- 17 août 2023, 00:25
#2737959
Victoire et moi étions levés depuis longtemps et allâmes nous promener en famille. P.. et Lison étaient toujours invisibles à notre retour. J’allai entrouvrir doucement la porte de la chambre, pour découvrir deux corps nus entortillés dans les draps en grand désordre, la croupe de Lison en évidence avec des traces de sperme séché sur ses cuisses qui enserraient un oreiller. P.. lui tournant le dos, ronflait bruyamment. Je refermai la porte pour aller déjeuner en famille, les laissant cuver leur épuisement après de solides agapes sexuelles, à n’en pas douter ! Victoire, mécontente de l’attitude de P.. décida d’autorité d’aller réveiller le couple et de récupérer son amant. Ouvrant brutalement la porte, elle déclara que « bon, maintenant ça suffit, vous arrêtez de vous papouiller », et arrachant le drap recouvrant les deux corps, elle intima à Lison d’aller prendre une douche pendant qu’elle semonçait P..
Lison ne prit pas la peine d’enfiler une chemise de nuit et se rendit nue à la salle de bain, sans égard pour notre fils qui en écarquilla les yeux ! Je l’accompagnai.. « Alors tu as remis ça ? » lui-dis-je. Elle m’avoua qu’il l’avait baisée plusieurs fois jusqu’à épuisement. « J’ai mal, je suis irritée, il est vraiment très gros pour moi, même si j’adore ça ! » Je me glissai avec elle et ouvris la douche ; elle sentait le stupre et la sueur, ses cheveux en paquets de dix ; je lui fis un shampoing puis lui savonnai tout le corps, l’entre-jambe, les fesses.. du sperme s’écoulait encore, il fallut attendre que ça se tarisse. Emballée dans une serviette-éponge blanche, coiffée d’une autre serviette nouée, elle sortit comme une reine, passant à nouveau devant notre fils, admiratif ..
Un instant réunies, les deux femmes eurent un bref conciliabule, qui fut conclu par une intéressante et sensuelle embrassade…
Le reste de la journée fut consacrée aux préparatifs de l’anniversaire, Lison, bonne cuisinière, et Victoire s’activant en cuisine. La bonne entente n’avait pas été entamée par la nuit passée, bien au contraire. Le dîner fut exquis, les vins coulèrent à flot, la soirée se prolongea jusqu’aux petites heures. Avant que les jeunes allèrent se coucher avec leurs enfants, P.. monta ostensiblement avec Lison. Je restai avec Victoire encore quelque temps, profitant pour prendre l’air sous la lumière de la pleine lune ; j’avais beaucoup bu et me sentais très entamé, sûrement pas capable d’avoir du sexe. Au lit, j’attendais que Lison me rejoigne alors que Victoire aurait dû rejoindre P.. Mais terrassé par la boisson et la fatigue je m’endormis comme une souche. Emergeant des brumes de l’alcool tôt matin, l’esprit dans le gaz, j’étais seul ! Ni Lison ni Victoire ! Soit j’avais dû ronfler puissamment, obligeant ma partenaire à occuper une autre chambre, soit elle avait été rejoindre le tout puissant mâle alpha. Je voulus en avoir le cœur net. Me levant péniblement en me demandant si je faisais bien, j’allai coller mon oreille contre la porte de la chambre de P.. : silence ! J’allai renoncer lorsque soudain j’entendis distinctement les voix des deux femmes ! P.. avec Victoire et Lison ! Un beau salaud que j’enviai ! Entrouvrant le battant de porte en silence, la clarté lunaire secondée par une faible lampe de chevet éclairaient d’une lumière blafarde des corps nus, P.. en petite cuillère, agrippant les hanches de Lison, clairement enfoncé en elle alors que Victoire et Lison, face à face, étaient enlacées. J’étais scié ! Qu’allais-je faire ? P.. allait et venait dans le corps de Lison qui gémissait doucement, Victoire lui caressait les seins.. Soudain P.. jouit en soupirant puissament et se retira. C’est alors que Victoire, changeant de position, lui écartant les cuisses, lécha la vulve de Lison, avalant la semence que son amant venait d’injecter dans son ventre. J’en étais renversé ! Je restai scotché à mater ce spectacle inouï qui m’avait complètement désaoulé. Après quelques minutes ce fut le tour de Victoire : P.. s’apprêta à la baiser par derrière, mais la raideur de sa queue n’était pas suffisante ; c’est alors que je vis Lison la saisir, la branler vigoureusement, la prendre