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#2710288
Il me restait peu de temps à passer avec elle avant que je m’en retourne auprès de Victoire. Je préparai mes affaires, et nous nous quittâmes avec forces embrassades et promesses de se revoir vite. Il me restait juste assez de temps pour aller saluer ma mère et prendre mon vol pour l’Espagne.

Suite

Nos retrouvailles furent affectueuses. Victoire me trouva en pleine forme, me dit-elle, ajoutant que mon petit séjour auprès de ma mère semblait m’avoir fait du bien. La garce !
Elle voulut savoir qui j’avais vu parmi nos amis, qui était avec qui etc.. tout en tournant autour du pot ! « Et Lison ? » Je lui ai raconté que nous nous étions vus, qu’on avait couchés ensemble, que j’avais même passé une nuit avec elle, qu’elle m’avait servi un petit déj’ au lit.. Et puis voilà tout ! Elle m’a dit qu’elle ne se contenterait pas d’un rapport aussi succinct, il allait falloir que je développe !
« Que veux-tu que je développe ? » Elle voulait tout savoir, comment ça s’était passé depuis le tout début, heure par heure, minute par minute, ce que j’avais dit, ce qu’elle m’avait dit !.. un vrai debriefing ! jamais je ne lui avais demandé de détailler à ce point sa relation avec P.. ou avec d’autres de ses conquêtes ! De bon gré je lui ai tout dit.. ou presque. Elle a conclu en me demandant si je voulais encore faire l’amour avec elle, après ce que je venais de vivre avec Lison. Notre contrat moral précisait que nous pouvions baiser avec qui nous voulions, mais il lui semblait que j’y avais contrevenu : je n’avais pas simplement baisé Lison, nous avions fait l’amour, subtile nuance ! « Tu l’aimes ? » je lui ai répondu façon « berger à la bergère » : ni plus ni moins que toi avec P.. Tu l’as dit toi-même que tu ne peux pas coucher avec un homme si tu n’es pas un peu amoureuse de lui. Moi c’est pareil. Elle fut satisfaite et nous nous embrassâmes tendrement.
Le reste des vacances fut paisible sous un soleil généreux. Entourés d’enfants, petits enfants et d’amis, nous n’eûmes plus guère l’occasion de revenir sur le sujet . Nous quittâmes l’Espagne pour revenir chez nous fêter l’anniversaire de Victoire. Je ne comptais pas retrouver Lison, partie dans les Landes pour un mois, retrouver son petit ami local. Elle me manquait déjà. Je lui ai téléphoné pour avoir de ses nouvelles. Tout allait bien, elle avait retrouvé Ph.. qui lui avait réservé un appart’ plus grand avec vue sur l’océan (gratos).. et il lui enseignait la technique du surf (gratos) ! Elle était heureuse. « Quand rentreras-tu ? ».. « Bientôt » me dit-elle, « et je compte sur toi pour me baiser car avec Ph.., depuis que je te connais, c’est pas top, en plus il est doit se couvrir de latex ! » Elle en profita pour me rappeler d’aller me faire tester. Mon médecin me fit la prescription pour me faire le VIH mais il ajouta l’hépatite C, beaucoup de gens ignorant qu’ils sont positifs car il n’y a pas de symptômes clairs. J’eus le résultat une semaine plus tard : VIH négatif – Hépatite C positif !!! on me conseilla de voir un spécialiste qui m’annonça que ce n’était pas contagieux par voie sexuelle, mais bien par voie sanguine : échange de seringues entre drogués, etc.. Une biopsie du foie fut faite et révéla que je devais être porteur de ce virus depuis plus de vingt cinq années ! Mon foie devenait fibreux, en route pour la cirrhose. Mais avec un traitement je pouvais récupérer. Seule restriction absolue : pas d’alcool pendant deux ans ! « Et si je ne fais rien j’en ai pour combien de temps docteur ? » Alors ça dépend des individus mais il ne me donnerait pas plus de dix ans. Merci Lison, tu m’as sauvé la vie, je te la dois ! Je n’évoquerai pas la pénibilité du traitement, qui à l’époque était un remède de « cheval » très coûteux. J’y suis passé et j’ai survécu !
