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#2879577
Il faut que je vous raconte ce qu'il s'est passé avec mon épouse le mois dernier.
Elle est vietnamienne et chaque année ou même 2 fois par an nous allons au Vietnam pour voir la famille, ses amis et son ex mari avec lequel elle a des relations sexuelles pendant que j'attends au salon (ils ferment la porte mais je peux les entendre jouir ensemble).
Bref c'est un autre sujet et ce qu'il s'est passé cette année c'est déjà que pour des raisons familiales, nous avons du rester à l'hôtel pendant 3 semaines.
Si certains connaissent il s'agit du Victory hotel à Saïgon, pas loin du centre ville.
Au 7ème étage de cet hôtel se trouve un spa animé par des masseuses qui proposent systématiquement un peu plus que le massage de base contre une rémunération complémentaire.
Un grand classique dans beaucoup d'hôtels au Vietnam et ailleurs... jusque là rien de bien surprenant.
Il se trouve que mon épouse Anne connait l'une de ces masseuses qui se prénomme Mai, une très belle jeune femme âgée d'environ 25 ans, assez grande (1 m 70 je dirais) très bien proportionnée avec des beaux cheveux longs et noirs.
Dès le lendemain de notre arrivée Anne m'a emmené la rencontrer et m'a laissé avec elle en "stage" pendant qu'elle partait avec son ex mari faire des magasins avant de faire l'amour avec lui.
Mai parle suffisamment bien Anglais pour permettre un échange clair et elle est venu m'accueillir à l'entrée du spa, qui est en outre surveillé et sécurisé par 2 gardiens qui m'ont regardé avec un grand sourire, exigeant un pourboire pour me laisser suivre mon hôtesse.
J'ai eu la nette impression lors de leurs échanges qu'ils étaient parfaitement au courant de ma situation et que ce je n'étais pas le premier dans ce cas...
Nous sommes ensuite arrivés dans l'une des pièces où elle travaille et dont elle m'a présenté les équipements et aménagements.
C'est assez luxueux avec Sauna, Hammam, jacuzzi, douche, toilettes... et surtout une toute petite alcôve attenante derrière une porte avec un miroir sans tain pile en face de la table de message.
Elle m'y a installé en m'expliquant que ce qui est convenu avec ma femme est que je reste là, complètement nu et assis sur un siège confortable mais attaché mains dans le dos de façon à ce que je ne puisse pas me toucher, ni quitter le siège ou la pièce secrète.
En précisant qu'en plus, ma tendre épouse emprisonne mon pénis très efficacement dans une cage verrouillée par mes piercings au gland et aux bourses, donc totalement inamovible.
C'est ainsi bien installé que je dus attendre le retour de la jolie Mai accompagnée de son premier client après environ une heure d'attente.
Comme cela fut un peu long, Mai est venu m'hydrater à un moment, à sa façon, en buvant puis en recrachant l'eau dans ma bouche ouverte, m'indiquant que c'était ce qui était demandé par ma femme et que parait il j'appréciais ce genre de traitement... ce que je ne pus que reconnaitre.
Les mouvements de la cage n'échappèrent pas à Mai qui sourit posément en constatant mon excitation mêlée d'impuissance et de douleur, ce qui me valut une bonne petite claque aller retour, histoire de montrer qui menait la danse ici.
Ce n'était qu'un avant goût.
La suite si cela vous intéresse.
#2880347
Partie 2 :
Les joues me chauffaient encore de la paire de claques assénée par la jolie Mai quand elle revint avec son premier client de l'après midi, un homme asiatique au cheveux gris, entre deux âges, je dirais une bonne cinquantaine, plutôt fin et légèrement plus petit que son hôtesse.
A leur discussion, je compris qu'il était vietnamien et qu'il était déjà venu la voir.
Au début je ne vis presque rien, ils n'étaient pas dans le champ de vision du miroir sans teint mais j'entendis ce qu'il se passait et pus reconstituer partiellement leurs faits et gestes.
L'homme se déshabilla complètement et, uniquement muni d'une serviette, il passa devant la porte et se rendit aux toilettes où il urina bruyamment, puis il entra dans le sauna ou il resta une quinzaine de minutes.
