- 13 juil. 2023, 02:18
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Elle me dit que P.. et Ali étaient déjà partis avec le taxi, qu’ils me disaient au revoir et merci. Voilà une situation qui se simplifiait et j’en étais heureux. Ensuite j’eus tout le loisir de l’entendre me raconter dans le détail les faits marquants de la semaine !
« Que veux-tu que je te raconte ? Tu devines bien ce qui s’est passé, non ? »
Oui bien sûr, mais encore ! Je voulais qu’elle se déboutonne, l’obliger à me raconter de façon détaillée tout ce qu’elle avait fait avec les deux lascars « M’enfin tu m’embêtes, ça t’excite tellement ? » Oui et tu le sais bien, ça m’excite de savoir qui, quoi et comment ; je veux tout savoir dans le détail ! « Bon, bon, alors si tu veux.. mais d’abord je dois te dire que seul P. était annoncé. Je ne savais pas du tout qu’Ali l’accompagnerait ; il est arrivé du Niger la veille du départ de P.. et il a décidé de le prendre avec lui, voilà tout ». Je lui reprochai de ne pas m’avoir averti de la date de son arrivée, quoique ça s’est bien trouvé que j’ai quitté les lieux au même moment : je ne me voyais pas tenir la chandelle !
Elle commença à me raconter. Ali fut présenté à N.., P.. lui étant bien connu depuis leur enfance. Victoire leur désigna à chacun une chambre. Puis les garçons plongèrent dans la piscine dans laquelle ils jouèrent comme des gamins. Ensuite l’apéro fut servi, au couché du soleil. Ils allèrent tous les quatre dîner au resto du bled, personne n’ayant le désir de faire la cuisine. Il était tard lorsqu’ils rentrèrent, comme d’hab’ assez imbibés surtout les hommes. A l’extinction des feux, le calme régnait, chacun dans sa chambre. Mais peu de temps après Victoire, à moitié endormie, sentit une présence nue se glisser sous le drap. P.. se collait déjà à elle lui retroussant sa chemisette de nuit... « La suite tu la connais, tu la veux quand même ? » Oui, je voulais qu’elle me raconte ce qu’il lui avait fait. « Il m’a caressée en m’embrassant, il me disait qu’il était heureux de me retrouver. On l’a fait un peu sauvagement, il était en manque. Il m’a fait jouir assez fort, il a tiré au fond de mon ventre plusieurs jets que j’ai bien sentis ! Il devait vraiment être en manque ! Je te le dis parce que je sais que ça t’excite, pas vrai ? » Oui, elle avait raison.. l’idée qu’elle soit baisée par P.. arrivait toujours à m’exciter, même si ce n’était, et de loin, pas la première fois ! Il la quitta tôt matin, la laissant dormir.
Laissant la finca à la garde de N.. ils passèrent tous les trois la journée en mer, navigant en Zodiac de criques en criques. Ils nageaient nus et trouvaient ça délicieux. Ils se retrouvèrent le soir, au bord de la piscine pour l’apéro ensuite allèrent dîner dehors. Dans la nuit P.. revint chez Victoire et ils passèrent la nuit ensemble. Il la baisa sans la faire jouir mais aux petites heures elle eut envie de lui ; elle le réveilla en lui saisissant la queue qu’elle fit durcir à point et l’introduisit dans sa chatte. Par des mouvements du bassin elle se fit baiser alors que P.. arrivait à peine à se réveiller ! Il reprit alors l’initiative. Il s’enfonça en elle vigoureusement lui arrachant des petits cris qu’elle s’efforça de réduire pour ne pas réveiller N.. Mais elle ne put réfréner des cris lorsque, jouissant en elle, il provoqua le déchaînement d’un bel orgasme. Les trois journées qui suivirent se ressemblaient, tout comme les nuits : P. .les passaient invariablement avec Victoire qui était baisée une ou deux fois. Mais au lendemain d’une journée particulièrement ensoleillée, P.. revint avec un coup de soleil sur toute la partie de son corps habituellement couverte par un maillot de bain : ils avaient navigué nus toute la journée sans prendre de précautions . Victoire, prudente s’était couverte d’écran total, quant à Ali, il n’avait besoin de rien, étant protégé naturellement. La nuit, P.. n’alla pas rejoindre Victoire, soufrant de ses brûlures. Ali décida que c’était son tour. Il vint frapper doucement à la porte et sans attendre de réponse, entra dans le noir. Victoire commençait