en bouche, et la raideur revenue, la guida vers le vagin de Victoire où il disparu en s’enfonçant jusqu’au fondement.. Je me retrouvais dans la même situation que 30 ans plus tôt lorsque j’avais maté pour la première fois P.. baisant Victoire dans la même chambre. Cette fois-ci c’était avec Victoire et Lison ! Je n’en revenais pas ! Je matais ce trio femme-femme-homme, voyant les deux femmes se faisant face, Lison caressant la vulve de Victoire, agrippant les burnes de P... Le trio gémissant tant et plus, je ne pus résister plus longtemps, je jouis dans ma main et me précipitai à la salle de bain. Revenant à mon poste de guet, je vis P.. introduire un vibro dans la chatte de Lison pendant qu’il baisait Victoire. La suite fut délectable : peu de temps après, les deux femmes gémissant tant et plus finirent par jouir ensemble, alors que P.. se vidait en Victoire, Lison arrachant le vibro. Dans une jungle de draps roulés et d’oreillers défoncés les acteurs retombèrent aux quatre coins du lit et restèrent ainsi, pantelants, épuisés. Il ne me restait plus qu’à décamper, pensant que les filles allaient se rafraîchir à la salle de bain. Mais personne ne bougea, tout resta calme. Je revins voir ce qui se passait dans l’antre du stupre ! La porte était toujours entrouverte, je glissai un œil prudent : les corps dénudés étaient jonchés en désordre, on aurait dit le Radeau de La Méduse ! Des seins, des fesses, des cuisses ouvertes sur des fentes humides, un sexe mâle molissant, des figures échevelées, des draps en désordre enroulant partiellement les corps ! Essoufflés, ils respiraient encore, Dieu merci !. Je me retirai en refermant la porte. A peine m’étais-je remis au lit que Lison, hagarde, apparu, la chevelure en désordre, le visage et le corps brillant de sueur. « Tu dormais ? » Je mentis en disant oui, en lui conseillant d’aller se doucher ; je l’y accompagnai. Je pris la douche avec elle ; corps contre corps, les seins écrasés contre mon torse, mes doigts dans sa chatte gluante, elle me raconta. « Si je ne suis pas venue près de toi c’est parce que ta femme m’a retenue, aussi je dois avouer que l’idée m’excitait beaucoup ! Quand elle est entrée, j’avais accueilli P.. en moi.., elle me dit de continuer, elle m’avait dit ce matin que ça l’excitait de voir son amant baiser avec moi ». C’était ça le sujet du conciliabule qui ne m’avait pas échappé ! « Elle se rapprocha, me toucha les seins, me caressa les fesses, toucha la queue de P.. entrant et sortant de mon ventre et pinça fortement mon clitoris ce qui me fit jouir.. j’étais très excitée d’être touchée par une autre femme, surtout la tienne, ma rivale!, c’était la première fois que ça m’arrivait, j’avais toujours cru que ça ne me plairait pas. Quand P.. a joui en moi et que la semence s’est mise à couler, Victoire a glissé la tête entre mes cuisses et s’est mise à me lécher la vulve en avalant le sperme que son amant avait tiré dans mon ventre, et tu sais pas quoi ? avec sa langue elle m’a fait jouir encore une fois ! Puis c’est Victoire qui a été pénétrée par P.. et j’ai profité de son corps, de ses seins, puis j’ai même glissé deux doigts dans son vagin en même temps que la queue de P.. C’était serré, je sentais son gros gland qui lui labourait l’intérieur, et en enfonçant plus profondément mes doigts j’ai touché le col de son utérus, sa petite bouche quoi… J’étais excitée en pensant à mon fantasme, imaginant ce que ça me ferait d’avoir deux sexes enfoncés dans mon ventre ! J’ai agacé son clitoris en le pinçant aussi fortement que ce qu’elle m’avait fait, elle cria de plaisir ce qui déclencha l’orgasme… Alors comme elle m’avait léchée, j’ai eu envie de goûter la semence de P.., alors j’ai glissé ma tête entre ses cuisses et je lui ai bouffé la vulve, la semence en sortait à flots, alors y goûtant, ça m’a bien plu mais elle n’a pas le même goût que la tienne que je préfère! Victoire me maintenait la tête entre ses cuisses pour que je continue le cunni, jusqu’à ce qu’elle pousse un long cri rauque, qu’elle répliqua deux ou trois fois, puis libérant ma tête:… « Oh là là, toi tu m’as fait jouir comme rarement j’ai jouis », me dit-elle dans un souffle !
