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#2703893
@trestigres merci beaucoup pour cet éloge.
Les photos extraites de ces films transpirent de joie, de tendresse et de sensualité. Il est manifeste que vous preniez énormément de plaisir à être ensemble et à faire l'amour. Elles constituent pour moi l'exact pendant (oups mot mal choisi pour parler de ta virilité dans ces moments :oops: :D ) des photos de Victoire et de P à la grande époque.
Je suis convaincu qu'elle connaît la beauté et la puissance de ces films. Et c'est pour se, pour vous protéger qu'elle ne veut pas les regarder.
sergio, michpat a liké
#2703900
@trestigres, "l'héroine" change mais pas le plaisir de te lire. On ressent que vos retrouvailles sont attendues malgré l’éloignement des années. E a vécu une mauvaise vie de couple et s'aperçoit que cela aurait pu être autrement avec un autre. Toi, en occurrence. Le hasard d'un quai de gare, des echanges de regards et......... le coup de foudre impossible car vous aviez vos vies et respectiez vos engagements.

Oui, je ne me lasse pas d'admirer la beauté d'une femme nue dans la nature, cela fait partie d'une des merveilles du monde.

Tout a fait d'accord.
#2703904
trestigres a écrit :Mais cela lui donna clairement l'envie de tenter un ménage à trois comme nous l'avons vécu, et de me faire participer - pas tout de suite - aux parties de jambes en l'air avec son amant. Notre couple résista sans aucun souci parce que P.. était - est toujours - un de mes amis les plus proche, manifestant un très grand respect dans les gestes et les paroles pour Victoire et moi, sans qu'il n'y ait la moindre tention. Il était tacite que je lui laisserais toujours la primauté de la pénétration, par goût et affinité personnelle.

C'est bien de le préciser (ou de le rappeler) Toutes les belles histoires candaulistes comme celle ci ne sont bien réussies que si l'amant outre ses qualités sexuelles a des vraies valeurs de complicité,de partage, d'honneteté et de respect ! 8-)
Dionysos06, sergio a liké
#2704652
. Saisissant son clitoris entre deux doigts, elle eut une réaction explosive en se repliant brusquement sur elle même tout en me mordant à l’épaule et feulant comme une panthère ! « Oh là là ! » me dis-je, voilà un animal sauvage qu’il me faudra apprivoiser !
« Je ne t’ai pas fait mal à l’épaule ? » La marque de ses dents était visible, mais c’était sans douleur. Cependant cette marque allait me poser quelques problèmes à mon retour auprès de Victoire…
« Excuse-moi mon chéri, je suis en manque depuis si longtemps que je n’arrive pas toujours à contrôler mes réactions ». Elle était toute excusée bien sûr. Je me suis employé à la calmer, lui caressant les seins et le ventre tout en l’embrassant. En l’allongeant sur le ventre je lui massai le dos, les jambes et les fesses. Elle écarta doucement les cuisses, découvrant une fente entrouverte .. elle me dit « viens, pénètre-moi là, tout de suite, je te veux ! » On avait oublié le latex, ni elle ni moi n’y avions plus pensé ! Pointant mon gland dégoulinant d’envie entre ses lèvres, je le frottai de haut en bas dans sa vulve pour bien la lubrifier ce qui la fit soupirer en geignant ; son vagin s’était légèrement ouvert et si accueillant que je m’y suis engouffré pour me retrouver au paradis ! Elle avait gémit doucement alors que je m’enfonçais au plus profond de son ventre. Elle me dit alors « maintenant vas-y, baise-moi, bourre-moi fort, je te veux ». Toujours sur le ventre, je claquai doucement ses fesses.. elle me disait « oui, encore. .encore.. plus fort ! ». Je lui administrai quelques bonnes claques sur son fessier lorsqu’elle me dit d’arrêter : « salaud, si tu continues comme ça tu vas me faire jouir ! » C’était une indication fort intéressante que j’aurais l’occasion de mettre à profit. Elle serra les cuisses, emprisonnant entre elles ma queue qui allait et venait dans sa chatte ; le frottement si doux sur la face interne de ses cuisses me fit venir si fort qu’il ne me restait plus qu’à lâcher les amarres.. Je me vidai longuement en elle sans qu’elle eut atteint un orgasme, ce qui me désola. « Rhôôô, on a oublié le chapeau en latex ! C’est pas grave, je te fais confiance mais il faudra faire le test.. Non je n’ai pas joui mais j’ai eu bon. C’est normal pour une première fois, tu m’as fait un bien fou ! On va recommencer dès que tu seras prêt ! » Il était clair que mon inactivité sexuelle était à l’origine de cette éjaculation intempestive. Je m’en voulais, mais avec beaucoup de douceur elle me caressa le sexe et les testicules « Regarde comme il reprend vigueur ! » me dit-elle. « J’aime le contact de ta queue dans mon vagin, j’aime tes grosses couilles, elle sont pleines! J’adore les saisir à pleine main, les faire glisser entre mes doigts.. Regarde quand je les presse, si je te fais mal tu me dis, elles remontent dans ton ventre, c’est amusant, on dirait que tu as été émasculé ! » Mouais, très drôle, en effet !!
