- 29 avr. 2023, 22:25
#2710288
Il me restait peu de temps à passer avec elle avant que je m’en retourne auprès de Victoire. Je préparai mes affaires, et nous nous quittâmes avec forces embrassades et promesses de se revoir vite. Il me restait juste assez de temps pour aller saluer ma mère et prendre mon vol pour l’Espagne.
Suite
Nos retrouvailles furent affectueuses. Victoire me trouva en pleine forme, me dit-elle, ajoutant que mon petit séjour auprès de ma mère semblait m’avoir fait du bien. La garce !
Elle voulut savoir qui j’avais vu parmi nos amis, qui était avec qui etc.. tout en tournant autour du pot ! « Et Lison ? » Je lui ai raconté que nous nous étions vus, qu’on avait couchés ensemble, que j’avais même passé une nuit avec elle, qu’elle m’avait servi un petit déj’ au lit.. Et puis voilà tout ! Elle m’a dit qu’elle ne se contenterait pas d’un rapport aussi succinct, il allait falloir que je développe !
« Que veux-tu que je développe ? » Elle voulait tout savoir, comment ça s’était passé depuis le tout début, heure par heure, minute par minute, ce que j’avais dit, ce qu’elle m’avait dit !.. un vrai debriefing ! jamais je ne lui avais demandé de détailler à ce point sa relation avec P.. ou avec d’autres de ses conquêtes ! De bon gré je lui ai tout dit.. ou presque. Elle a conclu en me demandant si je voulais encore faire l’amour avec elle, après ce que je venais de vivre avec Lison. Notre contrat moral précisait que nous pouvions baiser avec qui nous voulions, mais il lui semblait que j’y avais contrevenu : je n’avais pas simplement baisé Lison, nous avions fait l’amour, subtile nuance ! « Tu l’aimes ? » je lui ai répondu façon « berger à la bergère » : ni plus ni moins que toi avec P.. Tu l’as dit toi-même que tu ne peux pas coucher avec un homme si tu n’es pas un peu amoureuse de lui. Moi c’est pareil. Elle fut satisfaite et nous nous embrassâmes tendrement.
Le reste des vacances fut paisible sous un soleil généreux. Entourés d’enfants, petits enfants et d’amis, nous n’eûmes plus guère l’occasion de revenir sur le sujet . Nous quittâmes l’Espagne pour revenir chez nous fêter l’anniversaire de Victoire. Je ne comptais pas retrouver Lison, partie dans les Landes pour un mois, retrouver son petit ami local. Elle me manquait déjà. Je lui ai téléphoné pour avoir de ses nouvelles. Tout allait bien, elle avait retrouvé Ph.. qui lui avait réservé un appart’ plus grand avec vue sur l’océan (gratos).. et il lui enseignait la technique du surf (gratos) ! Elle était heureuse. « Quand rentreras-tu ? ».. « Bientôt » me dit-elle, « et je compte sur toi pour me baiser car avec Ph.., depuis que je te connais, c’est pas top, en plus il est doit se couvrir de latex ! » Elle en profita pour me rappeler d’aller me faire tester. Mon médecin me fit la prescription pour me faire le VIH mais il ajouta l’hépatite C, beaucoup de gens ignorant qu’ils sont positifs car il n’y a pas de symptômes clairs. J’eus le résultat une semaine plus tard : VIH négatif – Hépatite C positif !!! on me conseilla de voir un spécialiste qui m’annonça que ce n’était pas contagieux par voie sexuelle, mais bien par voie sanguine : échange de seringues entre drogués, etc.. Une biopsie du foie fut faite et révéla que je devais être porteur de ce virus depuis plus de vingt cinq années ! Mon foie devenait fibreux, en route pour la cirrhose. Mais avec un traitement je pouvais récupérer. Seule restriction absolue : pas d’alcool pendant deux ans ! « Et si je ne fais rien j’en ai pour combien de temps docteur ? » Alors ça dépend des individus mais il ne me donnerait pas plus de dix ans. Merci Lison, tu m’as sauvé la vie, je te la dois ! Je n’évoquerai pas la pénibilité du traitement, qui à l’époque était un remède de « cheval » très coûteux. J’y suis passé et j’ai survécu !
