Arrivé à destination, je ne m’attendais pas à ce qu’on vienne me chercher dans la cohue des touristes. Je réussis à attraper un taxi et en route j’appelai à la maison. N.. notre amis me répondit qu’il n’y avait personne à part elle, gardienne de la maison ; ils étaient tous en mer et déjeuneraient dans un « chiringuito » de plage. Débarquant de mon taxi notre fidèle amie m’attendait avec un déjeuner tout prêt !
Attablés en tête à tête sur la terrasse, elle me demanda comment allait ma mère, grande amie de feue la sienne. N.. se sentait bien chez nous, mais la plage et la mer, avec l’affluence touristique, ne lui plaisait que moyennement. Elle préférait rester au bord de la piscine à lire et rêvasser. Et comment cela se passe-t-il avec les deux lascars qui vous ont envahis demandais-je ? « Oh moi , je n’ai pas à m’en occuper, Victoire fait ça très bien, d’ailleurs ce sont ses amis, pas les miens même si je connais P.. depuis son plus jeune âge ». Ils passaient toutes les journées ensemble en mer avec le Zodiac, N.. ne les voyait que le soir et le matin car tous se levaient tard. Mais N.. me dit qu’ ils faisaient pas mal de bruit la nuit, il y avait beaucoup d’agitation et de va-et-vient… Ça commençait à m’intéresser, et je continuai à l’interroger.
N.. m’interrompit en me disant qu’elle savait comme beaucoup de nos amis que Victoire avait eu P.. comme amant pendant des années. Je devais bien savoir qu’il se passerait des choses pendant mon absence !
« Ce n’est pas à moi à venir te raconter ce qui se passe chaque nuit avec Victoire mais il est clair qu’elle n’est pas seul dans son lit ! Il y a de l’animation et de bruits divers, me fais-je bien comprendre ?. Je fus assez effrayée un matin très tôt, grâce au clair de lune je n’allumai pas la lumière pour me rendre au « petit endroit » ; dans le hall je croisai une ombre massive, noir, c’était Ali nu, portant comme un bébé dans ses bras une Victoire nue, revenant de la douche. Nous nous croisâmes sans un mot, je crois bien que Victoire, agrippée au cou d’Ali ne me vit pas ».
Et moi qui arrivait dans cette chaude ambiance, ça risquait de perturber l’équilibre du trio ! Trio qui revint d’une journée en mer, P.. et Victoire plus bronzés que jamais, avec un Ali tout noir, rayonnant. Victoire voulant se dessaler, je la rejoignis sous la douche ; remarquant mon impatience elle me mit le doigt sur la bouche.. « chut ! pas maintenant, je te raconterai tout quand ils seront partis, ils partent demain matin tôt, le taxi vient les prendre ». Ça m’arrangeait ; il ne me paraissait pas indiqué qu’un quatrième acteur intervienne dans un jeu prévu seulement pour trois ! Je restai discret toute la soirée tout en participant aux conversations évoquant la journée.
Nous allâmes dans un resto du coin où nous avons nos habitudes ; le patron qui nous connaissait bien me salua en me faisant un clin d’œil en saluant Victoire et ses deux chevaliers servants. La soirée fut chaude, arrosée, et bien imbibés (même Ali, bien que musulman, avait bu pas mal !) nous regagnâmes la finca aux petites heures. Victoire et moi étions dans notre chambre, P.. et Ali chacun dans la leur.
Une demi heure plus tard Victoire qui ne dormait pas se leva et me dit à l’oreille qu’elle allait « dire un bonsoir de départ » à P.. J’étais à moitié endormi et n’ayant répondu que par un grognement qu’elle pris pour un assentiment, elle sortit le rejoindre. Je ne sais quand elle revint, je dormais à poings fermés, mais à mon réveil j’eus le plaisir de l’avoir à côté de moi. « Tu es revenue depuis longtemps ? » Non , elle venait d’arriver ; elle avait passé toute la nuit avec lui.. Elle me dit que P.. et Ali étaient déjà partis avec le taxi, qu’ils me disaient au revoir et merci. Voilà une situation qui se simplifiait et j’en étais heureux. Ensuite j’eus tout le loisir de l’entendre me raconter dans le détail les faits marquants de la semaine !
- 02 juil. 2023, 01:31
#2725296
Sur cette dernière étreinte très chaleureuse qui clôturait une semaine pleine avec Lison, il était temps que j'aille reprendre un peu de pouvoir sur la tsarine, livrée entre les mains (et le reste!) de ses deux camarades de jeux.
- 03 juil. 2023, 01:13
#2725588
Merci d'apprécier ces tranches de vie. J'aime relater nos aventures vécues il y a quelques décennies. Tout cela est bien lointain mais encore chaud dans mon esprit!
Yvelines49 a écrit :Comment ne pas apprécier ce récit cher @trestigres
Merci d'apprécier ces tranches de vie. J'aime relater nos aventures vécues il y a quelques décennies. Tout cela est bien lointain mais encore chaud dans mon esprit!
- 03 juil. 2023, 01:22
#2725589
Aujourd'hui la tsarine se contente de faire des longueurs à la nage dans sa piscine pour se maintenir physiquement. Le souvenir de ce qui s'y est passé est bien lointain mais reste présent dans son esprit.
La disparition de Lison lui a fait autant de mal qu'à moi, surtout à l'occasion de la date de son anniversaire le 26 juin.
La disparition de Lison lui a fait autant de mal qu'à moi, surtout à l'occasion de la date de son anniversaire le 26 juin.
) quand elle retrouve ses envies et son complice de toujours.
- 13 juil. 2023, 02:18
#2728352
Elle me dit que P.. et Ali étaient déjà partis avec le taxi, qu’ils me disaient au revoir et merci. Voilà une situation qui se simplifiait et j’en étais heureux. Ensuite j’eus tout le loisir de l’entendre me raconter dans le détail les faits marquants de la semaine !
« Que veux-tu que je te raconte ? Tu devines bien ce qui s’est passé, non ? »
Oui bien sûr, mais encore ! Je voulais qu’elle se déboutonne, l’obliger à me raconter de façon détaillée tout ce qu’elle avait fait avec les deux lascars « M’enfin tu m’embêtes, ça t’excite tellement ? » Oui et tu le sais bien, ça m’excite de savoir qui, quoi et comment ; je veux tout savoir dans le détail ! « Bon, bon, alors si tu veux.. mais d’abord je dois te dire que seul P. était annoncé. Je ne savais pas du tout qu’Ali l’accompagnerait ; il est arrivé du Niger la veille du départ de P.. et il a décidé de le prendre avec lui, voilà tout ». Je lui reprochai de ne pas m’avoir averti de la date de son arrivée, quoique ça s’est bien trouvé que j’ai quitté les lieux au même moment : je ne me voyais pas tenir la chandelle !
Elle commença à me raconter. Ali fut présenté à N.., P.. lui étant bien connu depuis leur enfance. Victoire leur désigna à chacun une chambre. Puis les garçons plongèrent dans la piscine dans laquelle ils jouèrent comme des gamins. Ensuite l’apéro fut servi, au couché du soleil. Ils allèrent tous les quatre dîner au resto du bled, personne n’ayant le désir de faire la cuisine. Il était tard lorsqu’ils rentrèrent, comme d’hab’ assez imbibés surtout les hommes. A l’extinction des feux, le calme régnait, chacun dans sa chambre. Mais peu de temps après Victoire, à moitié endormie, sentit une présence nue se glisser sous le drap. P.. se collait déjà à elle lui retroussant sa chemisette de nuit... « La suite tu la connais, tu la veux quand même ? » Oui, je voulais qu’elle me raconte ce qu’il lui avait fait. « Il m’a caressée en m’embrassant, il me disait qu’il était heureux de me retrouver. On l’a fait un peu sauvagement, il était en manque. Il m’a fait jouir assez fort, il a tiré au fond de mon ventre plusieurs jets que j’ai bien sentis ! Il devait vraiment être en manque ! Je te le dis parce que je sais que ça t’excite, pas vrai ? » Oui, elle avait raison.. l’idée qu’elle soit baisée par P.. arrivait toujours à m’exciter, même si ce n’était, et de loin, pas la première fois ! Il la quitta tôt matin, la laissant dormir.
