Fin du précédent
Elle avait goûté à ce mâle alpha qui l’avait mené au septième ciel, ça se voyait ! Son vagin était dilaté, il l’avait tellement élargi qu’elle réalisait à peine que j’étais en elle !.. Elle ne jouit pas, mais je ne puis me retenir et me vidai longuement après avoir entendu ce récit aphrodisiaque ; le fond de son ventre était un lac et ma queue s’y baignait avec délice ! Je la mis sous la douche et la frictionnai ; le lac se vida en coulant sur nos jambes. M’enlaçant elle m’embrassa, elle me dit qu’elle m’aimait ! La laissant là, inquiet, j’allai voir ce qui se passait sur le front : la porte de la chambre de P.. était close ! Et la chambre de Victoire était vide : la coquine était déjà avec lui !Suite
J’emmenai Lison et la couchai nue dans notre lit où, se pressant contre moi, elle sanglota à nouveau. « Mais pourquoi pleures-tu encore ? » lui demandai-je.. « Tu n’aurais jamais dû me laisser seule avec lui… » « Oui tu me l’as déjà dit ! ».. Mais elle poursuivit : « j’aurais voulu lui résister, mais j’étais sans volonté, j’ai tenté de m’y opposer et pour finir je l’ai même aidé à me déshabiller : il m’a mise nue, et quand il a sortit son gros truc tout raide, j’ai craqué, tout est plus gros, plus long chez lui, il m’a attiré comme un aimant et je n’ai pas pu m’empêcher de le prendre dans ma bouche mais ça n’a pas duré parce que je la voulais à toute force dans mon ventre !.. Je me suis mise à le chevaucher, il s’est introduit brutalement en moi, s’enfonçant dans mon ventre comme on forcerait un pieu en terre : jamais je n’avais été prise par un aussi gros et aussi long sexe, avec une telle poussée ! J’eus mal ; avec du gel il lubrifia sa queue et avec un doigt il en enduisit l’entrée de mon vagin ce qui eut pour effet de transformer la douleur en plaisir, c’était chaud, c’était bon, jamais je ne m’étais sentie aussi remplie... c'était une sensation indescriptible dans le bas de mon ventre,... je n'arrive pas à trouver les mots pour décrire cette sensation d’irruption forcée dans mon corps de femelle, c'était divin… Il me disait que j’avais un corps sexy, de beaux seins, qu’il aimait mes fesses, que je le faisais bander dur ! .. C’est vrai tu sais, sa queue était dure comme du bois ! En peu de temps il m’a mené à la jouissance vaginale, je n’ai pas pu m’empêcher de crier.. Puis il m’a prise en levrette, agrippant mes hanches en tirant dessus pour me pénétrer plus profondément, et là ça ne dura pas longtemps : il boxait le fond de mon ventre, percutant ma petite bouche tout en me claquant les fesses. Plus il me défonçait, plus la chaleur se propageait comme une bulle qui englobait tout mon ventre. La jouissance approchant, je ressentis des salves de plaisir, comme si je flottais sur des vagues chaudes, les contractions devenaient délicieuses, puis des spasmes secouèrent mon vagin… En hurlant j’ai été dévastée par un orgasme culminant dans un climax apocalyptique ! Ça, mon chéri, tu ne me l’as jamais fait, je ne l’ai jamais ressenti avec personne ! » N’étant pas monté comme un bourin, au contraire de P.. , je n’ai jamais entendu Victoire vanter mes super qualités qui l’auraient portées à un niveau olympico-apocalyptique..