Je lui dis que j’avais fait le voyeur, que j’avais assisté à presque tout et que ça m’avait super excité de voir deux filles se papouiller puis être baisées par un mâle alpha ! « Alors tu ne m’en veux pas ? » me demanda-t-elle. Je lui ai répondu que j’étais heureux et excité d’avoir vu deux femmes se caresser et prendre leur plaisir avec P.. et que j’aurais aimé que ce fût avec moi. « Tu me laisseras le revoir, si ta femme veux bien ? » « Oui, mais il faudra que tu en parles à Victoire, et aussi que tu ne me cache rien, que tu me racontes tout, et en bonus que tu nous acceptes, P.. et moi, en double vaginale, ton fantasme majeur » ! «Rhôôô mais c’est cochon ça !... C’est vrai, je fantasme d’avoir deux queues dans mon vagin mais ça ne rentrera pas, tu le sais bien, P.. est trop épais et toi tu n’es pas mince, mais bon, si tu veux vraiment on essayera! » me dit-elle en me saisissant la queue.. « Dis-donc, cette idée, ça te fait bander dur on dirait ! » En effet, je nourrissais aussi ce fantasme. Nous nous séchâmes mutuellement, et nous allâmes nous coucher afin de récupérer après toute cette agitation nocturne. Tôt matin, afin de sauvegarder les apparences, elle regagna la chambre de P.. et Victoire me rejoignit. Les enfants étant levés, nous nous retrouvâmes tous pour le petit déjeuner qui fut très animé, seules les filles ne purent cacher ce qu’elles avaient fait durant la nuit, cela se lisait sur leur visage. Je posai discrètement la question à Lison pour savoir s’ils l’avaient encore fait ce matin ; en se mordant les lèvres elle me fit un signe d’assentiment ! Le week end prenait fin, P.. ramena Lison chez elle alors que je ramenais la famille, femmes et enfants. Le lendemain j’appelai Lison : elle me dit à nouveau avec une certaine agitation que je ne devais pas trop la laisser seule avec ce garçon.. « Mais qu’est-ce que tu veux à la fin ? et que s’est-il passé ? » Elle m’expliqua que la seule présence de P.. à ses côtés suffisait à augmenter son rythme cardiaque, lui faire écarter les cuisses et mouiller abondamment, elle est en chaleur rien que de penser à lui.. Après l’avoir ramenée chez elle, ils avaient pris un dernier verre, puis elle ne put s’empêcher de l’entraîner dans son lit… il la baisa toute la nuit ! « Je ne l’aime pas, c’est toi que j’aime, mais Dieu qu’il me baise bien, je n’ai jamais joui aussi fort ! » Victoire, un peu inquiète du tour que prenait cette relation, rappela P.. à l’ordre ; si elle n’était pas opposée à ce qu’il couche avec Lison, il fallait qu’elle ait la préférence… Rencontrant P.. un matin nous allâmes prendre un café. La conversation porta sur nos femmes.. Son attirance pour Lison, sexuellement parlant, était telle qu’il la baiserait bien nuit et jour. L’étroitesse et la douceur de son vagin sont ceux d’une jeune femme n’ayant jamais mis au monde. Mais il y avait Victoire qui lui tenait aussi à cœur.. J’en profitai pour lui parler du fantasme de Lison ; P.. fut réceptif à l’idée en me glissant qu’il l’avait déjà fait avec Victoire et Ali.. Je feignis une fausse surprise ! « Organise, c’est plus facile pour toi, et on la prendra à deux, mais pense à lui raser le minou avant, c’est bien plus érotique ! » me dit-il.
