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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par CC01
#2774233
Avec le recul, je me souviens qu'à plusieurs reprises dans le passé mon épouse aurait pu conclure avec des amants potentiels mais n'a pas voulu concrétiser pour ne pas me tromper. C'était avant qu'on commence à avancer sur le chemin du candaulisme et à l'époque j'étais content qu'elle m'en parle et qu'elle mette un stop avant que ça ne dérape. Mais maintenant j'aimerais que ça recommence et qu'elle aille au bout tout en me tenant au courant bien sûr...

Je pense en particulier à un homme qu'elle avait rencontré dans une association, marié, qui l'appelait régulièrement et l'invitait pour prendre un verre dans un bar sympa en cachette de sa femme... Il aurait clairement aimé plus, ce qui était devenu flagrant pour moi avec son comportement quand il était venu dîner avec nous un soir. Mais à l'époque j'avais prévenu mon épouse qui mets souvent du temps à comprendre les sous-entendus et elle avait mis les choses au clair avec cet homme sur le fait qu'il n'y aurait rien de plus que de l'amitié entre eux. Et suite à cela les contacts se sont fait de plus en plus distants avant de s'arrêter complètement. A l'époque sans être spécialement jaloux je n'étais non plus candauliste donc il était mieux que ça se passe comme ça. Maintenant la fin serait bien différente, surtout que je sais que mon épouse était aussi attirée par cet homme...

J'ai récemment reparlé de cet homme et de cette histoire avortée à mon épouse pour tater le terrain et suggérer qu'elle reprenne contact avec lui mais elle trouve que ce serait trop bizarre de le recontacter ainsi après quelques années de silence. Je lui ai suggéré de juste lui envoyer un message de bonne année pour voir sa réaction, on verra si elle ose.

Et vous, vous avez aussi en tête des situations où le candaulisme aurait pu se mettre en place avant que vous ne soyez "prêts" ?
Joseph5, ariel69, titigrominet et 13 autres a liké
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par OnPlay
#2775640
Elle a raison ce serait bizarre de le recontacter après plusieurs années sans nouvelle

Forcément il faudrait qu'elle soit capable de lui dire qu'à l'époque elle aurait pu être intéressée

Et avec les années, il a peut être changé et ce qui était vrai ne l'est peut être plus du tout concernant cette attirance pour lui

Mais si l'on parle de ton intérêt à toi oui c'est clair qu'on peut se dire "mince quelle occasion manquée!" et être tenté de réactiver le truc

Je serai aussi tenté si ma femme m'avait partagé comme la tienne ce genre d'envie mais je n'ai pas eu cette chance elle ne se faisait jamais draguer ce que j'avais du mal à croire

Parfois il faut savoir apprécier sa chance, et tu en as une belle avec une femme qui te partage tout comme ça

Amusez vous bien
par CC01
#2790367
Depuis cette occasion manquée, ma chère et tendre a eu l'occasion de rencontrer d'autres hommes et d'avoir des rapports avec eux, je n'ai donc pas besoin de cet ancien ami pour vivre mon fantasme (mais c'est marrant elle m'en a reparlé hier justement). On verra avec le temps si l'un des partenaires des derniers mois se transforme en amant régulier ou pas... Ce n'est pas forcément le but d'ailleurs, même si cela rajoute un petit plus je suis déjà comblé par le fait de la (sa)voir prendre du plaisir avec d'autres partenaires. :x
Clyde77, Bernard68, pat45 et 4 autres a liké
#2790369
Après une soirée théâtre, nous avions l’habitude de traverser Paris d’est en ouest et retour par les voies rapides. Nous faisions un détour par le bois de Boulogne, et quelque fois par la rue derrière l’ambassade de Russie. Anne aimait montrer sa chatte les cuisses bien écartées pendant que je la branlais.
Un soir, ayant quitté cette « rue des branleurs », nous avons été suivi par un pickup dans le bois de Boulogne. Ayant sans doute remarqué notre manège, à un feu rouge, il est venu se mettre à côté de nous et nous a demandé si nous pouvions nous arrêter plus loin. Je lui ai indiqué que non, mais je l’ai regretté ensuite car le mec avait l’air pas mal, et mon épouse semblait partante….
Clyde77, zztop, pat45 et 4 autres a liké
par philove
#2790371
Alexmart77 a écrit :Après une soirée théâtre, nous avions l’habitude de traverser Paris d’est en ouest et retour par les voies rapides. Nous faisions un détour par le bois de Boulogne, et quelque fois par la rue derrière l’ambassade de Russie. Anne aimait montrer sa chatte les cuisses bien écartées pendant que je la branlais.
Un soir, ayant quitté cette « rue des branleurs », nous avons été suivi par un pickup dans le bois de Boulogne. Ayant sans doute remarqué notre manège, à un feu rouge, il est venu se mettre à côté de nous et nous a demandé si nous pouvions nous arrêter plus loin. Je lui ai indiqué que non, mais je l’ai regretté ensuite car le mec avait l’air pas mal, et mon épouse semblait partante….