Laissant la finca à la garde de N.. ils passèrent tous les trois la journée en mer, navigant en Zodiac de criques en criques. Ils nageaient nus et trouvaient ça délicieux. Ils se retrouvèrent le soir, au bord de la piscine pour l’apéro ensuite allèrent dîner dehors. Dans la nuit P.. revint chez Victoire et ils passèrent la nuit ensemble. Il la baisa sans la faire jouir mais aux petites heures elle eut envie de lui ; elle le réveilla en lui saisissant la queue qu’elle fit durcir à point et l’introduisit dans sa chatte. Par des mouvements du bassin elle se fit baiser alors que P.. arrivait à peine à se réveiller ! Il reprit alors l’initiative. Il s’enfonça en elle vigoureusement lui arrachant des petits cris qu’elle s’efforça de réduire pour ne pas réveiller N.. Mais elle ne put réfréner des cris lorsque, jouissant en elle, il provoqua le déchaînement d’un bel orgasme. Les trois journées qui suivirent se ressemblaient, tout comme les nuits : P. .les passaient invariablement avec Victoire qui était baisée une ou deux fois. Mais au lendemain d’une journée particulièrement ensoleillée, P.. revint avec un coup de soleil sur toute la partie de son corps habituellement couverte par un maillot de bain : ils avaient navigué nus toute la journée sans prendre de précautions . Victoire, prudente s’était couverte d’écran total, quant à Ali, il n’avait besoin de rien, étant protégé naturellement. La nuit, P.. n’alla pas rejoindre Victoire, soufrant de ses brûlures. Ali décida que c’était son tour. Il vint frapper doucement à la porte et sans attendre de réponse, entra dans le noir. Victoire commençait à s’endormir. Il s’approcha à tâtons du lit ; Victoire pensant qu’il s’agissait de P.. lui ouvrit le drap. Ali, pensant que cette invite le concernait, se glissa à côté d’elle. « Tu n’as pas trop mal à tes coups de soleil pour qu’on le fasse ? » .. « Je n’ai pas de coups de soleil » dit la grosse voix d’Ali ! Victoire se redressa d’un coup et alluma le chevet : « Ah c’est toi, j’ai cru que P.. s’était glissé dans le lit ! » .. « Excuse-moi si je t’ai fait peur.. tu veux bien que je reste un peu près de toi ? » Elle lui fit un peu de place.. Ils parlèrent de leur journée, elle le questionna sur lui et son pays.. Elle lui demanda pourquoi il n’avait pas d’épouse, il lui dit qu’il aurait voulu en avoir une épouse blanche ! Introduisant subrepticement la main par une des jambes de son short elle poigna fermement deux gros testicules ce qui fit gémir Ali.. Elle lui retira le short, découvrant l’objet de ses désirs. Leurs mains commencèrent à se toucher l’un l’autre. Elle saisit une queue encore un peu molle mais déjà bien grosse, qui en un instant changea de dimensions. Elle sentit ses doigts cherchant sa fente, s’y introduisant et progressant vers son petit bouton, ce qui la fit se replier sur elle-même comme une huître ! « Doucement, tu vas trop vite, tu veux me prendre mais on a le temps.. » Lorsqu’il tenta de la pénétrer, elle cru que ça ne rentrerait pas. Il fallut attendre qu’il lui badigeonne la vulve longuement avec son gland pour que son vagin s’ouvre enfin ! Alors il y alla franchement ce dont elle se plaignit, lui demandant d’y aller en douceur. Elle me dit qu’il la baisa comme rarement elle le fut par P.. ou par moi. Il fut très doux et très patient, arrêtant quand elle le lui demandait, reprenant quand elle le souhaitait. Elle sentait cette queue se frayer avec peine un passage dans son fourreau vaginal, comprimant la paroi tout en lui procurant une sensation très excitante. Sentant son gland, étrangement modeste par rapport à son support, frapper le col de l’utérus, elle sentit qu’elle allait venir et le lui dit. Elle admira le contraste de cette queue noire plantée dans sa vulve si rose, elle ressentit l’accélération folle des va-et-vient pour arriver à jouir ensemble. Il y arriva : elle cria sa jouissance pendant qu’il grognait comme un homme des cavernes ! Nul doute que la manifestation claironnante de cette issue heureuse se propagea dans toute la finca. Ils restèrent inertes un bon moment, Victoire écoutant si personne ne s’était réveillé. Puis elle demanda à Ali de la laisser dormir seule.. Le jour suivant ils restèrent à l’ombre, se baignant dans la piscine, P.. soignant ses brûlures solaires qui guérissaient vite. N.. fit la cuisine et ils dînèrent tous à la maison. On joua aux cartes jusque tard.. Victoire espérait revoir Ali, mais ne voulant pas le vexer, elle demanda à P.. s’il viendrait cette nuit, mais il déclina, ayant encore mal surtout à son sexe qui en avait aussi pris un coup de soleil. « Demande à Ali, il en meure d’envie ». Ce qu’elle fit et Ali s’empressa de la rejoindre. Ce fut la répétition de la nuit précédente.. Victoire était comblée, Ali l’avait prise deux fois provoquant deux puissants orgasmes. « Tu sais, il me baise de façon classique, beaucoup moins bien que P.. et toi, mais son sexe fait toute la différence, il est surdimensionné en épaisseur et en longueur et quand il me pénètre, la sensation de ce gros corps étranger qui s’agite dans mon ventre me donne l’impression qu’il va me faire éclater le fourreau tellement je le sens fort ; il est le seul à me faire jouir vaginalement chaque fois, il suffit qu’il fasse quelques allées et venues dans mon vagin, et ça y est, j’adore ça ! »
Le lendemain, la veille de mon arrivée, ils retournèrent en mer avec N.. mais cette fois couverts, du moins pour les blancs, de maillots et de teeshirts. Ali par solidarité fit de même ! Il rentrèrent tard, trop tard pour le traditionnel apéro au bord de la piscine. Ils se retrouvèrent dans le boui-boui habituel qui n’est pas mauvais du tout, qui sert des bons plats locaux. Le tout arrosé de vins espagnole à 15 °.
Ils revinrent tous extrêmement joyeux et bruyants. N.. alla s’enfermer dans sa chambre pendant que Victoire et les garçons allaient se plonger nus dans la piscine éclairée. Il faisait encore très chaud à minuit, aucun d’eux ne voulant dormir dans les chambres, des matelas furent mis côte à côte sur la terrasse de la piscine et les trois se couchèrent dessus éclairés par la pleine lune. Des étoiles filantes passaient, arrachant des cris admiratifs.
