©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2739387
Alors que nous sortions, comme souvent, avec Eric pour aller dîner dans Paris, je fus surprise de voir qu’il avait choisi la Mercedes pour l’occasion, chose peu commune tant il répugne à la garer en ville. Il sait que j’apprécie le confort de cette auto, sans-doute avait il envie de me faire plaisir, me dis-je…
D’humeur taquine, Eric m’avait fait mettre mon jouet entre les cuisses. Bien calé contre mon clitoris, resserré par ma culotte rouge, ce dernier se faisait sentir mais n’occasionnait aucune gêne. Contrairement à son habitude, il s’était montré très exigeant sur ma tenue, insistant sur la nécessité de ne porter QUE du rouge. Il était lui-même très élégant, arborant une pochette de cette même couleur. J’imaginais qu’il avait également prévu un de ses jeux habituels, une pluralité, ou une rencontre, puisqu’il avait également insisté sur l’importance de porter le petit flot rouge dans mes cheveux, dont je n’ignore pas qu’il représente pour lui, le symbole de ma soumission.
Rien ne trahissait le programme qu’il avait prévu pour nous, ce soir-là. Comme à notre habitude, nous badinions, sa main était sur ma cuisse, à peine me caressait-il, bien concentré sur son itinéraire et son timing. Même si j’étais assez sereine, je ne pouvais m’empêcher de réfléchir à ce qu’il avait bien pu prévoir ; quel scénario son esprit pervers avait-il imaginé, pour susciter en moi surprise, excitation ou plaisir ? Quel jeu avait-il inventé pour faire naître en moi, honte ou soumission ? Je repensais à cette petite route avignonnaise et à cette légère honte qui m’avais envahie lorsque ces inconnus débraillaient ma robe si soigneusement apprêtée pour dévoiler mes parties intimes, déchirant presque ma culotte en brandissant leur queue gonflée de sang devant mon visage, forçant presque l’accès à ma bouche. Je repensais à cette brutale envie d’être prise, là, tout de suite, alors que Monsieur s’était laissé aller à se servir de moi comme vide-couille de ces inconnus et de lui-même, au mépris de mon propre désir. Je me rendais compte, que loin de me rebuter, cette sensation de frustration était en train de me titiller… la présence de mon jouet entre mes cuisses se faisant tout à coup un peu plus sentir.
Il n’est pas d’usage que je lui demande d’activer la télécommande mais mon clitoris commençait à gonfler. J’essayais de garder une contenance, et me contentais donc de prendre sa main et de la serrer, tout en continuant à rêver de ce souvenir et à discuter de choses et d’autres. Sans doute la pression de ma main, lui fit-il réaliser mon trouble, car dans la minute qui suivit, il activa les délicieuses vibrations en esquissant un sourire complice à mon encontre.
Malheureusement, il interrompit rapidement le jeu, étant concentré sur la recherche d’une place, me laissant dans un léger désarroi. Durant le dîner, il l’activait encore deux ou trois fois, pendant de toutes petites périodes, comme s’il voulait simplement me garder sous son contrôle par la frustration, ce qui s’avère satisfaisant intellectuellement, mais assez désagréable physiquement. Toujours est-il que j’étais trempée, et il ne me laissait jamais le temps de retomber en température. Je trouvais ce jeu pervers et en nourrissait une sorte de rancœur mais je sais qu’Eric ne me laisse jamais bien longtemps sans exulter, donc je rongeais mon frein avec amertume mais sans colère.
Le repas finissant, lorsque nous sortions du restaurant, je distinguais un changement d’attitude chez-lui, à l’approche de la voiture. Lui, si tendre et si complice pendant tout le dîner, se montra distant, dominateur, et son sourire s’effaça pour laisser place à un regard glacial, plus sévère au moment d’ouvrir ma portière. Il bascula le siège et m’indiqua la banquette arrière, place du passager. Il sortit un bandeau de sa poche et me l’enfila sur les yeux :
-monte, petite salope, ta place est derrière
Heuuuu, j’était moyennement satisfaite de ce brutal changement de posture mais tout à la fois légèrement excitée… Quelle espèce de nouveau jeu avait-il pu imaginer ? Toujours soumise, et intriguée par cet ordre, je m’exécutais sans trop savoir où cela allait me mener. Il prit place au volant, programma la GPS, démarra à la fois la voiture et mon jouet et commençait à rouler, très doucement, sans m’accorder le moindre regard. Le jouet faisant son effet, tout en douceur, j’aime le regarder rouler, le bandeau sur mes yeux ne m’accordait même pas cette satisfaction, je n’osais exprimer la moindre émotion, aucun mot ne trouvant le chemin de mes lèvres. Avec ma main, je recalais le vibro, en le poussant un peu plus contre mon clitoris, et j’entendis :
-ne touche pas à ça, catin. Reste tranquille ! Reste à ta place de chienne !
