Le bouquet du cocuDepuis que nous avions décidé de reprendre notre relation, le 10 février, avant de se retrouver à nouveau chez moi le 12, je n'avais plus revu Soraya. Hier, j'avais rendez-vous chez elle, à midi. Elle m'avait promis un... couscous, et ajouté "
On va se régaler, on va tout faire, on va fantasmer..." Vous imaginez ma hâte!
Je suis arrivé avec un splendide bouquet de roses jaunes et je comptais lui demander si elle connaissait le langage des fleurs, mais je n'en ai pas eu besoin: en les voyant, elle s'est mise à rire. "
Oh, c'est la jalousie, tu es jaloux!" J'ai répondu: "
C'est le bouquet du cocu". Son rire a redoublé, puis elle m'as pris dans ses bras tendrement et embrassé: "
Merci mon chéri". Parfaite entrée en matière.
Nous nous sommes installés dans son canapé et avons discuté de sa langue de pute de copine, Dounia, qui fait que la cheffe de Soraya à la mairie l'a prise à part : "
Alors il paraît que tu poses nue chez un homme de [la ville où je vis]
et que les photos sont sur Internet ? Tu devrais faire attention..." Elle a nié en bloc: "
Jamais de la vie je n'ai fait une chose pareille!", avec son accent du bled. Seule Dounia, qui bosse aussi pour la mairie, était au courant. Je n'en suis pas revenu: "
Mais quelle salope, c'est dégueulasse de te faire ça!" On ne lui dira plus rien, c'est clair.
Ensuite nous avons commencé à flirter tendrement. Je m'attendais à la trouver en nuisette sexy mais elle avait préféré un jogging: "
Tu vois je suis en pyjama, tranquille chez moi...", avait-elle commenté. Il me plaisait bien qu'elle ait préféré se sentir parfaitement à l'aise et ça ne n’empêchait pas de peloter ses gros seins et de me régaler de nos profonds baisers, qu'elle termine presque toujours en me mordant la langue, cette salope! Elle a alors écarté les cuisses, pris ma main et l'a posée sur son entrejambe. J'ai massé sa vulve à travers le pantalon et senti l'humidité. Soraya émettait de légers gémissements à mesure que je continuais à lui masser la chatte. Soudain, elle s'est levée: "
Viens dans la chambre, on va faire un peu l'amour..."
Suceur, salaud, salopard!
Dès le palier franchi, elle s'est entièrement déshabillée et m'a demandé de m'allonger à côté d'elle. Elle m'a tendu son sein: "
Suce-le!" j'ai pris son téton dans ma bouche et entrepris de le sucer sous ses encouragements: "
Oh oui c'est bon, tu le fais bien, continue, suceur! T'es un suceur!" Elle se caressait le clitoris et ordonna, très directive - j'adore! : "
Mets-moi tes doigts". j'en ai introduit un dans son vagin doux et mouillé et commencé à explorer la grotte des plaisirs, déclenchant sa jouissance bavarde: "
Oh oui tu sais bien me caresser, salaud! Salaud! Oh oui c'est bon, oui... Salopard! Tu es mon salopard!"
Et le cocu jouit pour la première fois devant Soraya!Remise de son orgasme, elle a pris ma bite dans sa main et entrepris de la branler vigoureusement. Elle n'était plus le ridicule vermicelle qu'elle est au repos, mais demi-molle. "
Parle-moi de Robert", lui ai-je proposé, la voix un peu tremblante. "
Il me baise tout le temps, toujours il veut me baiser, toujours. Il me lèche aussi, il adore me lécher, il me lèche très bien, il me fait bien jouir..." J'ai imploré: "
Dis-moi que je suis cocu!" Elle a embrayé: "
Oh oui tu es bien cocu, cocu, cocu, cocu, cocu..." Elle répétait le mot tout en gémissant, me branlant de plus en plus fort. ENsuite elle a dit: "
On va faire venir un Africain qui va nous baiser tous les deux, toi dans le cul!" J'ai senti qu'elle allait avoir du mal à me faire jouir avec ma demi-molle, aussi lui ai-je dit: "
Attends, je vais me branler, un cocu, ça se branle, c'est normal." Elle a retiré sa main pour placer un doigt plus bas, flattant mes couilles et mon anus, et j'ai entamé ma branlette, toujours sous ses vibrants "
T'es un cocu, cocu, cocu!" J'ai alors essayé un conseil lu sur le forum ou le tchat: "
Dis son nom!" Elle a répondu favorablement et l'ambiance est soudain montée encore d'un cran: "
Robert! Oh oui il me baise Robert, oh oui vas-y Robert, baise-moi, encore, plus fort Robert, oh oui Robert c'est bon, Robeeeeert!" Elle gémissait tout en s'adressant virtuellement à lui, ses doigts s'activant sur son clitoris. Surexcitée de l'entendre crier son nom, je suis parvenu à l'orgasme, hurlant ma jouissance. Jusqu'alors et depuis août (!), dans toutes les circonstances où j'avais vu Soraya, elle jouissait chaque fois mais moi jamais, souvent trop fatigué et trop alcoolisé. Ma jouissance était cérébrale et je me faisais juter régulièrement, chez moi, en pensant à elle. Là, pour la première fois, j'avais joui et ça avait été extrêmement fort. Et joui comme un cocu

: en me branlant devant ma reine arabe.

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