Comment allai-je gérer cette relation avec Lison, et m’accorder avec Victoire pour me laisser cette liberté nouvellement acquise. Je la sentais un peu frustrée d’avoir abdiqué son rôle de tsarine. Elle semblait m’envier d’avoir une libido active et d’en faire profiter plus Lison qu’elle. Nous faisions pourtant l’amour assez régulièrement mais c’était sans le sel de la passion. Lison revint un mois plus tard, j’avais la langue qui pendait d’envie rien qu’à l’idée de la sauter et Victoire voyait ça d’un œil envieux.. Me voyant dans cet état tout en étant hésitant, elle me poussa à aller la rejoindre pour assouvir cette faim vorace qui me tenaillait. « Mais vas-y, va la baiser ta Lison, je vois bien que tu en crèves d’envie, et après tu me raconteras ».
J’y suis allé, le test VIH dans ma poche ; elle m’attendait dans son jardin vêtue de la même robe de cotonnade bleue avec des dessins jaunes qu’elle portait lors de nos première retrouvailles. Elle était superbe : le soleil avait bronzé son corps, ses cheveux avaient blondis, le sport avait aminci son ventre. Nous avions aussi soif l’un de l’autre, on s’est embrassés longuement. Je l’ai prise dans mes bras pour l’emmener dans la chambre. Sa robe remontée découvrait ses cuisses bronzée, j’apercevais le petit triangle de coton blanc enserrant les lèvres de son sexe. Que c’était beau et appétissant ! J’aurais voulu la déguster tout de suite mais elle a toujours eu besoin de préliminaires assez longs avant de me laisser atteindre le Graal ! Il fallait prendre un verre (que je pris sans alcool), parler d’elle, de moi, de Victoire, me parler de ses vacances, de Ph.. son ami local, ensuite elle aimait se laisser déshabiller avec lenteur, pièce par pièce en terminant par sa petite culotte. J’aimais voir sa fente apparaître sous sa toison blonde (car elle était une blonde véritable). Nous entreprîmes toute la procédure pour enfin toucher au but : l’enlèvement final de la petite culotte de coton blanc bordée de dentelle. Rien de sophistiqué chez elle : pas de soutif’ en dentelles, de porte-jarretelle, de guêpière ni autres artifices. Son corps était bronzé sans trace de maillot : « tu as fait du nudisme ? » Non, mais elle s’éloignait loin sur la plage kilométrique des Landes pour pouvoir faire de l’intégral en toute tranquillité. Couchée sur le dos, les jambes tendues vers moi, je saisis l’élastique de son petit slip et tirai lentement. Je découvris avec attendrissement qu’elle avait fait une toilette tout aussi intégrale de sa petite touffe blonde. « J’ai coupé d’abord aux ciseaux puis j’ai passé le rasoir, j’ai même pris un selfie, je te montrerai ; j’en ai gardé une touffe pour toi ! » Elle s’étendit de tout son long sur le drap blanc : quelle beauté appétissante que j’allais pouvoir déguster. . Nous nous glissâmes sous le drap, serrés l’un contre l’autre, ses seins s’écrasant sur ma poitrine ; elle me saisit la queue qu’elle branla doucement, puis ce fut le tour des couilles qui furent malaxées en douceur. Je lui caressais la fente fraîchement épilée puis y glissai deux doigts pour exciter son petit bouton : elle replia brusquement ses cuisses sur son buste.. « c’est trop fort, tu vas trop vite » me dit-elle dans un souffle.. Nous restâmes un moment sans bouger, enfin elle se décontracta et je puis la reprendre dans mes bras.. « Maintenant je suis prête, prends moi, je veux te sentir dans mon ventre, que ton gland touche ma petite bouche, oui je te veux tout de suite ! » Exécution, je la remets sur le dos, lui relève les jambes et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde après lui avoir enduit l’entrée de la chatte avec du gel lubrifiant. « Toi tu la touches ma petite bouche, oui ya que toi qui la touche, ya que toi !.. Ph.. lui il est trop court, je l’aime bien mais il ne fait pas le poids.. ya que toi mon amour ! » Que dirait-elle alors si elle accueillait une queue comme celle de P.. ou d’Ali ? Je l’ai baisée longtemps dans cette position, puis en nous retournant sur le côté elle s’est retrouvée couchée sur le ventre sur moi, ses gros seins s’écrasant une nouvelle fois sur mon torse. Elle les trouvait