Il vaut mieux s'arrêter une fois trop peu et débrieffer pour que ça puisse se mettre, plutôt que de s'embarquer dans une histoire où l'un ou l'autre n'est pas prêt!
CC01, Saxojaune, cplelanceetlau et 3 autres a liké
#2790657
J’ai déjà raconté ce plan dans mon post, aussi je résume :
J’avais organisé une baise à la chaîne pour Anne dans une cave du 15eme. Mon interlocuteur m’avait affirmé que ma Anne serait la seule femme présente. Après que plusieurs mecs l’ai baisee, une autre femme est arrivée. J’ai arrêté la séance immédiatement. En remontant les escaliers, plus de 20 mecs faisaient la queue….. j’ai regretté de ne pas avoir continué….
MADMARL, Clyde77, pat45 et 2 autres a liké
par daula99
#2795589
Alexmart77 a écrit :Après une soirée théâtre, nous avions l’habitude de traverser Paris d’est en ouest et retour par les voies rapides. Nous faisions un détour par le bois de Boulogne, et quelque fois par la rue derrière l’ambassade de Russie. Anne aimait montrer sa chatte les cuisses bien écartées pendant que je la branlais.
Un soir, ayant quitté cette « rue des branleurs », nous avons été suivi par un pickup dans le bois de Boulogne. Ayant sans doute remarqué notre manège, à un feu rouge, il est venu se mettre à côté de nous et nous a demandé si nous pouvions nous arrêter plus loin. Je lui ai indiqué que non, mais je l’ai regretté ensuite car le mec avait l’air pas mal, et mon épouse semblait partante….


Bonjour .
" la rue des branleurs "derriere l'ambassade est elle toujours " en activité " ? Après le covid , les plans vigi pirates , etc ... - A t-elle survecu ? ;)
sergio a liké
#2795889
Les occasions 'manquées' y en a pas mal en y réfléchissant :

Une soirée d'anniversaire en 2003, la miss avait 25 ans, on était une bande de jeunes, à cette époque, on était marié et elle fréquentait déjà un mec en polyamour plus que candaulisme, ils se rencontraient qq fois la nuit, mais ce n'est pas le sujet...

Donc, fin de soirée, tout le monde est fatigué et bien éméché, on dort un peu où on peut dans la maison de campagne de celle qui fête son anniv.
Nous deux, on se pose sur un coin du parquet, avec une couette quand même, à l'étage, je m'endors assez vite.
Elle m'annoncera le lendemain, sur le chemin du retour, qu'un mec allongé pas trop loin de nous, au cours de la nuit a commencé à la tripoter un peu, légèrement endormie, elle l'a mollement laissé faire, puis malgré son début d'excitation, un peu gênée d'être au milieu de tout le monde et proche de moi, quand ça a commencé à devenir plus "sérieux", elle a pris la main du mec pour lui faire comprendre d'arrêter...
Aujourd'hui, en y pensant, on peut dire qu'il y a un certain regret de ne pas l'avoir laissé faire, pour au moins lui donner un orgasme avec les doigts...
PhilLing, pat45, sergio et 3 autres a liké
#2795937
Dans le genre occasion manquée, il m’en est arrivé une belle, l’année dernière dont j’ai encore du mal à m’en remettre. C’était un bel après-midi d’avril ou mai de l’année dernière où il faisait un temps magnifique et où j’en profitais pour faire un tour dans les bois proches de ma ville, lieu de promenade favori de beaucoup de citadins en mal de verdure. Bien qu’y allant souvent, rares ont été les occasions d’une aventure mais cela était arrivé quelquefois, notamment des couples qui profite d’une clairière isolée pour bronzer intégralement. Sur un sentier, je croisais un couple dont la femme avançait d’un air déterminé alors que son compagnon, trois pas derrière la suivait visiblement contraint et forcé. La dame devait avoir une bonne cinquantaine et était vêtue tout de noir avec une jupe lui arrivant presqu’aux mollets. Bref, je n’y attachais pas plus d’intérêt que cela et poursuivi mes déambulations en contournant une grande butte où j’avais repéré une jeune dame qui visiblement allait se faire bronzer, munie d’une serviette et d’un sac de plage. En remontant la pente pour me diriger vers le sommet où vraisemblablement devait se trouver la dame, devant moi, un peu plus haut, le premier couple sortait du bois. En m’apercevant, la femme stoppa net et retourna vivement sur ses pas, suivi par son compagnon toujours à la traine. Je commençais à trouver cela bizarre, sans y attacher plus d’importance que cela, la tenue de la femme ne prêtant pas à fantasmer.
Arrivé moi-même sur le sentier, après quelques pas, je l’aperçu qui regardait si j’arrivais et aussitôt emprunta un petit sentier sous les feuillages. Et moi, comme un ballot, plutôt que de la suivre, je continuais mon chemin jusqu’au sommet de la butte pour voir si l’autre jeune femme était en train de bronzer. Elle était effectivement allongée sur une serviette en maillot de bain mais entourée de deux enfants qui jouaient autour d’elle et que je n’avais pas repéré en bas. Mauvaise pioche, j’aurai vraiment dû suivre l’autre qui semblait, du moins j’ai la faiblesse de le croire, m’attirer à l’abri des regards. Je l’imaginais, adossée à un arbre, jupe relevée, peut-être en porte-jarretelles et bas, attendant les caresses de cet inconnu qu’elle avait repéré. Bien-sûr, revenant sur mes pas, je ne les ai jamais retrouvés et m’en mord encore les doigts, moi qui suis toujours à l’affût, laisser passer une occasion pareille est impardonnable.
Pivatefred, CC01, wtf et 3 autres a liké
#2797390
J’avais sorti la moto pour aller travailler. A un feu rouge, je me mets à côté d’une voiture. La conductrice avait relevé sa jupe très très haut…. Je lui ait fait un compliment et suis parti…. Quel’couillon, je pense qu’il y avait là une opportunité à. Saisir…
wtf, sergio, Dionysos06 et 1 autres a liké
par CC01
#2807188
Par hasard, j'ai discuté avec une nouvelle collègue dans un bar et on a commencé à se raconter un peu nos vies. Quand j'ai commencé à évoquer mon épouse, elle s'est rendue compte qu'elles s'étaient croisées il y a une dizaine d'années. J'étais surpris qu’elles se connaissent mais ma collègue m'a indiqué qu'elle connaissait surtout mon épouse car un ami commun lui avait beaucoup parlé d'elle et qu'il aurait bien aimé être à ma place. Je sentais bien qu'il y avait anguille sous roche entre eux (pas encore candauliste, j'avais même prévenu ma copine que je ne voulais pas qu'elle se laisse draguer mais elle était persuadée que je me faisais un film, comme à chaque fois que je lui indique qu'elle plaît à quelqu'un...). Je sais qu'il plaisait à mon épouse mais apparemment elle est restée sage à l'époque, je suis sûr que maintenant ça se terminerait autrement :D
par CC01
#2810237
Il y a quelques années maintenant, pendant nos vacances, nous avions trouvé sur un site d'annonce un partenaire pour notre tout premier trio. Et il se trouve que justement ma belle est de passage quelques jours (seule) dans la ville de cette rencontre. Ayant un bon souvenir de ce premier trio, nous avons évoqué le fait qu'elle pourrait le revoir mais malheureusement, nous avons bon fouillé dans nos vieux contacts et mails, rien à faire, impossible de retrouver un mail ou un numéro pour contacter cet ancien complice... Une occasion ratée de remettre ça avec lui, et pas envie en ce qui la concerne de rencontrer seule quelqu'un que je n'aurai pas déjà rencontré et en qui nous n'aurions pas confiance tous les deux. Tant pis, il va falloir qu'elle attende de rentrer pour assouvir son envie de sexe lol .
Dionysos06, sergio a liké
par CC01
#2862967
CC01 a écrit :Avec le recul, je me souviens qu'à plusieurs reprises dans le passé mon épouse aurait pu conclure avec des amants potentiels mais n'a pas voulu concrétiser pour ne pas me tromper. C'était avant qu'on commence à avancer sur le chemin du candaulisme et à l'époque j'étais content qu'elle m'en parle et qu'elle mette un stop avant que ça ne dérape. Mais maintenant j'aimerais que ça recommence et qu'elle aille au bout tout en me tenant au courant bien sûr...

