à 4 pattes sur le canapé, et descend sa culotte à hauteur de ses genoux.

- Lèche ma culotte alors.

J’obéis avec plaisir et je sens bien sa mouille. Elle prend ensuite ma tête et l’appuie conte sa chatte. Son sexe est délicieux et je lèche le plus fort possible, en sentant parfois son odeur. J’entends également ma chérie gémir depuis la chambre et ses bruits renforcent mon plaisir. Je suis très excité et elle se saisit ensuite du gode et l’appuie contre mon nez.

- Et avec beaucoup de lubrifiant, tu crois qu’on pourrait au moins entrer le début dans ton cul de chienne ?
- Oui maîtresse Suzie.
- T’es vraiment une salope ! Tu es encore une pucelle du cul ?
- Non maîtresse Suzie.
- On va demander à ta maîtresse avant quand même, celui la est vraiment gros.

Maîtresse Suzie attache une laisse à mon collier et me traîne jusqu’à la chambre de ma chérie. Nous rentrons et je vois Thibault allongé sur ma copine, visiblement en train de la pénétrer. Ma maîtresse m’a souvent raconter comment elle me faisait cocu et je l’ai entendue au téléphone, mais c’est la première fois que je la vois se faire démonter devant moi et je ressens un grand mélange d’humiliation et d’excitation.

- Qu’Est ce qu’il y a ? Demande ma maîtresse. Je suis en pleine baise.
- Je voudrais enculer le cocu avec ce gode, je peux ?
- Non, je veux être la première à offrir mon cul à une bite noire. Cette salope n’a rien fait pour mériter autant de plaisir.

Maîtresse Suzie tire sur la laisse.

- T’entends cocu ? C’est non. Reste pas la, tu vois bien que ce charmant couple est occupé.

Nous retournons dans le salon et maîtresse Suzie ouvre le meuble où se trouve les godes.

- Choisi avec lequel je vais t’enculer.

Je suis excité et je prends le plus gros de ceux restant dans le meuble.

- T’es vraiment une salope.

Maîtresse Suziz se saisit du gode et me ramone pendant 20 bonnes minutes. Elle me dit que tous les mecs sont des salopes et elle prend beaucoup de plaisir à me taper les couilles, surtout quand je hurle de douleur. Elle me fait supplier de continuer et alterne avec des claques qui me font rougir le cul. Elle s’assoit ensuite sur mon visage pour un nouveau cunnilingus jusqu’à ce que je la fasse jouir. Elle se pose ensuite sur le canapé et me demande de venir lui lécher le cul.

- Je n’avais jamais rencontrer quelqu’un d’aussi pute que toi. Ta maîtresse devrait te mettre sur le trottoir.

Nous sommes ensuite interrompu par Thibault, visiblement satisfait de son heure passée. Il me dit ensuite que je dois aller dans la chambre. J’y retrouve ma chérie, qui sans dire un mot me fait allonger sur le dos. Avec ses doigts, elle me fait ouvrir la bouche, et approche sa bouche de la mienne et déverse tout le sperme de Thibault dans ma bouche.

- Cette fois j’ai accompli ma promesse à Thibault, mais je me suis dit qu’il fallait t’en faire profiter, un couple partage tout. Retourne dans le salon et remercie maîtresse Suzie de s’être occupé de toi, je te confierai parfois à elle quand j’irai me faire baiser par de vrais mecs, d’accord cocu ?
- Oui maîtresse, merci maîtresse.

[catpat35]

Plus je lis plus ça m'excite, j'adore

[elixir27]

Le cocu bien obéissant et soumis à sa Divine maîtresse, très très bien petite lope

[bencuck]

Aujourd’hui ma maîtresse me fait allonger par terre sur le dos, sa position préférée pour recevoir un cunnilingus. J’adore cette position aussi, je peux caresser ses seins et je vois aussi son visage quand elle prend du plaisir ou me nargue avec un regard. Je commence à lui caresser les seins, mais elle m’arrête.

- Pas aujourd’hui le cocu.

Quelques minutes plus tard, quelqu’un sonne à la porte. Ma maîtresse n’a pas l’air surprise, elle se lève, pose sa culotte sur mes yeux et me dit:

- Toi, tu restes la.

J’entends qu’elle ouvre la porte et je suis mort de honte en imaginant quelqu’un me découvrant dans le salon, complètement nu si ce n’est la cage que je porte. Je sens quelqu’un entrer dans l’appartement. Ma maîtresse me retire la culotte des yeux et s’assoit sur mon visage, mais se met cette fois dans l’autre sens, ne me laissant voir que son dos.

- Lèche moi le cul maintenant, cocu.

Je sens quelqu’un se déshabiller et m’enjamber. J’entends ensuite ma chérie faire des bruits de sussions, elle est en train de sucer un mec pendant que je lui lèche le cul, et je ne peux pas savoir qui c’est, ma tête étant bien enfoncée dans le cul de ma maîtresse. Après quelques minutes, j’entends la jouissance d’un homme et les encouragements de ma chérie. Le mec se rhabille et prend la direction de la porte, j’essaye de l’apercevoir mais ma maîtresse me bloque complètement la vue. Une fois qu’il est parti, ma maîtresse me libère enfin et s’assoit sur le canapé. Je la découvre pleine de sperme, elle m’a toujours refusé une ejaculation faciale, mais là elle en a partout, sur le visage, sur la bouche, sur le menton et le cou et sur les seins et entre les seins. Il y en a même sur la clé de ma cage.

- Viens nettoyer tout ça cocu, je sais que tu es une bonne bouffeuse de sperme.

J’obéis avec un mélange d’excitation et de dégoût que je commence à bien connaître. Ma maîtresse me félicite à nouveau et me dit que j’aurais bientôt droit à un orgasme car elle compte me faire encore cocu très rapidement. Le lendemain est plus tranquille puisque nous recevons à l’appartement deux potes à moi du foot qui sont aussi devenu les potes de ma chérie avec le temps. Je lui avais dit que j’étais d’accord pour être cocu, mais que je ne voulais pas qu’elle me fasse cocu avec des personnes que je connais bien. C’est vrai qu’elle s’est fait baiser par Thibault, mais c’est un ami à elle, pas à moi. Ma chérie est tellement à l’aise avec mes potes qu’elle les reçoit en pyjama et elle a retiré la clé de ma cage qu’elle porte d’habitude en permanence afin d’éviter les questions embarrassantes. Le repas avec Vincent et Louis se passe normalement et nous buvons pas mal d’alcool. A un moment, ma chérie retire ses chaussons. Elle dévoile ses magnifiques pieds avec un sexy vernis blanc, mais surtout elle a une chaînette à la cheville avec la clé de la cage. Je la regarde effrayé et elle me regarde avec un air de défi. Vincent finit par remarquer la clé et demande ce que c’est.

- Tu veux nous expliquer chéri ? Me demandant ma maîtresse.
- Non c’est bon.
- C’est la clé du bonheur.

Elle rapproche son pied du visage de Vincent et le caresse même. Elle remarque mon état et dit:

- Mon petit chéri est jaloux parce qu’il adore me lécher les pieds. C’est pas vrai ?

Je suis mort de honte et elle me demande ensuite de lui embrasser les pieds. Je lui fait un bisou rapide histoire d’avoir la paix et de ne pas avoir plus la honte devant mes potes mais elle insiste.

- C’est pas comme ça que tu fais d’habitude. Montre leur comme tu fais d’habitude, je veux qu’ils sachent à quel point tu es bon petit mari soumis. Met toi à genou et applique toi autant que d’habitude, sinon je ne te laisserai plus jamais t’approcher de mes pieds.

