[trestigres]

Une Victoire en pleine forme revint au bercail après son escapade à l’île de la Barbade. Qu’avais-je fait pendant ces quinze jours ? Je ne lui ai rien caché. Elle m’a demandé si je respectais bien notre accord. Oui et même que le fait d’avoir fait ce bref voyage avec Lison m’avait convaincu que je ne pourrais jamais vivre avec elle, notre façon de voyager et nos centres d’intérêts étant trop différents. Passer quatre ou cinq jours avec elle était très plaisant mais il m’apparaissait clairement que, en dehors du sexe je ne pourrais me satisfaire de sa compagnie guère plus longtemps. Je découvris aussi qu’elle était assez capricieuse, qu’elle pouvait se mettre à bouder si je ne lui donnais pas satisfaction (hors sexe !) et pouvait être rancunière. Sa belle fille, avec qui je m’entendais bien me l’avais déjà signalé : elle pouvait aussi piquer une colère pour une vétille ! Et j’allais en faire l’expérience plus tard.
L’année se passa tranquillement ; j’allai rendre visite à Lison une fois par semaine ce qu’elle me reprocha, estimant que le partage était trop en sa défaveur ! Je convins alors avec Victoire de me laisser passer une nuit avec elle de temps à autre, comme elle l’avait fait avec P.. Un peu contre son gré elle accepta.
Un midi, alors que nous déjeunions un ami et moi dans un de nos bistrot habituel, je vis entrer Victoire avec P.. ! Elle ne nous vit pas au moment même, ils s’installèrent non loin de nous. Forcément je les observais, lorsque je vis P.. prendre la main de Victoire et la porter à ses lèvres. Il y avait donc du neuf entre ces deux-là ! Nous terminions notre repas, je me levai et me dirigeai vers eux. Elle paru un peu surprise de me voir, se demandant si j’avais surpris certains gestes d’affection envers lui. Elle prit un ton enjoué, P.. était revenu de Bretagne ce matin et il l’avait invitée.. « L.. ne t’a pas accompagné ? » ai-je demandé à P.. Echange rapide de regards entre Victoire et P.. « En fait non.. L.. (la greluche) et moi sommes séparés « a répondu P.. Je me perdis en conjectures : allaient-ils reprendre leur relation ? Je compris alors le sens de ce que Victoire m’avait annoncé quelque temps auparavant : revenant d’une visite de routine chez sa gynéco, elle m’avait annoncée qu’elle lui avait conseillé un nouveau traitement d’hormones peu suspect de provoquer le cancer du sein ; elle avait décidé de le tester mais que les effets ne se feraient sentir que d’ici quelques semaines ou mois. C’était une bonne nouvelle car elle avait bien de la réticence à m’accepter en elle. Peu après cette rencontre fortuite je lui ai demandé s’il y avait un rapport entre les retrouvailles avec P.. et sa décision de reprendre des hormones.. Elle rit comme chaque fois qu’elle se sentait embarrassée ; « oui c’est évident » mais en ajoutant que j’en serait aussi bénéficiaire ! Elle fut tout aussi franche quand, lui ayant posé la question, elle me dit que oui, ils avaient à nouveau couchés ensemble mais que ça n’avait pas été concluant pour elle ; elle attendait beaucoup de ces nouvelles hormones « On verra si ça marche, mais de toute façon je ne le verrai plus comme avant, je l’aime bien mais il a tendance à m’énerver un peu, à croire que la sottise de sa greluche a déteint sur lui ! » N’y tenant pas, je me demandais si notre trio était en train de se reconstituer.. Je ne voyais aucune raison d’en informer Lison pour le moment, dont les réactions imprévisibles pourraient mettre à mal notre relation.
Ce fait nouveau ne modifia pas notre accord : Victoire me laissa toute latitude pour rendre visite à Lison, j’en fis de même pour qu’elle puisse voir P..quand elle le désirait. Nous nous tenions mutuellement au courant de nos aventures érotiques lorsque nous retrouvions au lit pour une partie de jambes en l’air. Je constatai avec plaisir que la reprise d’hormones produisait l’effet désiré : elle avait repris goût à faire l’amour avec moi.

[trestigres]

Lison à Dinard

[trestigres]

Lison au bain avec son amant

[Dionysos06]

@trestigres très jolie Lison, une belle femme craquante dont les charmes devaient être irrésistibles en effet.
Le grand retour de Victoire ne peut que me réjouir. Je l'imagine avec la peau dorée au soleil de la Barbade (excellents rhums et grands joueurs de cricket), l'esprit plus acéré voire vindicatif que jamais. Bref, la tsarine revient dans son palais !