Peu à peu le silence se fit, des corps se rapprochèrent, des mains s’égarèrent, et Victoire la première se plaça en califourchon sur P.. pendant qu’Ali lui caressait les fesses en lui passant les doigts dans la raie. Voyant que P.. n’arrivait pas à atteindre la rigidité nécessaire alors qu’il voulait l’aider à la pénétrer, Ali prit les devants, et la queue brandie comme un dard, repoussant P.. tout en chevauchant les cuisses de Victoire, la pénétra! Si Victoire se sentait investie, par contre elle ne savait pas par qui ! P.. voulu se dégager en renversant sur le côté Ali, toujours engagé en Victoire, la maintenant par les hanches. Ivres, tous les trois riaient du comique de la situation ! Elle était la souris dont se jouaient les deux matous. La faisant rouler d’un côté puis de l’autre elle était pénétrée d’un côté par P.. et ensuite de l’autre par Ali, les deux garçon se relayant à lui claquer les fesses. Le petit jeux des chats et de la souris dura jusqu’à ce que l’un puis l’autre lui jouisse dessus : son bas ventre était couvert de semence qu’elle étala sur son corps. Alors les deux matous saisirent la souris et la projetèrent dans la piscine illuminée et y plongèrent à sa suite. Bien que chaude, le contraste de température les dégrisa. Ils agaçèrent Victoire en lui mordillant les tétons, lui glissant des doigts dans la fente, dans le cul, lui pinçant les fesses, bref elle cria qu’ils allaient la faire couler ! Ça suffisait pour Victoire, ivre, fatiguée, elle demanda qu’on la porte jusqu’à la douche pour la rincer de l’eau chlorée, car elle ne tenait plus sur ses jambes. Ali la soulevant comme un fétu de paille, la prit dans ses bras comme on prendrait un bébé, et la garda enlacée sous la douche qu’ils prirent ensemble. En sortant, Ali portant Victoire croisa N.. en silence.. Mais qu’aurait-il pu lui dire ? Avant de la poser sur le lit, il l’emballa dans une vaste serviette de bain et la coucha. La nuit fut calme, Victoire seule dans la chambre, les deux garçons chacun dans la leur.. Le lendemain ce fut comme d’habitude : le trio fila en Zodiac vers leurs aventures maritimes. J’arrivai à l’heure du déjeuner et après une longue sieste nous nous retrouvâmes tous ensemble le dernier soir. La suite elle me l’avait déjà racontée, à la différence près qu’en allant retrouver P.. pour un « bonsoir de départ » elle avait aussi fait un crochet par la chambre d’Ali !
J’eus Victoire pour moi la dernière semaine avant de regagner des cieux moins chauds, quoique !..
« Que veux-tu que je te raconte ? Tu devines bien ce qui s’est passé, non ? »
Oui bien sûr, mais encore ! Je voulais qu’elle se déboutonne, l’obliger à me raconter de façon détaillée tout ce qu’elle avait fait avec les deux lascars « M’enfin tu m’embêtes, ça t’excite tellement ? » Oui et tu le sais bien, ça m’excite de savoir qui, quoi et comment ; je veux tout savoir dans le détail ! « Bon, bon, alors si tu veux.. mais d’abord je dois te dire que seul P. était annoncé. Je ne savais pas du tout qu’Ali l’accompagnerait ; il est arrivé du Niger la veille du départ de P.. et il a décidé de le prendre avec lui, voilà tout ». Je lui reprochai de ne pas m’avoir averti de la date de son arrivée, quoique ça s’est bien trouvé que j’ai quitté les lieux au même moment : je ne me voyais pas tenir la chandelle !
Elle commença à me raconter. Ali fut présenté à N.., P.. lui étant bien connu depuis leur enfance. Victoire leur désigna à chacun une chambre. Puis les garçons plongèrent dans la piscine dans laquelle ils jouèrent comme des gamins. Ensuite l’apéro fut servi, au couché du soleil. Ils allèrent tous les quatre dîner au resto du bled, personne n’ayant le désir de faire la cuisine. Il était tard lorsqu’ils rentrèrent, comme d’hab’ assez imbibés surtout les hommes. A l’extinction des feux, le calme régnait, chacun dans sa chambre. Mais peu de temps après Victoire, à moitié endormie, sentit une présence nue se glisser sous le drap. P.. se collait déjà à elle lui retroussant sa chemisette de nuit... « La suite tu la connais, tu la veux quand même ? » Oui, je voulais qu’elle me raconte ce qu’il lui avait fait. « Il m’a caressée en m’embrassant, il me disait qu’il était heureux de me retrouver. On l’a fait un peu sauvagement, il était en manque. Il m’a fait jouir assez fort, il a tiré au fond de mon ventre plusieurs jets que j’ai bien sentis ! Il devait vraiment être en manque ! Je te le dis parce que je sais que ça t’excite, pas vrai ? » Oui, elle avait raison.. l’idée qu’elle soit baisée par P.. arrivait toujours à m’exciter, même si ce n’était, et de loin, pas la première fois ! Il la quitta tôt matin, la laissant dormir.
Laissant la finca à la garde de N.. ils passèrent tous les trois la journée en mer, navigant en Zodiac de criques en criques. Ils nageaient nus et trouvaient ça délicieux. Ils se retrouvèrent le soir, au bord de la piscine pour l’apéro ensuite allèrent dîner dehors. Dans la nuit P.. revint chez Victoire et ils passèrent la nuit ensemble. Il la baisa sans la faire jouir mais aux petites heures elle eut envie de lui ; elle le réveilla en lui saisissant la queue qu’elle fit durcir à point et l’introduisit dans sa chatte. Par des mouvements du bassin elle se fit baiser alors que P.. arrivait à peine à se réveiller ! Il reprit alors l’initiative. Il s’enfonça en elle vigoureusement lui arrachant des petits cris qu’elle s’efforça de réduire pour ne pas réveiller N.. Mais elle ne put réfréner des cris lorsque, jouissant en elle, il provoqua le déchaînement d’un bel orgasme. Les trois journées qui suivirent se ressemblaient, tout comme les nuits : P. .les passaient invariablement avec Victoire qui était baisée une ou deux fois. Mais au lendemain d’une journée particulièrement ensoleillée, P.. revint avec un coup de soleil sur toute la partie de son corps habituellement couverte par un maillot de bain : ils avaient navigué nus toute la journée sans prendre de précautions . Victoire, prudente s’était couverte d’écran total, quant à Ali, il n’avait besoin de rien, étant protégé naturellement. La nuit, P.. n’alla pas rejoindre Victoire, soufrant de ses brûlures. Ali décida que c’était son tour. Il vint frapper doucement à la porte et sans attendre de réponse, entra dans le noir. Victoire commençait à s’endormir. Il s’approcha à tâtons du lit ; Victoire pensant qu’il s’agissait de P.. lui ouvrit le drap. Ali, pensant que cette invite le concernait, se glissa à côté d’elle. « Tu n’as pas trop mal à tes coups de soleil pour qu’on le fasse ? » .. « Je n’ai pas de coups de soleil » dit la grosse voix d’Ali ! Victoire se redressa d’un coup et alluma le chevet : « Ah c’est toi, j’ai cru que P.. s’était glissé dans le lit ! » .. « Excuse-moi si je t’ai fait peur.. tu veux bien que je reste un peu près de toi ? » Elle lui fit un peu de place.. Ils parlèrent de leur journée, elle le questionna sur lui et son pays.. Elle lui demanda pourquoi il n’avait pas d’épouse, il lui dit qu’il aurait voulu en avoir une épouse blanche ! Introduisant subrepticement la main par une des jambes de son short elle poigna fermement deux gros testicules ce qui fit gémir Ali.. Elle lui retira le short, découvrant l’objet de ses désirs. Leurs mains commencèrent à se toucher l’un l’autre. Elle saisit une queue encore un peu molle mais déjà bien grosse, qui en un instant changea de dimensions. Elle sentit ses doigts cherchant sa fente, s’y introduisant et progressant vers son petit bouton, ce qui la fit se replier sur elle-même comme une huître ! « Doucement, tu