Comment allai-je gérer cette relation avec Lison, et m’accorder avec Victoire pour me laisser cette liberté nouvellement acquise. Je la sentais un peu frustrée d’avoir abdiqué son rôle de tsarine. Elle semblait m’envier d’avoir une libido active et d’en faire profiter plus Lison qu’elle. Nous faisions pourtant l’amour assez régulièrement mais c’était sans le sel de la passion. Lison revint un mois plus tard, j’avais la langue qui pendait d’envie rien qu’à l’idée de la sauter et Victoire voyait ça d’un œil envieux.. Me voyant dans cet état tout en étant hésitant, elle me poussa à aller la rejoindre pour assouvir cette faim vorace qui me tenaillait. « Mais vas-y, va la baiser ta Lison, je vois bien que tu en crèves d’envie, et après tu me raconteras ».
J’y suis allé, le test VIH dans ma poche ; elle m’attendait dans son jardin vêtue de la même robe de cotonnade bleue avec des dessins jaunes qu’elle portait lors de nos première retrouvailles. Elle était superbe : le soleil avait bronzé son corps, ses cheveux avaient blondis, le sport avait aminci son ventre. Nous avions aussi soif l’un de l’autre, on s’est embrassés longuement. Je l’ai prise dans mes bras pour l’emmener dans la chambre. Sa robe remontée découvrait ses cuisses bronzée, j’apercevais le petit triangle de coton blanc enserrant les lèvres de son sexe. Que c’était beau et appétissant ! J’aurais voulu la déguster tout de suite mais elle a toujours eu besoin de préliminaires assez longs avant de me laisser atteindre le Graal ! Il fallait prendre un verre (que je pris sans alcool), parler d’elle, de moi, de Victoire, me parler de ses vacances, de Ph.. son ami local, ensuite elle aimait se laisser déshabiller avec lenteur, pièce par pièce en terminant par sa petite culotte. J’aimais voir sa fente apparaître sous sa toison blonde (car elle était une blonde véritable). Nous entreprîmes toute la procédure pour enfin toucher au but : l’enlèvement final de la petite culotte de coton blanc bordée de dentelle. Rien de sophistiqué chez elle : pas de soutif’ en dentelles, de porte-jarretelle, de guêpière ni autres artifices. Son corps était bronzé sans trace de maillot : « tu as fait du nudisme ? » Non, mais elle s’éloignait loin sur la plage kilométrique des Landes pour pouvoir faire de l’intégral en toute tranquillité. Couchée sur le dos, les jambes tendues vers moi, je saisis l’élastique de son petit slip et tirai lentement. Je découvris avec attendrissement qu’elle avait fait une toilette tout aussi intégrale de sa petite touffe blonde. « J’ai coupé d’abord aux ciseaux puis j’ai passé le rasoir, j’ai même pris un selfie, je te montrerai ; j’en ai gardé une touffe pour toi ! » Elle s’étendit de tout son long sur le drap blanc : quelle beauté appétissante que j’allais pouvoir déguster. . Nous nous glissâmes sous le drap, serrés l’un contre l’autre, ses seins s’écrasant sur ma poitrine ; elle me saisit la queue qu’elle branla doucement, puis ce fut le tour des couilles qui furent malaxées en douceur. Je lui caressais la fente fraîchement épilée puis y glissai deux doigts pour exciter son petit bouton : elle replia brusquement ses cuisses sur son buste.. « c’est trop fort, tu vas trop vite » me dit-elle dans un souffle.. Nous restâmes un moment sans bouger, enfin elle se décontracta et je puis la reprendre dans mes bras.. « Maintenant je suis prête, prends moi, je veux te sentir dans mon ventre, que ton gland touche ma petite bouche, oui je te veux tout de suite ! » Exécution, je la remets sur le dos, lui relève les jambes et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde après lui avoir enduit l’entrée de la chatte avec du gel lubrifiant. « Toi tu la touches ma petite bouche, oui ya que toi qui la touche, ya que toi !.. Ph.. lui il est trop court, je l’aime bien mais il ne fait pas le poids.. ya que toi mon amour ! » Que dirait-elle alors si elle accueillait une queue comme celle de P.. ou d’Ali ? Je l’ai baisée longtemps dans cette position, puis en nous retournant sur le côté elle s’est retrouvée couchée sur le ventre sur moi, ses gros seins s’écrasant une nouvelle fois sur mon torse. Elle les trouvait trop gros et pensait les