[trestigres]

@elianeetserge
@trestigres
Il faudrait peut-être utiliser l'espéranto alors !

Il a raison, on devrait fournir la traduc! Sinon faudra laisser tomber le russe, dommage, Victoire aimait bien, surtout que c'étaient des mots gentils qui lui étaient adressés!

[Dionysos06]

@trestigres il faudra la mettre en effet.

[Dionysos06]

Pour @elianeetserge et les autres, voici les traductions des textes russes parues ici.

1) Tu es très perspicace, j'aime beaucoup ton mot qui nous décrit, lui et moi.

2) Merci beaucoup belle reine aux yeux malicieux. Des baisers poétiques sur une peau douce comme de la soie.

3) Merci Dionysos, hélas, je suis une trop vieille femme pour mériter de tels compliments. Merci pour les bisous poétiques, mais aujourd'hui ma peau délicate est très ridée, heureusement, j'ai encore des yeux espiègles et un esprit vif !

[trestigres]

@trestigres très jolie Lison, une belle femme craquante dont les charmes devaient être irrésistibles en effet.
Le grand retour de Victoire ne peut que me réjouir. Je l'imagine avec la peau dorée au soleil de la Barbade (excellents rhums et grands joueurs de cricket), l'esprit plus acéré voire vindicatif que jamais. Bref, la tsarine revient dans son palais !

Dur dur de fouiller dans toutes ces photos, des souvenirs, des sentiments, des sensations charnelles remontent à la surface par vagues.. Victoire pense que je me fais du mal, que je ne devrais pas me vautrer dans mon passé; mais non, c'est une thérapie que je m'impose, même si elle est douloureuse. J'aurais pu, j'aurais dû lui porter secours alors qu'elle sombrait dans l'alcoolisme, de gré ou de force! FC m'aide à faire le ménage dans mon esprit: une catharsis, une purgation des passions, voilà ce dont j'ai besoin. "La catharsis est tout autant une remémoration affective qu'une libération de la parole, elle peut mener à la sublimation des pulsions" (Freud)

[trestigres]

Je vais tenter une sublimation de mes souvenirs charnels, mais je dois faire attention, à mon âge ça pourrait m'être fatal!

[trestigres]

@trestigres très jolie Lison, une belle femme craquante dont les charmes devaient être irrésistibles en effet.
Le grand retour de Victoire ne peut que me réjouir. Je l'imagine avec la peau dorée au soleil de la Barbade (excellents rhums et grands joueurs de cricket), l'esprit plus acéré voire vindicatif que jamais. Bref, la tsarine revient dans son palais !

Dur dur de fouiller dans toutes ces photos, des souvenirs, des sentiments, des sensations charnelles remontent à la surface par vagues.. Victoire pense que je me fais du mal, que je ne devrais pas me vautrer dans mon passé; mais non, c'est une thérapie que je m'impose, même si elle est douloureuse. J'aurais pu, j'aurais dû lui porter secours alors qu'elle sombrait dans l'alcoolisme, de gré ou de force! FC m'aide à faire le ménage dans mon esprit: une catharsis, une purgation des passions, voilà ce dont j'ai besoin. "La catharsis est tout autant une remémoration affective qu'une libération de la parole, elle peut mener à la sublimation des pulsions" (Freud)

Oui, craquante est le mot. J'ai craqué pour elle.. Mais il lui manquait les qualités que j'ai trouvé chez ma tsarine..

[Dionysos06]

@trestigres, oui Lison était craquante, et oui, j'aurais craqué pour elle moi aussi. Mais comme tu le dis si justement, par delà l'attirance physique, en surplomb, se tient l'attirance et l'affinité intellectuelles. Et c'est cela le ciment suprême entre un homme et une femme. Victoire et toi en étant un très bel exemple.
Je comprends parfaitement ton cheminement personnel vis à vis de tes souvenirs, de tes douleurs, de tes regrets, de tes remords. Je reste convaincu que la catharsis constitue un passage obligé dans la vie humaine ; surtout à la fin de l'automne ce celle-ci. Et le mot même de "catharsis" (κάθαρσις) signifie en grec purification et expiation. Tout est dit pour moi.

