- 10 juin 2023, 12:48
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Quelques mois plus tard, je profitai d’un déplacement professionnel en Savoie pour combiner ce petit voyage que Lison espérait. Ne pouvant m’accompagner au départ, je lui pris une réservation TGV pour Lyon où j’allai la récupérer, elle et son clebs qu’elle ne voulait pas placer en chenil ! Nous filâmes vers Avignon où j’avais réservé un bon hôtel. Après avoir dîné d’un plateau de fruits de mer accompagné d’un rosé de Provence nous regagnâmes notre hôtel bras dessus bras dessous, le chien sur nos talons. Inscrits comme un couple légitime, je récupérai notre clé et nous nous enfermâmes dans la suite que j’avais réservée : lit king size pour trois personnes, frigo-bar bien fourni, bubble bath bi-places, douche à l’italienne, profusion de produits de beauté, peignoirs, sels de bain, etc.. Lison fut folle de joie ! Elle fit couler l’eau dans l’énorme vasque, nous servit deux coupes de champagne et se mis à danser de plaisir la coupe à la main !
Elle se déshabilla, plongea dans le bain, et mit en marche le bubble. Elle était ravie, chantonnant « j’aime le luxe, j’aime le luxe et je t’aime toi ! ».. Je la rejoignis dans l’eau, agitée comme un tsunami par la puissance des bulles. Elle avait imprudemment déversé du « Bain moussant » à profusion ce qui produisit une montagne de bulles de savon dans laquelle elle disparut en riant tant et plus ! Je plongeai à sa recherche, attrapai une jambe puis un bras avant d’apparaître à travers ce brouillard. Nos têtes dépassant de la montagne de bulles, elle se colla à moi en me chevauchant, m’embrassa, saisit ma queue qu’elle branla, lubrifiée par les bulles de savon et, la raideur venant, l’introduisit dans sa chatte en se laissant tomber dessus ! Nous restâmes immobiles un long moment, regardant baisser le niveau des bulles, laissant apparaître ses seins que je ne pus m’empêcher de saisir et d’en sucer les tétons. Elle rejeta la tête en arrière, offrant sa gorge au vampire que j’aurais voulu être à cet instant ! J’arrêtai la machinerie et l’eau se calma, les bulles aussi. Je m’étendis dans l’eau jusqu’au cou, elle couchée sur moi, m’embrassant tout en me disant « Grâce à toi j’ai enfin un vrai voyage de noces que mon mari m’avait refusé, par pingrerie ! » Nous fîmes l’amour dans l’eau, elle jouit bruyamment, je suivis juste après elle. Du sperme s’écoula de sa chatte immergée dans l’eau, provocant de petits nuages. Nous restâmes dans la chaleur de l’eau, elle adossée contre mon torse, les fesses entre mes cuisses, nos mains entrelacées. Elle me racontait un peu de sa vie passée avec son mari, elle regrettait d’avoir quitté son job de secrétaire… Nous fîmes les plans pour le lendemain. Où irions-nous ? Elle ne connaissait que la côte Basque et l’océan. Elle manifestait un certain désintérêt pour la Méditerranée. Je proposai de lui montrer la côte de St Tropez à Menton. Il fallut tout d’abord réserver un hôtel. J’en connaissais un à Roquebrune-Cap Martin qui avait plu à Victoire, qui s’appelait « Les Deux Frères ». Il restait la chambre n°1, une suite portant le nom de « Nuit de Noce ». Je me marrai en le lui annonçant, car pour elle s’était bien son voyage de noce, elle était ravie. Il faisait hélas mauvais temps, la mer était très agitée et sur certaines promenades des galets avaient été projetés ! Nous ne nous attardâmes guère, visitant Fréjus, Cannes et Nice puis nous gagnâmes l’hôtel. L’hôtelier nous a annonça que demain il ferait beau temps. Un petit resto nous accueillit pour dîner : crustacés pour elle, poisson pour moi. Nous étions les seuls clients. Le patron vint faire la conversation, un peu trop peut-être.. car il revint plusieurs fois à la charge. Il était clair que Lison lui plaisait, il n’arrêtait pas de lui faire des compliments. J’estimais que c’était bon comme ça et le dis à Lison qui le prit mal ! « Tu es jaloux ? » Elle ne se rendait pas compte qu’en s’intéressant à ce qu’il disait elle l’aguichait, et lui en remettait ! Le repas terminé il rappliqua avec trois coupes de champagne et s’assit à notre table ! Je pus mettre assez rapidement un terme à ces familiarités non consenties par moi. « M’enfin Lison, tu veux te l’envoyer ou quoi ? » Elle pouffa en me répondant que « pourquoi pas, il est sympa et plutôt beau garçon, tu ne trouves pas ? » Elle avait nettement trop bu, j’étais fatigué, je l’entraînai en la tenant par le bras vers notre suite « Nuit de Noce ».. Je l’ai déshabillée et mise au lit ; elle voulu m’embrasser mais je la repoussai car son haleine sentait l’aïl, la cigarette et le vin « lave-toi au moins les dent ! » Sans m’écouter elle s’endormit en ronflottant. La nuit de noce, ce ne sera pas pour cette fois !
