- Aujourd’hui, 08:59
#2885723
Après cet instant brûlant sur le canapé, je reste un moment immobile, ma silhouette sensuelle luisant sous la lumière tamisée des bougies. Mes cheveux ondulés encadrent mon visage comme une auréole, mes seins généreux frémissent encore, et mes fesses charnues, marquées par l’intensité de l’instant, reposent contre le tissu doux. Marc, son corps d’athlète luisant de sueur, me regarde avec un mélange de tendresse et d’admiration, ses muscles saillants se relâchant doucement, ses pectoraux sculptés se soulevant au rythme de sa respiration. Ma main caresse son corps, je n’y crois pas. Antoine, dans son fauteuil, un sourire complice aux lèvres, semble savourer la scène, son regard brillant d’une excitation apaisée, son amour pour moi palpable dans l’air.
Je me lève, mes mouvements fluides comme une danse sacrée, mes bras charnels s’étirant avec une grâce naturelle. Mes lèvres pleines esquissent un sourire, et mes yeux pétillants glissent vers Marc. « Marc, » dis-je, ma voix douce mais vibrante, chargée d’une promesse silencieuse, « reste avec moi ce soir. Viens dormir dans notre lit conjugal. »Mes mots flottent dans la pièce, lourds de désir et d’intimité. Marc, un sourire éclatant illuminant son visage d’ébène, hoche la tête, ses yeux noisette scintillant comme des étoiles. « Avec plaisir, Agathe, » répond-il, sa voix grave résonnant comme une caresse profonde. Je me tourne vers Antoine, ma main gracieuse caressant doucement son épaule, mes doigts effleurant sa chemise. « Chéri, ça te va si tu dors dans la chambre d’amis ce soir ? » demande-je, ma voix tendre, mes yeux cherchant son assentiment. Antoine, fidèle à sa générosité, acquiesce avec un sourire chaleureux. « Profite, ma chérie. Je veux que tu prennes ton pied avec lui, » dit-il, ses yeux débordant d’amour et d’acceptation, une lueur de fierté dans son regard.
L’eau chaude ruisselle sur ma peau, caressant mes courbes comme une amante bienveillante. Sous la douche, je soulève mes seins généreux, glissant le savon sous leur poids, mes doigts effleurant mes mamelons encore sensibles. Mes cheveux ondulés, alourdis par l’eau, collent à ma nuque, et mes fesses charnues frémissent sous le jet. Mon corps vibre d’une énergie inassouvie, un feu qui refuse de s’éteindre. Je repense à Marc, à son sexe massif me remplissant sur le canapé, à la manière dont mes seins dansaient et mes hanches ondulaient. Une chaleur monte entre mes cuisses – j’en veux encore. Mais je me demande si Marc, après cette éruption si rapide, aura la vigueur de me suivre à nouveau si vite.
Dans un élan impulsif, je saisis mon Womanizer, posé sur l’étagère de la salle de bain, bénissant son étanchéité. Je règle l’intensité, et le jouet vibre contre mon clitoris, envoyant des ondes de plaisir à travers mon corps. Mes lèvres pleines s’entrouvrent, un gémissement étouffé m’échappe, et mes bras charnels s’appuient contre le mur carrelé pour me stabiliser. Mes fesses se contractent, mes seins tressautent légèrement à chaque vague, et en quelques minutes, un orgasme doux mais puissant me traverse, apaisant temporairement ce brasier intérieur. Je soupire, satisfaite mais toujours curieuse de ce que la nuit me réserve avec Marc.
En sortant de la douche, j’enfile un peignoir de soie blanche, son tissu léger frôlant ma peau claire comme une caresse. Mes cheveux humides gouttent sur mes épaules, et je me dirige vers notre chambre, un sourire anticipant l’idée de retrouver Marc. Mais en approchant de la porte entrouverte, j’entends des voix – Marc et Antoine, en pleine conversation. Intriguée, je m’arrête dans l’ombre du couloir, mon cœur battant plus vite. Ils parlent de moi, de nous, et je ne peux m’empêcher d’espionner, mes doigts serrant le bord de mon peignoir.
« …cette fois, à Paris, » dit Marc, sa voix grave teintée d’un sourire. « J’étais pas préparé, tu sais. Agathe, elle a ce feu… et quand elle m’a demandé de la prendre par derrière, j’ai cru que j’allais perdre la tête. Elle était si ouverte, si… décomplexée. » Je rougis, ma peau claire s’empourprant alors que je me remémore cette sodomie, intense et libératrice, dans la chambre d’hôtel. Mes fesses charnues, offertes à lui, son sexe glissant lentement en moi, et mes gémissements emplissant l’air.