[trestigres]

@trestigres, oui Lison était craquante, et oui, j'aurais craqué pour elle moi aussi. Mais comme tu le dis si justement, par delà l'attirance physique, en surplomb, se tient l'attirance et l'affinité intellectuelles. Et c'est cela le ciment suprême entre un homme et une femme. Victoire et toi en étant un très bel exemple.
Je comprends parfaitement ton cheminement personnel vis à vis de tes souvenirs, de tes douleurs, de tes regrets, de tes remords. Je reste convaincu que la catharsis constitue un passage obligé dans la vie humaine ; surtout à la fin de l'automne ce celle-ci. Et le mot même de "catharsis" (κάθαρσις) signifie en grec purification et expiation. Tout est dit pour moi.

Cher ami, cela me réconforte de te lire, tu me comprends alors que Victoire au contraire veut balayer mes scrupules, mes souvenirs, mes remords, mes fantasmes, sous le tapis! Pour elle je me vautre de façon malsaine dans un fatras de souvenirs confus concernant une disparue! Mais c’est précisément ça qui constitue mon trouble!
Oui, j’avais eu le fantasme de la sortir de son éthylisme, c’était à la fois présomptueux et naïf de ma part! Elle avait commencé à boire quand je lui avais dit que, définitivement, je ne pouvais pas l’épouser: c’était le jour de ses soixante ans. Moins de dix plus tard, toute seule, elle était emportée, plus par une cirrhose que par le Covid.
J’ai bien du mal et de la peine à m’en remettre..

[Dionysos06]

@trestigres, revenir sur son passé et l'analyser calmement, rationnellement, fait partie des expériences légitimes. Sans aller trop loin dans le dénigrement de soi, évidemment. Car certains évènements arrivés aux autres ne sont pas entièrement, voire pas du tout de notre fait.
La tsarine se venge peut-être, à sa manière, de la passion qui vous liait, Lison et toi, en voulant que tous ces souvenirs demeurent sous le tapis.

[trestigres]

……Victoire allait revenir avec la famille de son voyage à la Barbade, je désirais être à la maison pour son retour. Je déposai Lison chez elle mais elle ne me laissa pas partir sans m’avoir fait une petite gâterie qui en enchaîna une autre.. Elle voulut que je la déshabille et nous nous retrouvâmes au lit, une fois de plus ! Elle me fit promettre que je l’emmènerais encore en voyage. Je promis..