Entretemps Lison s’en alla pour un mois dans ses Landes chéries retrouver son studio et son petit ami local. Elle chargea sa voiture, pris son chien et démarra un beau matin en cette fin de mois d’août. De son côté P.. était parti pour la Bretagne, j’avais Victoire pour moi tout seul..
Lison ne prit pas la peine d’enfiler une chemise de nuit et se rendit nue à la salle de bain, sans égard pour notre fils qui en écarquilla les yeux ! Je l’accompagnai.. « Alors tu as remis ça ? » lui-dis-je. Elle m’avoua qu’il l’avait baisée plusieurs fois jusqu’à épuisement. « J’ai mal, je suis irritée, il est vraiment très gros pour moi, même si j’adore ça ! » Je me glissai avec elle et ouvris la douche ; elle sentait le stupre et la sueur, ses cheveux en paquets de dix ; je lui fis un shampoing puis lui savonnai tout le corps, l’entre-jambe, les fesses.. du sperme s’écoulait encore, il fallut attendre que ça se tarisse. Emballée dans une serviette-éponge blanche, coiffée d’une autre serviette nouée, elle sortit comme une reine, passant à nouveau devant notre fils, admiratif ..
Un instant réunies, les deux femmes eurent un bref conciliabule, qui fut conclu par une intéressante et sensuelle embrassade…
Le reste de la journée fut consacrée aux préparatifs de l’anniversaire, Lison, bonne cuisinière, et Victoire s’activant en cuisine. La bonne entente n’avait pas été entamée par la nuit passée, bien au contraire. Le dîner fut exquis, les vins coulèrent à flot, la soirée se prolongea jusqu’aux petites heures. Avant que les jeunes allèrent se coucher avec leurs enfants, P.. monta ostensiblement avec Lison. Je restai avec Victoire encore quelque temps, profitant pour prendre l’air sous la lumière de la pleine lune ; j’avais beaucoup bu et me sentais très entamé, sûrement pas capable d’avoir du sexe. Au lit, j’attendais que Lison me rejoigne alors que Victoire aurait dû rejoindre P.. Mais terrassé par la boisson et la fatigue je m’endormis comme une souche. Emergeant des brumes de l’alcool tôt matin, l’esprit dans le gaz, j’étais seul ! Ni Lison ni Victoire ! Soit j’avais dû ronfler puissamment, obligeant ma partenaire à occuper une autre chambre, soit elle avait été rejoindre le tout puissant mâle alpha. Je voulus en avoir le cœur net. Me levant péniblement en me demandant si je faisais bien, j’allai coller mon oreille contre la porte de la chambre de P.. : silence ! J’allai renoncer lorsque soudain j’entendis distinctement les voix des deux femmes ! P.. avec Victoire et Lison ! Un beau salaud que j’enviai ! Entrouvrant le battant de porte en silence, la clarté lunaire secondée par une faible lampe de chevet éclairaient d’une lumière blafarde des corps nus, P.. en petite cuillère, agrippant les hanches de Lison, clairement enfoncé en elle alors que Victoire et Lison, face à face, étaient enlacées. J’étais scié ! Qu’allais-je faire ? P.. allait et venait dans le corps de Lison qui gémissait doucement, Victoire lui caressait les seins.. Soudain P.. jouit en soupirant puissament et se retira. C’est alors que Victoire, changeant de position, lui écartant les cuisses, lécha la vulve de Lison, avalant la semence que son amant venait d’injecter dans son ventre. J’en étais renversé ! Je restai scotché à mater ce spectacle inouï qui m’avait complètement désaoulé. Après quelques minutes ce fut le tour de Victoire : P.. s’apprêta à la baiser par derrière, mais la raideur de sa queue n’était pas suffisante ; c’est alors que je vis Lison la saisir, la branler vigoureusement, la prendre en bouche, et la raideur revenue, la guida vers le vagin de Victoire où il disparu en s’enfonçant jusqu’au fondement.. Je me retrouvais dans la même situation que 30 ans plus tôt lorsque j’avais maté pour la première fois P.. baisant Victoire dans la même chambre. Cette fois-ci c’était avec Victoire et Lison ! Je n’en revenais