Devant la menace, je n’ai pas d’autres choses que de me mettre à genou et de lui lécher les pieds, en suçant bien chaque orteil comme je le fais habituellement. Mes deux potes se sont mis sur le canapé, entre ma copine qui tend ses pieds avec un plaisir immense.

- D’habitude tu es nu pour faire cette tâche non ?

Je la regarde avec effroi et je sais que je ne vais pas y échapper. Je commence à me déshabiller mais ma chérie m’arrête.

- Je t’ai posé une question. Répond quand je te parle.
- Oui… maîtresse.
- C’est bien soumis. Met toi nu maintenant.

J’obéis jusqu’au caleçon et je marque un temps d’arrêt.

- J’ai dit complètement nu. Ils le savent déjà ce que t’as entre les jambes. Tu veux savoir pourquoi ?
- Oui maîtresse…
- Parce que je leur ai dit, ils m’ont déjà baisé tous les deux, j’ai pas pu m’en empêcher comme toi tu peux pas t’empêcher de faire la petite salope soumise. Allez retire ton caleçon pute.

Je dévoile mon penis encagé, subissant les moqueries de mes potes et de ma maîtresse.

- Reprends ton travail d’esclave, petite salope.

Je suce à nouveau les orteils de ma maîtresse et elle s’amuse à bouger son pied, me forçant à suivre le mouvement pour continuer à la lécher. Elle s’est installée sur le canapé et je découvre Louis en train de caresser la chatte de ma maîtresse et de la doigter. J’avais déjà vu Thibault prendre ma maîtresse mais je n’avais jamais vu une telle vision sur sa magnifique chatte et je suis excité à chaque fois que Louis la doigte.

- Retire ma culotte, cocu, regarde bien comme je mouille.

Je m’apprête à retirer son string qui est au niveau de ses fesses mais ma maîtresse m’interrompt.

- Non, fais le avec les dents, je ne veux pas que tu me touches avec tes mains.

J’obéis et je retire son string avec ma bouche alors que Vincent caresse désormais les seins de ma copine, complètement nue.

- Bouffe la culotte le cocu, sens bien comme je suis excitée.

Ma maîtresse se met ensuite en amazone sur Louis et commence à sucer Vincent en même temps. Je les regarde avec le string de ma maîtresse dans la bouche et ma bite prête à exploser dans ma cage. Ma maîtresse prend une pause et retire son string de ma bouche.

- Lèche moi le cul comme un bon cocu pendant que je me fais prendre.

Je m’approche pour lui lécher son divin trou du cul, me rapprochant de la bite de Louis qui continue de pénétrer ma maîtresse. Dans cette position, je me sens complètement soumis et j’ai même envie de lui lécher les couilles pour le remercier de baiser si bien ma maîtresse. Ma maîtresse décide d’aller dans la chambre pour être plus confortable et me demande de les suivre.

- Tu te souviens hier cocu que tu as léché du sperme sur mes seins. C’était celui de Vincent ou Louis, ils vont me baiser et jouir sur mes seins, à toi de deviner qui était là hier et si tu trouves tu auras une récompense.

Pendant près d’une heure, Vincent et Louis liment ma maîtresse, alternant toutes les positions. Pendant que l’un prend ma maîtresse dans la chatte, l’autre se fait sucer. Ma maîtresse est très salope et j’adore la voir comme ça.

- Rend toi utile cocu, lèche moi les pieds pendant que je me fais bien baiser.

Je m’exécute avec plaisir, même si je suis en cage et que je ne participe pas vraiment, c’est la meilleure baise de ma vie. Je m’applique à sucer les pieds de ma maîtresse comme une bonne salope, mais elle n’est pas très attentive à ce que je fais, étant bien plus sensible à ce que lui font Vincent et Louis. Finalement, à la demande de ma maîtresse, les deux éjaculent sur ses seins, Vincent sur le sein droit et Louis sur le sein gauche.

- A toi de jouer mon cocu, dis moi qui m’a fait une faciale hier.

La honte prend le pas sur l’excitation mais je m’exécute et je lèche tout le sperme sur les seins de ma maîtresse.

- Alors, cocu ? Qui était là hier ?
- Louis
- C’est ça, quel adorable petit cocu tu es ! En récompense, tu vas pouvoir me bouffer la chatte et voir à quel point je me suis fait démonter aujourd’hui. Avant remercie Louis et Vincent d’avoir bien baiser ta femme.
- Merci les gars.
- Merci de quoi ?
- Merci d’avoir bien baiser ma femme.
- Oui c’est ça, bon cocu, viens me bouffer la chatte maintenant petite avaleuse de sperme.

[Olivierito]

Génial, continue de nous raconter, lopette cocue !

[elixir27]

Hum quelle gentil Maitresse tu a cocu soumis

[bencuck]

Au travail, je reçois un mail de ma chérie qui commence par co(u)c(o)u. Elle m’explique avoir imprimé un contrat de cocu soumis et me demande de lui apporter l’exemplaire. Je peux lire sur le contrat nos deux noms et qu’elle est autorisée à avoir des relations extra conjugales avec qui elle le souhaite. Je quitte rapidement mon bureau avec le cœur qui bat, la salle de l’imprimante étant partagée avec plusieurs bureaux, tout le monde pourrait tomber sur le contrat. Par chance, le papier est encore à l’imprimante quand j’arrive. Je le prends, le colle contre ma poitrine et je me rends dans le bureau de ma chérie.

- Ferme la porte.

Je m’exécute et je lui tend le contrat. Elle commence à l’examiner et m’ordonne de me mettre à 4 pattes. Elle joue ensuite avec sa ballerine et je m’approche pour lui sentir les pieds.

- Qu’est-ce que tu fais ? On est au travail, tu imagines si on se faisait surprendre ? Tiens toi un peu et laisse moi relire le contrat de ton cocufiage.

Son jeu dure quelques minutes et j’attends a 4 pattes, inventant déjà un prétexte pour justifier ma position si quelqu’un venait à entrer dans le bureau. Finalement, ma maîtresse laisse tomber par terre le contrat et un stylo.

- Tu peux le signer tout de suite ou prendre ton temps pour tout relire, c’est un fort engagement.

Ne voulant pas rester plus longtemps à quatre pattes, je signe immédiatement le document. De toute façon, elle fait déjà ce qu’elle veut et me trompe avec qui elle souhaite. Je me relève ensuite et quelqu’un frappe à la porte. Je suis soulagé d’avoir eu le temps de me relever, mais c’est Arnaud qui rentre dans le bureau, un de ses collègues que je n’aime pas vraiment et que je trouve très arrogant. Il a un grand sourire et une feuille à la main.

- Ca vous appartient je crois.

Ma chérie me regarde horrifiée.

- Tu as pas pris les deux feuilles ? Il y en avait une pour moi et une pour toi.
- Vous faites un drôle de couple, dit Arnaud amusé.
- On peut compter sur ta discrétion ? Demande ma chérie.
- Je vais au moins le dire à Philippe, une histoire comme ça c’est trop incroyable pour ne pas être partagée.
- Mais si tu le dis à Philippe, tout le monde va savoir que je fais cocu mon mec. Le dis pas stp.
- Tu me donnes quoi en échange ?
- Ce que tu veux, on doit bien pouvoir s’arranger.
- Il y a qu’un seul truc que je veux.

Arnaud s’approche de ma chérie et commence à lui caresser les seins. Je vois dans le regard de ma chérie qu’elle en a envie et ça l’excite de se faire caresser les seins.

- Si ce soir je t’ai pas baisé, demain tout le monde saura que tu es une belle salope et ton mec un bon gros cocu.
- D’accord, viens à la maison ce soir, tu pourras me baiser.
- Donne moi un petit aperçu.

