Nous adorons sillonner la France... Et lors de nos balades, il arrive comme ce jour là (et bien d'autres je l'admets
) que nous croisions un petit chemin au détour d'une route touristique perdue, qui enflamme immédiatement mon imagination. Mon regard se fait lubrique, je la regarde, et lui dis "Tu as vu ce petit chemin éloigné des regards ?"
Elle a compris. Selon les jours et son humeur, elle est plus ou moins emballée à l'idée de descendre de voiture pour explorer les lieux qui se révèlent parfois pas si adaptés, trop exposés à son goût, un peu glauques, sales, enfin toutes sortes de raisons qui font que nous n'irons pas plus loin.
Mais pas ce jour là.
Ce jour là l'endroit est perpendiculaire à la route, c'est un chemin de campagne bordé de ronciers, qui s'échappe depuis la ruine d'une ferme vers... probablement nulle part en fait.
Il est entretenu et semble régulièrement fréquenté mais nous ne croisons âme qui vive durant nos quelques minutes de marche entre la voiture et l'endroit où je lui dis finalement que je prendrais bien des photos.
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Elle me lance un petit soupir pour signifier que c'est bien pour me faire plaisir, et qu'elle veut bien montrer un peu mais pas trop, me demande si on ne va pas croiser du monde, "ça m'étonnerait" lui dis-je alors que je n'en sais pas plus qu'elle à ce propos.
Comme elle ne porte pas de culotte, je lui propose de me le prouver et elle s'exécute d'abord timidement, anxieuse des bruits de véhicules que nous entendons passer au bout du chemin.
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Que se passe-t-il exactement à ce moment, je ne saurais l'expliquer, mais la tension sexuelle enfle comme une lame de fond, et le peu que j'ai déjà vu me pousse à lui demander d'enlever sa jupe, que je puisse bien voir son cul passer de l'ombre à la lumière. Je me dis que je suis gonflé, qu'elle pourrait dire non et arrêter le jeu d'un claquement de doigts. Elle jette un dernier regard vers la route au loin, et je sens que l'excitation de la situation l'emporte sur sa réticence légitime.
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Je lui dis que si bien lancée, autant enlever le peu d'accessoires qui la parent encore, et presque comme dans un rêve, elle enlève le soutien-gorge qui cachait ses seins.
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Pas encore complètement rassurée ou assez grisée, elle tient à plier et organiser les pièces d'étoffes, à les déposer proprement sur le bas-côté, dans l'idée sans doute de pouvoir les retrouver et les enfiler à la va-vite, juste au cas où...
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