Elle me réveilla en m’embrassant –elle sentait bon- tout en me saisissant la queue encore endormie. « Viens, on va prendre un bain et puis le petit déj’ au lit. Et après je te veux en moi, alors il faut que ton camarade de jeu soit d’attaque !
Le bain fut l’occasion de quelques approches mais le plateau du petit déjeuner allait arriver. Lison en sortit la première et se trouvait nue dans la chambre lorsqu’on frappa à la porte ; n’étant pas verrouillée le garçon entra sans y être invité. « Oups ! » dit Lison frappée de stupeur, « je suis désolée » dit-elle !, « il n’y a pas de quoi » lui répondit le garçon en cherchant désespérément où déposer le plateau; « sur le lit » dit Lison cachant maladroitement ce qu’elle pouvait avec ses bras. Il sortit, habitué semble-t-il à ce genre de situation ! Elle se précipita dans la salle de bain : « il m’a vu toute nue, tu te rends compte ? Et il n’a rien dit ! » Je lui ai rétorqué que probablement tu n’étais pas son genre de femme. « Ah tu crois ? Moi je l’ai trouvé plutôt beau garçon » .. Ce petit événement sera probablement connu de tout le personnel, et je le dis à Lison. « Ça m’est égal, je ne suis pas si moche que ça après tout ! Ça lui a sûrement plu! » « Et moi, je te plais encore, ou bien tu préfère les jeunes garçons ? » « Rhôôô arrête ! toi tu es beau mais tu es un peu trop enveloppé, je devrai te mettre au régime, mais pas ta queue, elle me plaît bien comme ça ».
Nous prîmes le petit déjeuner sans faire couler de marmelade sur son corps nu. Mais elle ne pu s’empêcher de déposer en pouffant une cuillerée de miel liquide entre les lèvres de sa vulve. « Lèche-moi mon chéri » .. J’eus à nouveau ce délicieux mélange sucré-salé sur ma langue ; je nettoyai délicatement sa vulve et son petit joyau pour ne pas entraîner de miel dans le vagin lorsque je la pénètrerais. Un petit coup de douchette pour parfaire le travail et elle fut prête. Elle voulut me recevoir en elle. L’étroitesse de son vagin, encore endormi, opposa de la résistance à la pénétration de ma queue raidie par l’envie. Elle se plaignit et demanda que j’arrête mes tentatives. Avec le doigt je lui tapissai l’intérieur de gel lubrifiant ; j’enduisis également mon membre. « Oui maintenant je te veux.. » dit-elle. Ce fut voluptueux ! Je m’introduisis doucement, allant et venant dans ce fourreau étroit et chaud. « C’est comme si on le faisait pour la première fois, tu ne trouves pas, en plus dans notre chambre Nuit de Noce ! » Elle resta silencieuse un bon moment, puis soudain elle exprima un long gémissement très doux.. « C’est le vagin, je te sens tellement fort, tu m’as fait jouir vaginalement ! » Bonne nouvelle, c’était si rare avec elle. Lison se mit à califourchon sur moi puis de la main, elle me guida pour que je l’enfile plus vite. « baise-moi fort, à la hussarde, tu sens comme je me suis ouverte pour toi ? Je te veux au fond, frappe dur sur ma petite bouche, mon amour ! »
Elle se mit à geindre doucement ; « encore…encore » disait-elle.. Insatiable Lison !
