J’ai réussi tant bien que mal à payer et prendre une minuscule chambre avec juste deux petits lits superposés dans ce formule 1.
Revivre cela c’est sympa, cette soirée figure dans mon top 10 de mon premier mariage. Plutôt que la suite de « Le Facteur X », j’aurais pu appeler ce récit : Le formule 1 en tenue de soirée

Il l’a plaqué contre le mur, il l’embrassait, la tripotait alors que j’essayais d’installer le petit lit avec l’unique couverture. J’allais vite m’apercevoir que c’était plus l’intention que la salle de jeux qui comptait pour s’amuser comme des fous.
L’étroitesse du lieu, ils s’en moquaient, il n’y a que moi qui ne savait pas bien où me placer. Sa robe était déjà sur le sol et ses gros doigts dans le string de ma femme alors qu’elle dégrafait son pantalon pour en extirper son imposant sex déjà bien tendu. Elle s’est pendu à son cou pour qu’il la prenne jusqu’à la garde.
Merci aux préliminaires interminables de cette longue soirée car ils étaient à fond, il s’accouplait parfaitement et prenaient leurs pieds.
Le pantalon baissé, je prenais le mien en attendant mon tour en voyeur. Je me branlais en faisant attention de ne pas jouir alors qu’il la saillissait maintenant à quatre pattes avec son habituelle endurance. La position n’était pas confortable, elle était à genoux en travers sur le lit du bas, la tête contre la parois mais cela n’avait pas l’air de les gêner alors qu’il redoublait de vigueur et qu’elle gémissait comme une chienne.
Elle jouissait quand j’ai pu enfin la prendre à mon tour.
Paradoxalement, il ne me l’avait pas élargi tant que cela avec sa grosse bite. Je bandais comme un fou et je sentais les spasmes et les contractions de son vagin qui jouissait encore, elle était trempée. Sandrine se tortillait, elle réclamait plus de vigueur que j’avais bien du mal à lui donner après les 20 cm bien épais et endurant qu’elle venait de se prendre.
Philippe c’était mis à poil et installé sur le lit contre la parois pour l’embrasser de nouveau délicieusement devant moi.
Elle avait repris en main sa grosse queue pour le branler alors qu’elle me sentait au bord du précipice : « jouis, jouis jouis » bref laisse la place. Je suis venu en elle en quelques secondes, collé bien au fond de son sexe complètement détendu et dilaté après les orgasmes successifs qu’elle avait eu avec lui. Dans son vagin bouillant et humide, je sentais mes puissants jets de sperme, c’était divin, j’étais incapable de bouger, paralyser par ma jouissance.
Quelques instants après, je me suis retrouvé à ma position de branleur initial. Encore habillé, le pantalon toujours sur les talons et la queue en berne, j’ai assisté impuissant à leur duo. J’ai vu en gros plan, ma femme guider cette grosse queue bien dure dans son sexe epilé dégoulinant de sperme. À cet instant, le contraste avec ma petite nouille toute molle était saisissant.
Elle se cognait la tête sur le lit du dessus et il l’a retourné pour l’acte finale en bon missionnaire. Elle aimait le titiller « cela te fait quoi de passer après lui ? »
comme si j’avais été son amant et lui le mari.
« Allez régales toi chérie, baises moi comme ta salope, remplis moi » Elle savait le stimuler car il pouvait tarder à finir et s’adressant à moi… « cela te plaît petit branleur de voir ton pote faire ce qu’il veut avec ta femme » … puis entre deux gémissements en me regardant dans yes yeux : « je crois que ton pote va pas tarder à jouir en moi » bref sans se retirer. Elle voulait qu’il la remplisse de son sperme chaud qui allait se mêler au mien. Elle l’embrassait tout en l’enlaçant avec ses longues jambes encore gainées de ses bas à large dentelle et toujours en talons.
J’ai vu le cul de ce salaud se figer alors qu’il jouissait bruyamment.
Elle s’est effondrée sur le ventre à moitié inconsciente, la chatte dégoulinante. Je l’ai retourné doucement, je savais que ce n’était plus le moment de la brusquer. Elle m’a vu au garde-à-vous de nouveau, elle a sourit et simplement dit : « Viens ».
Sur le chemin du retour, la tête sur mon épaule, j’ai eu droit à quelques mots doux comme : « c’était incroyable ce soir, merci mon amour ».