Une Victoire en pleine forme revint au bercail après son escapade à l’île de la Barbade. Qu’avais-je fait pendant ces quinze jours ? Je ne lui ai rien caché. Elle m’a demandé si je respectais bien notre accord. Oui et même que le fait d’avoir fait ce bref voyage avec Lison m’avait convaincu que je ne pourrais jamais vivre avec elle, notre façon de voyager et nos centres d’intérêts étant trop différents. Passer quatre ou cinq jours avec elle était très plaisant mais il m’apparaissait clairement que, en dehors du sexe je ne pourrais me satisfaire de sa compagnie guère plus longtemps. Je découvris aussi qu’elle était assez capricieuse, qu’elle pouvait se mettre à bouder si je ne lui donnais pas satisfaction (hors sexe !) et pouvait être rancunière. Sa belle fille, avec qui je m’entendais bien me l’avais déjà signalé : elle pouvait aussi piquer une colère pour une vétille ! Et j’allais en faire l’expérience plus tard.
L’année se passa tranquillement ; j’allai rendre visite à Lison une fois par semaine ce qu’elle me reprocha, estimant que le partage était trop en sa défaveur ! Je convins alors avec Victoire de me laisser passer une nuit avec elle de temps à autre, comme elle l’avait fait avec P.. Un peu contre son gré elle accepta.
Un midi, alors que nous déjeunions un ami et moi dans un de nos bistrot habituel, je vis entrer Victoire avec P.. ! Elle ne nous vit pas au moment même, ils s’installèrent non loin de nous. Forcément je les observais, lorsque je vis P.. prendre la main de Victoire et la porter à ses lèvres. Il y avait donc du neuf entre ces deux-là ! Nous terminions notre repas, je me levai et me dirigeai vers eux. Elle paru un peu surprise de me voir, se demandant si j’avais surpris certains gestes d’affection envers lui. Elle prit un ton enjoué, P.. était revenu de Bretagne ce matin et il l’avait invitée.. « L.. ne t’a pas accompagné ? » ai-je demandé à P.. Echange rapide de regards entre Victoire et P.. « En fait non.. L.. (la greluche) et moi sommes séparés « a répondu P.. Je me perdis en conjectures : allaient-ils reprendre leur relation ? Je compris alors le sens de ce que Victoire m’avait annoncé quelque temps auparavant : revenant d’une visite de routine chez sa gynéco, elle m’avait annoncée qu’elle lui avait conseillé un nouveau traitement d’hormones peu suspect de provoquer le cancer du sein ; elle avait décidé de le tester mais que les effets ne se feraient sentir que d’ici quelques semaines ou mois. C’était une bonne nouvelle car elle avait bien de la réticence à m’accepter en elle. Peu après cette rencontre fortuite je lui ai demandé s’il y avait un rapport entre les retrouvailles avec P.. et sa décision de reprendre des hormones.. Elle rit comme chaque fois qu’elle se sentait embarrassée ; « oui c’est évident » mais en ajoutant que j’en serait aussi bénéficiaire ! Elle fut tout aussi franche quand, lui ayant posé la question, elle me dit que oui, ils avaient à nouveau couchés ensemble mais que ça n’avait pas été concluant pour elle ; elle attendait beaucoup de ces nouvelles hormones « On verra si ça marche, mais de toute façon je ne le verrai plus comme avant, je l’aime bien mais il a tendance à m’énerver un peu, à croire que la sottise de sa greluche a déteint sur lui ! » N’y tenant pas, je me demandais si notre trio était en train de se reconstituer.. Je ne voyais aucune raison d’en informer Lison pour le moment, dont les réactions imprévisibles pourraient mettre à mal notre relation.
Ce fait nouveau ne modifia pas notre accord : Victoire me laissa toute latitude pour rendre visite à Lison, j’en fis de même pour qu’elle puisse voir P..quand elle le désirait. Nous nous tenions mutuellement au courant de nos aventures érotiques lorsque nous retrouvions au lit pour une partie de jambes en l’air. Je constatai avec plaisir que la reprise d’hormones produisait l’effet désiré : elle avait repris goût à faire l’amour avec moi.
C’était le printemps, nous nous rendions souvent à la campagne. Victoire me demanda si, le temps d’un week end, elle pouvait inviter P.. à se joindre à nous, ajoutant que si je le désirais je pouvais aussi inviter Lison. Je réservai ma réponse ; je ne savais que penser de cette idée : notre couple, accompagné chacun par son amant et par sa maîtresse ! Ce cocktail n’allait-il pas se révéler explosif ? Finalement je déclinai l’idée de faire venir Lison ; il fallait que je lui en parle avec ménagement en n’étant pas du tout sûr qu’elle apprécierait l’idée.
Le week end vint, P.. ne passa que la journée avec nous et nos enfants. Victoire s’isola avec lui pour la sieste dont elle émergea passablement éreintée. La croisant à l’étage, elle me regarda avec l’air de dire « Tu n’as pas besoin d’un dessin ! » En effet : l’agitation et les gémissements qui traversèrent la porte de la chambre pendant leurs ébats ne laissa aucun doute sur la réussite de l’affaire !
P.. nous quitta et tout redevint calme. De façon inespérée j’eus Victoire pour moi toute la nuit. Elle me dit qu’il l’avait baisée aussi bien qu’avant leur séparation, si profondément qu’elle avait presque perdu l’esprit en jouissant. Ces paroles m’excitèrent et elle le savait bien, aussi elle en rajouta en me détaillant tout ce qu’il lui avait fait, finissant par me dire qu’elle avait regretté que je ne fus pas là pour assister à cette performance sexuelle !
Elle ne savait pas pourquoi il avait changé d’avis et décidé de rentrer, ça l’inquiétait. Avait-il un rencart ? Mais cette inquiétude se révéla sans fondement : il y avait un match de foot à la télé !