Elle me dit que son vagin n’avait plus accueillit de sperme depuis le jour où elle avait été dépucelée par un petit ami trente ans plus tôt. Devant mon air interrogateur, elle m’expliqua que son mari ne la baisait que couvert d’un latex épais tellement il craignait de la mettre enceinte, car elle n’avait jamais pris la pilule . Elle finit par concevoir du dégoût à l’idée d’être souillée de sperme dans son ventre! Mais avec moi la détestation avait été remplacée par une envie irrépressible d’être inondé par ma semence. C’était un sentiment très fort : elle l’attendait, elle la voulait, et quand sa « petite bouche » (le col de l’utérus) la reçut, c’était comme si elle était enfin baisée par un vrai mâle, disait-elle ! C’était me faire bien des louanges car je n’étais pas très fier de ma performance.. J’espérais faire mieux maintenant que le camarade était au garde-à-vous grâce à ses caresses expertes ! Se couchant sur le dos, repliant avec souplesse ses belles jambes contre sa poitrine, elle m’offrit une vue impressionnante sur son fondement : c’était un appel irrésistible à une pénétration immédiate. Avant de lubrifier une vulve largement ouverte me détaillant tous ses petits attributs exquis, je m’y précipitai, langue tendue pour les lui lécher ; ce fut délicieux, sa vulve avait une saveur marine que j’avais adoré. Pendant que je m’en occupais, son corps se tortillait, ses cuisses enserrèrent mon cou, ses mains forçant ma tête à m’appliquer toujours plus fort. Elle gémissait, elle soupirait tant et plus. Puis elle clama « Stop ! tu vas me faire jouir, viens en moi, je te veux tout de suite, oh oui je te veux de toutes mes forces, je veux te sentir dans mon ventre, que ton gland s’écrase contre ma petite bouche !.. ». Une prière formulée ainsi était irrésistible ! Je m’enfonçai sans résistance en elle jusqu’à la garde, les couilles contre son fondement. La douceur de son fourreau, tapissé de la semence que j’y avait laissée me ravit : je coulissais dans la soie la plus douce. Elle comprimait ma queue par des contactions répétées des muscles pelviens ce qui m’excita fort. Je m’inclinai sur elle pour lui sucer les tétons, mais elle me repoussa en disant « Non ! c’est trop fort ! » ? Je voyais son expression légèrement crispée, la bouche entrouverte expirant l’air bruyamment, sa figure rose d’excitation. Ses yeux me fixaient, interrogateurs « c’est bien toi qui me fait l’amour ou je rêve ? » De sa main elle esquissa avec douceur une caresse sur ma figure, sur mes lèvres.. Puis, attirant avec force ma tête contre la sienne, elle m’embrassa fougueusement, nos langues se mêlant. Contrairement à Victoire, elle dirigeait les opérations et je me laissais faire..
michpat, FB57, olch et 23 autres a liké
#2704718
@trestigres, décidément tu nous surprends, tu nous épates, tu nous éblouis avec tes récits. Quelle vie incroyablement variée, riche, turbulente, variée, étonnante et pleine de rebondissements que la vôtre. Un long fleuve sibérien, pas si tranquille, mais dont le cours tumultueux ne laisse jamais indifférent et ne lasse jamais.