Sans crier gare elle vint. Puissamment, en pointant une jambe vers le ciel de lit, pendant que je parachevais l’œuvre, elle exprima son orgasme bruyamment, ameutant tout l’hôtel. Elle resta inerte un bon moment ; puis comme je n’avais pas eu « mon plaisir » elle reprit ses esprits et me demanda de faire « Andromaque ». Nous étions face à face en nous enserrant dans les bras ; de sa main libre elle me saisit les couilles qu’elle comprima doucement.. « je veux que tu tires ta semence dans mon ventre, oh oui je le veux maintenant ». Elle se serra contre moi comprimant ses seins volumineux sur ma poitrine, et m’embrassa . « Je n’ai jamais joui aussi fort..tu es le premier à me faire ça.. » me dit-elle. Il n’en fallut pas plus pour provoquer un tir saccadé jusque dans le tréfonds de son ventre. « Ooh ! là tu as bien joui toi aussi mon amour » dit-elle en voyant s’écouler une humeur blanchâtre de son vagin. J’étais au tapis, dans les vap’s.. Elle non !, elle se leva guillerette, alla se doucher pendant que j’essayais péniblement de reprendre mes esprits. Elle revint emballée dans une grande serviette blanche, la tête ceinte d’un turban de tissu éponge : une princesse ! Elle ouvrit sa toge blanche et m’enveloppant, elle pressa son corps moite contre le mien. « Bon, alors on y va ? » demanda-t-elle. Sentant que je reprenais involontairement vigueur, elle me dit « non, non, on va se promener maintenant ! »
Nous fîmes nos préparatifs pour quitter l’hôtel et j’allai régler la note. En avisant mon visage fatigué le préposé me demanda en affichant un léger sourire si tout s’était bien passé.. « Oui oui bien sûr, c’était parfait ». Clairement, les glapissements orgasmiques avaient transpercés les parois ! Nous sortîmes bras dessus bras dessous, salués par une brochette du personnel de l’hôtel. « Bon séjour ! Revenez quand vous voulez, ce sera toujours avec plaisir que nous vous accueillerons » dirent-ils. Lison rougissant me dit « Rhôôô ils ont tout entendu, tu as vu leurs airs envieux ? Je suis gênée ». Moi pas, j’apprécie que le petit personnel de l’hôtel l’ait entendue et qu’ils auraient bien aimé être à ma place !
Nous nous promenâmes sur le cap Martin puis allâmes nous restaurer à Menton. Lison n’étant jamais été en Italie, je lui fit traverser la frontière et l’emmenai jusqu’à San Remo. Nous passâmes la nuit à Nice où nous logeâmes au Negresco dont je voulais lui montrer le luxe « Belle époque ». Mais elle n’apprécia que mollement ; si elle aime le luxe discret, celui du Negresco lui paru tapageur et en contradiction avec ses convictions sociales. Mais cela ne l’empêcha pas d’apprécier la chambre de style vénitien, le lit plus particulièrement dans lequel nous nous ébattîmes furieusement après avoir dîné d’un homard à la nage et bu plus que de raison. Elle pris goût au Negresco, nous y passâmes quelques jours de plus que prévu.
Mais le temps maussade et le mistral nous fit prendre la fuite vers le nord.
Victoire allait revenir avec la famille de son voyage à la Barbade, je désirais être à la maison pour son retour. Je déposai Lison chez elle mais elle ne me laissa pas partir sans m’avoir fait une petite gâterie qui en enchaîna une autre.. Elle voulut que je la déshabille et nous nous retrouvâmes au lit, une fois de plus ! Elle me fit promettre que je l’emmènerais encore en voyage. Je promis..