Je pense en particulier à un homme qu'elle avait rencontré dans une association, marié, qui l'appelait régulièrement et l'invitait pour prendre un verre dans un bar sympa en cachette de sa femme... Il aurait clairement aimé plus, ce qui était devenu flagrant pour moi avec son comportement quand il était venu dîner avec nous un soir. Mais à l'époque j'avais prévenu mon épouse qui mets souvent du temps à comprendre les sous-entendus et elle avait mis les choses au clair avec cet homme sur le fait qu'il n'y aurait rien de plus que de l'amitié entre eux. Et suite à cela les contacts se sont fait de plus en plus distants avant de s'arrêter complètement. A l'époque sans être spécialement jaloux je n'étais non plus candauliste donc il était mieux que ça se passe comme ça. Maintenant la fin serait bien différente, surtout que je sais que mon épouse était aussi attirée par cet homme...

J'ai récemment reparlé de cet homme et de cette histoire avortée à mon épouse pour tater le terrain et suggérer qu'elle reprenne contact avec lui mais elle trouve que ce serait trop bizarre de le recontacter ainsi après quelques années de silence. Je lui ai suggéré de juste lui envoyer un message de bonne année pour voir sa réaction, on verra si elle ose.

Et vous, vous avez aussi en tête des situations où le candaulisme aurait pu se mettre en place avant que vous ne soyez "prêts" ?


Bon, il y a du neuf depuis l'année dernière... Cet ami a recontacté mon épouse pour prendre des nouvelles, ils se sont rencontrés pour discuter un peu dans un bar un après-midi... Puis ont décidé de rester ensemble pour dîner dans un restaurant... Puis de poursuivre à deux après le restau en se promenant un peu en ville... Puis ils se sont embrassés et ça a "dérapé" sur un canapé...