Cette fois, tu es bel et bien traversé l'espace et le temps candauliste. C'est toi qui tient les rênes de la coquinerie. Je t'ai senti terriblement impatient de faire l'amour à cette femme, aussi pressé que la course éperdue du lièvre de mars dans de "l'autre côté du miroir" (ce qui ne signifie nullement que tu bâclas tes coïts avec E ). Ton énergie de mâle en mal de sexe, tes frustrations tues de cette si longue cohabitation sexuelle et sentimentale avec P, tout cela s'est libéré à le vue du superbe corps offert de cette femme que tu désirait si fort et qui t'a accueilli si profondément en elle. Tout ceci transparaît dans ces lignes et dans ces photos. Comment résister à une telle femme ? Personnellement, je n'aurais ni pu ni voulu.
michpat, Danimendu, sergio et 1 autres a liké
#2704811
On est passé à une autre histoire et Lison est très belle aussi.je pense que ça a été un renouveau pour toi car si j'ai bien compris, Victoire a tout mis en pause suite à sa perte de libido. Il y a eu donc une période tranquille pour ainsi dire , et là, un appel de Lison, et toutes les étoiles réapparaissent ! Je comprends et ça devait être une belle histoire qui commençait . On n'a pas trop d'infos sur le ressenti de Victoire à ce sujet, peut-être n'était ellenpas au courant au début, c'est ce qu'il me semble.
Pour ma part, et c'est vraiment personnel, je m'étais attaché à Victoire et à ses aventures , à votre fonctionnement aussi. Ne plus lire les récits la concernant va me manquer tout de même mais c'est toujours un plaisir de te lire et d'admirer les photos que tu nous fais l'honneur de partager. Merci à toi et un petit coucou à Victoire qui semble totalement rétablie de son intervention.
Dionysos06, Danimendu, sergio et 1 autres a liké
#2704844
Dionysos06 a écrit :@trestigres, décidément tu nous surprends, tu nous épates, tu nous éblouis avec tes récits. Quelle vie incroyablement variée, riche, turbulente, variée, étonnante et pleine de rebondissements que la vôtre. Un long fleuve sibérien, pas si tranquille, mais dont le cours tumultueux ne laisse jamais indifférent et ne lasse jamais.
Cette fois, tu es bel et bien traversé l'espace et le temps candauliste. C'est toi qui tient les rênes de la coquinerie. Je t'ai senti terriblement impatient de faire l'amour à cette femme, aussi pressé que la course éperdue du lièvre de mars dans de "l'autre côté du miroir" (ce qui ne signifie nullement que tu bâclas tes coïts avec E ). Ton énergie de mâle en mal de sexe, tes frustrations tues de cette si longue cohabitation sexuelle et sentimentale avec P, tout cela s'est libéré à le vue du superbe corps offert de cette femme que tu désirait si fort et qui t'a accueilli si profondément en elle. Tout ceci transparaît dans ces lignes et dans ces photos. Comment résister à une telle femme ? Personnellement, je n'aurais ni pu ni voulu.


Ce n’est que le récit d’une partie de vie qui s’étend sur 35 ans avec des pleins et des creux comme une bonne architecture.. Victoire était et est restée mon épouse quoi qu’il advienne. Sans ce triple coup de chance (si l’on peut dire) , la rencontre fortuite sur le quai, le recrutement comme secrétaire, et pour finir le décès de son mari alcoolique, je ne serais jamais passé de l’autre côté du miroir, mais il ne faut jamais dire jamais, on sait cela quand on aime les femmes comme je les ai aimées, et je les aime toujours ! Mais la chair est faible ! Je m’étais abstenu lorsqu’elle était ma secrétaire ; je l’avais quasiment oubliée jusqu’à ce qu’elle me relance. Et comme l’occasion fait le larron, cette fois je n’ai pas pu résister lorsque je l’ai vue nue, étendue sur le lit, comme la Maja Desnuda de Goya, affamée d’amour. Nous étions chacun en manque de sexe, de sorte que la rencontre fut comme u fusion atomique, plus pour elle que pour moi, et c’est bien ce qui m’a inquiété. Elle était assoiffée de sexe et ce fut moi qui l’assouvit tant bien que mal pour une première fois ! Mais elle en redemanda encore et nous nous accordâmes si bien que moi aussi j’en redemandais ; alors qu’elle me disait qu’elle m’aimait, je la quittai pour retrouver Victoire et la famille. Elle me fit jurer que je ne l’abandonnerais pas, que j’étais son mâle alpha (je ne savais pas ce que ça voulait dire), qu’elle ne baiserait plus qu’avec moi.. L’avenir me prouva le contraire ! En retrouvant Victoire je me suis senti un peu perdu. En réalité j’aimais deux femmes, tout comme Victoire avait aimé deux hommes. Je lui ai tout raconté. « Tu es un peu amoureux d’elle ? ». Je ne lui ai pas menti comme elle ne m’avait pas menti lorsque je lui avais posé la même question au sujet de P.. Il me faut un minimum d’amour et de tendresse, et c’est bien là mon problème : le sexe pour du sexe sans le reste, ça ne marche pas chez moi !
