- 09 mars 2023, 19:22
#2696572
M’étant réveillé tard, le lit était vide, Victoire n’est pas là. Les enfants jouaient dans leur chambre, seuls. Par la porte laissée légèrement entr’ouverte j’entendis qu’elle était conversation avec P... Tout en frappant j’ai poussé le battant, elle était là en petite nuisette, allongée sur le lit, laissant plus que deviner sa nudité. Sans la moindre gêne, pivotant sur elle-même, elle se leva en dévoilant le haut de ses cuisses et la moitié de ses fesses, et sortit.. « Je vais prendre une douche, tu viens me savonner ? ». Pensant que cette invite s’adressait à moi à tout, je l’y ai accompagnée. Elle en rit encore : elle avoua que ce n’était pas moi qu’elle voulait avoir avec elle sous la douche, mais lui bien sûr ! «Idiot, tu as été le plus rapide, malheureusement ! » Après avoir pris le petit déj, la petite n’ayant plus de fièvre, Victoire déclara vouloir retourner à l’étang et y passer la matinée. Elle confia les deux petits à leurs grands-parents pour la journée, et nous voilà en selle sur les deux trials. Cheveux au vent Victoire rayonnait (les casques n’étaient pas encore obligatoire), agrippée à son pilote et amant. On roula lentement dans les bois, l’air est encore frais mais la chaleur arrive. Voilà l’étang et son ilot ; les lieux étaient déserts, je n’y ai jamais rencontré personne. La baignade était tentante mais il faisait encore frais. Allongés sur le ponton nous jouissions de la chaleur du soleil. Victoire s’installa entre mes jambes en se servant de mon torse comme dossier. P.. alluma un joint qu’il partagea avec nous. On parla de pêche et de poissons, mais je sentais que ce n’est qu’un prétexte. Soudain P.. se leva et déclara qu’il allait au jus. Pas de maillots. P.. se déshabilla déjà et queue fièrement dressée, marcha sur le ponton, descendant dans l’eau. Victoire clama « moi aussi j’y vais » .. elle retira son tee shirt, découvrant ses seins, dégrafa sa jupe et se retrouva en petite culotte. En pensant à sa fente épilée, je lui dis mezzo voce : « gardes ta petite culotte, ça me gêne qu’il te voit épilée» « Non mais, t’es ridicule ! Ça fait un an qu’on baise ensemble, tu penses s’il connaît mon anatomie.. ! Et j’ai pas envie de remettre un slip mouillé ». Elle la retira et plus nue que nue, alla le rejoindre au bout du ponton en se dandinant des fesses. Je la trouvais très belle, et je réalisai subitement que ça m’excitait beaucoup qu’elle se montre à lui, impudique. .. Il l’attendait dans l’eau ; Victoire s’accroupit puis se laisse glisser face à lui. Il la saisit par la taille et la prit dans ses bras; elle lui entoura le corps de ses cuisses avant de la laisser glisser dans l’eau. L’idée de la queue raidie de P.. comprimant le bas-ventre de ma chérie me fit fantasmer.. Victoire nageait une brasse vigoureuse, suivie de près par son amant. En tendant le bras il lui agaçait de la main l’entre-jambe. Elle se mit à protester en poussant des cris : « Arrête, je vais couler si tu continues » J’hésitais à me mettre à l’eau à mon tour, je ne voulais pas venir troubler ce jeu amoureux qui s’amorçait et m’excitait fort. Ils ont nagés jusqu’à l’ilot qu’ils devaient contourner pour revenir, mais je ne les vis pas réapparaître ; « ils font probablement une pose à l’abri des regards » pensais-je. Pour en avoir le cœur net je me mis à l’eau et nageai dans une autre direction mais qui me permettrait de voir de loin ce qu’ils faisaient. L’eau était délicieuse et j’en profitais pour nager sur le dos, lorsque je les aperçus… Victoire appuyait les deux mains à la berge pendant que P.. la pénètrait en la tenant par les hanches… mais je n’étais pas le seul à les mater : j’aperçus sur la rive opposée un homme qui ne perdait rien de la scène, d’autant moins qu’il les regardait avec une paire de jumelles ! Il les braqua sur moi quelques instants et j’en profitai pour lui faire signe en levant le pouce ; il me répondit pareil, par complicité. Ayant vu ce que je voulais voir, je revins vers le ponton pour me préparer à accueillir Victoire. L’eau fraîche avait réduit mon sexe à son minimum ce qui me désola. Pour ne pas risquer une comparaison que je savais être en ma défaveur depuis la scène de la piscine, j’enfilai mes jeans. Assis au bout du ponton je perçus deux petits cris. C’était elle j’en suis sûr. J’attendis quelques minute, les appelant, la réponse fuse : « oui oui on arrive ! » Tu nageais sur le dos et la vue de tes deux seins dépassant à la surface de l’eau comme deux mines magnétiques m’excita. P.. te faisait avancer en te poussant les pieds, avec une vue imprenable sur ton entrejambe.. .