à s’endormir. Il s’approcha à tâtons du lit ; Victoire pensant qu’il s’agissait de P.. lui ouvrit le drap. Ali, pensant que cette invite le concernait, se glissa à côté d’elle. « Tu n’as pas trop mal à tes coups de soleil pour qu’on le fasse ? » .. « Je n’ai pas de coups de soleil » dit la grosse voix d’Ali ! Victoire se redressa d’un coup et alluma le chevet : « Ah c’est toi, j’ai cru que P.. s’était glissé dans le lit ! » .. « Excuse-moi si je t’ai fait peur.. tu veux bien que je reste un peu près de toi ? » Elle lui fit un peu de place.. Ils parlèrent de leur journée, elle le questionna sur lui et son pays.. Elle lui demanda pourquoi il n’avait pas d’épouse, il lui dit qu’il aurait voulu en avoir une épouse blanche ! Introduisant subrepticement la main par une des jambes de son short elle poigna fermement deux gros testicules ce qui fit gémir Ali.. Elle lui retira le short, découvrant l’objet de ses désirs. Leurs mains commencèrent à se toucher l’un l’autre. Elle saisit une queue encore un peu molle mais déjà bien grosse, qui en un instant changea de dimensions. Elle sentit ses doigts cherchant sa fente, s’y introduisant et progressant vers son petit bouton, ce qui la fit se replier sur elle-même comme une huître ! « Doucement, tu vas trop vite, tu veux me prendre mais on a le temps.. » Lorsqu’il tenta de la pénétrer, elle cru que ça ne rentrerait pas. Il fallut attendre qu’il lui badigeonne la vulve longuement avec son gland pour que son vagin s’ouvre enfin ! Alors il y alla franchement ce dont elle se plaignit, lui demandant d’y aller en douceur. Elle me dit qu’il la baisa comme rarement elle le fut par P.. ou par moi. Il fut très doux et très patient, arrêtant quand elle le lui demandait, reprenant quand elle le souhaitait. Elle sentait cette queue se frayer avec peine un passage dans son fourreau vaginal, comprimant la paroi tout en lui procurant une sensation très excitante. Sentant son gland, étrangement modeste par rapport à son support, frapper le col de l’utérus, elle sentit qu’elle allait venir et le lui dit. Elle admira le contraste de cette queue noire plantée dans sa vulve si rose, elle ressentit l’accélération folle des va-et-vient pour arriver à jouir ensemble. Il y arriva : elle cria sa jouissance pendant qu’il grognait comme un homme des cavernes ! Nul doute que la manifestation claironnante de cette issue heureuse se propagea dans toute la finca. Ils restèrent inertes un bon moment, Victoire écoutant si personne ne s’était réveillé. Puis elle demanda à Ali de la laisser dormir seule.. Le jour suivant ils restèrent à l’ombre, se baignant dans la piscine, P.. soignant ses brûlures solaires qui guérissaient vite. N.. fit la cuisine et ils dînèrent tous à la maison. On joua aux cartes jusque tard.. Victoire espérait revoir Ali, mais ne voulant pas le vexer, elle demanda à P.. s’il viendrait cette nuit, mais il déclina, ayant encore mal surtout à son sexe qui en avait aussi pris un coup de soleil. « Demande à Ali, il en meure d’envie ». Ce qu’elle fit et Ali s’empressa de la rejoindre. Ce fut la répétition de la nuit précédente.. Victoire était comblée, Ali l’avait prise deux fois provoquant deux puissants orgasmes. « Tu sais, il me baise de façon classique, beaucoup moins bien que P.. et toi, mais son sexe fait toute la différence, il est surdimensionné en épaisseur et en longueur et quand il me pénètre, la sensation de ce gros corps étranger qui s’agite dans mon ventre me donne l’impression qu’il va me faire éclater le fourreau tellement je le sens fort ; il est le seul à me faire jouir vaginalement chaque fois, il suffit qu’il fasse quelques allées et venues dans mon vagin, et ça y est, j’adore ça ! »
Le lendemain, la veille de mon arrivée, ils retournèrent en mer avec N.. mais cette fois couverts, du moins pour les blancs, de maillots et de teeshirts. Ali par solidarité fit de même ! Il rentrèrent tard, trop tard pour le traditionnel apéro au bord de la piscine. Ils se retrouvèrent dans le boui-boui habituel qui n’est pas mauvais du tout, qui sert des bons plats locaux. Le tout arrosé de vins espagnole à 15 °.