Arnaud baisse son pantalon et invite ma maîtresse à la sucer, ce qu’elle s’apprête à faire.

- Toi le cocu, va faire le guet à la porte.

J’obéis et je quitte le bureau en priant pour que personne ne me voit. Le soir, Arnaud est évidemment à la maison. Ma maîtresse n’arrêtait pas de me répéter qu’il allait la baiser comme un roi et il s’est en effet bien occuper d’elle, sans la moindre considération pour moi. Elle l’a à nouveau sucer puis il l’a prise en missionnaire et en levrette. Il voulait la sodomiser mais elle a refusé, pour cette fois, et elle a aussi refusé l’éjaculation faciale. Il a donc éjaculé sur sa magnifique chatte et elle m’a obligé à tout nettoyer en me traitant de cocu. Quelqu’un a ensuite sonné à la porte et Arnaud a expliqué:

- J’ai prévenu Philippe, je me suis dit que ça serait dommage que je sois le seul à te baiser ce soir et c’est pas ton cocu de mari qui allait le faire.
- Mais j’ai pas envie de baiser avec Philippe, il est pas a mon goût !
- C’est un chaud de la bite et il a une queue énorme, tu changeras d’avis en la voyant.

Philippe entre dans l’appartement et sors directement sa queue.

- Elle te plaît ma queue salope ? Suce là pour voir le goût qu’elle a.

J’ai connu ma maîtresse très dominatrice mais avec Arnaud et Philippe elle est étrangement soumise et se plaît à être traité comme une salope, ce qui fait de moi la salope d’une salope. Elle suce ensuite Arnaud qui a retrouvé de la vigueur pendant que Philippe lui défonce la chatte. Ma chérie couine et enchaîne les orgasmes, ne me regardant plus alors qu’elle aime d’habitude jouer avec moi quand son amant s’occupe d’elle. Philippe la pilonne férocement avec des va et viens puissants et ma maîtresse en redemande. Je suis prêt à exploser dans ma cage et j’aimerais participer, même si ça serait juste pour sucer l’une des bites qui font tant de bien à ma chérie. Finalement, Arnaud jouit sur les seins et le cou de ma maîtresse, et Philippe, qui la prenait en levrette, éjacule sur son dos. Les deux quittent l’appartement en rigolant et en disant à ma maîtresse que salope comme elle est, elle devrait venir au travail le lendemain sans culotte. Une fois qu’ils sont partis, ma maîtresse me regarde pleine de satisfaction, et de sperme.

- Tu vas ce qu’il te reste à faire mon petit cocu, viens me bouffer tout le sperme que ces vrais mecs ont laissé.

[bencuck]

Ma chérie revient de chez Damien, le vendeur de Pigalle, qu’elle voit régulièrement. J’attends son retour en étant nu et à 4 pattes et ma chérie revient finalement avec un air ravi.

- Viens dans la chambre, j’ai une surprise pour toi cocu.

Elle s’allonge sur le lit et sort une capote pleine de sperme. Elle l’ouvre et s’en met sur la chatte.

- T’as faim mon cocu ? Viens bouffer du sperme, regarde comme je l’ai bien fait jouir.

Je m’approche de sa chatte pour tout avaler malgré mon dégoût et elle me raconte comment elle s’est fait baiser et a joui.

- Tu sais, quand je lui ai demandé si je pouvais garder la capote, il a un peu hésité, mais je lui ai expliqué que tu aimais être cocu et lécher le sperme de mes amants. Il a dit que la prochaine fois ça serait mieux que tu sois là, comme ça tu pourras l’avoir quand il est bien chaud, qu’est-ce que tu en penses ?
- Oui maîtresse.

J’ai accepté mon statut de cocu et même si je suis jaloux, cela m’excite terriblement de la voir se faire prendre comme une salope. Le lendemain, ma maîtresse m’a libéré de ma cage avant de recevoir Fabien. Il sonne et je suis habillé normalement, ce qui me fait même bizarre de ne plus être nu avec une cage. Ma chérie embrasse Fabien à pleine bouche et il lui touche les fesses. Je commence déjà à bander et ma chérie se met entre nous deux.

- Mettez vous à genou et faites moi voir vos bites, je vais sucer la plus grosse.

Je descends mon caleçon et devant l’humiliation, ma queue est toute mole. Celle de Fabien n’est pas en pleine érection mais elle commence à grossir et est déjà d’une taille impressionnante, je ne fais clairement pas le poids. Ma chérie me relève les testicules avec ses orteils et me met un coup de pied bien sec et bien placé qui me fait lâcher un cri.

- Bite de cocu ça. Bien, celui qui a la plus grosse peut se relever, celui qui a la plus petite reste à genou.

Je reste évidemment à genou et ma maîtresse se met à ma hauteur et commence à sucer Fabien. Elle prend sa bite le plus en bouche possible et alterne avec ses couilles, ce qui me fait déclencher une puissante érection.

- T’aimes ça être cocu. Tiens t’as qu’à m’aider, lèche lui les couilles.

J’hésite un peu mais ma maîtresse me remet un coup dans les couilles et Fabien m’ordonne d’obéir à ma maîtresse. Je lèche donc ses couilles et je suis encore plus excité par ma position de soumis. Ma maîtresse me crache ensuite au visage puis se relève pour embrasser Fabien. Je ne sais pas si je dois me relever aussi mais ma maîtresse met fin à mon hésitation.

- Suce le maintenant salope, tu en meurs d’envie, tu bandes comme un bon cocu soumis que tu es.

J’obéis et j’essaye de faire la meilleure pipe de sa vie à l’amant de ma femme. Il me repousse ensuite et dit à ma maîtresse qu’il a envie de la sauter. Elle s’allonge sur le dos, Fabien me prend par les cheveux et m’amène a quelques centimètres de la chatte de ma maîtresse.

- Tu vas pouvoir être au plus près du spectacle.

Fabien commence à pénétrer ma femme avec une vigueur impressionnante et il la lime pendant plusieurs minutes. Il ressort ensuite de sa chatte pleine de mouille.

- Suce moi un peu le cocu.

Je m’exécute avec plaisir et il me fait ensuite lécher la chatte de ma maîtresse. Il alterne ensuite ces moments de pénétration et ceux où je les lèche tous les deux puis Fabien me dit:

- Dis donc, tu bandes sacrément pour un cocu. Tu vas pouvoir pénétrer ta maîtresse.

Je le remercie du regard, cela fait tellement longtemps que je n’ai pas eu le droit de pénétrer ma femme.

- Mais je vais te guider, elle m’a dit que tu baisais comme une femelle.

J’approche mon sexe de celui de ma chérie et Fabien m’arrête en se saisissant de ma bite, qu’il frotte contre la chatte de ma maîtresse.

- Il y a quand même une condition le cocu. Si tu lui prends la chatte, je vais lui prendre le cul et le tien aussi.

Il m’enfonce ensuite ma bite dans la chatte de ma maîtresse et me fait imprimer des mouvements en me mettant un doigt dans le cul. Cela m’excite terriblement et Fabien me dit:

- Tu vas tenir combien de temps avant de jouir le cocu ? Je voudrais avoir le temps de sodomiser ta femme quand t’es encore dedans.

Fabien me met maintenant deux doigts dans le cul et imprime un rythme encore plus élevé. Je regarde ma maîtresse qui me dit:

- Affreux cocu, ça te fait bander de te faire déchirer le cul.

Sans pouvoir plus me retenir, je jouis dans la chatte de ma maîtresse dans un grand râle.

- Je crois qu’elle a déjà joui cette pute, j’ai même pas eu le temps d’enculer sa chienne, dit Fabien.

Il me fait ensuite mettre sur le dos, la tête au bord du lit et ma maîtresse vient me mettre sur moi en 69.

