- 06 mai 2025, 08:08
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J'avais pensé que le récit qui suit serait trop long pour le site, mais après avoir lu certaines contributions récentes, je vous confie ce texte peu glorieux. Les commentaires, ici ou par mail seraient les bienvenus.
Francis/lexdepenny
S’il y a un problème pour moi en parlant de mon ami Jacques, c’est que notre amitié n’a duré que de 1976 quand je l’ai connu, à 1982. Six ans au cours desquelles lui et moi avons passé en tout et pour tout quelques semaines ensemble. Pour mon épouse Lana, les contacts avec Jacques se comptent en jours. Ça peut paraître bizarre qu’une amitié non seulement brève mais aussi en pointillé, ait eu tant d’importance, et je n’essaie pas de me l’expliquer.
Quand j’ai commencé à écrire les événements et les fantasmes érotiques de ma vie avec Lana, je me suis permis d’intégrer Jacques dans ces aventures. Son rôle dans ces fictions a été, bien sûr, exagéré. Lana n’a pas dépassé la limite de l’imaginaire, et n’a pas voulu, ou n’a pas osé réaliser certains des fantasmes qui la faisaient jouir tellement fort. Ça nous faisait plaisir à tous les deux quand elle était sous-vêtue ou peu vêtue dans des lieux où, comme elle disait « cela ne se fait pas », mais nous n’avons jamais partagé notre lit avec un ou une autre.
Cela dit, je vais essayer de donner un portrait fidèle de notre ami Jacques. Je dis bien « notre » et pas « mon ». À la base, Lana n’aimait pas les hommes. Elle a fait une exception pour moi pendant une partie de notre vie ensemble, il est vrai, mais sinon, elle se méfiait de la gente masculine et évitait, autant qu’elle pouvait, les contacts autres que purement professionnels. L’autre exception à cette règle fut Jacques.
Il la faisait rire. C’était aussi simple que ça. Elle, qui était si délicate au sujet de sa dignité et de l’image de femme sérieuse à laquelle elle tenait si fort, elle fondait devant les histoires qu’il racontait. Moi j’en riais bien aussi ; c'était un raconteur habile et les histoires de ses bêtises étaient drôles, mais il avait un don spécifique qui la touchait comme aucun autre homme.
Il était plus grand que moi de deux centimètres, un mètre quatre-vingt-douze ou treize, très sportif, adepte du surf, du VTT, du motocross. Nous jouions au tennis et au squash ensemble dès que cela devenait possible. Pas super beau de tête, avec des lunettes, mais la figure franche et honnête. Je l’ai rencontré lors d’un stage en 1976, et nous avons tout de suite sympathisé. Lana était en visite chez une de ses sœurs à ce moment-là, et c’est donc en célibataire temporaire que je l’ai connu. Notre emploi du temps était très chargé et comme nous avions des chambres en cité U dans le même couloir, on se rejoignait après les devoirs pour prendre un verre et discuter de tout et de rien.
C’est au cours d’une de ces soirées, quand on avait peut-être bu un peu plus que d’habitude, que je lui ai parlé de Lana. Au début, rien de trop personnel, mais il a vite compris à mes paroles que mon épouse était belle. Quand il m’a demandé si j’avais une photo d’elle, j'ai hésité, mais j'ai fini par lui montrer la seule que je gardais dans mon portefeuille, une simple Polaroid en noir et blanc, d’une belle jeune femme debout, de face et entièrement nue. Pas bien de ma part, je sais.
Dès sa première rencontre en vrai avec Lana, j’ai compris que Jacques était un oiseau rare, un homme avec qui elle se sentait à l’aise. Il la trouvait encore plus belle en réalité qu’en photo, et il me l’a dit, mais n’a jamais placé un mot ou un geste de travers en sa présence, et ne lui a surtout pas dit qu’il l'avait déjà vue en photo. Il s’était fait une copine de stage et nous avons dîné à quatre à plusieurs reprises.
C’était la « grande » époque de mes espérances érotiques. Lana (comme moi, bien sûr) se croyait partante pour toutes sortes de folies. (Moi, je n’attendais que d’avoir le feu vert de sa part). Si, dans nos fantasmes, il lui arrivait de jouir en créant avec moi des scénarios où elle faisait l’amour avec des filles, ou qu’une pluralité masculine d’anonymes s’occupait d’elle, jamais elle ne parlait de sexe avec un seul homme autre que moi.