Je dois dire que je suis assez mitigé sur cette expérience. D'un côté, je m'attendais à ce que ça se termine comme ça quand elle m'a dit qu'elle allait prendre un verre avec lui (alors qu'elle pensait naïvement boire un jus de fruit et repartir...), donc je ne suis pas surpris outre mesure, j'avais anticipé psychologiquement ce passage à l'acte et je n'ai pas de problème avec le fait qu'elle couche avec lui (au contraire presque). De l'autre côté, ça s'est fait un peu rapidement et surtout sans avoir pu en discuter avec mon épouse (et cet ami), elle m'a juste envoyé un sms pour me prévenir que c'était en train de déraper et me demander le feu vert mais n'a pas attendu ma réponse pour sauter le pas. Alors oui implicitement elle sait qu'elle peut mais bon j'aurai préféré pouvoir consentir explicitement. D'ailleurs elle aussi au final m'a dit que cette absence de réponse avant la relation charnelle l'avait perturbée et qu'elle s'était sentie fautive au moment crucial. Et je lui ai fait part que j'étais aussi gêné par l'absence de discussion pour poser le cadre de la relation avec lui, elle lui a juste glissé rapidement quand il a fait des avances claires que j'étais d'accord avec le fait qu'elle couche avec d'autres. Ce qui est vrai mais un peu partiel, nos règles théoriques étant jusqu'à présent qu'il fallait l'accord "informé" de tous, que je suis au courant de ce qu'elle fait, où et avec qui et avec une transparence y compris avec le complice sur le fait que ces relations extraconjugales sont basées sur le plaisir sexuel et ne sont pas des relations amoureuses. Ici c'était vraiment à la limite, je suis persuadé, et le déroulement de la soirée me le confirme, que cet ami a de vrais sentiments pour mon épouse et aurait adoré être vraiment "en couple" avec elle. Au final, ils ont vécu leur "retrouvaille" vraiment à deux mis à part ce petit message mentionné ci-dessus. Je ne connais pas cet ami (je l'ai vu une fois il y a des années), je ne savais pas où ils étaient (même pas la ville en question), pas où ils ont mangé ni où ils ont fini pas se retrouver dans l'intimité pour consommer... J'ai donc l'impression très désagréable d'avoir été à l'écart de cette soirée. Je connais bien mon épouse et on a beaucoup discuté pour remettre les choses au clair. Je sais qu'elle n'a pas d'autres sentiments que de l'amitié et qu'elle ne se sent pas très fière de ce qui s'est passé et de s'être laissée embarquer dans le rapport. Elle sait faire la part des choses entre sexualité, amitié et amour et j'ai totalement confiance en elle. Je ne lui en veut pas d'avoir couché avec lui mais par contre je lui ai expliqué que je ne voulais pas que ce type de scénario se reproduise, surtout sur le fait qu'il n'était absolument pas clair pour son partenaire que consentir à une relation sexuelle ne voulait rien dire sur le plan affectif et ne l'engageait pas dans une relation de couple avec lui...
Du coup maintenant c'est le bordel, elle n'a pas dormi de la nuit, ils ont rediscuté au téléphone pour remettre un peu les choses au point et il semble difficile pour lui d'envisager le retour à une relation amicale "occasionnelle" dépourvue de côté sexuel et pour elle de passer à une relation plus sexuelle sans laisser la place au développement des sentiments... Et comme nous n'avons mon épouse et moi pas envie d'une relation de type "polyamour" la situation n'est pas si simple. Au moins suite à notre discussion il est clair pour mon épouse qu'elle ne poursuivra pas avec cet ami sans clarification du type de relation. Elle a même proposé de ne plus avoir aucun contact avec lui mais je n'ai pas envie d'en arriver là et de la priver d'un ami juste pour un manque de communication à un moment donné. Il a de son côté demandé un peu de temps pour réfléchir. Cette petite mésaventure me conforte dans l'importance de l'explicitation du cadre avec les partenaires pour éviter les malentendus !

Voilà, désolé pour le pavé !
par CC01
#2862977
Au final je trouve ça très c... comme situation alors que tout aurait pu être arrangé en quelques phrases avant que ça aille trop loin ou en repoussant la partie sexuelle à une prochaine rencontre histoire de mieux baliser le terrain. Soit il n'y aurait rien eu si les conditions ne convenaient pas soit mon épouse aurait pu vraiment se lâcher et plus profiter de la soirée (là elle me dit ne pas avoir pu jouir justement parce qu'elle sentait qu'ils sortaient un peu du cadre que nous avions fixé :( )
Dionysos06, zztop a liké
#2864420
@CC01
@Alexmart77
@asmdf510
@lauda78180
@fredcandaule
@philove
Merci pour tous ces récits et aveux. Toujours instructifs car ils viennent du fond de vos cœurs.
Heureusement que la tentation et la coquinerie repassent parfois (souvent ?) les plats pour oublier des occasions perdues. Une délicieuse façon de faire son deuil coquin.
#2867397
Une autre anecdote :
J’intervenais comme consultant chez une référence connue de la distribution. J’avais comme interlocutrice, notamment, une femme mariée (blonde, mince, poitrine certainement refaite avec des tétons proéminents). Nous avions à faire une tournée des points de distribution pour vérifier que l’organisation mise en place était pertinente. Nous avons déjeuné ensemble. Elle m’a raccompagné à mon bureau en voiture, et sans doute lassée de voir mon désintérêt, elle s’est arrangé pour remonter très haut sa jupe. Comme un idiot, je n’ai pas bronché, je l’ai simplement remercié en la quittant, pour cette journée fructueuse et agréable…..
J’avais la une opportunité de la sauter, et je n’en ai pas profité….
zztop, Dionysos06, maxou501 et 2 autres a liké
#2869184
1970 ou 71 peut-être. Récemment mariés, j'avais tout de même compris que mon épouse avait un côté homosexuel. La veille nous avions regardé le film Thérèse et Isabelle, et en discutant après, elle en a bien joui. Le lendemain, de sortie en boîte avec un groupe de copains, elle m'a avoué qu'une de nos amies lui plaisait, qu'elle en avait envie, même. Elles ont dansé ensemble, même un slow. Joli tableau, la blonde fine et la brune plus "femme". Plus tard, en dansant avec la brune, j'avais très envie de lui demander de venir passer la nuit avec nous. J'ai pris mon courage à deux mains et j'étais sur le point de me lancer, quand le gars avec qui elle était venu a surgi et la embarquée.... une minute de plus.....
Dionysos06, maxou501, Dedeploof et 2 autres a liké
#2876172
Et oui, comme quoi...!
Merci à ce ceux qui ont donné des like.
Il y a eu autre occasion loupée, pas trop flatteuse pour moi, il faut dire, huit ans après celle que j'ai affichée...
Pour ne pas pondre un pavé ici ,car c'est une histoire assez longue à expliquer, si cela vous intéresse, envoyez moi un mail et je vous l'enverrai aussitôt.