trop gros et pensait les faire réduire ! Je l’en ai dissuadée.. Elle se mit alors à me chevaucher comme elle aime le faire, telle une cavalière sur un étalon. La vue de ses seins agités en cadence m’excita follement : j’en saisissai les pointes et tirai dessus en les faisant rouler entre mes doigts ; cela la fit rugir ! Alors je me mis à les sucer tour à tour l’un puis l’autre tout en m’enfonçant en elle, je l’observais perdre pieds. Pour favoriser la venue de la jouissance je lui administrai quelques solides paires de claques sur le fessier : elle ouvrit la bouche tout en fermant les yeux, émis une sorte de feulement de lionne qu’elle ponctua de grognements rauques répétés plusieurs fois, et finit par s’aplatir sur moi, la tête contre la mienne : « tu es un salaud mais je te pardonne, tu m’as fait jouir comme jamais, mais ne recommence pas les claques sur mes fesses, ça me fait partir trop vite. Maintenant je veux que tu prennes aussi ton plaisir, tu veux aussi des claques sur ton cul mon beau salaud ? » Je pris « mon plaisir » comme elle aime le dire mais je la fis partir encore une fois avant de me vider en elle. Ne voulant pas souiller le drap encore immaculé elle se précipita nue à la salle de bain ; je la suivai caméra video au poing et me mis à la filmer assise sur la cuvette ; étant myope elle ne réalisa pas tout de suite que j’étais en train de la filmer. Lorsqu’elle s’en aperçut, ce fut alors une des scènes plus cocasses que j’eus à prendre en vidéo ! Tout en manifestant de la colère, elle cachait qu’elle en riait, essayant de se cacher les seins avec une serviette ; mais pourquoi seulement les seins ? J’étais à nouveau un salaud, voyeur de surcroit, chose que je revendiquai sans m’en cacher. Nous prîmes la douche ensemble et là, à force de caresses je fus pardonné et même au-delà : elle s’accroupit soudain et, saisissant ma queue elle se mit à me faire une fellation en se concentrant sur le gland, partie la plus sensible comme chacun sait. Me sentant venir, la pression montant, je voulus l’avertir mais ce fut trop tard : elle pris la semence dans la bouche, puis libérant l’engin elle éclata de rire en toussant, la langue couverte de muqueuse blanchâtre qu’elle avala. « Je sentais bien que ça arrivait » me dit-elle « il y avait comme des pulsions dans ta queue et j’ai voulu sentir le jet dans ma gorge comme lorsque tu éjacules dans mon vagin, mais là tu as failli m’étouffer ! » Ce fut tout pour ce soir-là. Je ne pouvais pas passer la nuit avec elle, Victoire n’étant pas prévenue. Je rentrai donc à minuit auprès de mon épouse qui, heureusement ne se réveilla pas tout-à-fait. Je me glissai auprès d’elle, elle chercha et trouva ma queue mollissante, la comprima en faisant sortir un peu de fluide ce qui lui fit faire cette brève réflexion : « ah, je vois ! ».. Se retournant, elle se rendormit.
J’allai retrouver Lison lorsque Victoire, ayant d’autres programmes (non sexuels) pour les soirées m’accordait le champs libre. Elle me voulait plus souvent que je ne le pouvais, Victoire comptant sur moi pour l’accompagner lorsque nous étions invités.
Nous nous retrouvions parfois à déjeuner elle et moi avec mon frère ; au cours de la conversation il commit l’imprudence de dire que Victoire et moi étions divorcés…
Ah bon ? dit Lison, tu m’avais caché ça ! J’ai fusillé mon frère du regard et il s’est empressé de nuancer cette annonce en motivant la raison fiscale.. Mais le mal était fait ! Quelques semaines plus tard, au cours d’une nuit après que nous eûmes baisé jusqu’à nous faire perdre la raison, émergeant d’un blues postcoïtal elle me dit dans un souffle « épouse-moi ».. Je lui ai dit tout aussi doucement que ce n’était pas possible.. « Mais si c’est possible, tu le sais bien mais tu ne le veux pas ».. Je lui ai répondu que j’aimais Victoire et que je ne la quitterais pas.. « C’est donc que tu ne m’aimes pas comme moi je t’aime ».. J’ai répondu que je vous aimais toutes les deux mais quant à t’épouser, tu le sais aussi bien que moi, ce n’est pas possible. Elle n’en parla plus ; elle se lova dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement.