Dionysos06, Danimendu, claire95 et 9 autres a liké
#2704899
@trestigres je trouve la comparaison avec une fusion atomique particulièrement judicieuse et appropriée.
Oui, vos natures animales, vos besoins sexuels primordiaux fusionnèrent en une collision brutale de vos désirs et de vos manques. Et vous libérâtes une phénoménale énergie libertine, un tsunami irrépressible balayant vos cœurs et vos âmes.
Tu es vraiment l'alter ego de Victoire, son prince Potiomkine. Et c'est pour cela que votre couple aura été insubmersible, indestructible. Elle a su que tu pouvais aimer, certes différemment, deux femmes en même temps ; comme elle avait aimer différemment deux hommes en même temps. Tu avais compris et accepté et elle ne t'avait pas menti. Elle compris et accepta et tu ne lui mentis pas.
Comment résister à une telle vue ? Impossible !
#2705329
Dionysos06 a écrit :@trestigres je trouve la comparaison avec une fusion atomique particulièrement judicieuse et appropriée.
Oui, vos natures animales, vos besoins sexuels primordiaux fusionnèrent en une collision brutale de vos désirs et de vos manques. Et vous libérâtes une phénoménale énergie libertine, un tsunami irrépressible balayant vos cœurs et vos âmes.
Tu es vraiment l'alter ego de Victoire, son prince Potiomkine. Et c'est pour cela que votre couple aura été insubmersible, indestructible. Elle a su que tu pouvais aimer, certes différemment, deux femmes en même temps ; comme elle avait aimer différemment deux hommes en même temps. Tu avais compris et accepté et elle ne t'avait pas menti. Elle compris et accepta et tu ne lui mentis pas.
Comment résister à une telle vue ? Impossible !


Ton bel esprit en a fait une belle synthèse parfaitement concise! Merci!
#2705341
Son tempérament passionné m’interpella. Cela n’allait-il pas trop vite, trop loin ? Je pensais à Victoire qui, elle aussi avait été passionnée dans ses relations conjugale et extra-conjugales. Comment la nature pouvait-elle donner un tel coup de frein à la libido d’une femme ? E.., que j’appelais Lison depuis que je l’eus connue comme secrétaire, n’avait que 4 ans de moins que Victoire, souffrirait-elle aussi d’un arrêt brutal de sa libido ? Je me perdais en conjecture à propos de l’avenir de notre relation naissante.
Elle ne me laissa pas le temps de laisser folâtrer mon esprit. En basculant mon corps à côté du sien, elle me chevaucha, cherchant, en la tenant en main, à introduire ma queue dans son vagin. Une fois le bout du gland engagé, le reste fut un jeu d’enfant : elle se laissa tomber, engouffrant toute ma tige au fond de son ventre en une seconde. Elle me dit « je sens ton gland qui appuie fort sur ma petite bouche, j’adore ! ». Elle se mit à tressauter comme au trot assis sur un cheval ! Elle en connaissait un bout car elle avait été une fine cavalière et possédé son propre étalon. Elle riait tout en dansant sur ma queue : « tu vois » disait-elle, « j’ai monté un étalon toute ma jeunesse, maintenant que je suis vieille, grâce à toi j’ai à nouveau un bel étalon que je monte avec ardeur ! ». Ses seins valsaient au rythme de ses mouvements de croupe ; en l’obligeant à se pencher sur moi, j’en saisissais les bouts entre les doigts et les attirai jusqu’à mes lèvres pour les sucer et mordiller l’un puis l’autre. Elle glapissait de plaisir ! Mais c’était fatiguant ; alors elle se coucha sur moi, ventre contre ventre, ses seins s’écrasant sur ma poitrine. « Aah ! toi tu me plais » disait-elle en m’embrassant de plus belle. Elle roula sur le dos à mon côté, me demanda de la prendre en levrette, et se mit derechef en position à quatre pattes, les fesses en l’air. J’admirais ces lèvres épaisses, ce vagin ouvert appelant ma queue à la rescousse ! Saisissant ses hanches je l’attirai à moi tout en cherchant à la pénétrer. « Pas me prendre dans les reins hein ?, je ne suis pas prête ! » me dit-elle, croyant que mon gland se trompait d’orifice.. Je m’enfonçai tout au fond, je sentais bien son col ! Le miroir d’un meuble me renvoyait l’image de ses seins qui valsaient en cadence avec mes coups de