Francis
Dionysos06 a liké
par CC01
#2876483
Sortie avec un groupe d'amis plus ou moins proches ce week-end, à un moment donné je vois dans un coin mon épouse en train de se faire caresser très sensuellement par une fille qu'on connaît vaguement (bras, dos, cou, tête...) et qui la dévore littéralement du regard. Je suis subjugué par ce spectacle ! C'est tellement sensuel qu'une amie me le fait remarquer, me demandant si je ne suis pas trop jaloux. Tu parles lol ! Sa remarque me rassure sur ma lucidité et le fait que je ne surinterprète pas ce que je vois. En repartant et comme on sait tous les deux que cette fille est assez ouverte en matière de sexualité, j'en parle à mon épouse en lui demandant si elles ont échangé leurs numéros et prévu d'aller plus loin ensemble. Et là patatra, elle me dit qu'elle n'a rien repéré, que c'était un moment particulièrement agréable mais que le câlin et les caresses étaient pour annoncer que malheureusement elle partait en voyage loin et longtemps. Et dans son aveuglement caractéristique, mon épouse n'a pas trouvé bizarre qu'une vague copine lui fasse part de sa tristesse à ne plus la voir tout en la prenant dans les bras et en la caressant délicatement pendant dix bonnes minutes (avec même une main un peu basse dans le dos par moments d'après les précisions de mon épouse)... Il faut toujours que je lui fasse remarquer ce genre de choses pour qu'elle comprenne que oui tiens c'était peut-être un appel pour plus... Conclusion de sa part : "Zut, si j'avais compris j'aurais foncé sans hésiter, j'étais toute excitée dans ses bras en plus !".

Notre problème est que mon épouse n'imagine pas qu'il est possible que des occasions comme ça peuvent se présenter sans avoir à les provoquer. C'est comme quand un homme la mate ouvertement dans un sauna en s'arrangeant pour que leurs cuisses se touchent malgré l'espace disponible ou qu'un homme l'aborde pour lui offrir un verre alors qu'elle est au bar avec une copine (véridique, elle pensait juste qu'il était sympa mais pas que c'était une façon de la draguer) ! Je suis obligé de lui indiquer avec qui elle a des ouvertures quand je le remarque, c'est un comble. Et l'expérience montre que je ne me trompe pas, à chaque fois qu'elle m'a écouté et que la personne lui plaisait ça s'est vite concrétisé. Mais si je n'interviens pas, si le ou la partenaire ne lui dit pas clairement "j'ai envie de toi" ou ne passe pas clairement à l'action, elle passe à côté des signaux pourtant assez clairs sans les voir :-(((
Saxojaune, zztop, Routard et 4 autres a liké
#2877714
J'avais pensé que le récit qui suit serait trop long pour le site, mais après avoir lu certaines contributions récentes, je vous confie ce texte peu glorieux. Les commentaires, ici ou par mail seraient les bienvenus.
Francis/lexdepenny