pas ! Je matais ce trio femme-femme-homme, voyant les deux femmes se faisant face, Lison caressant la vulve de Victoire, agrippant les burnes de P... Le trio gémissant tant et plus, je ne pus résister plus longtemps, je jouis dans ma main et me précipitai à la salle de bain. Revenant à mon poste de guet, je vis P.. introduire un vibro dans la chatte de Lison pendant qu’il baisait Victoire. La suite fut délectable : peu de temps après, les deux femmes gémissant tant et plus finirent par jouir ensemble, alors que P.. se vidait en Victoire, Lison arrachant le vibro. Dans une jungle de draps roulés et d’oreillers défoncés les acteurs retombèrent aux quatre coins du lit et restèrent ainsi, pantelants, épuisés. Il ne me restait plus qu’à décamper, pensant que les filles allaient se rafraîchir à la salle de bain. Mais personne ne bougea, tout resta calme. Je revins voir ce qui se passait dans l’antre du stupre ! La porte était toujours entrouverte, je glissai un œil prudent : les corps dénudés étaient jonchés en désordre, on aurait dit le Radeau de La Méduse ! Des seins, des fesses, des cuisses ouvertes sur des fentes humides, un sexe mâle molissant, des figures échevelées, des draps en désordre enroulant partiellement les corps ! Essoufflés, ils respiraient encore, Dieu merci !. Je me retirai en refermant la porte. A peine m’étais-je remis au lit que Lison, hagarde, apparu, la chevelure en désordre, le visage et le corps brillant de sueur. « Tu dormais ? » Je mentis en disant oui, en lui conseillant d’aller se doucher ; je l’y accompagnai. Je pris la douche avec elle ; corps contre corps, les seins écrasés contre mon torse, mes doigts dans sa chatte gluante, elle me raconta. « Si je ne suis pas venue près de toi c’est parce que ta femme m’a retenue, aussi je dois avouer que l’idée m’excitait beaucoup ! Quand elle est entrée, j’avais accueilli P.. en moi.., elle me dit de continuer, elle m’avait dit ce matin que ça l’excitait de voir son amant baiser avec moi ». C’était ça le sujet du conciliabule qui ne m’avait pas échappé ! « Elle se rapprocha, me toucha les seins, me caressa les fesses, toucha la queue de P.. entrant et sortant de mon ventre et pinça fortement mon clitoris ce qui me fit jouir.. j’étais très excitée d’être touchée par une autre femme, surtout la tienne, ma rivale!, c’était la première fois que ça m’arrivait, j’avais toujours cru que ça ne me plairait pas. Quand P.. a joui en moi et que la semence s’est mise à couler, Victoire a glissé la tête entre mes cuisses et s’est mise à me lécher la vulve en avalant le sperme que son amant avait tiré dans mon ventre, et tu sais pas quoi ? avec sa langue elle m’a fait jouir encore une fois ! Puis c’est Victoire qui a été pénétrée par P.. et j’ai profité de son corps, de ses seins, puis j’ai même glissé deux doigts dans son vagin en même temps que la queue de P.. C’était serré, je sentais son gros gland qui lui labourait l’intérieur, et en enfonçant plus profondément mes doigts j’ai touché le col de son utérus, sa petite bouche quoi… J’étais excitée en pensant à mon fantasme, imaginant ce que ça me ferait d’avoir deux sexes enfoncés dans mon ventre ! J’ai agacé son clitoris en le pinçant aussi fortement que ce qu’elle m’avait fait, elle cria de plaisir ce qui déclencha l’orgasme… Alors comme elle m’avait léchée, j’ai eu envie de goûter la semence de P.., alors j’ai glissé ma tête entre ses cuisses et je lui ai bouffé la vulve, la semence en sortait à flots, alors y goûtant, ça m’a bien plu mais elle n’a pas le même goût que la tienne que je préfère! Victoire me maintenait la tête entre ses cuisses pour que je continue le cunni, jusqu’à ce qu’elle pousse un long cri rauque, qu’elle répliqua deux ou trois fois, puis libérant ma tête:… « Oh là là, toi tu m’as fait jouir comme rarement j’ai jouis », me dit-elle dans un souffle !