Antoine rit doucement, un son chaleureux et complice. « Oh, je la connais, ma belle. Elle a toujours eu ce côté sauvage, mais elle le cachait au début. C’est avec des gars comme toi qu’elle se lâche vraiment. Moi, je… je peux pas lui donner ça, pas comme ça. Mais la voir s’épanouir, ça me remplit de joie. T’imagines pas à quel point. » Sa voix est empreinte d’une sincérité qui me serre le cœur. Je l’imagine dans la chambre, peut-être assis sur le bord du lit, ses yeux brillant de cet amour généreux qui me touche tant.
« …cette fois, à Paris, » dit Marc, sa voix grave teintée d’un sourire. « J’étais pas préparé, tu sais. Agathe, elle a ce feu… et quand elle m’a demandé de la prendre par derrière, j’ai cru que j’allais perdre la tête. Elle était si ouverte, si… décomplexée. » Je rougis, ma peau claire s’empourprant alors que je me remémore cette sodomie, intense et libératrice, dans la chambre d’hôtel. Mes fesses charnues, offertes à lui, son sexe glissant lentement en moi, et mes gémissements emplissant l’air.
Antoine rit doucement, un son chaleureux et complice. « Oh, je la connais, ma belle. Elle a toujours eu ce côté sauvage, mais elle le cachait au début. C’est avec des gars comme toi qu’elle se lâche vraiment. Moi, je… je peux pas lui donner ça, pas comme ça. Mais la voir s’épanouir, ça me remplit de joie. T’imagines pas à quel point. » Sa voix est empreinte d’une sincérité qui me serre le cœur. Je l’imagine dans la chambre, peut-être assis sur le bord du lit, ses yeux brillant de cet amour généreux qui me touche tant.
Marc hoche la tête – je l’entends au léger froissement des draps. « T’es un mec rare, Antoine. Pas beaucoup d’hommes accepteraient ça, encore moins en tireraient du plaisir. Mais Agathe… elle a besoin de ça, non ? De cette intensité. » Antoine répond, presque rêveur : « Ouais. Elle est comme un brasier. Moi, je suis son foyer, je garde la flamme en vie. Toi, t’es l’étincelle qui la fait rugir. Mais raconte moi encore cette soirée.»
L’ombre du couloir me dissimule, et je reste figée, mes doigts crispés sur le bord de mon peignoir de soie, le cœur battant à tout rompre. La voix de Marc, grave et rauque, reprend, teintée d’une excitation contenue, comme s’il revivait chaque seconde de cette soirée à Paris. Antoine vient de lui demander de raconter encore, et je sens une chaleur traîtresse remonter entre mes cuisses, mes fesses charnues frémissant sous le tissu léger alors que j’écoute, captivée, presque coupable de mon indiscrétion.
« Mec, » commence Marc, un rire bas vibrant dans sa gorge, « cette nuit-là, à l’hôtel, c’était… putain, irréel. On était déjà bien chauds après un verre ou deux, et Agathe, elle me regardait avec ces yeux, tu sais, ceux qui te disent qu’elle va te bouffer tout cru. Elle portait cette robe moulante, ses seins qui débordaient presque, ses fesses… bordel, ses fesses, c’était comme si elles me suppliaient de les attraper. » Il marque une pause, et j’imagine son sourire, ses yeux noisette pétillant de souvenirs. Ma peau claire s’empourpre davantage, et je mords ma lèvre pleine, me remémorant cette robe, ce regard que je lui lançais, cette envie brute qui pulsait en moi.
« On a commencé à s’embrasser, » continue-t-il, sa voix devenant plus grave, comme s’il parlait à son meilleur pote dans un bar, sans filtre. « Et là, elle me pousse sur le lit, grimpe sur moi, et commence à me sucer. Mec, sa bouche… c’était du velours, putain, et elle y allait à fond, ses cheveux ondulés qui volaient, ses seins qui frôlaient mes cuisses. J’étais déjà à deux doigts de lâcher, mais elle s’arrête, me regarde avec ce sourire de diablesse, et me dit : ‘Marc, je veux que tu me prennes par derrière.’ J’te jure, j’ai cru que mon cerveau allait cramer. »
Je retiens mon souffle, mes seins généreux se pressant contre le peignoir, mes mamelons durcissant sous le tissu. Mes fesses, comme si elles se souvenaient, se contractent légèrement, et je revis cette sodomie, la première, si intense, si libératrice. Antoine rit, un son complice, presque admiratif. « Elle t’a dit ça comme ça ? » demande-t-il, sa voix chaude, curieuse, comme s’il voulait chaque détail pour nourrir son propre plaisir.