S’il y a un problème pour moi en parlant de mon ami Jacques, c’est que notre amitié n’a duré que de 1976 quand je l’ai connu, à 1982. Six ans au cours desquelles lui et moi avons passé en tout et pour tout quelques semaines ensemble. Pour mon épouse Lana, les contacts avec Jacques se comptent en jours. Ça peut paraître bizarre qu’une amitié non seulement brève mais aussi en pointillé, ait eu tant d’importance, et je n’essaie pas de me l’expliquer.
Quand j’ai commencé à écrire les événements et les fantasmes érotiques de ma vie avec Lana, je me suis permis d’intégrer Jacques dans ces aventures. Son rôle dans ces fictions a été, bien sûr, exagéré. Lana n’a pas dépassé la limite de l’imaginaire, et n’a pas voulu, ou n’a pas osé réaliser certains des fantasmes qui la faisaient jouir tellement fort. Ça nous faisait plaisir à tous les deux quand elle était sous-vêtue ou peu vêtue dans des lieux où, comme elle disait « cela ne se fait pas », mais nous n’avons jamais partagé notre lit avec un ou une autre.
Cela dit, je vais essayer de donner un portrait fidèle de notre ami Jacques. Je dis bien « notre » et pas « mon ». À la base, Lana n’aimait pas les hommes. Elle a fait une exception pour moi pendant une partie de notre vie ensemble, il est vrai, mais sinon, elle se méfiait de la gente masculine et évitait, autant qu’elle pouvait, les contacts autres que purement professionnels. L’autre exception à cette règle fut Jacques.
Il la faisait rire. C’était aussi simple que ça. Elle, qui était si délicate au sujet de sa dignité et de l’image de femme sérieuse à laquelle elle tenait si fort, elle fondait devant les histoires qu’il racontait. Moi j’en riais bien aussi ; c'était un raconteur habile et les histoires de ses bêtises étaient drôles, mais il avait un don spécifique qui la touchait comme aucun autre homme.
Il était plus grand que moi de deux centimètres, un mètre quatre-vingt-douze ou treize, très sportif, adepte du surf, du VTT, du motocross. Nous jouions au tennis et au squash ensemble dès que cela devenait possible. Pas super beau de tête, avec des lunettes, mais la figure franche et honnête. Je l’ai rencontré lors d’un stage en 1976, et nous avons tout de suite sympathisé. Lana était en visite chez une de ses sœurs à ce moment-là, et c’est donc en célibataire temporaire que je l’ai connu. Notre emploi du temps était très chargé et comme nous avions des chambres en cité U dans le même couloir, on se rejoignait après les devoirs pour prendre un verre et discuter de tout et de rien.
C’est au cours d’une de ces soirées, quand on avait peut-être bu un peu plus que d’habitude, que je lui ai parlé de Lana. Au début, rien de trop personnel, mais il a vite compris à mes paroles que mon épouse était belle. Quand il m’a demandé si j’avais une photo d’elle, j'ai hésité, mais j'ai fini par lui montrer la seule que je gardais dans mon portefeuille, une simple Polaroid en noir et blanc, d’une belle jeune femme debout, de face et entièrement nue. Pas bien de ma part, je sais.
Dès sa première rencontre en vrai avec Lana, j’ai compris que Jacques était un oiseau rare, un homme avec qui elle se sentait à l’aise. Il la trouvait encore plus belle en réalité qu’en photo, et il me l’a dit, mais n’a jamais placé un mot ou un geste de travers en sa présence, et ne lui a surtout pas dit qu’il l'avait déjà vue en photo. Il s’était fait une copine de stage et nous avons dîné à quatre à plusieurs reprises.
C’était la « grande » époque de mes espérances érotiques. Lana (comme moi, bien sûr) se croyait partante pour toutes sortes de folies. (Moi, je n’attendais que d’avoir le feu vert de sa part). Si, dans nos fantasmes, il lui arrivait de jouir en créant avec moi des scénarios où elle faisait l’amour avec des filles, ou qu’une pluralité masculine d’anonymes s’occupait d’elle, jamais elle ne parlait de sexe avec un seul homme autre que moi.
Nous habitions en Angleterre, et Lana se différenciait de ses amies anglaises par l’absence de soutien-gorge, car elle avait pris l’habitude, encouragée par moi, de ne pas en porter. Elle était menue de poitrine, mais ses seins etaient bien formés et fermes. Elle était en pleine période sexy, et dès qu'on était suffisamment loin de chez nous, ses jolis seins plus ou moins nus avaient souvent pu être appréciés par d'autres .
Quand Jacques est venu nous rendre visite la première fois, une sortie restaurant s’imposait. J’ai suggeré à Lana de mettre un haut un peu transparent avec une minijupe très mini qu’elle avait portée en vacances, mais elle a dit non. C’est là où elle m’a demandé si j’avais montré à Jacques ses photos de nue. J’ai dû avouer lui en avoir montré une. Elle m’a dit qu’elle l’avait soupçonné, et que cela expliquait pourquoi elle ne voulait pas paraître sous-vêtue devant lui. Elle s’est enfermée dans la salle de bain pour se préparer.
Quand elle est sortie, elle portait une jupe noire courte plutôt que mini. Le chemisier blanc qu’elle avait mis avec était juste noué sous ses seins, et ne laissait pas de doute qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Elle s’est baissée pour ajuster une sandale, et notre invité et moi avons profité d'une une vue imprenable sur les jolis seins nus de mon épouse.
Face à notre plaisir évident, elle a dit d’un ton tout à fait calme que puisque Jacques avait déjà vu ses seins en noir et blanc, le fait de les voir en couleur ne devait pas trop le chiffonner. Jacques a balbutié qu’en noir et blanc ou en couleur, elle avait une très jolie poitrine. Parce que je la connaissais si bien, je n'ai pas raté les petits signes qui me disaient qu’elle trouvait cette réponse bien jugée.
Au restaurant, la serveuse, petite et mignonne, aux cheveux longs noirs, et qui portait une jupe plus mini que celle de mon épouse, a eu droit à un sourire et à une gentille exhibition de la part de Lana, qui a trouvé le besoin de se pencher au moment où la fille était à notre table. La môme n’avait pas pu rater les seins nus ainsi exhibés, et est devenue toute rouge. Les tétons durs de Lana m’annonçaient que son jeu l’excitait aussi.
De retour chez nous, un dernier verre et au dodo. Lana et moi dans notre lit, Jacques sur le canapé-lit au salon. Comme d’habitude, Lana dormait nue, et très bientôt, elle était à plat-ventre, sa main enfouie sous son bassin et les doigts qui travaillaient son minou. Je n’ai rien dit, j’ai juste posé un baiser sur une fesse et j'ai attendu.
Elle n’a pas mis longtemps pour me prendre la main et la poser sur son cul. J’ai glissé mon index dans la raie pour lui tripoter la rosette. Quand elle a relevé son fessier vers ce doigt, je lui ai simplement dit :
« Vibro ? »
Elle a marmonné quelque chose que j’ai pris pour un acquiescement . J’ai sorti le gode fin qu’elle préférait pour la pénétration anale, je l’ai rentré de quelques centimètres et je l’ai mis à vibrer. Un gloussement a confirmé qu’elle aimait, et j’ai pu apprécier pendant un moment le plaisir montant de Lana.

