- 01 avr. 2023, 13:44
#2702932
J’apprécie beaucoup la grande finesse de tes réflexions ; tu as parfaitement cerné les contours du caractère de Victoire. Elle t’as lu, elle a dit « mouais, c’est p’t être moi, mais pas que ! »
Le fisc était impitoyable avec les professions libérales, nos déclarations étant conjointes, l’intégralité des revenus du travail de Victoire était absorbé par l’ogre fiscal. D’où notre décision de nos séparer. Avec un avantage inattendu car les pensions versées aux enfants par moi étaient déductibles ; je fus très généreux en leur versant un maximum ! Ça fonctionna jusqu’à leur majorité. Et nous ne nous sommes remariés que bien plus tard lorsque nous fûmes pensionnés tous les deux.
Nos deux aînés ayant quittés le logis (en UK et aux USA), la petite dernière était en Erasmus en Espagne, nous étions libres d’enfants. Par quinzaine durant l’année 1994, nous formions un trio, comme dans Jules et Jim, Victoire ne sachant qui elle aimait le plus. Je l’avais pour moi lorsque P.. avait ses enfants la quinzaine suivante. Elle lui téléphonait longuement tous les jours ce qui avait le pouvoir de m’énerver un tantinet. Mais la nuit elle était dans mes bras. Au terme de la quinzaine elle attendait son retour avec ferveur et impatience ; les dernières nuits, lorsque je la prenais, je sentais bien que son esprit était déjà avec P..
Oui, le terme de « reine » lui convenait assez bien ; elle aimait nous manipuler en nous montant sexuellement l’un contre l’autre (tu peux imaginer comment !) Elle aimait me provoquer en se lovant sur les genoux de P.. quand nous avions des amis chez nous, amis parfaitement au courant du partage de Victoire entre ses deux hommes. Elle voulait leur montrer que P.. était mon égal dans son cœur ! Elle avait une attirance plus sexuelle avec P.. alors qu’avec moi c’était plus affectif. Je lui ai souvent demandé si elle me quitterait pour lui, elle me répondait qu’elle avait été tentée de le faire il y a quelques années lorsqu’elle rêvait de faire un enfant avec lui. Mais elle ajoutait que cela n’aurait pas marché longtemps car P.. ne peut pas vivre en couple, il est égoïste et il est trop coureur. Elle savait bien que ce qui lui plaisait c’était de prendre le meilleur en baisant la femme de son ami qui la lui prêtait si volontiers puisqu’il en tirait du plaisir, et de ne pas s’embarrasser des aléas de la vie de tous les jours.
Quand P.. lui a fait l’infidélité de se coller avec L.., une femme de vingt ans de moins que lui, elle fut très en colère. Son caractère entier s’exprima en plein : elle le mit dehors avec fracas ! Elle ne lui a toujours pas pardonné..
Sa libido déchaînée ayant fondu par manque d’hormones, elle me voyait assez marri. Elle n’avait plus envie, elle se tourna vers d’autres plaisirs, la lecture, la peinture, le cinéma, le théâtre et l’opéra, et les petits enfants qui commençaient à naître. Les voyages aussi. Un jour elle me dit que si je voulais me trouver une femme juste pour me satisfaire, elle l’accepterait mais à une condition : pas d’amour, que du sexe, et je devais tout lui raconter.. Etait-elle devenue candauliste me suis-je demandé aujourd’hui ?
Je ne savais pas où trouver la femme rare qui accepterait que du sexe avec un mec en couple. L’idée ne me plaisait qu’à moitié car je n’aurais jamais pu avoir de relation sexuelle avec une femme dont je ne serais pas un peu amoureux. Je l’ai trouvée par le plus grand des hasards.
Le fisc était impitoyable avec les professions libérales, nos déclarations étant conjointes, l’intégralité des revenus du travail de Victoire était absorbé par l’ogre fiscal. D’où notre décision de nos séparer. Avec un avantage inattendu car les pensions versées aux enfants par moi étaient déductibles ; je fus très généreux en leur versant un maximum ! Ça fonctionna jusqu’à leur majorité. Et nous ne nous sommes remariés que bien plus tard lorsque nous fûmes pensionnés tous les deux.
Nos deux aînés ayant quittés le logis (en UK et aux USA), la petite dernière était en Erasmus en Espagne, nous étions libres d’enfants. Par quinzaine durant l’année 1994, nous formions un trio, comme dans Jules et Jim, Victoire ne sachant qui elle aimait le plus. Je l’avais pour moi lorsque P.. avait ses enfants la quinzaine suivante. Elle lui téléphonait longuement tous les jours ce qui avait le pouvoir de m’énerver un tantinet. Mais la nuit elle était dans mes bras. Au terme de la quinzaine elle attendait son retour avec ferveur et impatience ; les dernières nuits, lorsque je la prenais, je sentais bien que son esprit était déjà avec P..
Oui, le terme de « reine » lui convenait assez bien ; elle aimait nous manipuler en nous montant sexuellement l’un contre l’autre (tu peux imaginer comment !) Elle aimait me provoquer en se lovant sur les genoux de P.. quand nous avions des amis chez nous, amis parfaitement au courant du partage de Victoire entre ses deux hommes. Elle voulait leur montrer que P.. était mon égal dans son cœur ! Elle avait une attirance plus sexuelle avec P.. alors qu’avec moi c’était plus affectif. Je lui ai souvent demandé si elle me quitterait pour lui, elle me répondait qu’elle avait été tentée de le faire il y a quelques années lorsqu’elle rêvait de faire un enfant avec lui. Mais elle ajoutait que cela n’aurait pas marché longtemps car P.. ne peut pas vivre en couple, il est égoïste et il est trop coureur. Elle savait bien que ce qui lui plaisait c’était de prendre le meilleur en baisant la femme de son ami qui la lui prêtait si volontiers puisqu’il en tirait du plaisir, et de ne pas s’embarrasser des aléas de la vie de tous les jours.
Quand P.. lui a fait l’infidélité de se coller avec L.., une femme de vingt ans de moins que lui, elle fut très en colère. Son caractère entier s’exprima en plein : elle le mit dehors avec fracas ! Elle ne lui a toujours pas pardonné..
Sa libido déchaînée ayant fondu par manque d’hormones, elle me voyait assez marri. Elle n’avait plus envie, elle se tourna vers d’autres plaisirs, la lecture, la peinture, le cinéma, le théâtre et l’opéra, et les petits enfants qui commençaient à naître. Les voyages aussi. Un jour elle me dit que si je voulais me trouver une femme juste pour me satisfaire, elle l’accepterait mais à une condition : pas d’amour, que du sexe, et je devais tout lui raconter.. Etait-elle devenue candauliste me suis-je demandé aujourd’hui ?
Je ne savais pas où trouver la femme rare qui accepterait que du sexe avec un mec en couple. L’idée ne me plaisait qu’à moitié car je n’aurais jamais pu avoir de relation sexuelle avec une femme dont je ne serais pas un peu amoureux. Je l’ai trouvée par le plus grand des hasards.