En la quittant cette nuit-là elle me dit : «emmène-moi en voyage alors »..
DANA, regardiscret, Wysiwyg et 32 autres a liké
#2710443
elianeetserge a écrit :merci c est super


Merci elianeetserge! C'était notre histoire et nous sommes heureux de voir qu'elle vous intéresse. Tous les faits sont réels, mais décrits de façon concentrée. Il faut tenir compte de la composante "temps", toutes ces péripéties se sont déroulées sur une durée que le récit ignore forcément car relevant de la vie de tous les jours, sans intérêt pour vous.
#2710470
@trestigres Je vois que tu as repris la publication de tes merveilleux récits, toujours superbement illustrés. Que de souvenirs en effet qui doivent remonter dans ta mémoire et non des moindres. On sent beaucoup de sensualité et de désir de la part de Lison mais aussi beaucoup d'amour, d'où l'envie de se marier. Situation délicate en effet car Victoire et toi, c'est une histoire pour la vie. J'ai aperçu aussi le côté candauliste qui ressortait quand tu as parlé des sexes de P et d'Ali. Cela va t'il donner une suite inattendue à la relation entre Lison et toi ? Victoire elle, est passée de l'autre côté, celui de la personne à qui on raconte ses aventures sexuelles. Ne serait-elle pas aussi un peu candauliste, tout en étant un peu jalouse je pense de cette complicité avec Lison.
Bon courage en attendant les résultats. Au plaisir
michpat, mika007 a liké
#2710830
@trestigres tout d'abord, un double merci : pour tes textes si bien écrits et pour les formidables photos qui les illustrent.
Les intermittences de vos cœurs, à Victoire et toi, auraient beaucoup plu à Marcel Proust. Vous êtes, selon moi, des papillons aux ailes chamarrées qui butinent les fleurs qui peuvent passer à côté de leurs battements émotionnels. Oui, vous avez aimé plusieurs personnes à la fois, mais de façon et avec une intensité différentes. Mais, et c'est au fond l'essentiel, vous n'avez eu qu'un seul vrai et immense amour : V et toi, l'un envers l'autre. Amour indépassable et structurant qui a rythmé et bercé vos vie. Elle tsarine, toi Potiomkine. Un couple indestructible et fascinant.
J'espère que Victoire, la tsarine coquine, va mieux. Je lui fais plein de bisous poétiques <3
maxou501, sergio a liké
#2711081
Merci mes amis. Victoire va mieux, la scintigraphie n'a rien révélé de négatif, un statu quo en sorte! ; elle apprécie les bisous, surtout les poétiques. C'est mon tour maintenant: je suis attaqué par le virus de la varicelle: j'ai un zona qui me fait beaucoup souffrir. Raison pour laquelle j'ai interrompu mes posts. Mais je vous lis et vous répondrai.
Ah misère! la vieillesse est un naufrage disait V. Hugo avec raison.
A bientôt dès que je me sentirai mieux..
#2711085
@trestigres ravi pour Victoire et désolé pour toi. Décidément, le mauvais œil ne vous quitte pas. Tous mes vœux de prompt rétablissement et baisers poétiques à la tsarine puisqu'elle les apprécie. Reviens-nous vite.
michpat, sergio a liké
#2711808
Je vous remercie pour vos encouragements!
Cette saleté me fait souffrir depuis quinze jour mais ça commence à aller mieux heureusement.
Je vais repartir au soleil espagnol, je redoute les saints Mamert, Pancrace et Boniface qui sont les trois saints de glaces, sans compter saint Urbain qui "les tient tous dans sa main" comme dit le dicton. Attention donc aux 11,12 et 13 mai!
Bon we
#2711809
Je vous remercie pour vos encouragements!
Cette saleté me fait souffrir depuis quinze jour mais ça commence à aller mieux heureusement.
Je vais repartir au soleil espagnol, je redoute les saints Mamert, Pancrace et Boniface qui sont les trois saints de glaces, sans compter saint Urbain qui "les tient tous dans sa main" comme dit le dicton. Attention donc aux 11,12 et 13 mai!
Bon we
c2b78 a liké
#2711810
trestigres a écrit :Je vous remercie pour vos encouragements!
Cette saleté me fait souffrir depuis quinze jour mais ça commence à aller mieux heureusement.