Je prévins Victoire que j’envisageais de partir aller visiter des pépinières le long de la côte atlantique pour acheter des variétés de fruitiers que je ne trouvais pas en Espagne, et qu’ensuite je m’y rendrais. Elle me répondit que ça tombait bien car elle comptait passer quelque temps chez notre fille qui vit à Londres. « Si tu emmènes Lison avec toi, ce dont je ne doute pas, tu respecteras bien nos conventions j’espère » me rappela-t-elle.. Mais bien sûr ma chérie !
Tout d’abord nous passâmes Lison et moi quelques jours délicieux entre Honfleur, le Mont St Michel, Dinard ou nous logeâmes, et St Malo. Ce fut durant ce voyage, ayant acquis une caméra vidéo que je commençai à nous filmer au lit mais pas seulement ! Le soir nous étions souvent trop fatigués et bien imbibés pour nous lancer dans un corps à corps. Mais le matin au contraire, après le petit déjeuner servi en chambre, nous avions tout le temps pour nous consacrer l’un à l’autre, la caméra fixée sur son mini trépied. Nous visionnions les vidéos comme des films pornos, c’était très étrange de nous voir en acteurs X, ça excitait beaucoup Lison : « Rhôôô non mais ça tu dois couper, je ne veux pas qu’on voit ma fente en gros plan avec ton sexe enfoncé ! » Je n’ai bien entendu rien retranché !
Nous visitâmes un certain nombre de pépinières où j’acquis des scions de fruits à noyaux . Puis j’emmenai Lison sur l’île de Ré où j’avais réservé pour deux nuits une chambre avec terrasse dans un petit hôtel à Ars en Ré. Elle eut le vertige sur le pont reliant l’île comme elle l’a en avion ! Mais finalement elle arriva à surmonter son malaise. Le soir nous nous gavâmes d’huîtres et de fruits de mer, arrosé d’un blanc sec régional qui me fit mal à la tête ! Lison eut beau faire pour me le faire passer, rien n’y fit ; nous nous endormîmes l’un contre l’autre en petite cuillère comme elle aime, ma main lui caressant le ventre mais pas plus. Heureusement la migraine avait disparue lorsque, encore au lit, le petit déjeuner fut servi en chambre par une charmante jeune fille. Ne sachant pas ce que la suite nous réserverait je mis à tout hasard la vidéo en marche, sans en avertir Lison pour que son naturel ne soit pas influencé par la caméra. Bien m’en a prit car ce fut une des plus belle vidéo de toute la collection que je visionne encore régulièrement. Nous n‘émergeâmes du lit qu’à la mi-journée, je l’avais baisée ; « encore,… encore » me demandait-elle. Nous allâmes à la plage toute proche nous ballader comme des amoureux. « Tu ne trouves pas qu’on est bien ensemble ? » me répétait-elle souvent.. je lui répondais « Carpe diem, quam minimum credula postero » ! « Oui, je sais, je sais.. » disait-elle en soupirant.. Nous passâmes deux jours délicieux à manger des huîtres, nous ballader, à faire l’amour..
Nous reprîmes la route pour Perpignan où je louai une camionnette pour transporter non seulement des plantes, des arbustes mais aussi de l’électroménager acheté dans un Darty local pour la finca, et sans tarder nous avons rejoint Barcelone pour nous embarquer sur le ferry de nuit. Nous fîmes l’amour dans la couchette étroite, balancé par un tangage lent mais prononcé qui accentuait ou ralentissait le va-et-vient de ma queue dans son vagin. Ça l’excitait visiblement car elle jouit bruyamment, déclenchant aussitôt des coups frappés sur la cloison de la cabine voisine ! Alors elle fit silence, en pouffant de rire. Arrivés à destination tôt matin, nous nous rendîmes rapidement à la finca dans laquelle il faisait glacial. On fit du feu, le lit fut fait et nous nous jetâmes dedans pour terminer cette nuit si courte. Alors qu’elle se mettait toujours nue au lit, en raison du froid je lui passai une chemise de Victoire.. Réveillés vers midi par un soleil qui nous frappait au travers du carreau, je ne pu m’empêcher de la saisir à bras le corps tellement elle me plaisait dans la chemise de Victoire, dans le lit de Victoire, dans la chambre de Victoire ! Elle se dénuda jusqu’à la taille, sachant bien que c’était ce que j’attendais d’elle. Assise sur les draps blancs, son corps était mis en valeur par le soleil qui lui donnait une belle teinte chaude. Remontant la chemise elle la fit passer par dessus la tête.. Je ne pus résister davantage.. je la repoussai sur les draps, et couchée sur le dos, sachant de toute évidence ce que j’attendais d’elle, elle écarta lentement les jambes, ses cuisses dévoilant ce à quoi je ne me lasserai jamais de voir : le sexe palpitant de la femme aimée, en attente d’être pénétré ! Nous passâmes une semaine délicieuse sur place, dégustant des fruits de mer et nous abreuvant de vin espagnol. Les nuits étaient endiablées, je
baisais Lison sauvagement, lui arrachant des cris de plaisir. Elle me voulait en elle toutes les nuits mais les matins me trouvaient éreinté alors qu’elle, en pleine forme, faisait le café et préparait les toasts ! Elle voulait savoir combien de fois je l’avais baisée depuis que nous nous étions retrouvés, mais je n’ai jamais aimé tenir des comptes et surtout pas ceux-là !
La fin du séjour arriva et je revins chez nous en même temps que Victoire. Elle voulu tout savoir comme à son habitude et je ne lui cachai rien, si ce n’est que nous nous étions pris en vidéo, mais ça pouvait attendre. « En fait vous avez surtout fait du tourisme et pas tellement couché ! » me dit-elle avec un ton moqueur !