Nous habitions en Angleterre, et Lana se différenciait de ses amies anglaises par l’absence de soutien-gorge, car elle avait pris l’habitude, encouragée par moi, de ne pas en porter. Elle était menue de poitrine, mais ses seins etaient bien formés et fermes. Elle était en pleine période sexy, et dès qu'on était suffisamment loin de chez nous, ses jolis seins plus ou moins nus avaient souvent pu être appréciés par d'autres .
Quand Jacques est venu nous rendre visite la première fois, une sortie restaurant s’imposait. J’ai suggeré à Lana de mettre un haut un peu transparent avec une minijupe très mini qu’elle avait portée en vacances, mais elle a dit non. C’est là où elle m’a demandé si j’avais montré à Jacques ses photos de nue. J’ai dû avouer lui en avoir montré une. Elle m’a dit qu’elle l’avait soupçonné, et que cela expliquait pourquoi elle ne voulait pas paraître sous-vêtue devant lui. Elle s’est enfermée dans la salle de bain pour se préparer.
Quand elle est sortie, elle portait une jupe noire courte plutôt que mini. Le chemisier blanc qu’elle avait mis avec était juste noué sous ses seins, et ne laissait pas de doute qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Elle s’est baissée pour ajuster une sandale, et notre invité et moi avons profité d'une une vue imprenable sur les jolis seins nus de mon épouse.
Face à notre plaisir évident, elle a dit d’un ton tout à fait calme que puisque Jacques avait déjà vu ses seins en noir et blanc, le fait de les voir en couleur ne devait pas trop le chiffonner. Jacques a balbutié qu’en noir et blanc ou en couleur, elle avait une très jolie poitrine. Parce que je la connaissais si bien, je n'ai pas raté les petits signes qui me disaient qu’elle trouvait cette réponse bien jugée.
Au restaurant, la serveuse, petite et mignonne, aux cheveux longs noirs, et qui portait une jupe plus mini que celle de mon épouse, a eu droit à un sourire et à une gentille exhibition de la part de Lana, qui a trouvé le besoin de se pencher au moment où la fille était à notre table. La môme n’avait pas pu rater les seins nus ainsi exhibés, et est devenue toute rouge. Les tétons durs de Lana m’annonçaient que son jeu l’excitait aussi.
De retour chez nous, un dernier verre et au dodo. Lana et moi dans notre lit, Jacques sur le canapé-lit au salon. Comme d’habitude, Lana dormait nue, et très bientôt, elle était à plat-ventre, sa main enfouie sous son bassin et les doigts qui travaillaient son minou. Je n’ai rien dit, j’ai juste posé un baiser sur une fesse et j'ai attendu.
Elle n’a pas mis longtemps pour me prendre la main et la poser sur son cul. J’ai glissé mon index dans la raie pour lui tripoter la rosette. Quand elle a relevé son fessier vers ce doigt, je lui ai simplement dit :
« Vibro ? »
Elle a marmonné quelque chose que j’ai pris pour un acquiescement . J’ai sorti le gode fin qu’elle préférait pour la pénétration anale, je l’ai rentré de quelques centimètres et je l’ai mis à vibrer. Un gloussement a confirmé qu’elle aimait, et j’ai pu apprécier pendant un moment le plaisir montant de Lana.
Puis je n’ai plus résisté.
« Heureusement pour toi que ce n’est pas Jacques qui est en train de te sodomiser » ai-je murmuré. « Il est d’un calibre supérieur ».
Même aujourd’hui, j’ai l’impression de revivre la vague de frémissements qui a traversé son corps, et l’éclosion de la chair de poule sur ses fesses. Nous n’avions pour ainsi dire jamais discuté de Jacques, en tant que mâle. Elle n’avait donc aucune idée que Jacques était muni d’un engin impressionnant. Moi je suis dans les normes : lui devait mesurer au moins deux centimètres de plus en longueur, avec une grosseur tout aussi conséquente. Je m’en étais rendu compte pendant que nous nous changions dans les vestiaires au club de squash.
« Pourquoi tu dis ça ? »
Je lui ai raconté la taille de la bite de Jacques, pendant qu’elle continuait à se masturber.
« C’était juste une pensée qui m’est passée par la tête, » j’ai dit. Elle n’a pas répondu, mais quelques minutes après, elle a écarté ses fesses des deux mains. J’ai compris.