boutoir. Il ne fallait pas que je regarde trop longtemps la scène renvoyée par le miroir de peur de tout lâcher : c’était comme si je la voyais baisée par un autre homme, me renvoyant à certains souvenirs avec Victoire,.. A chaque poussée de ma queue dans son ventre elle disait « encore…encooore! ». Par miracle j’arrivai à contrôler mon excitation ! Elle se laissa aller sur le côté m’entraînant avec elle, ma queue toujours engagée. Nous étions en position de petites cuillères, très reposante. J’allais et venais en elle tout en lui caressant le clitoris de ma main libre. Mais elle la ramenait systématiquement sur sa hanche. « Agrippe-moi par les hanches, j’aime mieux ». Je voulais absolument qu’elle prenne son plaisir, qu’elle jouisse, je voulais l’entendre exprimer son orgasme. Je m’appliquai à atteindre ce but avant de jouir moi-même. Cramponné à ses hanches, je l’attirai contre moi pour la pénétrer plus profondément. Elle restait silencieuse, inerte, mais si j’interrompais mon pilonnage n’était-ce qu’une seconde elle réagissait donc elle était toujours vivante… « ooh noon, encore, encore ! » disait-elle dans un souffle. Elle se sentait venir et m’encourageait à poursuivre sans m’arrêter. Et soudain, sans aucun présage, se raidissant, tendant une jambe vers le haut, elle poussait un cri de gorge rauque et profond, tenant du rugissement, repris une ou deux fois plus doucement. Jamais je n’avais entendu une femme jouir comme elle après un aussi long silence. Son orgasme persistant, elle geignait et couinait comme une lapine, c’était très excitant. Elle avait retrouvé la parole et elle m’encourageait à ne pas tarder à prendre « mon plaisir » comme elle disait. Elle exprimait tout ce que je lui faisais sentir en pilonnant son vagin, cognant sur sa petite bouche, à tel point que je sentis monter la pression. « Ooh je voudrais que tu viennes.. » Cette prière m’acheva : je jouis brutalement, inondant le fond de son ventre. Retombant sur le dos, collé à son flanc, je tentai de récupérer après cette cavalcade effrénée. Lison n’eut pas besoin de récupérer, elle aurait été prête à recommencer me dit-elle, sinon avec moi, du moins avec un autre ! Sacré coquine ! Elle me proposa de sortir pour manger un morceau dans le quartier et puis si j’avais envie de lui faire plaisir, de passer la nuit avec elle.. ajoutant qu’elle n’attendait personne « Ça fait si longtemps que je dors seule, j’ai besoin d’un homme contre moi qui me chauffe les pieds ! » J’avais tellement envie d’elle et elle de moi que la réponse allait de soi.
Un petit resto italien de quartier fit l’affaire, une petite « scaloppina » au vin blanc et nous étions repartis pour une nouvelle aventure, nocturne cette fois.
Elle fit couler un bain que nous prîmes à deux. Face à face d’abord, elle glissa ensuite sa croupe entre mes jambes, comprimant ma queue en pleine croissante, en s’appuyant contre moi. Je lui couvrais les seins de mes mains, les tétons pincés entre les doigts. Une main partit en exploration vers son bas ventre et des doigts en éclaireurs s’enfoncèrent dans une sombre faille. Elle gloussa puis protesta pour la forme car elle me laissa faire. Du sperme s’échappait encore, formant de petits nuages dans l’eau chaude. Nous y restâmes longtemps, je m’endormis, elle aussi, encastrés l’un dans l’autre.
Soudain elle se réveilla en sursaut et la saisissant, elle tira sur ma queue et molesta mes couilles : « réveille-toi, ça fait une heure qu’on est dans l’eau, elle refroidit ! » Une serviette de grande taille nous emballa tous les deux, et collés l’un à l’autre, nous tombâmes sur le lit dévasté. Eprouvé par mon voyage, épuisé par les deux parties de jambes en l’air, je m’endormis, enserré dans ses bras. La nuit commençait..
ChrisetElle, cple1320, Liberee21 et 28 autres a liké
#2705366
Tes récits sont toujours bien agréables à lire. Que ce soit avec Victoire ou Lison, on sent l'amour et l'envie que tu avais pour tes femmes et elles te le rendaient bien. Tu as vécu avec Lison ce que Victoire a vécu avec P. Amoureux dans votre couple mais aussi en dehors.

