- 27 avr. 2023, 00:21
#2709513
De chez moi j’appelai Victoire au téléphone pour lui dire que j’avais été dire bonjour à Lison. « Ah, tu l’as retrouvée » me demanda-t-elle ; « Elle est changée ? » Oui, elle avait pris des rondeurs. Je lui ai dit que nous avions dîné ensemble et puis qu’elle s’était donnée à moi. « Ah comme ça, tout de suite ?...Et c’était bien ? » J’ai minimisé en disant que ce n’est jamais exaltant la première fois. « Tu lui fais la bise de ma part ».. Elle ne me posa pas d’autre questions mais en profita pour me rappeler notre accord : « tu peux la baiser mais pas au-delà on est bien d’accord ! » « Non non t’inquièt’ » lui dis-je en me mordant les lèvres !
Soulagé de n’avoir pas dû répondre à d’autres questions, j’allai retrouver Lison chez elle pour l’emmener dîner et ensuite passer la nuit ensemble. Elle aimait dîner d’un tourteau dans un petit resto du coin. Largement irrigués au petit Chablis, je m’inquiétais de la suite : serais-je en état de la prendre ? Allait-elle cette fois m’obliger à mettre le latex ? Elle voulut aller danser dans une discothèque pas loin. Je n’aime pas les discothèques ni les clubs mais si elle avait envie on irait.
Elle y entra, ce n’était manifestement pas la première fois : on l’appelait des divers coins, « voilà la veuve joyeuse, .. comment vas-tu ? viens on t’offre un verre et à ton ami aussi ». Au comptoir, elle parla avec le barman qui lui reprochait qu’on ne la voyait plus.. etc.. La musique repris, un slow, Lison s’accrocha à mon cou, son corps collé au mien ; elle me raconta qu’à l’époque où son mari était tellement bourré qu’il ne sortait plus de son lit, elle avait décidé d’aller s’amuser. Elle s’était fait une bande de copains dans cette discothèque dont le barman à l’époque, un jeune étudiant qui se faisait du pognon pour payer ses études. Elle le trouvait sympa.. « Et tu as couché avec lui ? » ai-je supputé.. « Ben oui, il me l’avait demandé si gentiment et comme mon mari ne me baisait plus, pourquoi aurais-je refusé ? » Ils ont couché ensemble plusieurs fois, mais pas que lui. Elle ramenait parfois l’un où l’autre dans son studio pour passer un bon moment. Quand son mari décéda elle a arrêté de sortir devant s’occuper de ses beaux-enfants orphelins car leur mère était également décédée.
Lorsque nous fûmes rentrés chez elle, Lison m’avoua qu’elle était tellement fatiguée qu’elle voulait seulement dormir contre moi, dans mes bras ajouta-t-elle.. « On fera l’amour demain matin, pour moi c’est le meilleur moment de la journée ».. J’acceptai car je ne me croyais pas, moi non plus, en état de la baiser. Elle ne portait pas de chemise de nuit pour dormir, elle dormait, disait-elle, toujours nue, même en hiver ! Je l’ai déshabillée avec lenteur, comme elle aimait que je le fasse, pièce par pièce, en terminant par le slip de coton blanc découvrant sa toison blonde ; mais comme l’appétit vient en mangeant, l’envie vient en déshabillant ! En l’étendant je voulus lui faire un cunni mais elle se débattit ; nous roulâmes alors dans un furieux corps-à-corps, je tentai de lui écarter les cuisses tout en essayant de lui maintenir les bras mais elle était très forte, elle les serrait l’un contre l’autre, le tout en riant aux éclats. Me souvenant qu’elle aimait les claques sur les fesses j’administrai avec vigueur une série de taloches sonores sur son fessier. Elle jura, j’étais un salaud, j’utilisais un truc déloyal.. elle finit par excitation à desserrer les cuisses. Et je lui ai bouffé la chatte, tout salaud que je fus, jusqu’à ce qu’elle jouisse. « Viens » me dit-elle « je vais te prendre la queue et les couilles, je te branlerai jusqu’à ce que tu éjacules », mais elle eut beau faire, je