Je lui dis que j’avais fait le voyeur, que j’avais assisté à presque tout et que ça m’avait super excité de voir deux filles se papouiller puis être baisées par un mâle alpha ! « Alors tu ne m’en veux pas ? » me demanda-t-elle. Je lui ai répondu que j’étais heureux et excité d’avoir vu deux femmes se caresser et prendre leur plaisir avec P.. et que j’aurais aimé que ce fût avec moi. « Tu me laisseras le revoir, si ta femme veux bien ? » « Oui, mais il faudra que tu en parles à Victoire, et aussi que tu ne me cache rien, que tu me racontes tout, et en bonus que tu nous acceptes, P.. et moi, en double vaginale, ton fantasme majeur » ! «Rhôôô mais c’est cochon ça !... C’est vrai, je fantasme d’avoir deux queues dans mon vagin mais ça ne rentrera pas, tu le sais bien, P.. est trop épais et toi tu n’es pas mince, mais bon, si tu veux vraiment on essayera! » me dit-elle en me saisissant la queue.. « Dis-donc, cette idée, ça te fait bander dur on dirait ! » En effet, je nourrissais aussi ce fantasme. Nous nous séchâmes mutuellement, et nous allâmes nous coucher afin de récupérer après toute cette agitation nocturne. Tôt matin, afin de sauvegarder les apparences, elle regagna la chambre de P.. et Victoire me rejoignit. Les enfants étant levés, nous nous retrouvâmes tous pour le petit déjeuner qui fut très animé, seules les filles ne purent cacher ce qu’elles avaient fait durant la nuit, cela se lisait sur leur visage. Je posai discrètement la question à Lison pour savoir s’ils l’avaient encore fait ce matin ; en se mordant les lèvres elle me fit un signe d’assentiment ! Le week end prenait fin, P.. ramena Lison chez elle alors que je ramenais la famille, femmes et enfants. Le lendemain j’appelai Lison : elle me dit à nouveau avec une certaine agitation que je ne devais pas trop la laisser seule avec ce garçon.. « Mais qu’est-ce que tu veux à la fin ? et que s’est-il passé ? » Elle m’expliqua que la seule présence de P.. à ses côtés suffisait à augmenter son rythme cardiaque, lui faire écarter les cuisses et mouiller abondamment, elle est en chaleur rien que de penser à lui.. Après l’avoir ramenée chez elle, ils avaient pris un dernier verre, puis elle ne put s’empêcher de l’entraîner dans son lit… il la baisa toute la nuit ! « Je ne l’aime pas, c’est toi que j’aime, mais Dieu qu’il me baise bien, je n’ai jamais joui aussi fort ! » Victoire, un peu inquiète du tour que prenait cette relation, rappela P.. à l’ordre ; si elle n’était pas opposée à ce qu’il couche avec Lison, il fallait qu’elle ait la préférence… Rencontrant P.. un matin nous allâmes prendre un café. La conversation porta sur nos femmes.. Son attirance pour Lison, sexuellement parlant, était telle qu’il la baiserait bien nuit et jour. L’étroitesse et la douceur de son vagin sont ceux d’une jeune femme n’ayant jamais mis au monde. Mais il y avait Victoire qui lui tenait aussi à cœur.. J’en profitai pour lui parler du fantasme de Lison ; P.. fut réceptif à l’idée en me glissant qu’il l’avait déjà fait avec Victoire et Ali.. Je feignis une fausse surprise ! « Organise, c’est plus facile pour toi, et on la prendra à deux, mais pense à lui raser le minou avant, c’est bien plus érotique ! » me dit-il.
Entretemps Lison s’en alla pour un mois dans ses Landes chéries retrouver son studio et son petit ami local. Elle chargea sa voiture, pris son chien et démarra un beau matin en cette fin de mois d’août. De son côté P.. était parti pour la Bretagne, j’avais Victoire pour moi tout seul..