- 20 nov. 2024, 17:57
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Le bar c'est bien, c'est chaud mais...cela a certaines limites. Toujours sans me demander mon avis (mais elle me devine bien évidement consentant), elle propose que nous allions boire un verre à l'hôtel. Donc direction l'hôtel..Dans la rue encore bruyante malgré l'heure avancée, ils sont devant moi. Comme un couple, il l'a tient par la taille, ou par la main, caresse son cul, parfois elle se retourne et me lance son fameux regard de salope asiatique, aussi mystérieux que pervers. Je propose de s'arrêter à l'épicerie du coin pour acheter une bouteille. "Vas-y chéri et viens vite nous rejoindre"... Ok... Quelques minutes plus tard, ma bouteille sous le bras, j'ouvre la porte de la chambre. Saïd est assis sur notre lit. Yoko, à genoux entre ses jambes, le suce pendant qu'il lui prend les seins à pleines mains. Elle gémit déjà. Moi...je me sers un verre et m'installe dans la pénombre tout au fond de la chambre à peine éclairée par une petite veilleuse. Fasciné par le spectacle de ma femme qui s'abandonne une nouvelle fois à un homme qu'elle ne connaissait pas il y'a à peine deux heures... Il l'a déshabille, elle se laisse faire docilement, il l'allonge sur le dos, la lèche longuement. Elle gémit fort lorsqu'il commence à la pénétrer de ses doigts, un, puis deux. De plus en plus fort, plus loin. Elle jouit une première fois ainsi. A son tour de s'allonger. Il est nu. La peau sombre, le corps svelte, je distingue bien sa bite tendue, de taille moyenne mais très épaisse. Elle le suce à nouveau et lui enfile une capote. Elle viens se jucher sur lui. Je m'approche discrètement et je peux voir cet instant où il l'a pénètre. Elle engloutit littéralement sa queue jusqu'aux couilles. J'en frissonne et je sens que je pourrais moi-même cracher en dix secondes en me branlant sur ce que je vois. Il la baise de plus en plus fort, lui empoigne les seins, par moment elle se penche sur lui et l'embrasse à pleine bouche. Il l'a retourne et vient sur elle. Elle écarte les jambes, l'accueille en elle, il la baise bien au fond, elle gémit comme une folle, quand elle n'a pas la bouche collée à la sienne...Je sens qu'il n'en peut plus. Il se redresse, ôte sa capote et lui balance de longues giclée de foutre épais et gluant sur la chatte, le ventre, les seins...Elle est secouée par un nouvel orgasme. retour dans la chambre Yoko enfile une petite nuisette. Lui reste nu. Visiblement il n'est pas pressé de partir. Ils se servent un verre. Sur le petit canapé elle est dans ses bras. Il la maintient contre lui et par moment l'embrasse tout en discutant. Elle me fait face, je vois les doigts de SaÏd s'égarer encore sur sa petite chatte. On croirait un jeune couple d'amoureux. Il lui pince les tétons, dégagés de la nuisette. Je sens bien qu'elle chauffe à nouveau. Les baisers se font plus longs. La discussion s'arrête. A nouveau je n'existe plus. Elle s'assied sur les cuisses de Saïd de dos. A califourchon sur sa queue de nouveau tendue. Décidément très chaud notre marocain.. Très chaud et totalement séduit par ma petite pute de femme... Elle se branle sur sa bite, par moment elle me lance des regards fiévreux..Elle prend la queue de Saïd, la branle et se l'enfile. Je vois sa belle queue épaisse s'enfoncer, coulisser dans la chatte de ma chérie sans capote. Fasciné par le contact direct de leurs chairs je bande encore.. Il s'enfonce en elle, très loin, elle s'abandonne totalement, elle est toujours face à moi, gémissante. Il la soulève, la voilà à 4 pattes sur le lit. Il baisent ainsi longuement. Tout en lui enfilant la chatte il commence à lui doigter le trou du cul.. Un doigt, puis deux. Il sait y faire, il prends soin de mettre de la salive... Je sens que je vais devenir dingue... Très vite son gland remplace ses doigts. Il l'encule. Jusqu'aux couilles. Je m'approche. Par moment, il se retire et je peux voir l'anus béant, totalement élargi de Yoko. Cette salope ne m'a JAMAIS (jusque là) offert son cul et voilà qu'elle se fait enculer longuement et à fond par un total inconnu et sans capote!!!! Une troisième éjaculation prend toujours plus de temps. Il la lime, elle finit par jouir ainsi. Dans un semblant de reste de sagesse, je lui ordonne de ne pas éjaculer en elle. Il se retire à contre-coeur. " Tu veux mon jus où?" Yoko toujours à 4 pattes, "Sur mon cul". Il se branle en la traitant de bonne chienne et il jouit encore en longues saccades sur son cul. Ils s'écroulent tous les deux, l'un cotre l'autre, épuisés. Le spectacle est fini. Vidé moi aussi (mais pas des couilles), je m'allonge aussi et m'endors...