« Ouais, mec, » répond Marc, un grognement amusé dans la voix. « Elle s’est mise à quatre pattes, ses fesses charnues en l’air, tellement parfaites que j’en avais le souffle coupé. J’ai pris mon temps, tu vois, du lubrifiant, des caresses, parce que… bordel, elle est tight, mais elle en voulait. Elle gémissait, elle me disait d’y aller, et quand j’ai commencé à la pénétrer, putain, c’était comme entrer dans un autre monde. Elle poussait des cris, pas de douleur, non, de plaisir pur, et elle bougeait avec moi, ses seins qui ballottaient, ses cheveux qui collaient à sa nuque. Je la tenais par les hanches, et elle… elle me guidait, elle contrôlait tout, c’était elle la reine. J’ai fini par jouir comme un fou, et elle, elle tremblait, elle riait, elle était… incandescente. »
Un silence suit, chargé d’électricité. Je sens mon cœur cogner, mes lèvres pleines entrouvertes, et une humidité nouvelle entre mes cuisses. Mes bras charnels frémissent, et je lutte pour ne pas entrer dans la chambre, pour ne pas me jeter sur Marc ou embrasser Antoine pour sa générosité. Antoine brise le silence, sa voix plus basse, presque émue. « C’est ça, Agathe. Elle est comme ça. Elle a ce feu, et moi… moi, j’aime la voir brûler. Continue, raconte la suite, comment elle était après. »
Marc rit, un son profond, complice.
« Après ? Elle s’est allongée sur le lit, nue, sa peau luisante, ses seins qui se soulevaient à chaque souffle, ses fesses encore rouges de mes mains. Elle m’a regardé, un sourire en coin, et elle a dit : ‘T’as intérêt à être prêt pour la prochaine, parce que j’ai pas fini.’ Mec, j’étais mort, mais j’ai signé direct pour la suite. Elle a cette énergie, tu vois, elle te donne envie de tout donner. »
Je ne tiens plus. Mes joues sont en feu, mes seins palpitent sous le peignoir, et ce désir brut, animal, me submerge. Je pousse la porte, mes mouvements toujours gracieux malgré l’urgence dans mes veines. Les deux hommes se tournent vers moi, surpris, leurs visages s’illuminant. Marc, assis sur le lit, torse nu, ses muscles luisant, me dévore des yeux. Antoine, en chemise, se lève, un sourire tendre aux lèvres. « T’es magnifique, ma belle, » dit-il, ses yeux glissant sur ma silhouette enveloppée de soie. Je m’approche, mes cheveux humides gouttant sur mes épaules, et pose une main sur son bras. « Merci, chéri, » murmure-je, avant de l’embrasser doucement, mes lèvres effleurant les siennes, un merci silencieux pour tout ce qu’il est.
Puis, je me tourne vers Marc, mes yeux pétillants. « Alors, on » parle de Paris ? » dis-je, un sourire malicieux aux lèvres, mes doigts jouant avec le nœud de mon peignoire peignoir. Marc rit, ses abdos se contractant. « Coupable, » avoue-t-il, ses yeux brillant d’une promesse. Antoine me serre la main une dernière fois avant de s’éclipser. « Je vous laisse, » dit-il, sa voix chaude. « Profite, Agathe. » La porte se referme, et je suis seule avec Marc, l’air crépitant d’une tension délicieuse.
Je laisse glisser mon peignoir, révélant ma nudité. Mes seins généreux, mes fesses charnues, ma peau claire luisant d’une fraîcheur post-douche – je suis une déesse, prête à réclamer son offrande. Marc se redresse, son sexe déjà à demi dur, et je m’approche, grimpant sur le lit, mes bras charnels frôlant son torse. « Tu crois pouvoir suivre, après tout à l’heure ? » le taquine-je, ma voix rauque, mes lèvres frôlant son oreille. Il grogne, ses mains saisissant mes hanhes. « Essaie-moi, Agathe, » murmure-t-il, et je sais que la nuit sera longue, incandescente, une nouvelle page de notre légende.