- 16 juin 2023, 23:57
#2721472
Une Victoire en pleine forme revint au bercail après son escapade à l’île de la Barbade. Qu’avais-je fait pendant ces quinze jours ? Je ne lui ai rien caché. Elle m’a demandé si je respectais bien notre accord. Oui et même que le fait d’avoir fait ce bref voyage avec Lison m’avait convaincu que je ne pourrais jamais vivre avec elle, notre façon de voyager et nos centres d’intérêts étant trop différents. Passer quatre ou cinq jours avec elle était très plaisant mais il m’apparaissait clairement que, en dehors du sexe je ne pourrais me satisfaire de sa compagnie guère plus longtemps. Je découvris aussi qu’elle était assez capricieuse, qu’elle pouvait se mettre à bouder si je ne lui donnais pas satisfaction (hors sexe !) et pouvait être rancunière. Sa belle fille, avec qui je m’entendais bien me l’avais déjà signalé : elle pouvait aussi piquer une colère pour une vétille ! Et j’allais en faire l’expérience plus tard.
L’année se passa tranquillement ; j’allai rendre visite à Lison une fois par semaine ce qu’elle me reprocha, estimant que le partage était trop en sa défaveur ! Je convins alors avec Victoire de me laisser passer une nuit avec elle de temps à autre, comme elle l’avait fait avec P.. Un peu contre son gré elle accepta.
Un midi, alors que nous déjeunions un ami et moi dans un de nos bistrot habituel, je vis entrer Victoire avec P.. ! Elle ne nous vit pas au moment même, ils s’installèrent non loin de nous. Forcément je les observais, lorsque je vis P.. prendre la main de Victoire et la porter à ses lèvres. Il y avait donc du neuf entre ces deux-là ! Nous terminions notre repas, je me levai et me dirigeai vers eux. Elle paru un peu surprise de me voir, se demandant si j’avais surpris certains gestes d’affection envers lui. Elle prit un ton enjoué, P.. était revenu de Bretagne ce matin et il l’avait invitée.. « L.. ne t’a pas accompagné ? » ai-je demandé à P.. Echange rapide de regards entre Victoire et P.. « En fait non.. L.. (la greluche) et moi sommes séparés « a répondu P.. Je me perdis en conjectures : allaient-ils reprendre leur relation ? Je compris alors le sens de ce que Victoire m’avait annoncé quelque temps auparavant : revenant d’une visite de routine chez sa gynéco, elle m’avait annoncée qu’elle lui avait conseillé un nouveau traitement d’hormones peu suspect de provoquer le cancer du sein ; elle avait décidé de le tester mais que les effets ne se feraient sentir que d’ici quelques semaines ou mois. C’était une bonne nouvelle car elle avait bien de la réticence à m’accepter en elle. Peu après cette rencontre fortuite je lui ai demandé s’il y avait un rapport entre les retrouvailles avec P.. et sa décision de reprendre des hormones.. Elle rit comme chaque fois qu’elle se sentait embarrassée ; « oui c’est évident » mais en ajoutant que j’en serait aussi bénéficiaire ! Elle fut tout aussi franche quand, lui ayant posé la question, elle me dit que oui, ils avaient à nouveau couchés ensemble mais que ça n’avait pas été concluant pour elle ; elle attendait beaucoup de ces nouvelles hormones « On verra si ça marche, mais de toute façon je ne le verrai plus comme avant, je l’aime bien mais il a tendance à m’énerver un peu, à croire que la sottise de sa greluche a déteint sur lui ! » N’y tenant pas, je me demandais si notre trio était en train de se reconstituer.. Je ne voyais aucune raison d’en informer Lison pour le moment, dont les réactions imprévisibles pourraient mettre à mal notre relation.
Ce fait nouveau ne modifia pas notre accord : Victoire me laissa toute latitude pour rendre visite à Lison, j’en fis de même pour qu’elle puisse voir P..quand elle le désirait. Nous nous tenions mutuellement au courant de nos aventures érotiques lorsque nous retrouvions au lit pour une partie de jambes en l’air. Je constatai avec plaisir que la reprise d’hormones produisait l’effet désiré : elle avait repris goût à faire l’amour avec moi.
L’année se passa tranquillement ; j’allai rendre visite à Lison une fois par semaine ce qu’elle me reprocha, estimant que le partage était trop en sa défaveur ! Je convins alors avec Victoire de me laisser passer une nuit avec elle de temps à autre, comme elle l’avait fait avec P.. Un peu contre son gré elle accepta.
Un midi, alors que nous déjeunions un ami et moi dans un de nos bistrot habituel, je vis entrer Victoire avec P.. ! Elle ne nous vit pas au moment même, ils s’installèrent non loin de nous. Forcément je les observais, lorsque je vis P.. prendre la main de Victoire et la porter à ses lèvres. Il y avait donc du neuf entre ces deux-là ! Nous terminions notre repas, je me levai et me dirigeai vers eux. Elle paru un peu surprise de me voir, se demandant si j’avais surpris certains gestes d’affection envers lui. Elle prit un ton enjoué, P.. était revenu de Bretagne ce matin et il l’avait invitée.. « L.. ne t’a pas accompagné ? » ai-je demandé à P.. Echange rapide de regards entre Victoire et P.. « En fait non.. L.. (la greluche) et moi sommes séparés « a répondu P.. Je me perdis en conjectures : allaient-ils reprendre leur relation ? Je compris alors le sens de ce que Victoire m’avait annoncé quelque temps auparavant : revenant d’une visite de routine chez sa gynéco, elle m’avait annoncée qu’elle lui avait conseillé un nouveau traitement d’hormones peu suspect de provoquer le cancer du sein ; elle avait décidé de le tester mais que les effets ne se feraient sentir que d’ici quelques semaines ou mois. C’était une bonne nouvelle car elle avait bien de la réticence à m’accepter en elle. Peu après cette rencontre fortuite je lui ai demandé s’il y avait un rapport entre les retrouvailles avec P.. et sa décision de reprendre des hormones.. Elle rit comme chaque fois qu’elle se sentait embarrassée ; « oui c’est évident » mais en ajoutant que j’en serait aussi bénéficiaire ! Elle fut tout aussi franche quand, lui ayant posé la question, elle me dit que oui, ils avaient à nouveau couchés ensemble mais que ça n’avait pas été concluant pour elle ; elle attendait beaucoup de ces nouvelles hormones « On verra si ça marche, mais de toute façon je ne le verrai plus comme avant, je l’aime bien mais il a tendance à m’énerver un peu, à croire que la sottise de sa greluche a déteint sur lui ! » N’y tenant pas, je me demandais si notre trio était en train de se reconstituer.. Je ne voyais aucune raison d’en informer Lison pour le moment, dont les réactions imprévisibles pourraient mettre à mal notre relation.
Ce fait nouveau ne modifia pas notre accord : Victoire me laissa toute latitude pour rendre visite à Lison, j’en fis de même pour qu’elle puisse voir P..quand elle le désirait. Nous nous tenions mutuellement au courant de nos aventures érotiques lorsque nous retrouvions au lit pour une partie de jambes en l’air. Je constatai avec plaisir que la reprise d’hormones produisait l’effet désiré : elle avait repris goût à faire l’amour avec moi.