Ils revinrent tous extrêmement joyeux et bruyants. N.. alla s’enfermer dans sa chambre pendant que Victoire et les garçons allaient se plonger nus dans la piscine éclairée. Il faisait encore très chaud à minuit, aucun d’eux ne voulant dormir dans les chambres, des matelas furent mis côte à côte sur la terrasse de la piscine et les trois se couchèrent dessus éclairés par la pleine lune. Des étoiles filantes passaient, arrachant des cris admiratifs.
Peu à peu le silence se fit, des corps se rapprochèrent, des mains s’égarèrent, et Victoire la première se plaça en califourchon sur P.. pendant qu’Ali lui caressait les fesses en lui passant les doigts dans la raie. Voyant que P.. n’arrivait pas à atteindre la rigidité nécessaire alors qu’il voulait l’aider à la pénétrer, Ali prit les devants, et la queue brandie comme un dard, repoussant P.. tout en chevauchant les cuisses de Victoire, la pénétra! Si Victoire se sentait investie, par contre elle ne savait pas par qui ! P.. voulu se dégager en renversant sur le côté Ali, toujours engagé en Victoire, la maintenant par les hanches. Ivres, tous les trois riaient du comique de la situation ! Elle était la souris dont se jouaient les deux matous. La faisant rouler d’un côté puis de l’autre elle était pénétrée d’un côté par P.. et ensuite de l’autre par Ali, les deux garçon se relayant à lui claquer les fesses. Le petit jeux des chats et de la souris dura jusqu’à ce que l’un puis l’autre lui jouisse dessus : son bas ventre était couvert de semence qu’elle étala sur son corps. Alors les deux matous saisirent la souris et la projetèrent dans la piscine illuminée et y plongèrent à sa suite. Bien que chaude, le contraste de température les dégrisa. Ils agaçèrent Victoire en lui mordillant les tétons, lui glissant des doigts dans la fente, dans le cul, lui pinçant les fesses, bref elle cria qu’ils allaient la faire couler ! Ça suffisait pour Victoire, ivre, fatiguée, elle demanda qu’on la porte jusqu’à la douche pour la rincer de l’eau chlorée, car elle ne tenait plus sur ses jambes. Ali la soulevant comme un fétu de paille, la prit dans ses bras comme on prendrait un bébé, et la garda enlacée sous la douche qu’ils prirent ensemble. En sortant, Ali portant Victoire croisa N.. en silence.. Mais qu’aurait-il pu lui dire ? Avant de la poser sur le lit, il l’emballa dans une vaste serviette de bain et la coucha. La nuit fut calme, Victoire seule dans la chambre, les deux garçons chacun dans la leur.. Le lendemain ce fut comme d’habitude : le trio fila en Zodiac vers leurs aventures maritimes. J’arrivai à l’heure du déjeuner et après une longue sieste nous nous retrouvâmes tous ensemble le dernier soir. La suite elle me l’avait déjà racontée, à la différence près qu’en allant retrouver P.. pour un « bonsoir de départ » elle avait aussi fait un crochet par la chambre d’Ali !
J’eus Victoire pour moi la dernière semaine avant de regagner des cieux moins chauds, quoique !..