Il y a une photo de Victoire et Lison. As-tu pu amener Lison dans ta sphère familiale? Et si oui, comment Victoire le vivait-elle, elle qui ne voulait pas que tu en aimes une autre?
#2705397
maxou501 a écrit :On est passé à une autre histoire et Lison est très belle aussi.je pense que ça a été un renouveau pour toi car si j'ai bien compris, Victoire a tout mis en pause suite à sa perte de libido. Il y a eu donc une période tranquille pour ainsi dire , et là, un appel de Lison, et toutes les étoiles réapparaissent ! Je comprends et ça devait être une belle histoire qui commençait . On n'a pas trop d'infos sur le ressenti de Victoire à ce sujet, peut-être n'était ellenpas au courant au début, c'est ce qu'il me semble.
Pour ma part, et c'est vraiment personnel, je m'étais attaché à Victoire et à ses aventures , à votre fonctionnement aussi. Ne plus lire les récits la concernant va me manquer tout de même mais c'est toujours un plaisir de te lire et d'admirer les photos que tu nous fais l'honneur de partager. Merci à toi et un petit coucou à Victoire qui semble totalement rétablie de son intervention.


Merci de me lire, fidèle Sergio!
Elles se sont entendues, mais la photo a été prise à l'époque où elle était ma secrétaire; je crevais d'envie d'elle mais elle avait encore un mari à cette époque.
Bien plus tard lorsque j'ai commencé à fréquenter son lit, l'entente fut cordiale sans plus jusqu'au moment où Lison, sur mon incitation, eut une aventure avec P.. Mais mon récit n'en est pas encore là.
michpat, sergio, elianeetserge et 2 autres a liké
#2705482
sergio a écrit :Tes récits sont toujours bien agréables à lire. Que ce soit avec Victoire ou Lison, on sent l'amour et l'envie que tu avais pour tes femmes et elles te le rendaient bien. Tu as vécu avec Lison ce que Victoire a vécu avec P. Amoureux dans votre couple mais aussi en dehors.

Il y a une photo de Victoire et Lison. As-tu pu amener Lison dans ta sphère familiale? Et si oui, comment Victoire le vivait-elle, elle qui ne voulait pas que tu en aimes une autre?



Mille excuses Sergio, il y a eu comme un bug dans mon esprit, c'est à toi que je voulais répondre!
sergio a liké
#2705647
Lison semblait être un volcan difficile à éteindre . D'après ce que tu as écrit il semble que la suite nous réserve bien des surprises . T'es récits sont toujours superbement écrits et vraiment très agréables à déguster .
#2705757
Pour la première fois de ma vie j’allai passer une nuit entière avec une belle femme qui n’était pas la mienne. Cette expérience nouvelle m’excitant fort je décidai de prendre quelques notes pour compléter mes annales intimes comme je le fis pour Victoire. Lison étant sensiblement plus bavarde que Victoire, j’eus envie de noter ses réparties mot pour mot, pour autant que je m’en souvienne.
Plus grande que Victoire, avec quelques rondeurs, magnifiquement nue, elle se lova contre moi puis nous nous enlaçâmes. Elle imprima à son fondement un lent mouvement de va et vient sur ma cuisse coincée entre les deux siennes, ce qui me fit raidir subitement.. « Chuuut, on se calme maintenant, j’arrête aussi, tu dois dormir, on est fatigués tous les deux » me dit-elle en m’embrassant.. Ainsi nous nous endormîmes..
Tôt matin je fus réveillé par une irrésistible odeur de café. J’étais seul dans ce grand lit dévasté. Je fus servi au lit : jus, café, œuf au bacon, toasts à la marmelade d’orange (cadeau que je lui avais fait) : le bonheur ! Ça prenait une tournure vraiment préoccupante car comment résister à tant d’attention et d’amour de sa part ?
Elle portait une nuisette tellement translucide que je devinais l’intégralité de son anatomie.. Elle s’installa à mes côtés et se mis à beurrer mes toasts ! Je la regardais faire, incrédule ! « Laisse-moi m’occuper de toi, ça me fait tellement plaisir, ça fait si longtemps que je n’ai plus d’homme à chouchouter ! » Tout en me préparant un bain dans lequel nous nous plongeâmes tout deux, elle changea le drap de lit. Elle me lava vigoureusement tout le corps, fit raidir ma queue en la savonnant, puis à mon tour je m’appliquai à lui passer le savon sur les reliefs vallonnés de son corps. Elle me sécha puis je la séchai. Je la pris dans les bras, avec un peu de peine, pour la déposer sur les draps frais . Elle était très belle, cachant ses seins avec son bras au moment où je la pris en photo.