- Lèche bien toutes tes cochonneries salope, ordonne Fabien.

De cette position, il s’approche du cul de ma maîtresse. Elle ne m’a jamais laissé la sodomiser et elle l’avait aussi refusé à ses amants, mais elle dit:

- Vas-y bébé, prends moi par le cul, je t’en supplie.

Je continue de lécher la chatte de ma femme et j’ai une vue idéale sur la bite de Fabien qui commence à prendre le cul de ma femme. Je m’applique du mieux que je peux à lécher la chatte de ma maîtresse, qui elle est bien plus concentrée sur les assauts de Fabien. Une fois que j’ai léché tout mon sperme, Fabien se retire du cul de ma maîtresse et me met des coups de bite au visage en m’ordonnant de lécher le cul de ma maîtresse. Il reprend ensuite le limage de son cul et je lui lèche la chatte pendant ce temps la. Ma maîtresse finit par jouir et Fabien se retire de son cul.

- J’ai fait jouir une salope, maintenant je peux peut-être faire jouir l’autre du cul.

Fabien me met à 4 pattes au bout du lit et de l’autre côté ma maîtresse me fait face. Elle se caresse la chatte en me regardant et joue avec un gode.

- Demande moi de te prendre le cul, petite chienne, me dit Fabien.
- Prend moi le cul.
- Non pas comme ça, tu me vouvoies et tu m’appelles maître.
- Prenez moi le cul s’il vous plait maitre.
- Supplie moi, me dit Fabien en me mettant une claque sur le cul.
- Prenez moi s’il vous plaît maître, j’en meurs d’envie, je suis une grosse chienne qui adore se faire prendre le cul, baisez moi je vous en supplie.
- C’est mieux.

Fabien enfonce sa bite doucement mais sûrement jusqu’au fond de mon cul. Ma maîtresse m’observe attentivement, ce qui renforce mon excitation. Fabien me remet un coup de bite dans le cul puis enchaîne les va et viens. Ma maîtresse me donne ses pieds à lécher et se frotte un gode contre sa chatte. Elle jouir comme ça alors que Fabien continue à me pilonner le cul. Il se retire ensuite et retire sa capote.

- Sucez moi les deux putes.

Je me met à genou à côté de ma maîtresse et nous suçons Fabien à tour de rôle. Il dit ensuite à ma maîtresse:

- Tu vas venir sur moi, on va baiser comme ça. Je veux te prendre à nu.

Ma maîtresse me demande si cela me dérange qu’elle se fasse baiser à nu mais sans que j’ai le temps de répondre, elle met la capote de Fabien dans ma bouche, m’empêchant de répondre.

- Les rares fois où je te laisserai me baiser, tu mettras une capote chéri, donc y’a aucun risque.

Elle monte ensuite sur Fabien et retire la capote de ma bouche.

- Suce moi le cul, cocu.

J’obéis et je lui lèche son petit trou pendant qu’elle chevauche Fabien. J’en profite aussi pour lui lécher les couilles et il finit par jouir dans la chatte de ma maîtresse. Il me fait nettoyer sa bite puis la chatte de ma maîtresse, qui en profite pour me traiter de salope dégoûtante. Fabien nous quitte ensuite et ma maîtresse prend ensuite le gode ceinture pour me sodomiser avant de me remettre ma cage de cocu.

[bencuck]

Double post

[bencuck]

Nous devons rentrer aujourd’hui ensemble du travail et ma chérie vient me chercher à mon bureau. Elle porte un magnifique décolleté avec la clé de ma cage bien visible, ce qui m’excite beaucoup. Nous nous apprêtons à partir quand mon chef plutôt autoritaire fait irruption et m’appelle par mon nom de famille.

- Vous me finaliserez le dossier du client d’hier, j’en ai besoin pour demain matin première heure.

Mon chef se tourne ensuite vers ma chérie et remarque la clé.

- C’est joli cette clé, je me demande quel secret elle cache.
- Oh, rien d’impénétrable, répond ma chérie.
- J’espère qu’il n’y a pas que ça qui est impénétrable.

Mon chef touche la clé en passant son doigt entre les seins de ma copine. Je suis choqué et je ne réagis pas, il est prêt à la peloter devant moi.

- Bon chéri, on dirait que tu vas devoir rester un peu, je vais rentrer seule à la maison, me dit ma chérie.
- Je peux vous ramener en voiture, à cette heure ci ça peut être dangereux le métro pour une femme sexy comme vous, propose mon patron.
- D’accord, on aura l’occasion de discuter comme ça.
- Discuter et plus, allons-y.

Ma chérie me quitte en se pinçant les lèvres avec un regard qui me laisse deviner son excitation.

- Travaille bien co… copain, rentre pas trop tard mais pas trop tôt non plus.

Mon patron quitte le bureau et laisse passer ma chérie devant elle, en profitant pour lui mettre une main aux fesses. Je retourne à la finalisation du dossier, sans parvenir à me concentrer, étant bien trop préoccupé par ce que je peux découvrir en rentrant à l’appartement. Je me dépêche de finir et je quitte le bureau une heure après mon boss et ma chérie. En rentrant, je découvre le collier à l’entrée. Je dois donc me mettre complètement nu, avec ma cage et un plug entre les fesses et me balader à quatre pattes. Pendant que je me déshabille, j’entends ma maîtresse pousser des gémissements, je sais déjà ce qui m’attend. J’hésite à faire demi tour, cela m’excite de la voir baiser avec Thibault ou Louis, et Fabien me prend désormais régulièrement le cul en même temps que celui de ma maîtresse, mais quand c’est quelqu’un du travail comme Arnaud ou pire mon boss, l’humiliation prend le pas sur l’excitation. Mais ma maîtresse n’en a que faire.

- Cocu, si t’es rentré, viens dans la chambre.

Je pousse avec ma tête la porte et je découvre ma maîtresse sur mon boss.

- Desolé, dit mon patron, mais c’est elle qui m’a sauté dessus. Vous avez beaucoup de chance, vous avez une salope d’enfer, elle a la chatte toute mouillée.
- Il faut bien que d’autres mecs me fassent jouir avec leur queue, vu que mon mec en est incapable.
- Vous avez fini le dossier ? Apportez le moi.

Je retourne dans le salon et je me console en disant que ma maîtresse n’a pas enlevé son soutien gorge et qu’elle garde une part d’intimité même si sa chatte est grande ouverte. Je retourne dans la chambre avec le dossier pour découvrir que mon boss a retiré le soutien gorge de ma chérie et lui bouffe désormais les seins. Complètement humilié, je lui tend le dossier. Il soulève ensuite ma chérie et lui dit:

- Suce moi pendant que je lis ça.

Elle s’exécute avec plaisir et je vois mon boss relire mon travail tout en se faisant sucer par ma chérie.

- C’est vraiment baclé, on comprend rien à la dernière partie, retravaillez moi ça. Je vais faire du bien à votre femme pendant ce temps là.

Je le remercie, je n’avais pas envie de le voir baiser ma chérie. Je retourne dans le salon et j’essaye de me concentrer malgré les cris de jouissance de ma maîtresse qui ne faisait aucun effort pour être discrète. J’ai fini mon travail mais je reste dans le salon en attendant qu’ils aient fini et après une heure de sexe bruyant, mon boss quitte enfin l’appartement en me disant un dernier mot:

- J’ai dit à votre femme de venir sans sous-vêtements demain au travail, je vais peut-être la nommer assistante, je pourrai la baiser à loisir comme ça, c’est une sacrée chaudasse.

[bencuck]

Aujourd’hui, nous réalisons le fantasme de ma chérie, se faire baiser dans une cave, par plusieurs blacks. Nous nous rendons dans une cité et un grand black d’1m90 nous amène à une cave.