Son ton était autoritaire, distant comme jamais, sans le moindre affect, comme une machine ; il ne m’avait jamais parlé ainsi. Nous roulâmes quelques minutes, qui me paraissaient des heures. J’étais mouillée, mais ne parvenais pas à prendre le moindre plaisir, tant le moment était tendu. Cette frustration m’excitait mais ne pourrait pas s’éterniser très longtemps.
Au moment où je ne m’y attendais plus, il s’arrêta dans un endroit sans doute tranquille, car je n’entendais aucun bruit, et descendit immédiatement du véhicule.
-je reviens petite pute !
J’ai cru entendre sa voix mais tout était flou et indistinct. Que pouvait-il bien préparer ?
Rapidement, le porte s’ouvrit et il s’installa à l’arrière avec moi, en silence. J’avais envie qu’il me prenne dans ses bras, qu’il parle, qu’il me touche… Mais rien ! Toujours ce pesant silence que je n’osais rompre, n’ayant aucune consigne claire sur ce que je devais faire ou ne pas faire. Je sentais sa présence mais aucun contact ne semblait être souhaité, ni même toléré.
La voiture démarrant, je réalisais que ce n’était pas lui qui était assis à côté de moi. Cette découverte me jetait dans un profond désarroi mais excitait ma curiosité, d’autant que le massage de ma vulve trempée venait brutalement de s’arrêter.
-Marie, je te présente Hubert ; Hubert, voici Marie
-tu vas montrer à Hubert, comme tu es une bonne pute, écarte et retire ton jouet, enlève ta culotte et donne-la moi
-Hubert, je te prête cette salope, fais-en ce que tu veux, elle est à toi et elle est mouillée comme une chienne
Pendant que je retirais le jouet et ma culotte mouillée, une main de cet inconnu s’était posée fermement sur ma cuisse ouverte, l’autre derrière mon cou, se montrait plus caressante.
-allez Hubert, profite de cette salope dépravée
Ne se faisant pas prier, l’inconnu affermit sa main droite sur mon cou, m’entrainant vers le bas avec vigueur, me faisant prendre en bouche, son membre encore mou mais déjà accessible. Son autre main progressant brutalement sous ma robe, je sentis son doigt me saillir sans préparation, me tirant un léger gémissement. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Eric, mon maître, se délectant de ma surprise, écoutant le moindre de mes soupirs, peut-être me regardant dans son rétroviseur. Aimait-il ce qu’il voyait et entendait ; cette situation inédite le faisait-il bander ?
Je ne tardais pas à connaître la réponse, car il se gara, coupa le contact, et saisit ma main pour la poser sur son épaule. Sans doute voulait-il me rassurer, ou simplement espérait-il ressentir par la pression de ma main l’excitation que cette situation avait générée. Je décidais donc de rentrer dans son jeu. Entre-temps, le membre de Hubert avait connu une croissance incroyable dans ma bouche et il faisait des petits vas-et-viens, traduisant le plaisir que je lui donnais. Je sentais ses deux doigts aller et venir en moi avec de plus en plus de force, produisant le léger clapotis qu’Eric aime tant écouter.
-alors, elle suce bien ma salope, hein ?
-hummm, oui, elle est bonne comme tu avais dit, et elle mouille bien
-allez, chienne, suce-le fort
Sur cette injonction, je m’exécutais, ce qui déchaina Hubert qui défit ma robe et fit passer mes seins par-dessus mon soutien-gorge avec la gourmandise de l’homme qui perd le contrôle. Loin de m’effrayer, ce subit et rapide effeuillage un tantinet brutal, termina de m’exciter et je me mis à le besogner plus vite et plus fort, enroulant ma langue sur son dard, à présent dur et chaud ; je savais que mon maître n’en perdait pas une miette, sans doute alerté par la pression de ma main sur son épaule, qui se faisait plus ferme et résolue. Le salivais comme une chienne et sa queue glissait comme jamais dans mon palais presque anesthésié. J’étais à présent à quatre pattes, deux doigts de l’inconnu solidement ancrés dans ma chatte, une main sur l’épaule du dom, dont le sentis tout à coup la main flattant ma croupe, la massant, jouant avec mon anus, sans le pénétrer. Une main d’Hubert massait frénétiquement mes seins, pinçait mes tétons durcis.