Elle disait qu’elle était une femme du matin, le meilleur moment pour faire l’amour. Ça tombait bien car moi aussi je suis meilleur le matin, contrairement à Victoire qui est une femme de la nuit. On passa toute la matinée à baiser, se papouiller, se parler, se faire rire. Son petit chien sautait sur le lit et venait faire des mamours à sa maîtresse. Quand elle jouissait bruyamment, il se mettait à aboyer en pleurnichant, tournant sur lui-même! Elle pensait qu’il était inquiet de ce qu’on faisait à sa maman ! Perso je n’aimais pas trop la présence de ce clebs sur la couette pendant que je baisais sa « maman » ; je lui dis que sa présence me déplaisait, elle le fit sortir.
Nous allâmes nous promener bras dessus bras dessous comme un vrai couple. Ça me plaisait mais ne pourrait pas durer. Je devais respecter la promesse faite à Victoire : du sexe mais pas d’amour. Hélas, je sentais que je pouvais tomber amoureux d’elle. Il fallait que je garde une distance suffisante mais sans la vexer car je ne voulais pas la perdre. Exercice délicat s’il en est ! Nous avions pris un petit lunch dans une taverne, bu pas mal de rosé, puis étions rentrés à pieds, un peu pompette tous les deux, elle plus que moi. Elle riait en disant des bêtises, prenait à témoin les passants en me présentant en pouffant comme son fiancé « et même qu’on va se marier ! » Je l’entraînai le plus vite que je pouvais à la maison. Elle me demanda de l’aider à se déshabiller et, une fois nue, elle fit quelques pas de danse en chantonnant sur l’air de Jules et Jim « il me plaît, je lui plais, je l’aime mais lui pas mais ça viendra ! »Je n’eus aucun mal à la mettre au lit, rabattre la couette sur son corps nu et elle s’endormit.
Je profitai de cet intermède pour réfléchir à ce que j’allais dire à Victoire, la vérité bien sûr, mais peut-être pas tout, pas tout de suite. A son réveil elle avait quelque chose à m’avouer.. j’étais toute ouïe. Elle ne me m’avait pas encore dit mais voilà : elle passe un mois de vacances dans les Landes, près du Cap Breton. Elle louait un petit appart’ avec vue sur mer à Seignosse « Tu connais ? » Non bien sûr. « Le proprio est un jeune gars charmant, il est devenu mon amant pendant les vacances. Il me laissait gratos l’appart. » Je lui ai demandé si elle comptait y aller ce mois d’août, mais oui bien sûr elle irait. Il est marié et sa femme travaille deux nuits par semaine dans un hôpital de Biarritz de sorte qu’ils se retrouvent tous les deux en son absence dans son petit appartement. Il s’appelle Chr.., il a dix ans de moins que moi, il est prof de surf et il tient aussi le bar du lieu. Donc avec moi elle aurait un amant pour tous les jours et avec Chr.. un autre amant pour les vacances ! Mais à la réflexion, pourquoi pas ? Devrait-elle se priver de sexe pendant le mois d’août ? Je pouvais parfaitement la partager avec un autre homme, d’autant plus facilement que c’est le mois durant lequel je suis absent.
De chez moi j’appelai Victoire au téléphone pour lui dire que j’avais été dire bonjour à Lison. « Ah, tu l’as retrouvée » me demanda-t-elle ; « Elle est changée ? » Oui, elle avait pris des rondeurs. Je lui ai dit que nous avions dîné ensemble et puis qu’elle s’était donnée à moi. « Ah comme ça, tout de suite ?...Et c’était bien ? » J’ai minimisé en disant que ce n’est jamais exaltant la première fois. « Tu lui fais la bise de ma part ».. Elle ne me posa pas d’autre questions mais en profita pour me rappeler notre accord : « tu peux la baiser mais pas au-delà on est bien d’accord ! » « Non non t’inquièt’ » lui dis-je en me mordant les lèvres !
Elle l’avait rencontrée plusieurs fois lorsqu’elle était ma secrétaire, elle avait dactylographié des travaux pour Victoire et elles s’étaient bien entendues.