N’ayant que mon Tee-shirt en guise de serviette je m’en servis pour t’essuyer le dos, les cuisses, le ventre et en profitai pour introduire, comme par accident, deux doigts dans sa fente – « Mais diiiis, t’as pas fini non ? »- : elle était ouverte, mouillée, et ça glissait ! « S’est-il passé quelque chose là-bas derrière l’île ? ». Elle me regarda par dessous en me disant « Non ! tu crois ? » P..se rhabilla de son côté ; mais comment faisait-il, malgré l’eau froide, pour que sa queue resta si imposante ? Il est circoncis comme moi mais son gland rouge-violacé me paraissait hors norme ; heureusement je n’avais pas eu à souffrir de comparaison. Retour à la maison. Sieste l’après-midi ; j’étais dans la chambre et t’attendais, j’avais envie de toi. P.. était couché dans le gazon dans le jardin. De la fenêtre je la voyais le rejoindre et s’allonger près de lui. Il la faisait rire en la taquinant. Victoire se passait de moi quand il était là, je n’existais pas. D’humeur contrariée teintée de jalousie, je préfèrai partir plutôt que de les espionner : j’allai faire un tour à moto en forêt pour trouver des champignons. Personne ne demanda où je allais et je ne dis rien. Le temps chaud était à l’orage. Des nuages arrivaient : c’est sûr que ce serait pour ce soir. Je revins avec quelques champis. Elle dessinait avec la gamine, le garçon roulait à vélo sur le tennis, et P.. lisait sur la terrasse. « Où étais-tu ? » me demande-t-elle. Je répondis vaguement en bredouillant. « Tu es de mauvaise humeur ? ». Non, j’étais dans un trip mi-jaloux, mi-excité, je ne m’expliquais pas bien ce que je ressentais, mais il y avait beaucoup d’érotisme dans l’air. Je me doutais bien qu’elle voudrait coucher avec lui cette nuit et je me demandais comment elle allait s’y prendre, cette petite coquine ! On prépara les champis avec des toasts. On but du vin, un peu trop ! On mangea peu, les enfants étaient fatigués et difficiles. Déjà des éclairs luisaient à l’horizon. Dehors il faisait lourd, mais ça semblait fraîchir un peu; on sortit pour en profiter. Il allait pleuvoir, le ciel était très menaçant. Victoire alla mettre les enfants au lit pendant que P.. m’aida à ranger. On parla comme si de rien n’était, comme deux amis que nous étions. « Je vais peut-être repartir ce soir » dit-il sans trop y croire; en m’étonnant moi-même je m’entendis le lui déconseiller, et insister pour qu’il passe la nuit ici, en pensant à toi.
N’ayant que mon Tee-shirt en guise de serviette je m’en servis pour t’essuyer le dos, les cuisses, le ventre et en profitai pour introduire, comme par accident, deux doigts dans sa fente – « Mais diiiis, t’as pas fini non ? »- : elle était ouverte, mouillée, et ça glissait ! « S’est-il passé quelque chose là-bas derrière l’île ? ». Elle me regarda par dessous en me disant « Non ! tu crois ? » P..se rhabilla de son côté ; mais comment faisait-il, malgré l’eau froide, pour que sa queue resta si imposante ? Il est circoncis comme moi mais son gland rouge-violacé me paraissait hors norme ; heureusement je n’avais pas eu à souffrir de comparaison. Retour à la maison. Sieste l’après-midi ; j’étais dans la chambre et t’attendais, j’avais envie de toi. P.. était couché dans le gazon dans le jardin. De la fenêtre je la voyais le rejoindre et s’allonger près de lui. Il la faisait rire en la taquinant. Victoire se passait de moi quand il était là, je n’existais pas. D’humeur contrariée teintée de jalousie, je préfèrai partir plutôt que de les espionner : j’allai faire un tour à moto en forêt pour trouver des champignons. Personne ne demanda où je allais et je ne dis rien. Le temps chaud était à l’orage. Des nuages arrivaient : c’est sûr que ce serait pour ce soir. Je revins avec quelques champis. Elle dessinait avec la gamine, le garçon roulait à vélo sur le tennis, et P.. lisait sur la terrasse. « Où étais-tu ? » me demande-t-elle. Je répondis vaguement en bredouillant. « Tu es de mauvaise humeur ? ». Non, j’étais dans un trip mi-jaloux, mi-excité, je ne m’expliquais pas bien ce que je ressentais, mais il y avait beaucoup d’érotisme dans l’air. Je me doutais bien qu’elle voudrait coucher avec lui cette nuit et je me demandais comment elle allait s’y prendre, cette petite coquine ! On prépara les champis avec des toasts. On but du vin, un peu trop ! On mangea peu, les enfants étaient fatigués et difficiles. Déjà des éclairs luisaient à l’horizon. Dehors il faisait lourd, mais ça semblait fraîchir un peu; on sortit pour en profiter. Il allait pleuvoir, le ciel était très menaçant. Victoire alla mettre les enfants au lit pendant que P.. m’aida à ranger. On parla comme si de rien n’était, comme deux amis que nous étions. « Je vais peut-être repartir ce soir » dit-il sans trop y croire; en m’étonnant moi-même je m’entendis le lui déconseiller, et insister pour qu’il passe la nuit ici, en pensant à toi.