vas trop vite, tu veux me prendre mais on a le temps.. » Lorsqu’il tenta de la pénétrer, elle cru que ça ne rentrerait pas. Il fallut attendre qu’il lui badigeonne la vulve longuement avec son gland pour que son vagin s’ouvre enfin ! Alors il y alla franchement ce dont elle se plaignit, lui demandant d’y aller en douceur. Elle me dit qu’il la baisa comme rarement elle le fut par P.. ou par moi. Il fut très doux et très patient, arrêtant quand elle le lui demandait, reprenant quand elle le souhaitait. Elle sentait cette queue se frayer avec peine un passage dans son fourreau vaginal, comprimant la paroi tout en lui procurant une sensation très excitante. Sentant son gland, étrangement modeste par rapport à son support, frapper le col de l’utérus, elle sentit qu’elle allait venir et le lui dit. Elle admira le contraste de cette queue noire plantée dans sa vulve si rose, elle ressentit l’accélération folle des va-et-vient pour arriver à jouir ensemble. Il y arriva : elle cria sa jouissance pendant qu’il grognait comme un homme des cavernes ! Nul doute que la manifestation claironnante de cette issue heureuse se propagea dans toute la finca. Ils restèrent inertes un bon moment, Victoire écoutant si personne ne s’était réveillé. Puis elle demanda à Ali de la laisser dormir seule.. Le jour suivant ils restèrent à l’ombre, se baignant dans la piscine, P.. soignant ses brûlures solaires qui guérissaient vite. N.. fit la cuisine et ils dînèrent tous à la maison. On joua aux cartes jusque tard.. Victoire espérait revoir Ali, mais ne voulant pas le vexer, elle demanda à P.. s’il viendrait cette nuit, mais il déclina, ayant encore mal surtout à son sexe qui en avait aussi pris un coup de soleil. « Demande à Ali, il en meure d’envie ». Ce qu’elle fit et Ali s’empressa de la rejoindre. Ce fut la répétition de la nuit précédente.. Victoire était comblée, Ali l’avait prise deux fois provoquant deux puissants orgasmes. « Tu sais, il me baise de façon classique, beaucoup moins bien que P.. et toi, mais son sexe fait toute la différence, il est surdimensionné en épaisseur et en longueur et quand il me pénètre, la sensation de ce gros corps étranger qui s’agite dans mon ventre me donne l’impression qu’il va me faire éclater le fourreau tellement je le sens fort ; il est le seul à me faire jouir vaginalement chaque fois, il suffit qu’il fasse quelques allées et venues dans mon vagin, et ça y est, j’adore ça ! »
Le lendemain, la veille de mon arrivée, ils retournèrent en mer avec N.. mais cette fois couverts, du moins pour les blancs, de maillots et de teeshirts. Ali par solidarité fit de même ! Il rentrèrent tard, trop tard pour le traditionnel apéro au bord de la piscine. Ils se retrouvèrent dans le boui-boui habituel qui n’est pas mauvais du tout, qui sert des bons plats locaux. Le tout arrosé de vins espagnole à 15 °.
Ils revinrent tous extrêmement joyeux et bruyants. N.. alla s’enfermer dans sa chambre pendant que Victoire et les garçons allaient se plonger nus dans la piscine éclairée. Il faisait encore très chaud à minuit, aucun d’eux ne voulant dormir dans les chambres, des matelas furent mis côte à côte sur la terrasse de la piscine et les trois se couchèrent dessus éclairés par la pleine lune. Des étoiles filantes passaient, arrachant des cris admiratifs.
Peu à peu le silence se fit, des corps se rapprochèrent, des mains s’égarèrent, et Victoire la première se plaça en califourchon sur P.. pendant qu’Ali lui caressait les fesses en lui passant les doigts dans la raie. Voyant que P.. n’arrivait pas à atteindre la rigidité nécessaire alors qu’il voulait l’aider à la pénétrer, Ali prit les devants, et la queue brandie comme un dard, repoussant P.. tout en chevauchant les cuisses de Victoire, la pénétra! Si Victoire se sentait investie, par contre elle ne savait pas par qui ! P.. voulu se dégager en renversant sur le côté Ali, toujours engagé en Victoire, la maintenant par les hanches. Ivres, tous les trois riaient du comique de la situation ! Elle était la souris dont se jouaient les deux matous. La faisant rouler d’un côté puis de l’autre elle était pénétrée d’un côté par P.. et ensuite de l’autre par Ali, les deux garçon se relayant à lui claquer les fesses. Le petit jeux des chats et de la souris dura jusqu’à ce que l’un puis l’autre lui jouisse dessus : son bas ventre était couvert de semence qu’elle étala sur son corps. Alors les deux matous saisirent la souris et la projetèrent dans la piscine illuminée et y plongèrent à sa suite. Bien que chaude, le contraste de température les dégrisa. Ils agaçèrent Victoire en lui mordillant les tétons, lui glissant des doigts dans la fente, dans le cul, lui pinçant les fesses, bref elle cria qu’ils allaient la faire couler ! Ça suffisait pour Victoire, ivre, fatiguée, elle demanda qu’on la porte jusqu’à la douche pour la rincer de l’eau chlorée, car elle ne tenait plus sur ses jambes. Ali la soulevant comme un fétu de paille, la prit dans ses bras comme on prendrait un bébé, et la garda enlacée sous la douche qu’ils prirent ensemble. En sortant, Ali portant Victoire croisa N.. en silence.. Mais qu’aurait-il pu lui dire ? Avant de la poser sur le lit, il l’emballa dans une vaste serviette de bain et la coucha. La nuit fut calme, Victoire seule dans la chambre, les deux garçons chacun dans la leur.. Le lendemain ce fut comme d’habitude : le trio fila en Zodiac vers leurs aventures maritimes. J’arrivai à l’heure du déjeuner et après une longue sieste nous nous retrouvâmes tous ensemble le dernier soir. La suite elle me l’avait déjà racontée, à la différence près qu’en allant retrouver P.. pour un « bonsoir de départ » elle avait aussi fait un crochet par la chambre d’Ali !
J’eus Victoire pour moi la dernière semaine avant de regagner des cieux moins chauds, quoique !..
- 13 juil. 2023, 13:51
#2728439
Voila mon retard rattrapé.
Ta relation avec Lison est sympathique mais rien d'aussi excitant que celles de Victoire avec ses amants. Je trouve même que tu sembles pr^ter plus d'attention aux récits concernant ta femme qu'à ceux evoquant Lison. Du moins sur ces derniers.
Tu as eu bien de la chance d'avoir connu deux femmes aussi amoureuses de toi. Je crois qu'elles ont eu aussi beaucoup de chance de t'avoir rencontrées.
Ta relation avec Lison est sympathique mais rien d'aussi excitant que celles de Victoire avec ses amants. Je trouve même que tu sembles pr^ter plus d'attention aux récits concernant ta femme qu'à ceux evoquant Lison. Du moins sur ces derniers.
Tu as eu bien de la chance d'avoir connu deux femmes aussi amoureuses de toi. Je crois qu'elles ont eu aussi beaucoup de chance de t'avoir rencontrées.
Dionysos06 a liké
S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui durera toute une vie. Oscar Wilde
Pseudo de couple FloetSergio
Pseudo de couple FloetSergio
- 13 juil. 2023, 16:00
#2728457
Oui je vous comprends c'est parfois un peu compliqué, d'autant plus que les photos ne correspondent pas au récit pour lequel, n'étant pas présent, je n'ai fait aucune photo ou vidéo.
Mais j'ai en réserve quantités de photos extraites de mes vidéos de Lison. Par contre Victoire n'a jamais accepté d'être filmée, donc je ne dispose que des photos d'elle déjà publiées.
Bonne journée, et merci de me lire!
Michel3132 a écrit :je ne comprends plus ou suis perdu, lison ou victoire?
Oui je vous comprends c'est parfois un peu compliqué, d'autant plus que les photos ne correspondent pas au récit pour lequel, n'étant pas présent, je n'ai fait aucune photo ou vidéo.