- Déshabille toi, ordonne t’il à ma chérie.

Ma maîtresse est très dominante avec moi, mais je la découvre très soumise avec certains mecs, ce qui renforce mon humiliation. Elle est nue, et se met à genou sous ordres du mec, qui commence à l’examiner. Il lui pince très fort les tétons, ce qui l’a fait couiner.

- Fais toi une queue de cheval pour que ça gêne pas quand tu vas te faire baiser. T’aimes ça les queues de cheval de toute façon ?
- Oh oui.
- Oui maître. Les autres mecs qui vont te baiser, t’as pas à les appeler maître, mais moi oui. Suce mes doigts.

Ma chérie s’exécute avec plaisir et suce les doigts en prenant un air de petite salope soumise. Le black lui doigte ensuite la chatte en lui caressant les seins. En quelques minutes, ma maîtresse a déjà un orgasme et jouit comme une femme fontaine.

- Et lui, il est venu pour regarder ? Demande le mec à ma maîtresse en parlant de moi.
- Oui, c’est une bonne salope, il dira rien.
- Il a plutôt intérêt à fermer sa gueule. Il va se faire baiser aussi ?
- Si il peut oui, il adore ça. J’en ai fait une très bonne suceuse aussi.
- Ça va intéresser des potes ouais. Met toi à poil cocu.

Je me met nu, et ma maîtresse m’a retiré ma cage. Elle aime me garder enfermé mais m’offre aussi des moments sans la cage, elle adore se moquer de moi lorsque je me met à bander quand je suis traité comme une salope ou qu’elle me fait cocu devant moi. Encore une fois, je bande devant ma maîtresse nue et soumise à ce mec.

- Il a vraiment une petite bite, ça m’étonne pas qu’il soit cocu. Viens ici cocu, crache dans le cul de ma salope. Écarte bien ton cul salope, ajoute t’il à ma maîtresse en lui claquant les fesses.

Ma maîtresse écarte son cul au maximum et je m’approche pour cracher dedans, mais après 3 essais, le mec me reproche mon absence de salive. Il demande à ma maîtresse de lui faire une fellation et elle obéit avec toujours un regard de salope, mais cette fois plus déchaînée que soumise. Elle adore ce qu’elle fait, mais le mec l’arrête et lui demande d’écarter à nouveau ses fesses. Il introduit juste son prépuce dans l’anus de ma maîtresse et dit:

- C’est pas parfaitement ouvert mais ça devrait être bon pour mes potes. Il y a des très grosses bites dans le coin, mais on va commencer en douceur avant de te faire hurler.

Un rebeu fait ensuite irruption dans la cave et baisse son pantalon. Il est circoncis et s’approche de moi. Il pose sa main sur son épaule et me fait mettre à genou. Je pense qu’il veut que je le suce, je me suis découvert un côté bi et j’adore sucer une grosse bite qui s’apprête ou vient de pénétrer ma maîtresse. Mais de l’urine s’échappe de la bite du mec et il me pisse carrément au visage. Je n’avais jamais pensé faire ça, mais je suis excité par la situation et il est très humiliant de se faire pisser dessus devant ma maîtresse. Toujours sans rien dire, le rebeu me met sa bite dans la bouche et j’ai le goût de pisse dans la bouche. Je le sens peu à peu bander et une fois qu’il est bien dur, il se retire de ma bouche et me met à 4 pattes. Il tente de m’enculer mais je ne mouille pas assez pour être convenablement pénétré.

- Attends un peu, dit le black, quand on va commencer à baiser sa chienne de femme, il va se mettre à jouir comme une pucelle. Regarde le déjà comment il bande avec sa petite bite. On va vous mettre des masques sur les yeux les deux salopes, comme ça nos potes auront pas besoin de se cacher.

Ma maîtresse s’approche à genou de moi et m’embrasse à pleine bouche.

- Amuse toi bien mon cocu, ça va être incroyable.

Les deux mecs nous bandent les yeux puis je sens plus de monde entrer. Je suis à genou et une bite assez petite vient s’introduire dans ma bouche. Je la suce du mieux que je peux, m’efforçant d’être une bonne salope pour ma divine maîtresse. Je l’entends également sucer et des mecs la traient de chienne. Je ne sais pas combien il y a des personnes dans la cave, mais on me met à 4 pattes, plusieurs bites se bousculent vers mon visage et on commence à me pénétrer. Je suis très excité et je me fais facilement enculer, pourtant je sens que la bite est plus grosse que celle de Fabien qui a déjà un très beau calibre. Je sais que ma maîtresse se fait autant baiser voir plus et je l’entends hurler de plaisir. Les premières ejaculations arrivent et je me fais jouir au visage, les mecs me demandant d’ouvrir la bouche. Je suis content d’avoir un masque sur les yeux même s’il m’empêche de voir ma maîtresse prendre du plaisir à être maltraitée, j’ai du sperme partout, dans la bouche, sur le nez, partout sur le visage et sur le torse. Certains m’étalent du sperme sur le visage avec leur bite et je bande comme un fou, surtout que j’entends ma chérie recevoir le même traitement et en redemander.

- Elle est pleine de sperme la salope, il est où le cocu ?

La bite qui m’enculait se retire d’un coup et ma bouche est libérée également. On me traîne par les cheveux et je pose les mains sur ma copine, qui me guide avec sa voix.

- Cocu, viens voir ta maîtresse qui se fait baiser divinement par tout un tas de mecs.

Je la retrouve avec mes bras et elle me guide vers son visage en me demandant de la nettoyer. Elle a encore plus de sperme et je passe un bon moment à tout avaler. Je devrais être dégoûté mais mon erection montre que je suis surtout excité. Je l’emballe et lui lèche le visage et le cou, puis je descends vers ses seins. J’ai toujours les yeux bandés, mais je sens qu’elle a mis un collier avec sa clé, même si je ne suis pas encagé elle la garde avec elle.

- Vas-y cocu, lèche bien le sperme sur la clé.

J’obéis et je sens qu’il y a un anneau à côté de la clé. Je devine qu’elle m’a acheté une nouvelle cage, plus petite. Cela fait des jours qu’elle dit que ma bite est encore plus petite qu’avant et que je flotte dans ma cage. Ma maîtresse dit qu’il faudra y remédier avec une mini cage et je devine que c’est pour aujourd’hui, après l’orgie. En attendant, je lui nettoie les épaules, les bras et le ventre de tout le sperme. On me fait ensuite allonger sur le dos et ma maîtresse vient s’écraser sur mon visage. Je découvre que des mecs ont joui dans la chatte de ma femme, et sûrement plusieurs mecs vu la quantité de sperme qui en sort. Du sperme sort aussi de son cul et vient couler sur mon front. Je lèche ensuite son petit trou en aspirant bien pour récolter tout le sperme.

- C’est bon, je suis propre, dit ma maîtresse. Merci cocu, je vais pouvoir continuer à me faire baiser, tu m’as bien entendu jouir ?
- Oui maîtresse.
- Toi tu n’as pas joui encore, tu voudras passer après toutes ses bites et me baiser la chatte ?
- Oui maîtresse.
- Tu veux leur montrer à tous ses vrais mecs que tu peux me baiser et me satisfaire ?
- Oh oui.

Ma maîtresse me branle pendant ce temps là avec seulement son pouce et son index.

- Tu crois que je vais arriver à sentir ta bite dans ma chatte ? Elle est toute ouverte, tu vas même pas sentir les bords, mais tu vas me faire plaisir et me montrer que t’es pas qu’un cocu qui lèche le sperme des autres et le tien, tu peux aussi me baiser quand j’en ai envie.

