Le jour de l’examen, je me réveillai dans les bras de Marc, son corps massif enroulé autour de mes courbes. J’étais invincible, mes révisions ancrées, mon esprit clair grâce à ses étreintes. L’épreuve fut un triomphe : mes réponses coulèrent, précises, et je quittai la salle avec un sourire éclatant. Marc m’attendait dehors, m’enlaçant, son torse dur pressé contre mes seins. « T’as tout déchiré, ma belle, » dit-il, et je ris, euphorique. Pour fêter ça, on décida de sortir dans un pub du Marais, un endroit vibrant de musique et de lumières tamisées. Je portais une robe rouge moulante, mes seins opulents et mes hanches pleines attirant tous les regards. On dansa, nos corps collés, mais bientôt, d’autres hommes s’approchèrent, attirés par ma sensualité. Un beau blond, grand, avec des épaules larges et un sourire audacieux, m’invita à danser. Je jetai un regard à Marc, un sourire malicieux aux lèvres, et acceptai.
Collée-serrée contre ce blond, ses mains frôlant mes hanches, je me sentis belle, désirable, comme à 20 ans lors de mes nuits folles. Ses yeux bleus dévoraient mon décolleté, et je jouais le jeu, ondulant contre lui, mes seins effleurant son torse. Marc, à quelques mètres, tentait de cacher son agacement, et j’adorais le voir galérer pour me récupérer. Après quelques danses, je le laissai en plan et rejoignis Marc, mes lèvres frôlant son oreille. « Jaloux ? » murmurai-je, provocante. Il grogna, m’entraînant dehors, direction l’hôtel.
Dans la chambre, il me plaqua contre le mur, ses mains arrachant ma robe. « Salope, tu te donnes en spectacle, hein ? » grogna-t-il, sa voix rauque faisant vibrer mes seins. Je ris, excitée par son ton. Il me souleva, ses biceps saillants me portant comme une plume, et me jeta sur le lit. Ses lèvres dévorèrent mes seins, ses mains pétrissant mes fesses charnues. Puis, il me retourna, préparant mon corps avec une urgence fiévreuse. « Tu veux jouer ? Alors prends ça, » murmura-t-il, me pénétrant analement avec une intensité brute. Je criai, mon corps s’arquant sous sa puissance, ses coups de reins me transportant. Cette sodomie, possessive, était sa façon de me réclamer, et j’adorais ça. Je jouis, secouée, et il me suivit, nos corps s’effondrant, essoufflés, hilares.