La main d’Eric me saisit alors par les cheveux, m’entrainant vers sa bouche. Il m’embrassa presque sauvagement. Il me semblait qu’Hubert se branlait en parcourant mon corps de son autre main, encore mouillée par le jus de ma chatte, ouverte… J’avais envie d’être prise !
-aspirateur à bites, petite putain lubrique, chevauche-le, fais-toi du bien !
Eric me connaît. Je n’attendais que ce signal, je m’enfilais sur le sexe de l’inconnu, dur comme du bois et dressé. Prenant mes fesses dans ses mains, il me faisait monter et descendre avec force, je le sentais au fond de moi. J’ondulais comme mon maître aime, je savais qu’il ne perdait pas une miette du spectacle de ma déchéance, j’imaginais son sexe aussi dur que celui d’Hubert, ce qui redoublait mon plaisir. Les aller-retours de l’inconnu se faisant plus saccadés et encore plus fort, je me sentais bien remplie.
-démonte-la, cette salope, c’est ça qu’elle aime, vas-y défonce moi sa chatte
Ces mots d’Eric et la saillie brutale d’Hubert me firent rapidement venir. Je n’étais plus qu’une poupée, soumise à leur bon plaisir.
Encore engourdie par cet orgasme à peine consommé, je me retrouvais très vite encore déplacée comme un jouet quand Eric ouvrit la porte et nous fit descendre tous les deux, se planta devant moi pour enfoncer sa queue dans ma bouche alors qu’Hubert me prenait cette fois par derrière. Je remarquais que la bite de mon maître était déjà dure et surtout trempée de liquide séminal, ce qui en disait long sur le plaisir que le spectacle avait provoqué en lui, j’étais heureuse, comblée d’avoir ainsi répondu à son attente.
Juchée sur mes talons, quasi désarticulée, je peinais à garder mon équilibre, alors qu’ils me secouaient ainsi ; mais l’un comme l’autre me tenaient solidement. Eric agrippait mes seins, et l’autre mes hanches, je ne pouvais pas tomber ; j’étais suspendue et retenue à la fois, prise de chaque côté ; leurs queues bien dures étaient comme deux clous dans la même planche.
C’est à ce moment, qu’Hubert sortit de mon vagin et entreprit de me sodomiser. Je laissais échapper un petit cri en sentant son membre bien dur se frayer un chemin sans difficulté. Immédiatement, j’ai senti la bite de mon dom encore grossir dans ma bouche, comme galvanisée par le mélange de honte et de plaisir ressenti par sa soumise. Après quelques coups de reins bien toniques, j’entendis le râle de plaisir de Hubert, il avait juté dans mon cul bien élargi par ses à-coups.
-je suis fier de toi, ma salope
… Disait Eric en me retournant pour me prendre en levrette à son tour.
En s’enfonçant en moi, il m’appliqua une fessée très sonore et assez forte. Je sentais le chaud de cette cinglante punition m’envahir.
-hummm, le bon garage à bites, ohh, la belle salope bien ouverte, bien mouillée ; elle aime ça, la queue, hein ? Tu aimes te faire défoncer, petite pute, tu aimes ça ?
… Disait-il en me besognant comme jamais, tout en fessant encore plus fort mes parties charnues d’une main, et tirant mes cheveux vers lui, de l’autre.
Je me rappelle juste avoir pris un orgasme très long et très puissant, au moment de sentir sa semence se répandre et remplir mon intimité si ouverte, quelle en dégoulinait à l’intérieur de mes cuisses……..
Mes souvenirs de la fin de cette soirée sont confus, tant ces plaisirs inattendus m’avaient fatiguée.
jeanrp, Jilou33, MonsieurMinous et 7 autres a liké

Notre boutique candauliste 100% sécurisée