Je vais repartir au soleil espagnol, je redoute les saints Mamert, Pancrace et Boniface qui sont les trois saints de glaces, sans compter saint Urbain qui "les tient tous dans sa main" comme dit le dicton. Attention donc aux 11,12 et 13 mai!
Bon we


Désolé pour ce doublon
maxou501, sergio a liké
#2711990
Quelques semaines plus tard, au cours d’une nuit après que nous eûmes baisé jusqu’à nous faire perdre la raison, émergeant d’un blues postcoïtal elle me dit dans un souffle « épouse-moi ».. Je lui ai dit tout aussi doucement que ce n’était pas possible.. « Mais si c’est possible, tu le sais bien mais tu ne le veux pas ».. Je lui ai répondu que j’aimais Victoire et que je ne la quitterais pas.. « C’est donc que tu ne m’aimes pas comme moi je t’aime ».. J’ai répondu que je vous aimais toutes les deux mais quant à t’épouser, tu le sais aussi bien que moi, ce n’est pas possible. Elle n’en parla plus ; elle se lova dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement.
En la quittant cette nuit-là elle me dit : «emmène-moi en voyage alors »..


(suite)

Retrouvant Victoire à trois heures du matin, à peine rentrée de sa soirée entre copines, je lui ai relaté la nuit avec Lison, sans omettre qu’elle me demanda de l’épouser puisque nous étions divorcés. « Et ? » me demanda Victoire.. « Eh bien je lui ai dit que c’était impossible ». Victoire sembla un peu ébranlée par cette demande de Lison. La sachant veuve et seule dans la vie, il estima assez normal qu’elle essaya de se recaser avec un homme. Mais pas avec le sien ! « Tu l’aimes ? » Je lui ai dit que je vous aime toutes les deux, mais pas de la même façon, « comme tu m’avais dit lorsque je t’avais posé la question à propos de P.. » « Ah d’accord » dit-elle. A propos de P.. Victoire m’informa qu’il avait été plaqué par sa copine qui avait décidé de se trouver un mec plus jeune pour faire des enfants.. « Pas du tout le programme de P.. tu l’auras compris ! » Je lui ai demandé si elle allait renouer avec lui, mais elle ne le pensait pas, du reste aurait-il encore voulu d’elle après avoir goûté à une jeune de vingt années de moins que lui ?
Les vacances de Noël approchant Victoire m’annonça qu’elle partirait pour l’île de la Barbade avec les enfants.. Comme le projet ne me branchait pas vraiment, j’entrevis l’occasion d’emmener Lison faire un petit voyage. J’informai Victoire que je ne viendrais pas. Elle eut vite compris que j’avais en tête l’envie rester pour être avec Lison ; je n’ai pas démenti. Elle s’envola donc avec la famille; je me trouvai seul. J’appelai Lison pour lui annoncer que je viendrais m’installer chez elle le soir même avant de l’emmener faire un petit voyage. Elle fut folle de joie. Je débarquai chez elle pour l’emmener à son resto écailler favori où elle se goinfra de tourteaux et de langoustines, arrosés d’un vin blanc de Loire qui eut vite fait de rendre l’atmosphère festive ! Revenus chez elle, une nouvelle bouteille fut ouverte et l’ambiance chaude augmenta encore : elle mit un CD de Piazzola et nous singeâmes un tango. Mais l’alcool agissant, nous nous cantonnâmes au slow ! Elle me demanda de lui enlever ses vêtements un par un, elle ferait de même avec moi ! En peu de temps nous nous retrouvâmes nus, collés l’un contre l’autre, ses seins contre mon torse et ma queue dressée contre son bas-ventre. Elle la saisit et commença à la caresser pendant que, lui prenant les fesses à pleine main, je me mis claquer chacun de ses globes. « Oh là là, on va monter terminer la danse sur le lit, et tu vas arrêter tout de suite ce que tu me fais ! » On se projeta sur le drap tout blanc du lit. Elle était franchement entamée : elle voulut que l’on se place en soixante neuf ; elle me pris dans sa bouche pendant que sa fente dégoulinante de cyprine se trouva à portée immédiate de ma langue. Je lui bouffai la vulve avec avidité pendant qu’elle, après s’être enduite la main de cyprine et lubrifié ma tige, me branla tout en me suçant. J’introduisis ma langue dans sa chatte, elle avait cette saveur marine que j’adore ! je m’activai sur son petit bouton tout en lui administrant de fortes claques sur les fesses. Elle grogna de plaisir en me suppliant de continuer « encore encore ! » Je sentais qu’elle venait, tout comme moi du reste ! Elle avait arrêté de me sucer, signe qu’elle était tout proche de l’orgasme.. Soudain elle raidit tout son corps tout en saisissant des deux mains mes testicules qu’elle comprima au point de me faire mal, puis poussant un rugissement sauvage, de sa vulve jaillit un puissant jet que je pris en pleine figure. Elle gémit encore plusieurs fois puis s’apercevant de l’inondation qu’elle avait provoquée elle se confondit en excuses en m’essuyant le visage..