« Toujours agrippé à mes hanches il m’attira avec force vers lui, s’enfonçant toujours plus loin, je gémissais en sentant des répliques post-orgasmiques me traverser le ventre ; je le sentais venir et il vint ! Il m’avait baisée sauvagement, l’éjaculation m’avait rendue dingue. Je fantasmais en espérant sentir les jets de sperme au fond de mon ventre, et pour en avoir encore plus je lui ai comprimé fortement les couilles, au point qu’il eut mal, j’étais comme folle ! Je sais que j’ai un problème avec la bitte, la tienne bien sûr, mais maintenant aussi la sienne, son gros gland si doux à sucer, j’adore ses belles glandes, leur forme, et ce qu’il y a dedans surtout, c’est vrai, j’aimerais sentir et goûter la semence du mâle qui me baise, être fécondée par lui! Je ne sais pas si c’est parce que je n’ai jamais eu d’enfant, j’ai souvent rêvé d’en avoir un avec toi, mais maintenant aussi avec lui…. » Elle avait sorti tout ça d’une traite ! « Tu es fâché ? » me demanda-t-elle en reniflant tout en ravalant ses larmes, avec un début de sourire qui en disait long sur le plaisir qu’elle éprouvait en voyant l’excitation monter en moi ! Elle poursuivit sans attendre ma réponse… « C’est alors que tu frappas à la porte ! » Tout en le sachant, je lui demandai s’il était mieux monté que moi … « Y a pas photo ! Il n’est pas de la même race que toi, il doit avoir de l’africain dans son patrimoine génétique ». En l’entendant je pensais à Ali, je me mis à imaginer quel sommet atteindrait un accouplement Lison/Ali !!.. Que dirait-elle devant un tel engin, dont les mensurations sont supérieures à celles de P..? « Tu veux encore de moi après ce que tu viens de vivre ? » lui demandai-je.. Elle fit la même réponse que Victoire me fit lorsque je lui posai cette question : « avec lui, j’ai été baisée par un sauvage comme une femelle en chaleur, il m’a bourrée, défoncée,… mais avec toi on fait l’amour ». Soit, je n’étais pas entièrement satisfait de cette réponse, particulièrement du « mais », toutefois je reconnaissais que cette nouvelle donne m’excitait énormément, à savoir que j’allais être confronté à un solide concurrent avec qui je devrais sans doute partager Lison alors que je partageais déjà Victoire avec lui. J’entrevoyais de nouvelles combinaisons érotiques passionnantes sans réaliser où ça nous mènerait !... Elle sentit que ce récit m’avait fait raidir : elle me saisit la queue qu’elle branla doucement, attrapant les glandes de l’autre main. « Si je les presse ça fera sortir du jus ? » Je lui avais déjà expliqué que non, ça ne marche pas comme ça ! « Et si je la suce, tu pourrais éjaculer dans ma bouche ? » Elle en eut envie, elle voulait goûter de la semence d’homme, elle qui avait toujours détesté l’idée de recevoir de la semence dans son ventre avant de m’avoir connu ! Tétant ma queue comme un bébé au sein je finis par jouir, le gland, coincé entre ses dents pour l’empêcher de sortir, éjacula plusieurs giclées ! Elle faillit étouffer, réussit à avaler, trouva que c’était un peu salé, mais elle aima bien! Elle s’apitoya sur le sort de ces centaines de milliers de spermatozoïdes qui allaient mourir dans son estomac, et décida que dorénavant, plus de génocide, elle les accueillerait seulement dans son utérus. Nous nous endormîmes en petites cuillères, moi derrière elle, la queue encastrée dans son corps. Tôt matin je fus réveillé par Victoire qui voulait reprendre sa place et demanda que Lison aille rejoindre la chambre de P.. pour sauver les apparences, car les petits enfants commençaient à se réveiller. Pendant un moment nous nous retrouvâmes à trois dans le lit, moi au milieu, Lison nue à gauche et Victoire en mini liquette à droite. Victoire se pressa contre moi, aussitôt Lison en fit autant. Nous nous mîmes à nous caresser, elles me saisir la queue, les couilles pendant que, les paumes appliquées sur leur mont de Vénus respectifs, je leur introduisais des doigts dans leur fente, agaçant leur clitoris. Elles soupirèrent d’aise, agitant leurs cuisses en les écartant puis en les repliant, ce qui m’excita follement. C’était la première fois que je me retrouvais au lit avec deux femmes : mon épouse et ma maîtresse ! Me sentirais-je capable de les baiser l’une après l’autre ? Cela ne dura pas hélas.. Victoire déclara que si je voulais, je pouvais la prendre devant Lison mais pas l’inverse. Alors Lison, un brin vexée se leva et vêtue d’une chemise de nuit de Victoire, alla rejoindre P.. dans sa chambre. J’avais mal : je savais qu’elle ne résisterait pas et qu’elle se donnerait encore à lui. Je rêvais de les rejoindre, pour réaliser le fantasme de Lison d’une femme avec deux hommes, et le dit à Victoire mais elle répondit « pas maintenant, si ça t’excite tu pourras le faire quand je ne serai pas là ».
J’aurais voulu savoir ce qu’ils avaient fait tous les deux pendant que j’étais avec Lison, mais elle ne m’en parla pas. Au contraire, elle me rappela son présage : « je t’avais bien dit que ces deux-là ne se contenteraient pas de se regarder dans les yeux et qu’il fallait éviter qu’ils se retrouvent dans un même lit ; j’aurais dû leur imposer de faire chambre à part, mais ça n’aurait probablement servi à rien tellement l’attirance entre ces deux-là était forte ! Et maintenant qu’elle y est retournée, il la reprendra, c’est sûr ! » Je lui demandai si elle était jalouse de voir P.. baiser Lison.. « Figure-toi que ça m’excite de voir que mon amant prend autant de plaisir avec Lison, mais je dois veiller à ce que P.. ne me délaisse pas pour elle. A toi d’y veiller aussi, c’est ton intérêt si tu veux la garder ! Et maintenant prend-moi, P.. ne m’a pas assez baisée cette nuit, j’aime toujours autant te sentir en moi ». Avec volupté, la conversation m’ayant fait raidir, je la pénétrai et, chose rare pour être notée, nous jouîmes de concert !
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Lison porte son nouveau slip
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Lison se déshabille
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Lison attend que je la prenne.
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Victoire va retrouver son amant P..
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Epuisement des luteurs du sexe