« Tu veux essayer avec le grand noir ? »
Elle a fait oui de la tête, sans parler. J’ai sorti le machin, qui faisait plus de quatre centimètres en diamètre pour une longueur d’une vingtaine. Elle s’en pénétrait rarement et seulement parce que je le lui avais demandé très gentiment. En plastique dur, il était, pour être honnête, trop rigide pour lui faire vraiment plaisir dans son vagin. Normalement, elle le faisait glisser entre les lèvres de sa vulve, pour profiter au maximum des vibrations. Je n’avais jamais osé proposer à Lana un emploi moins conjugal. Maintenant, j’ai noté que si la longueur correspondait plus ou moins à la bite de Jacques, le diamètre était certainement plus important, même quand je me rappelais que je n’avais vu l’engin de Jacques qu’au repos. J’ai donc sorti le lubrifiant aussi.
Au premier toucher, j’ai vu la rondelle de Lana se resserrer involontairement. J’ai frotté le bout lubrifié contre le muscle et elle s’est un peu détendue. J’ai mis la vibration en marche, mais elle a fait un non vigoureux de la tête, alors je l’ai arrêté. N’en voulait-elle pas parce que dans sa tête, c'était le pénis de Jacques qui la sodomisait, et qui n’aurait pas vibré ? Je n’en savais rien.
J’ai fait des cercles autour de son anus en bien étalant le lubrifiant, avant de commencer à appuyer un peu plus fort. Le halètement de Lana m’a fait comprendre que même si elle avait envie d’être pénétrée, elle était très anxieuse…et avec de bonnes raisons !
J’ai été patient au-delà de mes habitudes, et un petit piaulement de mon épouse m'a confirmé que la tête du gode avait fini par franchir le muscle. Elle m’a demandé d’arrêter pour la laisser s’habituer à la sensation, puis elle a enlevé sa main de la mienne et d’un tout petit mouvement de la tête, m’a invité à pousser plus fort. Je me tracassais la tête à juger comment éviter de lui faire mal, mais aussi, j’avoue, comment éviter qu’elle me dise d’abandonner cette expérience si hors-norme. J’étais fasciné par ce pieu noir que je fourrais dans les entrailles de ma femme. J’ai découvert qu’en faisant des rotations, ça glissait mieux, et peu à peu son cul en a avalé une quinzaine de centimètres.
Nous ne parlions pas. Elle a tendu la main entre ses cuisses pour tâter le gode et vérifier à quel point il la sodomisait. Avait-elle en tête que la bite de Jacques l’aurait fouillée plus profondément ? Je n’osais pas lui poser la question. Elle s’est remise à se frotter la vulve contre ses doigts. Moi je n'arrivais pas à arracher mon regard de cette espèce de queue courte et trapue qui émergeait d’entre ses fesses, et qui bougeait, animée par les contractions de sa rondelle autour de l’intrus.
Finalement, elle a joui, et m’a imploré de la libérer du gode, et vite ! Une fois qu’il était sorti, j’ai gardé ses fesses écartées pour admirer le spectacle de son anus qui subissait des contractions répétées en essayant de se resserrer. Elle avait enfoncé sa figure dans l’oreiller pour étouffer les cris qu’elle ne parvenait pas à retenir. Une fois un peu calmée, elle est allée à la salle de bains. À son retour, je savais que ce n’était pas la peine de tenter d’en parler. Elle m’a embrassé et s’est endormi plus ou moins tout de suite. Moi, j’avais la tête pleine de ce que j’avais vu et de ce qu’elle venait de faire, sans parler des éventuelles implications. Même une séance de masturbation frénétique ne m’a pas permis de trouver le sommeil.
Le lendemain, nous avons passé une journée des plus normales à faire visiter la ville à Jacques, et quand il est parti ce soir-là, Lana lui a fait les bises amicales d'une hôtesse qui a apprécié son invité.
Les années sont passées, et si j’ai eu une correspondance assez régulière avec Jacques, sa vie en Amérique Latine nous a empêchés de nous rencontrer. Peu avant notre départ de cette maison-là, il est revenu en Europe et est venu nous voir en visite rapide de 36 heures. Sa fiancée était Argentine et il retournait là-bas pour se marier en Patagonie où il pensait s'installer définitivement. Comme à chaque fois qu’on se voyait, c’était comme si nous nous voyions toutes les semaines.
Il nous a invité au restaurant le plus chic de la ville. Lana s'est habillée plus formellement que la premiere fois, avec une jolie robe, et nous avons bien mangé et bien bu. Nous sommes rentrés nous coucher et Jacques s’est installé dans le salon, comme l’autre fois.
À un moment imprécis de cette nuit-là, Lana m’a murmuré qu’elle allait faire pipi. Moi, à moitié endormi sinon plus, je continuais ma descente vers un sommeil plus profond. J’ai vaguement senti quand elle est revenue, et il m’est passé par la tête qu’elle avait mis du temps.