[Dionysos06]

@trestigres délicieux retour, non seulement de la Barbade pour Victoire, mais des griffes le L.la greluche pour P, du quatuor libertino-amoureux qui passe, sous nos yeux chanceux et ravis, de chambres en restaurants, de visites en lits défaits, de musées en siestes friponnes. De quoi terrasser tous les dragons de la monotonie ! Sans oiblier, il va de soi, les photos.

[trestigres]

Après une première mi-temps, la pause fut mise à profit pour une remise en forme à base d’hormones. Cher Dionysos, comme tu décris avec justesse l’ambiance turbulente teintée d’exaltation de la seconde mi-temps qui commençait ! Elle était prometteuse, elle le fut.. Grâce au renvoie de la greluche, les affaires reprirent, chacun avec sa chacune ! Mais en plus, Victoire semblait vouloir tester sa libido ressuscitée..
Les photos (extraites de la première vidéo) postées montrent les ébats de Lison à Dinard

[trestigres]

Lison ne voulait plus quitter le lit, nous y passâmes deux jours et deux nuits, faisant appel au "Room Service"pour nous sustenter..

[trestigres]

Lison ne voulait plus quitter le lit, nous y passâmes deux jours et deux nuits, faisant appel au "Room Service"pour nous sustenter..

[Dionysos06]

@trestigres rien n'est plus excitant, jouissif, bandant, relaxant, émouvant, enthousiasmant que ces jours passés au lit à faire l'amour avec une belle femme affamée de notre corps et qui le montre etvle dit.
Photos magistrales qui nous mettent dans le bain de vos ébats ; normal au bord de la mer

[RougeDésir]

Je ne comprends pas cette photo, postée plus haut :

Screenshot_20230629_092229.jpg

S'agit-il d'une pénétration vaginale, ou anale ?
Ou bien la photo a-t-elle été retouchée ?

[Dionysos06]

@RougeDésir effectivement, c'est anatomiquement très curieux.

[sergio]

J'ai rattrapé mon retrad entre tes deux femmes et le retour de l'amant.
Toujours agréable à lire.

Oui, craquante est le mot. J'ai craqué pour elle.. Mais il lui manquait les qualités que j'ai trouvé chez ma tsarine..

J'ai entendu, un jour, un homme évoquant qu'il adorait avoir sa jeune maitresse à son bras. Au vue de son âge et son physique, ça le valorisait mais qu'il ne supportait pas ses conversations.
Ce qu'il appreciait chez sa femme ou il aimait à dire qu'entre les cercles familiaux et amicaux, tout le monde se taisaient pour l'ecouter parler tant elle était d'un haut niveau intellectuel.

@RougeDésir: photo ratée? Montage? @trestigres répondra.

[trestigres]

Je ne comprends pas cette photo, postée plus haut :

Screenshot_20230629_092229.jpg

S'agit-il d'une pénétration vaginale, ou anale ?
Ou bien la photo a-t-elle été retouchée ?

Non, vaginale car les annales n'ont jamais été prises en vidéo. Retouchée? Non, du reste j'en serais bien incapable! J'arrive seulement à flouter les visages. Pour les photos j 'arrive tout juste à stopper la video pour faire une "saisie d'écran", c'est déjà une performance pour moi!

[trestigres]

Je veux dire les anales non les annales!

[Dionysos06]

@trestigres méfions-nous des annales trop anales !

[sergio]

Une lettre en plus ou en moins et on n'evoque plus la même chose.

[trestigres]

Quelques souvenirs de l'hôtel Printania à Dinard...

[trestigres]

La fin du séjour arriva et je revins chez nous en même temps que Victoire. Elle voulu tout savoir comme à son habitude et je ne lui cachai rien, si ce n’est que nous nous étions pris en vidéo, mais ça pouvait attendre. « En fait vous avez surtout fait du tourisme et pas tellement couché ! » me dit-elle avec un ton moqueur !