ne vins pas, j’étais trop imbibé. On s’endormit, elle tenant ma queue, moi les seins. Un vrai bonheur ! Nous passâmes une nuit paisible, sa respiration calme ponctuée de temps à autre par un gémissement ou un petit soupir.. à quoi ou à qui rêvait-elle ? Tôt matin je fus réveillé par une odeur de café irrésistible suivie par l’arrivée de Lison avec un plateau bien garni, un petit tablier de soubrette lui ceignant les reins mais parfaitement nue par dessous. En s’inclinant ses seins fabuleux s’échappèrent de son mini tablier, je m’empressai de les saisir en les pressant.. « Arrête ! t’es fou toi, je vais tout laisser choir sur le lit ! Le temps que j’enlève ce tablier d’opérette et tu pourras faire de moi tout ce que tu veux , pas avant ». Nous déjeunâmes tranquillement, jusqu’à ce que Lison épanche de la marmelade rouge très liquide de son toast qui se répandit sur un sein, puis sur son ventre en s’écoulant jusqu’à son pubis. « Rhôôô quelle sale fille je suis ! » Otant son tablier de soubrette, elle voulu aller chercher un torchon mais je fus plus rapide : l’étendant fermement sur le dos en lui maintenant les deux bras – car elle se débattait - je me mis à lui lécher le sein puis en suivant la coulée sur son ventre j’arrivai à la commissure des lèvres de son sexe. La coulée commençait à atteindre sa fente ! Elle m’empêcha de m’en approcher en serrant fortement ses jambes l’une contre l’autre, faisant gicler la marmelade ! Un combat s’engagea : je réussis à forcer le passage en glissant un de mes genoux, puis deux, entre ses cuisses ; elle fut forcée de rendre les armes.. Ecartant les miennes j’ouvrai largement les siennes et sa fente teintée de marmelade rouge s’ouvrit, prête à être léchée. « OK tu as gagné, je sais bien ce que tu veux faire ». Je le fis ! Je la léchai tant et plus, parcourant l’intérieur de sa vulve que je sentais palpiter, le mélange de goût de marmelade et de saveur marine était nouveau, un sucré-salé en quelque sorte ! Elle se tortillait pendant l’opération. Elle me reprochait de ne pas avoir trempé ma queue dans la marmelade pour qu’elle puisse me faire subir le même outrage, car pour elle il s’agissait bien d’un outrage ! Saisissant ma queue raidie elle trempa son doigt dans le pot et m’enduisit le gland qu’elle suça goulûment ! « Voilà, nous sommes quittes, mais nous collons tous les deux alors, à la douche ! La douche est le lieu de tous les papouillages, elle adore. Elle commença par saisir mon sexe, le savonnant avec force, elle s’occupa ensuite de mes couilles … « j’aime tes couilles mais ce que j’aime le plus c’est ce qu’il y a dedans, c’est pour ça que j’adore te les presser pour en faire sortir le jus ! » J’avais beau lui dire que ça ne servait à rien, elle persistait à les comprimer.. Elle me saisit les fesses, profitant de l’occasion pour m’introduire un doigt dans mon trou des reins (autrement dit : cul ou anus ! mais je n’aime pas ces mots). Elle me demanda si ça me plaisait, mais je lui dis que je trouvais ça assez moyen.. « Dommage, j’aimerais bien t’enfoncer un vibro dans tes reins.. tu me le feras à moi ? » demanda-t-elle. N’étant pas un adepte de la sodomie que je n’ai du reste jamais pratiquée moi-même (Victoire avait été sodomisée par son amant P..) je lui ai néanmoins promis qu’un jour……« Oui, je le voudrais, mais il faut avoir bien le temps, tu devras me faire un rinçage, ensuite que tu me baises très fort et ensuite tu me prendras dans les reins avec un vibro dans le vagin, c’est mon rêve que je n’ai jamais fait avec personne».
Je l’avais interrogée sur ses fantasmes, au nombre de quatre, mais elle avait refusé fermement de me les décrire ! Mais je savais qu’elle finirait par me les dévoiler.