Ma maîtresse continue de me branler, je ne tiens plus et je jouis dans sa main, en encaissant les moqueries des mecs présents et le serrage de couilles de ma maîtresse.

- T’es vraiment bon qu’à être cocu.

Ma maîtresse essuie ensuite sa main et sur son avant bras sur mon visage.

- Mais dis donc, toi aussi t’es pleine de sperme, t’es toute collante ma salope. On va se refaire baiser, on va voir qui fait jouir le plus de mecs.

On me remet à genou avec plusieurs bites à sucer, mais ayant déjà joui, je suis moins excité. Je me fait ensuite sodomiser et la douleur est grande, je n’ai jamais pris une bite aussi grande dans le cul. Je me fais violemment enculé et mes cris sont couverts par ceux de ma maîtresse, qui enchaînent les orgasmes. Les mecs jouissent à nouveau partout sur mon corps et celui de ma maîtresse. Ils partent les uns après les autres et j’entends ensuite le black dire à ma maîtresse.

- On a fini avec toi salope, il en reste plus qu’un avec ton cocu, tu peux retirer le bandage pour voir ton cocu se faire enculer.

J’ai pour ma part toujours les yeux bandés et je subis les assauts du mec à une endurance folle. Il finit par jouir et c’est à ce moment là que je m’aperçois qu’il n’a pas de préservatif. Il se décharge pleinement dans mon cul et je me sens très sale à ce moment là. C’est lui qui me retire le bandeau des yeux, je suis d’abord aveuglé par la lumière et je vois le black du début de dos, complètement nu. Je devine que ma maîtresse est en train de le sucer et il me laisse finalement la voir. Ma maîtresse est encore recouverte de sperme, elle en a sur les seins, le menton, le nez et les cheveux.

- Viens me lécher le cocu.

Je m’approche pour la nettoyer et je commence par lécher ses seins. Je m’aperçois ensuite que je me suis complètement trompé concernant la mini cage. Il y a en fait deux alliances accrochées à la clé. Je m’arrête de lécher et ma maîtresse me regarde avec un grand sourire.

- Après ça je sais que je trouverai jamais une salope dans ton genre, qui acceptera que je me fasse baiser par autant de mecs. Je veux t’épouser, tu vas être mon mari cocu jusqu’à la fin de tes jours. Tu veux être mon mari cocu soumis ?
- Oui maîtresse, je veux être votre cocu de mari.
- Je me ferai baiser autant de fois qu’il me plaira, avec autant de mecs qu’il me plaira.
- Bien sûr maîtresse
- Et toi tu n’auras accès à ma chatte que quand elle sera pleine de sperme, et seulement si je t’y autorise.
- Oui maîtresse
- Je te prêterais à des maîtres dominateurs ou des maîtresses, ton éducation de femelle est pas encore fini.
- Merci maîtresse.
- Lèche la clé et les alliances maintenant petit cocu de mari, elles sont pleines de sperme.

J’exécute et je commence à bander furieusement. Ma maîtresse est accroupie et sa chatte dégouline de sperme. Apres avoir nettoyé le reste de son corps, elle me fait mettre sur le dos. Je peux la voir sucer à pleine bouche son amant alors que je lui nettoie la chatte. Une fois que j’ai fini mon travail, elle me fait mettre à genou. Elle s’applique à sucer son amant mais elle me branle d’une main sans me prêter attention si ce n’est pour dire:

- On va voir qui est le premier à jouir, si c’est le mâle black alpha ou le petit cocu de mari.

Je jouis évidement en premier et ma maîtresse me fait lécher ses doigts. Le black finit par ejaculer dans la bouche de ma maîtresse, qui partage ensuite tout le sperme avec moi dans un tendre baiser.

[aside]

Textes très jouissif, le rêve pour un cocu soumis.
Pour continuer dans cette lancée, il faudrait le faire cocu et le soumettre à des membres de sa famille( parents, frères,....) pour l'humilier encore plus.

[bencuck]

Nous sommes dans les derniers préparatifs du mariage et je m’occupe de beaucoup de choses, ma future femme étant trop occupée avec ses amants. Elle s’est beaucoup envoyé en l’air ces derniers temps et elle m’associe parfois à ses sauteries, soit en regardant simplement, soit en suçant ses amants ou me faisant sodomiser, ce que j’ai appris à adorer. Je ne l’ai plus prise depuis longtemps, mais j’ai obtenu d’être libéré de ma cage, je veux pouvoir lui faire l’amour la nuit de noces avant d’accepter mon statut de mari cocu. En attendant, elle fait son enterrement de vie de jeune fille dans un bar. Une de ses amies m’envoie une vidéo où on voit ma future femme branler le strip-teaseur avant de prendre sa bite en bouche. Ma maîtresse m’envoie ensuite un message en disant qu’elle s’est fait prendre pendant 20 minutes dans les toilettes et que toutes ses amies savent maintenant que je suis cocu. La mère de ma maîtresse le sait aussi et est d’accord avec la décision de sa fille si je suis incapable de la satisfaire, rajoutant grandement à mon humiliation. Des potes à moi le savent aussi, ma maîtresse ayant fait de quelques uns d’entre eux ses amants, même si elle est restée à ma demande à distance de mes meilleurs amis. Après la soirée, elle a ramené deux capotes pleine de sperme, et après avoir constaté que cela me faisait bien bander, elle a étalé le sperme sur corps et m’a demandé de lécher.

- Tu sais cocu, tu vas avoir aussi ton enterrement de vie de jeune garçon. On fera ça la veille du mariage, je serai présente et on va voir si tu connais bien ta femme.

La veille du mariage, nous sommes a l’appartement et ma maîtresse me met nu et me bande les yeux. Elle me demande d’attendre dans la chambre et arrive quelques temps plus tard, visiblement accompagnée.

- Tu sais cocu, j’ai demandé à mes amants de venir me baiser aujourd’hui, après je serai une femme mariée, ce ne sera plus correct de le faire, sauf si tu reconnais ton incapacité à me satisfaire. En attendant, ils vont me baiser et comme tu as léché le foutre de la plupart d’entre eux, tu vas le refaire aujourd’hui et tu devras deviner les yeux bandés quel amant venait de me baiser. Pour chaque erreur, tu seras puni d’un mois en cage.

J’entends ensuite qu’elle commence à sucer l’inconnu en faisant des commentaires sur la grosseur de sa bite, puis elle lui demande de la prendre en levrette. Elle s’est fait baiser pendant une dizaine de minutes puis l’homme jouit et s’en va sans dire un mot. Une fois parti, ma maîtresse me tend la capote devant les yeux et me demande de la sucer tout en la regardant dans les yeux. Je m’applique à être une bonne salope comme elle aime, puis elle verse le contenu de la capote sur sa chatte et me demande de tout lécher.

- Alors cocu, c’était qui à ton avis ? Un indice, c’était la première fois qu’il me prenait et j’ai vraiment aimé ça, il me rebaisera devant toi. Allez, devine, où ça sera déjà un mois de cage.

J’en ai aucune idée mais elle m’oblige à faire des suppositions. Je balance le nom d’un collègue, puis celui de mon cousin, et elle semble intéressée par ces suppositions.

- Avec ton cousin ? Ça te ferait bander que je baise avec ton cousin ? Montre voir ta queue. Mais oui ça t’excite, tu bandes bien petite salope de cocu. Mais non ce n’est pas ça, essaye encore.
- Le frère de ton amie Suzanne ?
- Mon pauvre petit mari chéri, ça fait bien longtemps que je te fais cocu avec lui. De toute façon, c’est déjà perdu, tu auras un mois de cage. C’était Jeremy qui venait de me baiser.
- Jeremy ?
- Oui c’est ça, Jeremy, ton meilleur ami. C’est marrant tu ne trouve pas, demain il va signer l’acte de mariage comme témoin et aujourd’hui il était en train de me labourer la chatte. Il va me rebaiser devant toi bientôt, je veux que tu vois à quel point je le fait bander dur le coquin. Allez remet ton masque de cocu, je vais appeler mon prochain amant.