faire réduire ! Je l’en ai dissuadée.. Elle se mit alors à me chevaucher comme elle aime le faire, telle une cavalière sur un étalon. La vue de ses seins agités en cadence m’excita follement : j’en saisissai les pointes et tirai dessus en les faisant rouler entre mes doigts ; cela la fit rugir ! Alors je me mis à les sucer tour à tour l’un puis l’autre tout en m’enfonçant en elle, je l’observais perdre pieds. Pour favoriser la venue de la jouissance je lui administrai quelques solides paires de claques sur le fessier : elle ouvrit la bouche tout en fermant les yeux, émis une sorte de feulement de lionne qu’elle ponctua de grognements rauques répétés plusieurs fois, et finit par s’aplatir sur moi, la tête contre la mienne : « tu es un salaud mais je te pardonne, tu m’as fait jouir comme jamais, mais ne recommence pas les claques sur mes fesses, ça me fait partir trop vite. Maintenant je veux que tu prennes aussi ton plaisir, tu veux aussi des claques sur ton cul mon beau salaud ? » Je pris « mon plaisir » comme elle aime le dire mais je la fis partir encore une fois avant de me vider en elle. Ne voulant pas souiller le drap encore immaculé elle se précipita nue à la salle de bain ; je la suivai caméra video au poing et me mis à la filmer assise sur la cuvette ; étant myope elle ne réalisa pas tout de suite que j’étais en train de la filmer. Lorsqu’elle s’en aperçut, ce fut alors une des scènes plus cocasses que j’eus à prendre en vidéo ! Tout en manifestant de la colère, elle cachait qu’elle en riait, essayant de se cacher les seins avec une serviette ; mais pourquoi seulement les seins ? J’étais à nouveau un salaud, voyeur de surcroit, chose que je revendiquai sans m’en cacher. Nous prîmes la douche ensemble et là, à force de caresses je fus pardonné et même au-delà : elle s’accroupit soudain et, saisissant ma queue elle se mit à me faire une fellation en se concentrant sur le gland, partie la plus sensible comme chacun sait. Me sentant venir, la pression montant, je voulus l’avertir mais ce fut trop tard : elle pris la semence dans la bouche, puis libérant l’engin elle éclata de rire en toussant, la langue couverte de muqueuse blanchâtre qu’elle avala. « Je sentais bien que ça arrivait » me dit-elle « il y avait comme des pulsions dans ta queue et j’ai voulu sentir le jet dans ma gorge comme lorsque tu éjacules dans mon vagin, mais là tu as failli m’étouffer ! » Ce fut tout pour ce soir-là. Je ne pouvais pas passer la nuit avec elle, Victoire n’étant pas prévenue. Je rentrai donc à minuit auprès de mon épouse qui, heureusement ne se réveilla pas tout-à-fait. Je me glissai auprès d’elle, elle chercha et trouva ma queue mollissante, la comprima en faisant sortir un peu de fluide ce qui lui fit faire cette brève réflexion : « ah, je vois ! ».. Se retournant, elle se rendormit.
J’allai retrouver Lison lorsque Victoire, ayant d’autres programmes (non sexuels) pour les soirées m’accordait le champs libre. Elle me voulait plus souvent que je ne le pouvais, Victoire comptant sur moi pour l’accompagner lorsque nous étions invités.
Nous nous retrouvions parfois à déjeuner elle et moi avec mon frère ; au cours de la conversation il commit l’imprudence de dire que Victoire et moi étions divorcés…
Ah bon ? dit Lison, tu m’avais caché ça ! J’ai fusillé mon frère du regard et il s’est empressé de nuancer cette annonce en motivant la raison fiscale.. Mais le mal était fait ! Quelques semaines plus tard, au cours d’une nuit après que nous eûmes baisé jusqu’à nous faire perdre la raison, émergeant d’un blues postcoïtal elle me dit dans un souffle « épouse-moi ».. Je lui ai dit tout aussi doucement que ce n’était pas possible.. « Mais si c’est possible, tu le sais bien mais tu ne le veux pas ».. Je lui ai répondu que j’aimais Victoire et que je ne la quitterais pas.. « C’est donc que tu ne m’aimes pas comme moi je t’aime ».. J’ai répondu que je vous aimais toutes les deux mais quant à t’épouser, tu le sais aussi bien que moi, ce n’est pas possible. Elle n’en parla plus ; elle se lova dans mes bras et nous nous embrassâmes longuement.
En la quittant cette nuit-là elle me dit : «emmène-moi en voyage alors »..