Mais j'ai en réserve quantités de photos extraites de mes vidéos de Lison. Par contre Victoire n'a jamais accepté d'être filmée, donc je ne dispose que des photos d'elle déjà publiées.
Bonne journée, et merci de me lire!
- 13 juil. 2023, 17:52
#2728510
Donc Lison ta maitresse et Victoire ta femme si j'ai tout compris...
A propos de victoire au début on avait vu une photo d 'elle a l hôpital si ma mémoire est bonne, comment va t'elle aujourd'hui?
A propos de victoire au début on avait vu une photo d 'elle a l hôpital si ma mémoire est bonne, comment va t'elle aujourd'hui?
glissements a liké
- 14 juil. 2023, 01:54
#2728612
Oui, c'était bien ça: un grand classique! Elles furent très copines, ça mérite d'être mentionné..
Victoire va mieux, merci de te soucier de sa santé. Mais l'âge est là avec son cortège de bobos divers. Elle nage beaucoup pour se maintenir en forme physiquement.
Je poste quelques photos d'elle prises ces derniers jours
Michel3132 a écrit :Donc Lison ta maitresse et Victoire ta femme si j'ai tout compris...
A propos de victoire au début on avait vu une photo d 'elle a l hôpital si ma mémoire est bonne, comment va t'elle aujourd'hui?
Oui, c'était bien ça: un grand classique! Elles furent très copines, ça mérite d'être mentionné..
Victoire va mieux, merci de te soucier de sa santé. Mais l'âge est là avec son cortège de bobos divers. Elle nage beaucoup pour se maintenir en forme physiquement.
Je poste quelques photos d'elle prises ces derniers jours
- 14 juil. 2023, 02:18
#2728614
Bah, c'était notre vie durant ces temps bénis! Les deux femmes de ma vie étaient de belles créatures et je n'étais pas le seul à les apprécier, comme vous avez pu le lire..
Ravi que cela vous plaise, et c'est à suivre..
FB57 a écrit :trestigres très très belle série, une femme magnifique, merci
Bah, c'était notre vie durant ces temps bénis! Les deux femmes de ma vie étaient de belles créatures et je n'étais pas le seul à les apprécier, comme vous avez pu le lire..
Ravi que cela vous plaise, et c'est à suivre..
- 14 juil. 2023, 13:06
#2728730
Merci pour votre appréciation. Les photos sont, pour leur grande majorité, extraites de vidéos que ma partenaire - hélas décédée - voulait tourner pour les conserver comme archives pour ses vieux jours! Elle n'aura pas pu en profiter...
Vous voyez, rien ne change! Vous avez 35 ans et j'en ai 81, mais les galipettes se ressemblent, le candaulisme m'était inconnu dans les années 70 à 80, mais je le pratiquais. Le fait de pouvoir les raconter sur FC m'amuse beaucoup et me fait beaucoup de bien: j'ai l'impression de rajeunir!
Amusez-vous bien, vous avez au moins 30 années pour le faire..
ChrisRom a écrit :@trestigres
Quelles photos ! j'ai eu "l'impression" de voir ma femme et notre partenaire, tellement ces clichés sont identiques à ce que nous faisons en trio.
Merci pour votre appréciation. Les photos sont, pour leur grande majorité, extraites de vidéos que ma partenaire - hélas décédée - voulait tourner pour les conserver comme archives pour ses vieux jours! Elle n'aura pas pu en profiter...
Vous voyez, rien ne change! Vous avez 35 ans et j'en ai 81, mais les galipettes se ressemblent, le candaulisme m'était inconnu dans les années 70 à 80, mais je le pratiquais. Le fait de pouvoir les raconter sur FC m'amuse beaucoup et me fait beaucoup de bien: j'ai l'impression de rajeunir!
Amusez-vous bien, vous avez au moins 30 années pour le faire..
- 15 juil. 2023, 10:15
#2728863
Bonjour @trestigres , je suis votre aventure depuis le début, et franchement un grand bravo pour votre état d’esprit très avant-gardiste et un grand bravo à votre sens de l’écriture. Comme beaucoup de choses ont déjà été dit sur la qualité de vos mémoires, j’ai peu de choses à rajouter, si ce n’est que vous à votre nom s’afficher et toujours un grand plaisir, même si je ne commente pas car la connexion sur mon téléphone est un peu compliqué à chaque fois.
On sent que vous avez su, comme une corde de guitare, tiré à la limite de la corde de votre couple pour avoir la plus belle note commune. Vous avez beaucoup de chance d’avoir votre femme, mais votre femme aussi a eu beaucoup de chance de vous avoir.
Merci
On sent que vous avez su, comme une corde de guitare, tiré à la limite de la corde de votre couple pour avoir la plus belle note commune. Vous avez beaucoup de chance d’avoir votre femme, mais votre femme aussi a eu beaucoup de chance de vous avoir.
Merci
- 16 juil. 2023, 00:52
#2729012
Ah mais ça me fait plaisir d’apprendre que vous avez eu le courage – et il en faut - pour lire nos aventures depuis le début, qui sont postées condensées (c’est pas un peu indigeste ?) alors qu’elles s’étendent sur près de trente cinq années !
Mariés en mai ’68 (fallait le faire !) cette union fut dès le départ influencée par les évènements de la même époque: libération de la parole, des corps, émancipation des femmes, les premiers monokinis… Les événements et la décennie qui a suivi ont été porteurs d’une véritable révolution des mœurs toujours en cours à l’heure actuelle. Et malgré cette révolution, épouse et maîtresse furent somme toute assez fidèles, tout comme les mari (moi) et amants (P.. et Ali) ! Nous avions une grande estime pour les uns et les autres, nous avons su ménager les susceptibilités, ainsi nous avons pu « jouer » sur tous les registres, mais pour que vous compreniez ce que ça veut dire, il faudra vous donner la peine de lire la suite !
Bon courage, j’aurai également plaisir à lire vos impressions..
Grandcurieux a écrit :Bonjour @trestigres , je suis votre aventure depuis le début, et franchement un grand bravo pour votre état d’esprit très avant-gardiste et un grand bravo à votre sens de l’écriture. Comme beaucoup de choses ont déjà été dit sur la qualité de vos mémoires, j’ai peu de choses à rajouter, si ce n’est que vous à votre nom s’afficher et toujours un grand plaisir, même si je ne commente pas car la connexion sur mon téléphone est un peu compliqué à chaque fois.
On sent que vous avez su, comme une corde de guitare, tiré à la limite de la corde de votre couple pour avoir la plus belle note commune. Vous avez beaucoup de chance d’avoir votre femme, mais votre femme aussi a eu beaucoup de chance de vous avoir.
Merci
Ah mais ça me fait plaisir d’apprendre que vous avez eu le courage – et il en faut - pour lire nos aventures depuis le début, qui sont postées condensées (c’est pas un peu indigeste ?) alors qu’elles s’étendent sur près de trente cinq années !
Mariés en mai ’68 (fallait le faire !) cette union fut dès le départ influencée par les évènements de la même époque: libération de la parole, des corps, émancipation des femmes, les premiers monokinis… Les événements et la décennie qui a suivi ont été porteurs d’une véritable révolution des mœurs toujours en cours à l’heure actuelle. Et malgré cette révolution, épouse et maîtresse furent somme toute assez fidèles, tout comme les mari (moi) et amants (P.. et Ali) ! Nous avions une grande estime pour les uns et les autres, nous avons su ménager les susceptibilités, ainsi nous avons pu « jouer » sur tous les registres, mais pour que vous compreniez ce que ça veut dire, il faudra vous donner la peine de lire la suite !
Bon courage, j’aurai également plaisir à lire vos impressions..