Lavés, nous nous jetâmes encore mouillés sur le lit défait. Elle prit le dessus en me chevauchant. Une fois ma queue introduite, elle se mit au petit trot mais je dus la calmer car je sentais que je ne résisterais pas longtemps, nos épidermes mouillés se frottant l’un à l’autre; Elle s’aplatit contre moi, écrasant ses seins volumineux sur mon torse. Je lui claquai les fesses mouillées ce qui lui fit dire « oooh, là c’est toi qui va me faire venir, arrête ça tout de suite, on a bien le temps ». On roula sur le côté et ce fut à mon tour de la dominer. Nos ventres mouillés glissaient l’un sur l’autre, ce qui nous excita mutuellement. Je la baisais en lui agaçant le clitoris, elle était devenue silencieuse mais j’en connaissais la signification : elle était en route pour un bel orgasme. Pour vérifier où elle en était, il suffisait d’interrompre un instant les caresses sur son petit bouton pour provoquer une protestation : « oh nooon, encooore ! » Peu de temps après, elle commença à déplier une jambe et la raidissant, la pointa vers le plafond tout en émettant un râle profond, repris deux fois plus doucement. Je la fis basculer sur le côté sans sortir de son ventre, et l’agrippant par les hanches je l’attirai contre moi pour une pénétration en profondeur : j’atteignais sa « petite bouche » en écrasant mon gland dessus.. « Je te sens, oh oui je te sens, prends ton plaisir et tire dessus, je veux ta semence sur elle, je t’aime ». Cela suffit à me faire lâcher tout : je giclai avec force dans son ventre puis, anéanti, je suis resté sans voix ni forces pendant quelques minutes…Elles n’ont pas comme les hommes ce passage à vide après l’orgasme, la preuve : elle m’a dit « Chéri ? Ça va ? Tu as bien tiré, je l’ai senti au fond de mon ventre.. tu vois que ça sert de presser tes coucougnettes… tu veux que j’aille te chercher à boire ? » J’émergeai peu à peu de cette torpeur qui fait suite à l’éjaculation. Pendant qu’elle alla me chercher à boire je m’endormis. Elle me réveilla en me saisissant la queue mollissante et souillée, l’agitant de gauche à droite… « Elle a bien travaillé mais il faut que tu la fasses rebander vite, j’ai encore envie de toi ».. « Wait a minute » ma chérie, je n’ai plus vingt ans, il me faut un peu de repos et beaucoup de tendresse.
Elle a réussi à me faire redevenir dur en un quart d’heure avec force caresses et fellations. Nous baisâmes plus calmement cette fois, mais si je parvins à la faire jouir assez vite, il me fallut bien plus de temps pour y arriver. Elle y contribua de façon décisive lorsqu’elle me dit : « Pense que je suis encore fertile, que je suis en pleine ovulation, mes œufs sont là, à attendre ta semence pour être fécondés car tu le sais pas mais je veux un enfant de toi, là maintenant ! » Je ne pus rien faire pour contrer ce système déloyal : elle m’a dit que j’avais poussé un cri au moment où elle a senti la semence se répandre dans son ventre. Je suis resté pantelant, ma queue mollissante fut éjectée de son vagin, l’excès de sperme s’écoulant sur le draps blanc. Elle en recueillit sur ses doigts qu’elle porta à sa bouche.. « Tu aimes ? » lui ai-je demandé. Elle me répondit « c’est la première fois que j’y goûte, j’aime parce que ça sort de tes couilles à toi ! Jamais je n’y ai goûté venant d’un autre ni même de mon mari quand je l’aimais encore ».. Elle ajouta « Dommage que je sois trop vieille pour être enceinte, j’aurais vraiment aimé en faire un avec toi ! » Je pensai que Dieu merci, c’était trop tard, mais quelles retrouvailles !
Il me restait peu de temps à passer avec elle avant que je m’en retourne auprès de Victoire. Je préparai mes affaires, et nous nous quittâmes avec forces embrassades et promesses de se revoir vite. Il me restait juste assez de temps pour aller saluer ma mère et prendre mon vol pour l’Espagne.