Je remets mon masque et cette fois ma maîtresse me fait sucer l’amant avant qu’il ne la pénètre. Je reconnais Fabien, que j’ai souvent sucé avant ou après qu’il ne me baise ma femme.

- C’est Fabien, dis-je pour peut-être éviter qu’il ne la prenne.
- Je t’ai rien demandé affreuse suceuse, s’énerve ma femme. Mais oui c’est ça, retire ton masque alors si ça te fait bander de nous voir baiser.

Je m’exécute et je vois Fabien se jeter déjà sur ma femme et lui envoyer des coups de reins. Il finit par retirer sa capote et jouit sur les seins et le visage de ma femme. Je nettoie la bite de Fabien puis les seins et le visage de ma maîtresse.

- Remercie Fabien de s’être occupé de moi.
- Merci de vous être occupé de ma maîtresse.
- « De ma femme », je suis ta femme maintenant, mon petit cocu de mari. Et précise ce que tu entends par s’occuper de moi.
- Merci d’avoir bien baiser ma femme.
- C’est mieux, ma petite salope. Et remercie moi de t’avoir montrer ta place de cocu.
- Merci maîtresse de me faire cocu.
- C’est bien cocu, allez remet ton masque et ton collier et met toi à genou à l’entrée, c’est toi qui va accueillir mon prochain amant.

J’attends une dizaine de minutes dans l’entrée et je respecte la consigne de ma maîtresse, ayant trop peur des conséquences en cas de manque. Quelqu’un entre dans l’appartement et me tire par la laisse.

- On y va, cocu.

L’homme me promène à 4 pattes jusqu’à la chambre et dit:

- Comment va ma petite salope assoiffée de sexe ?
- Pleine de sperme, mais je suis encore loin d’être rassasiée.

Mes doutes se confirment, c’est bien mon patron qui me tient par la laisse et s’apprête à baiser ma femme. Ne tenant pas à le voir de mes yeux, je ne dis rien quand il m’attache à la chaise.

- Tu bouges pas le cocu.

Il commence ensuite à pénétrer ma femme, qui hurle de plaisir. Lui aussi ne se gêne pas et insulte ma maîtresse de cochonne puis dit

- Attends, on va changer de position. Viens sur moi, je veux voir tes seins se secouer devant moi.
- Oh oui je vais te chevaucher comme une folle. Cocu, tu ne sais toujours pas qui est en train de me baiser ?
- Si…
- Bah alors, pourquoi tu fais ta timide ? C’est qui ?
- …
- Attention cocu, si tu ne trouves pas tout de suite, tu auras un mois de cage en plus.
- C’est mon boss…
- Bravo petit cocu, tu peux retirer ton masque.

Je le retire et je découvre mon patron debout, la queue en erection et encapotée.

- Tu sais cocu, continue ma maîtresse. Ton boss ne sera pas au mariage, et il s’est fait une vasectomie, il mérite bien une petite récompense tu crois pas ?
- Je ne sais pas maîtresse…
- Si si, sois un bon cocu et retire lui la capote, il va me prendre à nue.

Je m’exécute et retire la capote avec un certain dégoût, renforcé par le regard jubilatoire de mon boss.

- T’as qu’à le sucer un peu si ça t’excite.

Ma maîtresse se saisit de ma queue avec seulement son pouce et son index.

- Tu connais la règle, si tu bandes, tu suces. Allez, vas-y cochonne.

J’obéis une nouvelle fois et je peine à réaliser que je suis en train de sucer mon boss devant ma femme. Je fais quelques va et viens avec ma bouche mais ma fellation ne semble pas au goût de mon boss.

- Aussi efficace pour baiser que pour sucer celui la.

Il s’allonge ensuite sur le lit et ordonne ma femme de venir s’empaler sur sa queue. Ma femme est déchaînée et mon boss caresse ses seins en même temps qu’il l’insulte de salope. Ma maîtresse m’ordonne de lui lécher le trou du cul en mettant bien ma langue au fond et d’alterner en léchant les couilles de mon chef. Sans même me toucher, j’ai un orgasme et ma maîtresse se moque de moi, récoltant le sperme sur ses doigts pour me l’enfoncer dans la bouche. Ils reprennent leur baise sauvage et finissent par jouir en même temps. Ma maîtresse me demande ensuite de me mettre par terre sur le dos, ne souhaitant pas que je souille le lit. Elle vient poser sa chatte sur mon visage et je lèche tout le sperme.

- C’est bien, tu es un parfait petit cocu de mari, j’ai hâte de retrouver au travail pour raconter tout ça à mes collègues.

Je reprend une nouvelle fois mon masque et je reste à genou dans la chambre, me demandant combien d’amants vont encore lui passer dessus. Mon érection est retombée et je suis moins excité quand un nouvel amant pillonne ma maîtresse, lui faisant pousser des cris intenses de plaisir. Lui est très discret et je sais qu’il a joui seulement parce que ma maîtresse dit qu’il l’a bien rempli. Ma maîtresse m’appelle pour venir la nettoyer, sa chatte est pleine de mouille, mais je ne sens pas de sperme.

- Si tu ne trouves rien ici, essaye un peu plus bas.

Je me dirige ensuite vers son cul, que je découvre plein de sperme. Je lèche tout, aspirant les dernières gouttes sous les encouragements de ma maîtresse.

- Alors, qui m’a remplit le cul de sperme ?
- Thibault ?
- Pas du tout, encore un mois de plus encagé ! T’as qu’à découvrir par toi même qui c’était, il est encore là.

Je retire mon masque pour découvrir que c’est un pote du foot, plus un coéquipier qu’un pote d’ailleurs.

- Elle est sacrément bonne ta femme, je te souhaite d’être heureux dans ton mariage et bien cocu, j’espère qu’on se reverra souvent.

Avec ses orteils, ma femme tapote mes couilles pour me faire constater mon erection, et elle pousse ma tête vers sa bite, m’invitant à le sucer. Je suce la bite qui vient de sodomiser ma femme et la bite reprend de la vigueur. Il me force a le sucer jusqu’à une nouvelle ejaculation et se répand complètement dans ma bouche. J’échange ensuite un baiser langoureux avec ma femme et le jeu des amants reprends. Ma maîtresse étale le sperme partout sur son corps, sur ses pieds, ses mollets, ses cuisses, sa chatte et son cul, son bas ventre, ses seins, ses bras, son cou, son menton, sa bouche et tout son visage. Les amants défilent et je devine rarement de qui il s’agit. J’écope au final de sept mois en cage.

- Je suis épuisée et nous avons une longue journée demain. Il reste un amant, mais il va te prendre le cul avant.

J’imagine déjà de qui il s’agit et mes doutes sont confirmés lorsqu’il enfile sa queue entre mes fesses. Il s’agit de Souley, le black qui a organisé le gang bang dans une cave. Je suis régulièrement sodomisé et j’ai des plugs de plus en plus gros dans le cul, mais il a une bite impressionante et en plus est très endurant. Il me ramone pendant un bon moment puis ma maîtresse me dit:

- Tu sais qui c’est ?
- Souley
- Bravo mon cocu ! On restera à 7 mois en cage, c’est pas mal. Retire ton masque pour voir Souley me baiser comme une jeune mariée le mérite.