- 16 juil. 2023, 00:58
#2729015
Merci, dit-elle, car elle aime les bisoux. Elle nage nue, c'est une habitude, et comme nous sommes désormais seuls... Pourtant il s'en est passé des aventures aves ses amants dans cette piscine!
michpat a écrit :trestigres a écrit :Je poste quelques photos d'elle prises ces derniers jours
Un gros Bisou à Victoire toujours naturelle et à l'aise avec son corps et qui a toujours le plaisir de nager nue
Merci, dit-elle, car elle aime les bisoux. Elle nage nue, c'est une habitude, et comme nous sommes désormais seuls... Pourtant il s'en est passé des aventures aves ses amants dans cette piscine!
- 25 juil. 2023, 10:55
#2731495
@trestigres tout d'abord, heureux de voir que la tsarine aille mieux et retrouve de sa vitalité. Sa maturité lumineuse est une bien belle vision.
Ensuite, merci pour toutes ces belles photos.
Oui, tu auras été un homme heureux d'aimer et d'âtre aimé par de femmes aussi différentes et excitantes, chacune dans leur style et leur beauté. Un homme arrivé à l'âge adulte lors d'une période bénie pour la libération des mœurs et celle des femmes ; temps heureux où la liberté sexuelle s'écrivait en lettres majuscules et où le SIDA n'avait pas fait ses ravages.
Mais il m'a toujours semblé évident, à la lecture de tes récits, que la tsarine et Lison ne jouaient pas dans la même catégorie et que ton amour et ton attachement pour l'une dépassaient toujours ceux pour la seconde.
Très honnêtement, si Victoire avait dit oui, je ne lui aurait évidemment pas dit non.
Ensuite, merci pour toutes ces belles photos.
Oui, tu auras été un homme heureux d'aimer et d'âtre aimé par de femmes aussi différentes et excitantes, chacune dans leur style et leur beauté. Un homme arrivé à l'âge adulte lors d'une période bénie pour la libération des mœurs et celle des femmes ; temps heureux où la liberté sexuelle s'écrivait en lettres majuscules et où le SIDA n'avait pas fait ses ravages.
Mais il m'a toujours semblé évident, à la lecture de tes récits, que la tsarine et Lison ne jouaient pas dans la même catégorie et que ton amour et ton attachement pour l'une dépassaient toujours ceux pour la seconde.
Très honnêtement, si Victoire avait dit oui, je ne lui aurait évidemment pas dit non.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 05 août 2023, 00:50
#2734738
Rentré de voyage (retour pénible, coincé 4 heures à Pau par le "contre la montre" de ces dames à bicyclette) je peux enfin te répondre. Je mesure aujourd'hui la chance que nous avons eue d'être en pleine maturité physique (et intellectuelle, car maintenant nous avons perdons peu à peu la mémoire!) à cette époque bénie. Il est juste de dire que ces deux femmes, chacune exceptionnelle dans leur genre, n'auraient pas joué dans le même bac à sable... mais elle ne se crépaient pas le chignon bien au contraire, la suite de l'histoire va montrer un rapprochement inattendu de ces deux créatures que je n'aurais jamais imaginé auparavent!
Victoire? Bien sûr qu'elle t'aurait accepté si tu le lui avais demandé gentiment, avec le sourire et les bisoux qui vont avec!
Dionysos06 a écrit :@trestigres tout d'abord, heureux de voir que la tsarine aille mieux et retrouve de sa vitalité. Sa maturité lumineuse est une bien belle vision.
Ensuite, merci pour toutes ces belles photos.
Oui, tu auras été un homme heureux d'aimer et d'âtre aimé par de femmes aussi différentes et excitantes, chacune dans leur style et leur beauté. Un homme arrivé à l'âge adulte lors d'une période bénie pour la libération des mœurs et celle des femmes ; temps heureux où la liberté sexuelle s'écrivait en lettres majuscules et où le SIDA n'avait pas fait ses ravages.
Mais il m'a toujours semblé évident, à la lecture de tes récits, que la tsarine et Lison ne jouaient pas dans la même catégorie et que ton amour et ton attachement pour l'une dépassaient toujours ceux pour la seconde.
Très honnêtement, si Victoire avait dit oui, je ne lui aurait évidemment pas dit non.
Rentré de voyage (retour pénible, coincé 4 heures à Pau par le "contre la montre" de ces dames à bicyclette) je peux enfin te répondre. Je mesure aujourd'hui la chance que nous avons eue d'être en pleine maturité physique (et intellectuelle, car maintenant nous avons perdons peu à peu la mémoire!) à cette époque bénie. Il est juste de dire que ces deux femmes, chacune exceptionnelle dans leur genre, n'auraient pas joué dans le même bac à sable... mais elle ne se crépaient pas le chignon bien au contraire, la suite de l'histoire va montrer un rapprochement inattendu de ces deux créatures que je n'aurais jamais imaginé auparavent!
Victoire? Bien sûr qu'elle t'aurait accepté si tu le lui avais demandé gentiment, avec le sourire et les bisoux qui vont avec!
- 05 août 2023, 00:56
#2734740
Suite
NB : ce qui va être conté maintenant est basé sur le contenu de plusieurs journaux personnels : celui de Lison sous forme d’une clé USB que sa belle-fille m’a fait parvenir après son décès, un journal très complet et explicite, avec des photos, de toutes les aventures que son autrice a vécues avec moi mais pas que ; celui de Victoire, moins complet mais compensé par les récits et impressions verbales que je lui soutirais ; et aussi mes notes éparses que j’ai rassemblées tant bien que mal. Le tout formant un ensemble hétérogène que j’ai dû remettre sur des rails cohérents, tant du point de vue historique que chronologique. Hélas, la caméra vidéo fut peu employée : P.. comme Victoire ne voulaient pas en entendre parler, Lison et moi l’avons utilisée, dont j’ai tiré d’innombrables photos qui ne seront pas forcément en rapport avec les aventures à venir. J’espère que cette compilation vous plaira. Quant à moi, je me suis bien amusé à les écrire et à les relire, je me suis senti rajeunir…
Nous évoquâmes l’anniversaire de Victoire qui approchait ; elle m’avait dit qu’elle inviterait P.. et j’avais l’idée folle d’inviter Lison : Victoire avec son amant et moi avec ma maîtresse, ce n’était pas banal ! Mais qu’allait-on faire avec les enfants et petits enfants ? J’avais ma petite idée, assez originale mais un peu risquée.
J’avais sondé Lison qui m’avait répondu que j’étais complètement fou ! J’en ai parlé à Victoire qui m’a dit que plus on est de fous plus on rit. « Non mais sans blague, je rêve, tu n’y penses pas ? » me dit-elle.
L’anniversaire approchant, elle revint sur le sujet en me disant qu’elle y avait réfléchi et que si j’y tenais vraiment je pouvais l’inviter, puis elle me dit qu’elle l’inviterait elle-même ! Ce qu’elle fit.. Lison fut stupéfaite mais aussi très excitée. Elle me téléphona pour m’annoncer que mon épouse l’invitait pour son anniversaire.. « Non mais tu te rends compte ? On va se retrouver à quatre : elle et son amant et moi avec mon amant ! Ça va être rock’n roll ! » Elle ne croyait pas si bien dire..