Elle n’en avait pas fini avec moi : je la retournai sur le dos et la pénétrai en force ce qui prolongea sa jouissance. Elle m’encourageait « vas-y encore, baise-moi comme une brute, c’est ce que je mérite, je ne suis qu’une chienne, qu’une pute !.. je veux ta jouissance dans le fond de mon ventre, viens, je te veux !.. » Et je m’exécutai en poussant des grognements d’auroch : de longs jets de semence frappèrent sa « petite bouche ». « Ouiiii, je te sens, tu as bien tiré mon amour, je t’aime ! » Nous roulâmes chacun sur le côté, épuisés et heureux ! Elle saisit mon membre endolori, me caressa les testicules oubliant qu’elle les avait maltraitées auparavant. Nous restâmes couchés l’un contre l’autre pour récupérer pendant un certain temps. J’avais le blues du postcoït mais elle se préparait déjà à la suite. J’avais soif, elle m’en apporta. Elle fit couler un bain dans lequel nous nous glissâmes avec délice, l’un en face de l’autre.
Alors nous envisageâmes notre voyage… Elle énuméra des destinations exotiques oubliant qu’elle nourrissait une véritable phobie des voyages en avion ! Elle aimait les voyages en bâteau, en train, en voiture et à cheval. Le choix fut vite limité : Victoire étant absente pendant quinze jours, on se rabattit sur les pays européens. Elle me parla des Landes, je lui opposai le Midi et la Méditerranée, elle évoqua la Normandie, je lui proposai la Bretagne. Pourquoi pas l’Italie ? Ou l’Espagne ? Rien de sérieux ne sortit de ce premier tour d’horizons, d’autant moins que je m’amusais à l’exciter en introduisant mon gros orteil dans sa chatte.. « Mais diiis ! qu’est-ce que tu me fais là ? Arrêêête ! »Elle ouvrit la bonde de la baignoire, le niveau baissa rapidement ce qui eut pour effet immédiat de nous en extraire. Je l’emballai dans la serviette qu’elle ouvrit pour m’y accueillir contre elle. Le contact de l’épiderme chaud et humide de ses seins et de son ventre contre moi fut voluptueux ! Je saisis chacun de ses globes fessier dans mes mains et me mis à lui caresser son petit trou des reins. Elle glapit de plaisir : « Oh oui, prends-moi par là, j’ai envie ! » Je ne l’avais jamais sodomisée mais l’envie me visitait régulièrement. Maintenant qu’elle me le demandait, c’était l’occasion. « Viens, je vais te montrer comment me nettoyer l’intérieur » me dit-elle en m’entraînant dans la cabine de douche. Elle dévissa le pommeau du flexible et le remplaça par un petit embout de plastique destiné à être introduit entre ses fesses. « Attention à la température de l’eau, elle doit être tiède ».. une fois réglée, j’introduisis le petit embout dans son petit trou bien serré qui n’avait pas dû être visité bien souvent. « Je dois bien serrer les fesses pour que l’eau ne s’échappe pas » me dit-elle alors que j’ouvrais le robinet. N’ayant aucune expérience en la matière, j’observais son ventre s’arrondir en se remplissant. « Arrête, tu vas me faire éclater ! » Serrant les fesse elle se précipita sur la toilette pour faire la vidange. L’opération fut reconduite plusieurs fois, cinq fois peut-être, jusqu’à ce que l’eau s’échappant de son ventre soit claire : elle était prête ! « Tu iras doucement, même si c’est pas la première fois que je suis pénétrée par là ». Je ne l’avais jamais fait ni à Victoire, ni à quiconque d’autre. Allongés sur le lit elle me demanda de la prendre d’abord dans sa chatte et que lorsqu’elle serait prête, « ça veut dire quoi ? » .. « quand tu m’auras bien excitée, alors on le fera par là ». La perspective de pénétrer dans ce petit trou des reins tapi entre la rondeur de ses fesses me fit bander très dur. J’engouffrai en force ma queue dans son ventre, elle encaissa le coup en grognant de surprise. « Vas-y