Un jour, c’était celui de son vingt sixième anniversaire, elle s’était retrouvée seule et malheureuse, abandonnée par son mari qui avait préféré assister à un colloque à l’étranger. Je lui avais proposé de se joindre à nous un week-end à la campagne avec Victoire et mon frère. Elle arriva dans sa deux chevaux cabossée et pétaradante, il faisait beau temps, elle était radieuse. Elle connaissait mon frère puisque nous travaillons ensemble. J’avais le secret espoir de la baiser dans la nature. Je lui proposai un tour à deux sur ma moto trial à travers les bois. Mais n’ayant pas trouvé de lieu approprié, je m’étais abstenu. Le temps chaud nous incita à aller nous baigner dans l’étang familial. N’ayant pas prévu de maillot de bain, Victoire et elle se baignèrent presque nues, conservant chacune un mini slip, mon frère et moi portions maillot, pudiquement. Ces deux femmes magnifiques sous nos yeux eurent tôt fait de nous faire raidir malgré l’eau froide, et ça se vit. Complices, elles nous charrièrent…
La journée passa paisiblement, nous mangeâmes et bûment plus que de raison. L’heure de se mettre au lit arriva. Je me morfondais à l’idée de manquer l’occasion de me glisser à côté de Lison, dans son lit, que je pouvais, j’aurais dû aller la rejoindre mais n’osai pas à cause de Victoire. Il n’y avait qu’un an depuis que Victoire avait été rejoindre son amant P.. dans cette même chambre, il aurait été juste que je fasse pareil. Mais n’étant pas avertie de mon envie, comment aurait-elle réagi ? Je ne pris pas le risque. Ce fut mon erreur. Mon frère n’eut pas ces scrupules : il est célibataire ! Il m’apprit le lendemain qu’il avait passé la nuit avec Lison ! Prenant le risque – limité – d’un refus, il poussa doucement la porte de sa chambre et dans le noir s’approcha du lit. Elle ne dormait pas, et dans un souffle demanda si c’était moi.. Mon frère murmura son nom.. « Ah c’est toi, alors pourquoi pas, viens ! » et elle ouvrit la couette pour lui faire place. La suite se passa de commentaires. Le petit salaud m’avait coiffé sur le poteau, je fus très jaloux ! « Elle est fabuleusement sensuelle au lit » me dit-il le lendemain matin, « elle a un corps magnifique, des seins pleins. Comme elle n’a jamais accouché, son vagin est serré au point que la pénétrer est délicat, elle est très sensible part là ». Le bandit me décrivait sa nuit avec gourmandise, sachant ce que ça me faisait ! Et je lui demandai s’il l’avait fait jouir.. « ben oui, elle ne demandait que çà ! » Lison devait partir hélas, elle voulait être rentrée avant son mari. De sorte que je ne pus lui parler ouvertement que le lendemain à la pose de midi.
« Ton frère est un gentil garçon » me dit-elle.. Je lui dis alors qu’il m’avait tout raconté, que j’étais jaloux qu’elle se soit donnée à lui.. « Mais enfin, c’est toi que je voulais, pourquoi n’es-tu pas venu ? A cause de Victoire ? Mais enfin elle a fait les quatre cents coups avec son amant dans la même chambre alors que tu te morfondais seul. Et cette fois encore tu t’es morfondu en me sachant seule, enfin pas tout-à-fait.. je suis sûre que tu n’as pas osé le lui dire que tu avais envie de moi, pourtant ça se voyait comme le nez au milieu du visage !.. J’ai bien aimé faire l’amour avec ton frère, il est très doux et attentionné.. » C’est ça c’est ça, rajoutes-en une couche ! Je m’en voulais, elle avait raison, j’avais manqué une occasion unique qui ne se représenterait plus, et elle me le confirma : son mari est jaloux, il n’était pas content qu’elle soit partie en week-end chez son patron, elle l’avait puni pour l’avoir abandonnée le jour de son anniversaire mais il ne sut rien de la vraie nature de la punition. Elle voulut se donner à moi et c’est mon frère qui profita de mon manque de courage. « Je te le devrai qui sait, dans une autre vie peut-être » me dit-elle car son mari allait la surveiller de près. Il me fallut attendre plus de vingt ans avant de l’entendre me dire : « je vais me donner à toi, tu l’as bien mérité, je te le dois »
sergio, DANA, claire95 et 15 autres a liké
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