Juillet fut là. Nous quittâmes en voiture pour l’Espagne comme chaque été. J’avais prévu un retour aérien d’une semaine pour aller voir ma mère dans son ephad, et en profiter pour être avec Lison le reste du temps. Victoire m’annonça en cours de route qu’elle avait invité à sa demande P.. pour une semaine à une date à préciser. Bon, soit pourquoi pas. Nous traversâmes l’Espagne vers Denia pour y prendre le ferry qui nous amena à notre île chérie. Je pris une réservation pour la mi juillet dans le but d’effectuer mon devoir filial envers ma mère, mais pas que. A l’aéroport, je patientais avant le check-in en regardant les passagers arrivant par le « gate », Quelle ne fut pas ma surprise lorsque P.. apparu et me voyant vint m’embrasser. Il me dit « attend, je ne suis pas seul, il y a Ali qui me suit ».. j’allai de surprise en surprise ! Quelques instant plus tard il fut rejoint par Ali ! Je leur dis « eh bien ça, je ne m’y attendais pas, et où allez-vous comme ça ? » P.. me regarda interloqué.. « mais enfin chez vous, Victoire m’a invité, c’était prévu !... mais toi tu pars où ? » Je lui ai répondu que je m’absentais pour une petite semaine pour aller voir ma mère, mais que Victoire ne m’avait, comme d’habitude, pas informé, ni de la date de son arrivée et encore moins qu’ils seraient deux. J’appelai Victoire pour lui annoncer que je venais de croiser P.. accompagné d’Ali. Réponse : « ah bon il vient aussi ?... Faut que je prépare une seconde chambre.. » Ça ne la perturbait pas plus que ça, OK alors moi non plus ! Je m’envolai, assez perplexe quant à ce qui allait se passer pendant mon absence. J’étais un peu rassuré , car une vieille amie tenant compagnie à Victoire, j’espérais que leur venue n’entraînerait pas de débordements indécents pour elle.
Je retrouvai Lison qui vint me prendre à l’aéroport dans sa nouvelle Peugeot 206 et nous nous embrassâmes. Elle avait profité du beau temps, elle était toute bronzée. Elle me déposa chez moi d’où j’allai retrouver ma mère avec qui je passai une partie de la soirée, lui tenant compagnie pour le dîner. Au moment du coucher, je l’embrassai et filai rejoindre Lison qui m’attendait en ville dans un bon resto. Nous passâmes une soirée délicieuse, Lison étant toujours très câline les premiers jours de retrouvaille. Au lieu d’aller chez elle un peu loin hors de la ville, étant fatigués je lui proposai de venir chez moi. Il était tard, après un dernier verre, je l’entraînai dans la chambre conjugale qui en avait déjà vu pas mal avec P.. ! Elle se rendit dans la salle de bain attenante et elle prit une douche. Quelle bonne idée pensai-je et je la rejoignis. A deux sous l’eau agréablement tiède nous nous collâmes l’un à l’autre, ventre contre ventre, collés bouche à bouche. Elle me saisit le membre qu’elle excita sans peine et, me tournant le dos, projetant ses fesses vers moi elle me dit de la pénétrer.. Ce que je fis sans peine et avec grand plaisir ! La tenant par les hanches je m’enfonçais profond dans son ventre sous un déluge d’eau tiède. Ce fut bien agréable et encore plus lorsqu’elle lâcha son râle bien connu, signe qu’elle avait atteint l’orgasme. Elle m’encouragea en me disant les choses qu’elle savait excitantes pour moi, et oui, moi aussi je vins, tirant au plus profond d’elle toute la semence dont je fus capable. Elle s’écoula à nos pieds et disparu dans la bonde au désespoir de Lison.. « Pourquoi tout ce bon sperme doit-il se perdre ? il y a tant de femmes qui en auraient besoin, moi comprise, j’aurais tant voulu en avoir un de toi ! » Je l’emballai dans un grand drap de bain. « Pourquoi tu ne vas pas en donner à la banque du sperme ? » Je lui racontai que je l’avais fait lors de mes études mais que maintenant j’étais trop vieux, on accepte les dons que d’hommes jeunes et en bonne santé. « Ah bon ? mais tu es en bonne santé ! « Oui mais je ne suis plus jeune chère Lison ! » .. « pour moi si.. alors tu en as donné, donc il y a des femmes qui ont fait des enfants avec tes gamètes ? » Je le supposais mais n’en savais rien, j’avais fait plusieurs dons, une dizaine, qui furent congelés dans de l’azote liquide. « Oh les pauvres ! » me dit-elle, espiègle! Après cet intermède, nous nous mîmes au lit, elle voulut prendre la place de Victoire. Ça l’excitait assez d’y être, elle me le dit et me demanda de la prendre encore une fois, comme si elle était Victoire ! J’étais fatigué et il fallut toute sa science pour me faire revenir suffisamment dure pour la pénétrer. Quelle délice d’être en elle ! quelle douceur ! Je bougeais doucement tout en lui caressant son petit bouton, elle gémissait. Je raidissais de plus en plus de sorte que je pus la baiser et la faire jouir. Je restai en elle en m’endormant. Me réveillant très tôt matin, elle était collée à moi, face à face. Me retournant je l’entendis dire « oh non reste contre moi s’il te plaît, comme si j’étais ta femme ». Je me rendormis.