mon chéri, défonce-moi, j’aime quand tu me baises en force comme ça ! » Prudemment je me retins de jouir, me réservant pour la suite. Je dûs m’éjecter brusquement, sentant que le point de non retour pouvait survenir à tout instant. « Oooh noon, pourquoi tu sors ? » je lui donnai l’explication : « je dois attendre un peu que la pression baisse sinon je vais éjaculer ! » Ayant calmé la bête en détournant mon regard de son corps nu, la retournant sur le ventre, lui écartant les fesses j’enduisis le petit orifice de gel, ainsi que mon gland. Comprimant fortement ma queue, la pénétration fut étonnamment aisée, sans douleur pour elle. Elle poussa un profond gémissement tout au long de la pénétration. Ma queue fut entièrement avalée dans son ventre sans rencontrer aucun obstacle. Elle manifesta son plaisir en hululant doucement, ponctué par des grossièretés que je n’avais pas encore entendues de sa part ! Elle voulut que j’introduise son petit vibro dans le vagin laissé vacant. Lorsque je le mis en marche, elle gronda profondément « Rhôôôô, là tu vas me faire jouir très vite et très fort, je le sens venir ». Je la pilonnai d’autant plus. Elle m’avoua alors un de ses fantasmes : « Là tu vois, je rêve qu’un autre soit là, me prenne devant à la place de ce ridicule vibro qui ne remplacera jamais une bonne queue ! » Et l’instant d’après, cette pensée ayant produit son effet, elle hurla sa jouissance, ce qui déclencha la mienne : je me vidai dans ses reins sans qu’elle s’en aperçoive, tant elle était absorbée par son orgasme. « Et toi ? tu as pris ton plaisir ? »..
Oh combien !
#2712200
Yvelines49 a écrit :Quel récit !! Merci beaucoup cher @trestigres :x


Pas de quoi! Ravi si cela vous plaît. Je suis aussi heureux de partager ces souvenirs que nous avons conservés Victoire, Lison et moi (dans mes petits carnets) sans jamais oser en parler à qui que ce soit. Photos, récits, tout cela risquait de valser dans les poubelles de l'histoire sans avoir été partagé ! Il en reste encore à vous livrer et une montagne de photos extraites de nos vidéos (qualité nmoyenne forvément).. Bonne soirée
#2712260
@trestigres encore un superbe récit Illustré à merveille. Très chaud 3ntre toi et Lison ..et on sent une ouverture vers autre chose à la fin , avec la réflexion sur le vibro, qui risque de mener sur de nouveaux chemins pour elle.....la coquine...
#2712660
Chers amis, je note comme une lassitude, un désintérêt, peut-être même un peu d’ennui à lire nos aventures passées, vous qui êtes tous si actifs dans le présent. Comme je vous comprends ! Ce vieux qui vous bassine avec les turpitudes de son épouse avec son amant et des siennes avec sa maîtresse alors que vous semblez tous passés à des aventures et des expériences oh combien plus érotiques et sensuelles !
Je vais suivre le conseil de Victoire : faire une pose d’une durée indéterminée en ne postant pas la suite, pourtant déjà toute prête. Nous repartons pour retrouver le soleil d’Espagne ! … et peut-être qu’un jour je vous raconterai la suite et la fin du récit.
Merci à tous ceux qui nous ont suivis : Yvelines49 claire95 elianeetserge FB57 michpat Masterlaurent Dionysos06 sergio maxou501
Nous espérons que vous aurez encore du plaisir à nous lire à l’avenir..
A ciao
DANA, apiflore, jetski et 16 autres a liké
#2712765
Je reprends la lecture de tes-vos aventures de couples libres et je dois dire que c'est toujours aussi bon à lire.
Victoire et Lison t'ont apportés l'une et l'autre beaucoup d'amour et de sexe. Ce fut reciproque.
Elles semblent avoir été complémentaires dans leurs façons de t'aimer et te faire l'amour.

Bonnes vacances à vous.
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