Mais il y avait les enfants et petits-enfants.. Nous montâmes un petit scénario très simple : P.. viendrait avec Lison, sa soi-disant petite amie. Elle devait seulement jouer la comédie de la petite amie avec son mec. Et moi je devais faire attention de n’avoir aucun geste suspect vis-à-vis de Lison. Par contre la nuit nous changerions de chambre, de lit et de partenaire jusqu’au petit matin. Il fallut que Victoire en parle à P.. ensuite qu’on lui présente Lison. Je réservai une table pour quatre dans un bon resto et nous retrouvâmes Lison et moi avec Victoire et P.. L’idée nous excitait tous et le scénario fut mis au point, chacun devant jouer un rôle bien précis pour que nos enfants ne se doute de rien. Ils connaissaient déjà P.. mais pas Lison. Notre fils aîné savait que P.. et sa mère avait eu une liaison mais pour lui c’était du passé. Il lui semblerait normal que P.. arrive avec sa petite amie du jour ! Nous nous quittâmes comme des conspirateurs, chacun rentrant chez soi ce soir-là. J’appelai Lison pour lui demander comment elle trouvait l’idée. « Super, ça va être très excitant ! Dis-donc, l’amant de Victoire, il est pas mal du tout, tu ne me l’avais jamais dit ! » Pourquoi le lui aurais-je dit ? Mais il était clair qu’il lui plaisait, du reste je l’avais déjà remarqué à table, elle s’y intéressait de façon un peu voyante, le regardant longuement, P.. à son tour ne la quittait pas du regard! Victoire me fit également une réflexion concernant Lison. :« chéri, fais attention à ce que ces deux-là ne se retrouvent pas seuls dans un lit, je suppose que tu as remarqué comme moi ce qui se passait entre eux au resto! » La veille de l’anniversaire de Victoire, nous partîmes pour la campagne avec armes et bagages, les enfants en plus. Le temps chaud semblait tourner à l’orage, ce qui a une influence érotique sur Victoire ! P.. accompagné de Lison, sa petite amie officieuse pour les non avertis arrivèrent en fin d’après-midi.. Lison m’apprit que P.. est venu la chercher chez elle dans l’avant-midi et qu’ils avaient été déjeuner à deux chez son écailler favori. « Et après ? » ai-je demandé soupçonneux ! Elle voulut changer de sujet mais je la ramenai dessus. Elle pouffa en se moquant : « ne serais-tu pas jaloux ? » « Non » lui-dis-je, « mais quelque chose me dit que ça s’est terminé au lit ».. « Tout juste sauf que ça ne s’est pas passé » me répondit-elle ! « Juste quelques papouilles très agréables, il a l’air d’être sacrément bien monté d’après ce que j’ai pu sentir au travers de son pantalon, Victoire a bien de la chance ! ; je n’étais même pas toute nue, il a seulement déboutonné mon chemisier et dégrafé mon soutif pour voir mes seins ! » Il faudrait que je la tienne à l’œil, quoique l’idée même qu’elle se fasse sauter par P.. ne me laissait pas indifférent..
Après dîner, les petits-enfants allèrent se coucher de bonne heure ; nous restâmes avec les grands jusque tard, admirant les éclairs qui zébraient le ciel nocturne. Lorsque soudain, P.. déclara aller se coucher, invitant Lison à le suivre.. Nous restâmes encore quelques temps avec nos enfants, écoutant du jazz.. Je m’inquiétais de laisser Lison seule avec P.. , nous montâmes donc Victoire et moi rejoindre notre chambre, attendant que nos enfants soient eux-mêmes dans leurs chambres pour procéder à l’échange. Mais cela dura plus que prévu, nos enfants s’éternisant à écouter de la musique. Je me morfondais en espérant qu’ils dégageraient rapidement et iraient se coucher, imaginant P.. et Lison dans un lit.. Pour sûr il allait se passer quelque chose.
Ni tenant plus, Victoire me forçat à aller frapper à leur porte : elle s’impatientait de récupérer P.. et moi Lison ! Arrivé devant le battant de porte, je m’apprêtais à frapper lorsque j’entendis un long gémissement que je connaissais bien pour l’avoir provoqué maintes fois : Lison clamait son orgasme ! J’aurais dû être furieux, mais au contraire j’étais excité au plus haut point ! Je collai l’oreille au panneau de porte, j’entendais les couinements post-orgasmiques de Lison, P.. devait la bourrer tant et plus. Soudain il se lâcha en grognant profondément. Alors je frappai à la porte ! Je perçus un conciliabule entre les amants, puis elle lança « Oh chéri, j’arrive tout de suite, va m’attendre dans la chambre ».. me dit-elle en tentant de s’éclaircir la voix qu’elle avait nouée par l’émotion!
Je n’en fis rien : en me dissimulant j’attendai qu’elle sorte, ce qu’elle fit après quelques minutes.. entr’ouvrant l battant de porte elle passa la tête, voyant que la voie semblait libre elle se risqua au-dehors : elle était nue, masquant tant bien que mal son corps avec ses vêtements roulés en boule. La surprenant par derrière je lui touchai l’épaule ce qui la fit sursauter ! « Ah ! Mon Dieu c’est toi? Tu m’as fait peur ! Je dois aller à la salle de bain, laisse-moi ».. Je m’y enfermai avec elle : le sperme s’écoulait de sa fente le long des cuisses.. N’y tenant plus, tout en me déshabillant je la fis s’appuyer sur le bord de la baignoire et la saisissant par les hanches je la pénétrai d’un coup avec force, produisant un bruit de clapotis tellement son vagin était rempli. Elle gémissait en pleurnichant.. « Mais pourquoi tu pleures ? » « Parce que j’ai honte !.. « Honte de quoi ? » lui demandais-je faussement naïf, en m’enfonçant en elle. « Mais de t’avoir trompé en couchant avec P…, fallait pas me laisser seule avec lui ! T’avais pourtant bien vu que j’en avais envie, j’étais comme une femelle en chaleur en face d’un mâle prédateur ! Quand il a sorti son gros gland je n’ai pas pu résister : Je le voulais.. qu’il vienne en moi, alors il m’a prise ». Elle avait goûté à ce mâle alpha qui l’avait mené au septième ciel, ça se voyait ! Son vagin était dilaté, il l’avait tellement élargi qu’elle réalisait à peine que j’étais en elle !.. Elle ne jouit pas, mais je ne puis me retenir et me vidai longuement après avoir entendu ce récit aphrodisiaque ; le fond de son ventre était un lac et ma queue s’y baignait avec délice ! Je la mis sous la douche et la frictionnai ; le lac se vida en coulant sur nos jambes. M’enlaçant elle m’embrassa, elle me dit qu’elle m’aimait ! La laissant là, inquiet, j’allai voir ce qui se passait sur le front : la porte de la chambre de P.. était close ! Et la chambre de Victoire était vide : la coquine était déjà avec lui !
NB : ce qui va être conté maintenant est basé sur le contenu de plusieurs journaux personnels : celui de Lison sous forme d’une clé USB que sa belle-fille m’a fait parvenir après son décès, un journal très complet et explicite, avec des photos, de toutes les aventures que son autrice a vécues avec moi mais pas que ; celui de Victoire, moins complet mais compensé par les récits et impressions verbales que je lui soutirais ; et aussi mes notes éparses que j’ai rassemblées tant bien que mal. Le tout formant un ensemble hétérogène que j’ai dû remettre sur des rails cohérents, tant du point de vue historique que chronologique. Hélas, la caméra vidéo fut peu employée : P.. comme Victoire ne voulaient pas en entendre parler, Lison et moi l’avons utilisée, dont j’ai tiré d’innombrables photos qui ne seront pas forcément en rapport avec les aventures à venir. J’espère que cette compilation vous plaira. Quant à moi, je me suis bien amusé à les écrire et à les relire, je me suis senti rajeunir…
Nous évoquâmes l’anniversaire de Victoire qui approchait ; elle m’avait dit qu’elle inviterait P.. et j’avais l’idée folle d’inviter Lison : Victoire avec son amant et moi avec ma maîtresse, ce n’était pas banal ! Mais qu’allait-on faire avec les enfants et petits enfants ? J’avais ma petite idée, assez originale mais un peu risquée.