Je retire mon masque et Souley saute sur ma femme. Il retire sa capote et je m’aperçois que ma femme a dépassé toutes les limites fixées au début du jeu. Souley est très endurant et imprime de grands vas et viens. Ma femme jouit plusieurs fois avant que Souley ne se décharge complètement dans sa chatte. Il nous laisse tous les deux en nous souhaitant un bon mariage plein de plaisir. Je m’approche de la chatte de ma maîtresse pour la nettoyer, mais elle pose son pied sur tout mon visage.

- Montre moi ta bite. Oui mon cocu, tu bandes bien fort. Viens prendre une dernière fois ta fiancée avant que je devienne ta femme. Je veux que tu sentes toutes les bites qui me sont passées dessus aujourd’hui et que ta bite se noie dans le sperme de Souley, il m’a inondé la chatte.

Je suis très excité et je rentre directement dans sa chatte, aidé par le sperme lubrifiant de son amant.

- Vas-y tu peux rentrer, n’aie pas peur.
- Je suis déjà dedans chérie.
- Ah oui ? Je ne te sens pas. Vas-y baise moi bien, je veux te sentir en moi.

J’imprime des vas et viens plus prononcés et j’essaye d’aller jusqu’au bout de sa chatte. Je n’ai pas un gros sexe mais je bande très fort et ça suffisait auparavant à lui faire du bien.

- T’es à l’entrée la encore ? Vas tout au fond.
- Je suis au max chérie.
- Je te sens pas. Tu sens les parois de ma chatte toi ?
- Un peu…

J’essaye de la pénétrer très fort mais elle ne semble absolument rien ressentir et devant son manque d’engouement, je finis par perdre complètement mon erection, sortant même involontairement de sa chatte.

- Tu connais la règle soumis, si tu débandes pendant que tu me prends, c’est directement la cage. Va te laver ta nouille et met toi la cage toi-même, je suis remplie du sperme de Souley.

J’obéis péniblement et je reviens ensuite vers le lit, où ma maîtresse m’ordonne de la nettoyer jusqu’à la faire jouir. Je lui offre un bel orgasme avec ma langue de cocu et elle me dit:

- Ca va être une belle journée demain, on sera mari et femme pour toujours, petit cocu soumis.




J’ai passé mon mariage encagé, excité et humilié. Ma femme a hésité au moment de jurer fidélité avant de balancer un « je le jure » peu convaincant. Lors de son discours, elle a fait plusieurs allusions à mon cocufiage et certains ont bien compris. Il faut dire qu’il y a quasiment une dizaine d’hommes présents au mariage qui ont déjà couché avec ma femme. Ma femme fait ensuite le jeu de la jarretière, qu’elle a pris plaisir à mettre bien haut sur sa cuisse. Les hommes font vite grimper les enchères et c’est finalement Thibault qui remporte la jarretière, qu’il vient retirer avec ses dents. Plus tard, alors que je me demandais où était passée mon épouse, elle vient finalement me retrouver à la table des mariés. Sans rien dire, elle m’embrasse à pleine bouche et verse au fond de ma bouche une grande quantité de sperme. Je n’ai d’autres choix que de tout avaler devant son regard jubilatoire.

- Ça partage tout un mari et une femme ! Je suis tellement excitée, tu auras peut-être d’autres cadeaux au cours de la soirée. Et si tu es sage, je te libérerai de la cage cette nuit pour que tu honores ta femme.

Ma femme a répéter ce jeu trois fois au cours du mariage, refusant à chaque foi de me dire qui elle venait de sucer jusqu’à éjaculation, me laissant seul avec mes interrogations. Vers 5 heures du matin, c’est le départ des mariés et nous rejoignons une chambre du château que nous avons réservé. Elle me fait me mettre nu, m’ordonnant de garder seulement mon noeud papillon. Elle me fait ensuite retirer ses collants, et elle les met autour de mon noeud papillon pour en faire une laisse et me balader dans la chambre, en me traitant de bon petit cocu de mari.

- Fais moi un bon cunni pour commencer, petit cocu.

Ma maitresse pose ses mains sur le mur et se cambre légèrement. Je me met sous sa robe à genoux et je commence à la lécher, constatant qu’elle est pleine de mouille. Je la lèche un bon moment, puis quelqu’un frappe à la porte et ma femme demande à la personne d’entrer.

- Tiens, tu as oublié ça !
- Ah oui, mon alliance, ça commence déjà !

Ma femme avait retiré son alliance de son doigt pour la mettre à son collier avec ma clé pendant le mariage et quand quelqu’un lui posait des questions sur la clé, elle ne s’embarrassait pas avec un mensonge et disait que j’étais son mari soumis et que je portais une cage de chasteté.

- Remet le collier à mon cou stp, bien entre les deux seins.
- C’est toi la mariée.

Je reconnais la voix de Christophe, l’un de mes potes blacks pour qui ma maitresse a déjà fantasmé. J’ai peur pour la suite de la soirée, surtout quand ma maîtresse dit:

- Oh oui, comme ça, caressez moi bien les seins.

J’entends ensuite la voix de Jack, un autre de mes potes blacks et j’entends que les deux commencent à embrasser et caresser ma femme. J’interromps mon cunni et ma femme m’appuie sur la tête pour me demander de continuer. Je sens ensuite une autre main qui vient involontairement me heurter la tête.

- C’est quoi ça ?
- Allez petit cocu, c’est le moment de sortir de ta cachette.

Je sors à 4 pattes de la robe de ma maîtresse et je croise le regard de mes potes, qui n’étaient visiblement pas au courant.

- J’ai épousé une petite salope, incapable de me baiser correctement. Elle adore me regarder en train de m’envoyer des vraies queues. Chéri, tu vas voir ces deux mecs s’occuper de mes 3 trous. Quoi que c’est dommage d’avoir un trou de libre, je vais peut-être pouvoir te sucer pendant que tes deux potes me ramonent la chatte et le cul.
- Oh oui !
- Oui qui ?
- Oui maîtresse.

J’oublie la honte d’être ainsi devant mes potes et je rêve que ma femme me suce, meme si elle va partager sa nuit de noce avec d’autres. Elle s’allonge sur le lit et me demande de venir à genou près de sa tête.

- Par contre, hors de question que je te retire ta cage, je vais te sucer comme ça.

Pendant que Christophe et Jack commencent à caresser les deux trous de ma femme, elle met ma bite encagée dans toute sa bouche et je ne sens évidemment rien.

- Ca me gêne qu’il soit la, je vais pas arriver a te sauter devant lui, dit Christophe.
- T’entends cocu ! dit ma femme en retirant ma cage de sa bouche. Casse toi de la, tu vas pas ruiner ma séance de baise le jour de mon mariage. Tu vas aller dans la chambre d’à côté, elle est libre, comme ça tu pourras m’entendre m’envoyer en l’air comme je le mérite.

Je commence à me rhabiller et ma femme me dit:

- Redescends à la salle, Jeremy doit être encore là. Dis lui que ta femme a envie de sa grosse queue, comme ça j’aurais 3 queues pour mes 3 trous. Et après je veux que tu laisses tes chaussures devant la porte de ta chambre, comme ça tout le monde saura que tu es cocu, je compte faire plein de bruit et jouir plein de fois. Bonne nuit petit cocu de mari, je t’aime.

Cette nuit la, elle s’est envoyé en l’air avec mes trois potes jusqu’au petit matin. J’ai encore été de nombreuses fois cocu, puis pour plusieurs raisons nous avons décidé de divorcer après trois ans de mariage et nous nous sommes plus revus.

Fin

[karim6123]

j adore tes récit
j espère que tu en a encore en réserve

[mercurenature]

Cela a dû être incroyable lorsque tu as vu ta maîtresse sucer Thibault pour la première fois lors du jeu action ou vérité.