Le lendemain matin, Lana s’est levée tôt . Elle avait une réunion de bonne heure au bureau. Je l'ai admirée quand elle est retournée de sa douche, parce qu'elle s'était rasée le minou. Je n'ai pas fait de commentaire. Elle s’est habillée, m’a fait une bise et est partie, en disant qu’elle ferait ses adieux à Jacques plus tard. J’ai traîné un peu au lit avant de me lever et d’aller demander à Jacques s’il voulait un café. Quand je le lui ai apporté, on a discuté un peu, puis il m’a dit :
« Elle est somnambule, Lana ? »
« Pas que je sache, non. Pourquoi ? »
Alors il m’a expliqué. C’était une nuit de pleine lune, et le ciel était dégagé. Il faisait très chaud, et pour avoir un peu d’air en ouvrant une fenêtre , il avait dû ouvrir à moitié les persiennes. Il s’était endormi, mais soudain, il a eu l’impression de ne plus être seul. Sa tête était dans l’ombre et il a ouvert un peu les yeux. Lana était agenouillée à peut-être un mètre du canapé et le regardait. Elle était nue, et Jacques distinguait très nettement les contours de sa vulve entre ses cuisses écartées. La lune à travers les persiennes laissait des traces zébrées d’ombre et de lumière sur la peau de ma femme. Elle était, m’a-t-il dit, d'une beauté et d’une sexualité rayonnante. Elle est restée dans cette position pendant une minute ou deux, avant de se lever silencieusement et repartir.
« Par bonheur, j’étais couché sur le côté, m’a-t-il dit. J’étais à poil, moi, aussi, à cause de la chaleur ! Tu m’excuseras, j’espère, parce qu’elle m’a donné une trique inimaginable. Si j’avais été couché sur le dos, elle s’en serait forcément aperçu ! Et j'admets, devant Lana toute belle et toute nue, je n'aurais pas résisté si elle m'avait invité par le moindre geste ».
Que pouvais-je lui dire ? Lana avait sûrement été déçue de ne pas voir l’engin qui avait provoqué son expérience avec le gode, surtout en erection; cet engin qui, en fantasme, l'avait si royalement sodomisée. Les idées tourbillonnaient dans ma tête…..
Si Jacques repassait une autre fois nous voir, s'il en avait envie, pourrions-nous, lui et moi, proposer une séance à trois à Lana? Aurait-elle accepté, accueilli sans hésitation même, des baisers et des caresses de deux hommes en meme temps? Après ce qu'elle avait fait avec le gode, et puis cette exhibition flagrante devant notre ami, je me suis persuadé que la tentation aurait été trop forte.
Et cela se serait-il arrete là ? L'image de mon épouse doublement pénétrée par mon ami et moi a été tellement vivante que j'en bandais comme un bouc. J'ai remarqué que Jacques, toujours couché, avait dû changer de position pour dissimuler son érection.
Je suis convaincu que si, au lieu de faire semblant de dormir, Jacques avait baisé ou sodomisé mon épouse, j’aurais compris et accepté, puisque c’était Lana qui l’aurait cherché. Je commençais à regretter que cela ne fût pas arrivé, parce que comme ça, j'aurais eu la preuve que nos fantasmes pouvaient mener aux expériences réelles dont je rêvais. Il ne l'a pas fait. Je sais que Jacques ne me l’aurait pas caché. Et là, une autre pensée m’a frappé. Jacques avait vu les contours de la vulve de Lana ? Elle avait dû s’être déjà rasée. Exprès pour que cette exhibition intégralement nue soit aussi impudique que possible? S’était-elle rasée le minou juste avant de rentrer au salon et adopter cette position ô combien indécente devant notre ami ? Je suis parti dans ma chambre et je me suis branlé comme un adolescent. Je suppose que Jacques a dû faire autant.
Jacques a dû partir sans avoir revu Lana, qui est restée bloquée au boulot, et quelques mois après, nous avons appris qu’il était mort dans un accident de moto en Patagonie.
Incapable de laisser tomber ce qui était arrivé au cours de cette nuit, j’ai essayé d'en parler avec Lana. Elle a nié totalement le récit de Jacques, nié même la possibilité d'un tel acte de sa part, et m’a accusé d’avoir l’esprit tordu. Elle avait sans doute raison, mais moi, je me fiais davantage aux paroles de Jacques. Puis elle n'a plus jamais voulu en entendre parler. Dommage….