J’avais sondé Lison qui m’avait répondu que j’étais complètement fou ! J’en ai parlé à Victoire qui m’a dit que plus on est de fous plus on rit. « Non mais sans blague, je rêve, tu n’y penses pas ? » me dit-elle.
L’anniversaire approchant, elle revint sur le sujet en me disant qu’elle y avait réfléchi et que si j’y tenais vraiment je pouvais l’inviter, puis elle me dit qu’elle l’inviterait elle-même ! Ce qu’elle fit.. Lison fut stupéfaite mais aussi très excitée. Elle me téléphona pour m’annoncer que mon épouse l’invitait pour son anniversaire.. « Non mais tu te rends compte ? On va se retrouver à quatre : elle et son amant et moi avec mon amant ! Ça va être rock’n roll ! » Elle ne croyait pas si bien dire..
Mais il y avait les enfants et petits-enfants.. Nous montâmes un petit scénario très simple : P.. viendrait avec Lison, sa soi-disant petite amie. Elle devait seulement jouer la comédie de la petite amie avec son mec. Et moi je devais faire attention de n’avoir aucun geste suspect vis-à-vis de Lison. Par contre la nuit nous changerions de chambre, de lit et de partenaire jusqu’au petit matin. Il fallut que Victoire en parle à P.. ensuite qu’on lui présente Lison. Je réservai une table pour quatre dans un bon resto et nous retrouvâmes Lison et moi avec Victoire et P.. L’idée nous excitait tous et le scénario fut mis au point, chacun devant jouer un rôle bien précis pour que nos enfants ne se doute de rien. Ils connaissaient déjà P.. mais pas Lison. Notre fils aîné savait que P.. et sa mère avait eu une liaison mais pour lui c’était du passé. Il lui semblerait normal que P.. arrive avec sa petite amie du jour ! Nous nous quittâmes comme des conspirateurs, chacun rentrant chez soi ce soir-là. J’appelai Lison pour lui demander comment elle trouvait l’idée. « Super, ça va être très excitant ! Dis-donc, l’amant de Victoire, il est pas mal du tout, tu ne me l’avais jamais dit ! » Pourquoi le lui aurais-je dit ? Mais il était clair qu’il lui plaisait, du reste je l’avais déjà remarqué à table, elle s’y intéressait de façon un peu voyante, le regardant longuement, P.. à son tour ne la quittait pas du regard! Victoire me fit également une réflexion concernant Lison. :« chéri, fais attention à ce que ces deux-là ne se retrouvent pas seuls dans un lit, je suppose que tu as remarqué comme moi ce qui se passait entre eux au resto! » La veille de l’anniversaire de Victoire, nous partîmes pour la campagne avec armes et bagages, les enfants en plus. Le temps chaud semblait tourner à l’orage, ce qui a une influence érotique sur Victoire ! P.. accompagné de Lison, sa petite amie officieuse pour les non avertis arrivèrent en fin d’après-midi.. Lison m’apprit que P.. est venu la chercher chez elle dans l’avant-midi et qu’ils avaient été déjeuner à deux chez son écailler favori. « Et après ? » ai-je demandé soupçonneux ! Elle voulut changer de sujet mais je la ramenai dessus. Elle pouffa en se moquant : « ne serais-tu pas jaloux ? » « Non » lui-dis-je, « mais quelque chose me dit que ça s’est terminé au lit ».. « Tout juste sauf que ça ne s’est pas passé » me répondit-elle ! « Juste quelques papouilles très agréables, il a l’air d’être sacrément bien monté d’après ce que j’ai pu sentir au travers de son pantalon, Victoire a bien de la chance ! ; je n’étais même pas toute nue, il a seulement déboutonné mon chemisier et dégrafé mon soutif pour voir mes seins ! » Il faudrait que je la tienne à l’œil, quoique l’idée même qu’elle se fasse sauter par P.. ne me laissait pas indifférent..
Après dîner, les petits-enfants allèrent se coucher de bonne heure ; nous restâmes avec les grands jusque tard, admirant les éclairs qui zébraient le ciel nocturne. Lorsque soudain, P.. déclara aller se coucher, invitant Lison à le suivre.. Nous restâmes encore quelques temps avec nos enfants, écoutant du jazz.. Je m’inquiétais de laisser Lison seule avec P.. , nous montâmes donc Victoire et moi rejoindre notre chambre, attendant que nos enfants soient eux-mêmes dans leurs chambres pour procéder à l’échange. Mais cela dura plus que prévu, nos enfants s’éternisant à écouter de la musique. Je me morfondais en espérant qu’ils dégageraient rapidement et iraient se coucher, imaginant P.. et Lison dans un lit.. Pour sûr il allait se passer quelque chose.
Ni tenant plus, Victoire me forçat à aller frapper à leur porte : elle s’impatientait de récupérer P.. et moi Lison ! Arrivé devant le battant de porte, je m’apprêtais à frapper lorsque j’entendis un long gémissement que je connaissais bien pour l’avoir provoqué maintes fois : Lison clamait son orgasme ! J’aurais dû être furieux, mais au contraire j’étais excité au plus haut point ! Je collai l’oreille au panneau de porte, j’entendais les couinements post-orgasmiques de Lison, P.. devait la bourrer tant et plus. Soudain il se lâcha en grognant profondément. Alors je frappai à la porte ! Je perçus un conciliabule entre les amants, puis elle lança « Oh chéri, j’arrive tout de suite, va m’attendre dans la chambre ».. me dit-elle en tentant de s’éclaircir la voix qu’elle avait nouée par l’émotion!
Je n’en fis rien : en me dissimulant j’attendai qu’elle sorte, ce qu’elle fit après quelques minutes.. entr’ouvrant l battant de porte elle passa la tête, voyant que la voie semblait libre elle se risqua au-dehors : elle était nue, masquant tant bien que mal son corps avec ses vêtements roulés en boule. La surprenant par derrière je lui touchai l’épaule ce qui la fit sursauter ! « Ah ! Mon Dieu c’est toi? Tu m’as fait peur ! Je dois aller à la salle de bain, laisse-moi ».. Je m’y enfermai avec elle : le sperme s’écoulait de sa fente le long des cuisses.. N’y tenant plus, tout en me déshabillant je la fis s’appuyer sur le bord de la baignoire et la saisissant par les hanches je la pénétrai d’un coup avec force, produisant un bruit de clapotis tellement son vagin était rempli. Elle gémissait en pleurnichant.. « Mais pourquoi tu pleures ? » « Parce que j’ai honte !.. « Honte de quoi ? » lui demandais-je faussement naïf, en m’enfonçant en elle. « Mais de t’avoir trompé en couchant avec P…, fallait pas me laisser seule avec lui ! T’avais pourtant bien vu que j’en avais envie, j’étais comme une femelle en chaleur en face d’un mâle prédateur ! Quand il a sorti son gros gland je n’ai pas pu résister : Je le voulais.. qu’il vienne en moi, alors il m’a prise ». Elle avait goûté à ce mâle alpha qui l’avait mené au septième ciel, ça se voyait ! Son vagin était dilaté, il l’avait tellement élargi qu’elle réalisait à peine que j’étais en elle !.. Elle ne jouit pas, mais je ne puis me retenir et me vidai longuement après avoir entendu ce récit aphrodisiaque ; le fond de son ventre était un lac et ma queue s’y baignait avec délice ! Je la mis sous la douche et la frictionnai ; le lac se vida en coulant sur nos jambes. M’enlaçant elle m’embrassa, elle me dit qu’elle m’aimait ! La laissant là, inquiet, j’allai voir ce qui se passait sur le front : la porte de la chambre de P.. était close ! Et la chambre de Victoire était vide : la coquine était déjà avec lui !