Puis je n’ai plus résisté.
« Heureusement pour toi que ce n’est pas Jacques qui est en train de te sodomiser » ai-je murmuré. « Il est d’un calibre supérieur ».

Même aujourd’hui, j’ai l’impression de revivre la vague de frémissements qui a traversé son corps, et l’éclosion de la chair de poule sur ses fesses. Nous n’avions pour ainsi dire jamais discuté de Jacques, en tant que mâle. Elle n’avait donc aucune idée que Jacques était muni d’un engin impressionnant. Moi je suis dans les normes : lui devait mesurer au moins deux centimètres de plus en longueur, avec une grosseur tout aussi conséquente. Je m’en étais rendu compte pendant que nous nous changions dans les vestiaires au club de squash.
« Pourquoi tu dis ça ? »
Je lui ai raconté la taille de la bite de Jacques, pendant qu’elle continuait à se masturber.
« C’était juste une pensée qui m’est passée par la tête, » j’ai dit. Elle n’a pas répondu, mais quelques minutes après, elle a écarté ses fesses des deux mains. J’ai compris.
« Tu veux essayer avec le grand noir ? »
Elle a fait oui de la tête, sans parler. J’ai sorti le machin, qui faisait plus de quatre centimètres en diamètre pour une longueur d’une vingtaine. Elle s’en pénétrait rarement et seulement parce que je le lui avais demandé très gentiment. En plastique dur, il était, pour être honnête, trop rigide pour lui faire vraiment plaisir dans son vagin. Normalement, elle le faisait glisser entre les lèvres de sa vulve, pour profiter au maximum des vibrations. Je n’avais jamais osé proposer à Lana un emploi moins conjugal. Maintenant, j’ai noté que si la longueur correspondait plus ou moins à la bite de Jacques, le diamètre était certainement plus important, même quand je me rappelais que je n’avais vu l’engin de Jacques qu’au repos. J’ai donc sorti le lubrifiant aussi.
Au premier toucher, j’ai vu la rondelle de Lana se resserrer involontairement. J’ai frotté le bout lubrifié contre le muscle et elle s’est un peu détendue. J’ai mis la vibration en marche, mais elle a fait un non vigoureux de la tête, alors je l’ai arrêté. N’en voulait-elle pas parce que dans sa tête, c'était le pénis de Jacques qui la sodomisait, et qui n’aurait pas vibré ? Je n’en savais rien.
J’ai fait des cercles autour de son anus en bien étalant le lubrifiant, avant de commencer à appuyer un peu plus fort. Le halètement de Lana m’a fait comprendre que même si elle avait envie d’être pénétrée, elle était très anxieuse…et avec de bonnes raisons !
J’ai été patient au-delà de mes habitudes, et un petit piaulement de mon épouse m'a confirmé que la tête du gode avait fini par franchir le muscle. Elle m’a demandé d’arrêter pour la laisser s’habituer à la sensation, puis elle a enlevé sa main de la mienne et d’un tout petit mouvement de la tête, m’a invité à pousser plus fort. Je me tracassais la tête à juger comment éviter de lui faire mal, mais aussi, j’avoue, comment éviter qu’elle me dise d’abandonner cette expérience si hors-norme. J’étais fasciné par ce pieu noir que je fourrais dans les entrailles de ma femme. J’ai découvert qu’en faisant des rotations, ça glissait mieux, et peu à peu son cul en a avalé une quinzaine de centimètres.
Nous ne parlions pas. Elle a tendu la main entre ses cuisses pour tâter le gode et vérifier à quel point il la sodomisait. Avait-elle en tête que la bite de Jacques l’aurait fouillée plus profondément ? Je n’osais pas lui poser la question. Elle s’est remise à se frotter la vulve contre ses doigts. Moi je n'arrivais pas à arracher mon regard de cette espèce de queue courte et trapue qui émergeait d’entre ses fesses, et qui bougeait, animée par les contractions de sa rondelle autour de l’intrus.
Finalement, elle a joui, et m’a imploré de la libérer du gode, et vite ! Une fois qu’il était sorti, j’ai gardé ses fesses écartées pour admirer le spectacle de son anus qui subissait des contractions répétées en essayant de se resserrer. Elle avait enfoncé sa figure dans l’oreiller pour étouffer les cris qu’elle ne parvenait pas à retenir. Une fois un peu calmée, elle est allée à la salle de bains. À son retour, je savais que ce n’était pas la peine de tenter d’en parler. Elle m’a embrassé et s’est endormi plus ou moins tout de suite. Moi, j’avais la tête pleine de ce que j’avais vu et de ce qu’elle venait de faire, sans parler des éventuelles implications. Même une séance de masturbation frénétique ne m’a pas permis de trouver le sommeil.
Le lendemain, nous avons passé une journée des plus normales à faire visiter la ville à Jacques, et quand il est parti ce soir-là, Lana lui a fait les bises amicales d'une hôtesse qui a apprécié son invité.
Les années sont passées, et si j’ai eu une correspondance assez régulière avec Jacques, sa vie en Amérique Latine nous a empêchés de nous rencontrer. Peu avant notre départ de cette maison-là, il est revenu en Europe et est venu nous voir en visite rapide de 36 heures. Sa fiancée était Argentine et il retournait là-bas pour se marier en Patagonie où il pensait s'installer définitivement. Comme à chaque fois qu’on se voyait, c’était comme si nous nous voyions toutes les semaines.