Mon portable me réveilla assez tôt : c’était Victoire. « Où es-tu ? » demanda-t-elle.. Ne me laissant pas répondre, elle enchaîna en me demandant des nouvelles de ma mère, puis pour éviter qu’elle ne revienne sur le sujet, je lui demandai comment ça se passait avec P.. et Ali. Elle se lança dans de longues explications m’expliquant notamment que chacun avait dormi dans leur chambre, et qu’elle avait dormi seule. « Et toi, je suppose que tu vas allez voir Lison ? » Je lui répondis que c’était en effet au programme sans entrer dans les détails. Je lui dis qu’on se rappellerait demain, mais pas aussi tôt. Lison et moi allâmes faire du shopping en ville, elle avait besoin de se renipper. Je la laissai faire ses choix, les siens n’étant pas nécessairement les miens.
Nous regagnâmes sa maison, son chien devant être nourri. Après un petit resto italien pour déjeuner, un peu imbibés par un rosé des Pouilles nous sommes allés faire la sieste dans son jardin sur des matelas. C’est là qu’elle se faisait bronzer. Elle se mit nue en se couchant sur le ventre en me disant d’en faire autant. Nous fûmes nus tous les deux et les papouilles ne tardèrent pas. Je l’ai baisée dans son jardin en la chevauchant, en espérant qu’aucun voisin ne nous avait épié. Mais au fond je m’en fichais pas mal, tant mieux pour les voyeurs, et tant pis pour sa réputation ! Elle me dit qu’elle était déjà faite !
Je retournai voir ma mère chaque après-midi et passai quelques heures jusqu’au repas du soir. Nous parlions du passé, elle évoquait ses souvenirs, chose que j’adorais.
Le soir je retrouvais Lison et nous sortions pour aller dîner en ville. Puis le reste allait de soi.. Elle appréciait de prendre la place de Victoire, nous regagnâmes donc le lit conjugal. On s’y envoyait en l’air, parfois furieusement, souvent doucement. Les jours passèrent, je n’avais reçu que peu d’appels de Victoire. J’appelai moi-même, ce fut N.. notre amie qui répondit. « Ils sont partis en Zodiac et ne reviendront que ce soir » me dit-elle, ajoutant qu’elle ne s’ennuyait pas du tout au contraire, elle adore faire la cuisine et préparer des bonnes choses pour le dîner du soir. Je ne posai pas de question à propos du trio, je les imaginais dans l’eau, nageant nus dans les criques inaccessibles autrement que par la mer, comme nous l’avions toujours fait Victoire et moi. Lison était aux petits soins pour moi, un peu trop, cela m’agaçait. J’avais envie d’air et d’espace, de mer, d’action. Avec elle, l’action n’était pas son fort. Je devais moi-même trouver des occupations car sinon nous aurions passé la semaine au lit à coucher ensemble. J’aimais surtout passer la soirée et la nuit avec elle, puis le matin jusqu’au petit déjeuner. Après il me fallait un autre genre d’action. Et là, ça calait. Je l’emmenais, un peu de force, faire une ballade à vélo ou visiter quelque chose. Mais c’était sans grand enthousiasme et provoquant parfois un accès de colère. Pour ça, tout le contraire de Victoire ; je savais bien pourquoi je ne la quitterais jamais. La fin de la semaine vint, j’allai saluer ma mère et à midi Lison me conduisit à l’aéroport. Elle me demanda si je reviendrais encore la voir, mais je lui dis que non, pas avant mon retour d’Espagne. Par contre je lui promis que nous ferions encore des voyages. Elle en fut ravie et m’enlaçant, elle me souhaita bon voyage.

[Dionysos06]

@trestigres, sacrée Victoire ! En grande forme la coquine : P et Ali pour elle toute seule.
Au fil des lectures, je comprends de mieux en mieux pourquoi tu ne pouvais et ne voulais pas quitter ta tsarine pour Lison.

[trestigres]

@trestigres, sacrée Victoire ! En grande forme la coquine : P et Ali pour elle toute seule.
Au fil des lectures, je comprends de mieux en mieux pourquoi tu ne pouvais et ne voulais pas quitter ta tsarine pour Lison.

Avec P.. et Ali la tsarine a le sexe, elle me laisse l'esprit.. à moi le sexe avec Lison! Mais les relations vont se complexifier