Il nous a invité au restaurant le plus chic de la ville. Lana s'est habillée plus formellement que la premiere fois, avec une jolie robe, et nous avons bien mangé et bien bu. Nous sommes rentrés nous coucher et Jacques s’est installé dans le salon, comme l’autre fois.
À un moment imprécis de cette nuit-là, Lana m’a murmuré qu’elle allait faire pipi. Moi, à moitié endormi sinon plus, je continuais ma descente vers un sommeil plus profond. J’ai vaguement senti quand elle est revenue, et il m’est passé par la tête qu’elle avait mis du temps.
Le lendemain matin, Lana s’est levée tôt . Elle avait une réunion de bonne heure au bureau. Je l'ai admirée quand elle est retournée de sa douche, parce qu'elle s'était rasée le minou. Je n'ai pas fait de commentaire. Elle s’est habillée, m’a fait une bise et est partie, en disant qu’elle ferait ses adieux à Jacques plus tard. J’ai traîné un peu au lit avant de me lever et d’aller demander à Jacques s’il voulait un café. Quand je le lui ai apporté, on a discuté un peu, puis il m’a dit :
« Elle est somnambule, Lana ? »
« Pas que je sache, non. Pourquoi ? »
Alors il m’a expliqué. C’était une nuit de pleine lune, et le ciel était dégagé. Il faisait très chaud, et pour avoir un peu d’air en ouvrant une fenêtre , il avait dû ouvrir à moitié les persiennes. Il s’était endormi, mais soudain, il a eu l’impression de ne plus être seul. Sa tête était dans l’ombre et il a ouvert un peu les yeux. Lana était agenouillée à peut-être un mètre du canapé et le regardait. Elle était nue, et Jacques distinguait très nettement les contours de sa vulve entre ses cuisses écartées. La lune à travers les persiennes laissait des traces zébrées d’ombre et de lumière sur la peau de ma femme. Elle était, m’a-t-il dit, d'une beauté et d’une sexualité rayonnante. Elle est restée dans cette position pendant une minute ou deux, avant de se lever silencieusement et repartir.
« Par bonheur, j’étais couché sur le côté, m’a-t-il dit. J’étais à poil, moi, aussi, à cause de la chaleur ! Tu m’excuseras, j’espère, parce qu’elle m’a donné une trique inimaginable. Si j’avais été couché sur le dos, elle s’en serait forcément aperçu ! Et j'admets, devant Lana toute belle et toute nue, je n'aurais pas résisté si elle m'avait invité par le moindre geste ».
Que pouvais-je lui dire ? Lana avait sûrement été déçue de ne pas voir l’engin qui avait provoqué son expérience avec le gode, surtout en erection; cet engin qui, en fantasme, l'avait si royalement sodomisée. Les idées tourbillonnaient dans ma tête…..
Si Jacques repassait une autre fois nous voir, s'il en avait envie, pourrions-nous, lui et moi, proposer une séance à trois à Lana? Aurait-elle accepté, accueilli sans hésitation même, des baisers et des caresses de deux hommes en meme temps? Après ce qu'elle avait fait avec le gode, et puis cette exhibition flagrante devant notre ami, je me suis persuadé que la tentation aurait été trop forte.
Et cela se serait-il arrete là ? L'image de mon épouse doublement pénétrée par mon ami et moi a été tellement vivante que j'en bandais comme un bouc. J'ai remarqué que Jacques, toujours couché, avait dû changer de position pour dissimuler son érection.
Je suis convaincu que si, au lieu de faire semblant de dormir, Jacques avait baisé ou sodomisé mon épouse, j’aurais compris et accepté, puisque c’était Lana qui l’aurait cherché. Je commençais à regretter que cela ne fût pas arrivé, parce que comme ça, j'aurais eu la preuve que nos fantasmes pouvaient mener aux expériences réelles dont je rêvais. Il ne l'a pas fait. Je sais que Jacques ne me l’aurait pas caché. Et là, une autre pensée m’a frappé. Jacques avait vu les contours de la vulve de Lana ? Elle avait dû s’être déjà rasée. Exprès pour que cette exhibition intégralement nue soit aussi impudique que possible? S’était-elle rasée le minou juste avant de rentrer au salon et adopter cette position ô combien indécente devant notre ami ? Je suis parti dans ma chambre et je me suis branlé comme un adolescent. Je suppose que Jacques a dû faire autant.
Jacques a dû partir sans avoir revu Lana, qui est restée bloquée au boulot, et quelques mois après, nous avons appris qu’il était mort dans un accident de moto en Patagonie.
Incapable de laisser tomber ce qui était arrivé au cours de cette nuit, j’ai essayé d'en parler avec Lana. Elle a nié totalement le récit de Jacques, nié même la possibilité d'un tel acte de sa part, et m’a accusé d’avoir l’esprit tordu. Elle avait sans doute raison, mais moi, je me fiais davantage aux paroles de Jacques. Puis elle n'a plus jamais voulu en entendre parler. Dommage….

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