Pendant se temps ce fut Mai qui alla uriner et qui, en sortant, me fit un clin d'œil et roula des hanches dans son petit short doré.
L'homme ressortit du sauna pour rentrer immédiatement dans le hammam, il semblait apprécier de prendre son temps et de profiter des installations.
Après quoi il ressortit sans la serviette et se rendit dans la baignoire.
Aux discussions entre eux et aux bruits, j'en déduisit que c'était Mai qui le lavait avec soin.
Je ne les voyais que sur le côté mais suffisamment pour l'observer lui savonner le dos, les fesses et évidemment le sexe, étonnamment poilu alors qu'il semblait par ailleurs totalement imberbe.
Cela pris bien 10 minutes et aux rires et échanges, je devinais que l'homme appréciait de se laisser ainsi doucher et sécher par une aussi jolie jeune femme.
Enfin, Mai vint l'installer sur la table de massage dont la hauteur était juste un peu plus basse que mon regard, ce qui me donnait une vue parfaite, la tête de l'homme étant à l'opposé j'étais face à ases pieds, ses jambes et ses fesses recouvertes pour l'instant de la serviette.
La jeune Mai commença par une séance de massage très professionnelle en utilisant une huile parfumée : d'abord le dos, le cou, les bras, chaque doigt, puis chaque jambe et chaque orteil, demandant régulièrement si tout allait bien. Durant ce travail elle ne me regarda pas une fois, concentrée sur ses mouvements.
Puis elle retira la serviette et commença à masser les reins et les fesses.
Assise sur le dos de l'homme elle me faisait face et me regardait en souriant tout en caressant lentement les deux fesses blanches vers le bas puis en remontant à l'intérieur des cuisses et de la raie de plus en plus lentement.
L'homme comprit le message et écarta les cuisses, me donnant une vision parfaite sur sa raie poilue bien ouverte et sur ses deux gros testicules encore pendants mais commençant déjà à remonter.
La caresse de Mai devint de plus en plus sensuelle : ses doigts effleuraient les deux boules et remontaient lentement dans la raie en s'arrêtant et en tournant autour de l'anus. L'homme commençait à respirer plus fort.
Plus elle caressa l'anus empoilé pendant 5 bonnes minutes, jouant avec, introduisant le bout de ses doigts et me sourit en passant sa langue sur les lèvres et en me faisant des doigts d'honneur.
Je bandais tellement dans ma cage que j'en pleurais presque de douleur.
L'homme se mit à gémir, il était à point et elle se fit se retourner et écarter les cuisses.
J'eus alors la vue sur ses organes génitaux.
Les testicules étaient maintenant remontés, formant de belles mandarines au dessus de la raie et de l'anus luisant et palpitant des caresses expertes de Mai.
Le pénis était court mais très large, je dirais peut être 14 ou 15 cm de long pour 5 bons cm de large, mais surtout c'est le gland qui était fantastique.
Violet de désir, il était juste énorme, comme un gros champignon surmontant une hampe pourtant déjà bien large. L'homme était déjà très excité et un filet translucide coulait du large méat à la base du gland et le long de la verge pour venir se perdre dans les poils des deux grosses boules.
La suite au prochain épisode
LeCouple, glider, zztop et 9 autres a liké
#2881881
Partie 3 :
C'est alors que Mai se déshabilla intégralement pour que l'homme puisse lui toucher les seins, les fesses, le sexe... puis se mit en 69 pour qu'il puisse aussi admirer sa fente et sa raie.
Aux bruits, je devinais qu'il lui léchait la vulve ou l'anus, impossible de le dire, pendant que sa bite surtendue tressautait devant le visage de Mai.
Pendant qu'elle poussait des petits cris de plaisir pour satisfaire l'homme, elle commença à lécher l'intérieur des cuisses, puis donna des petits coups de langue de plus en plus précis sur les deux couilles avant de les sucer et de les gober longuement.
A ma grand surprise elle lécha aussi sous les boules et jusqu'à l'anus... je comprenais mieux pourquoi elle avait lavé son client avec tant de soin.
Ce dernier n'en pouvait plus et faisait maintenant les mouvements de l'amour, ondulant du bassin... je me demandais s'il n'allait pas éjaculer spontanément.
Mais non, il teint bon et Mai décida de l'achever en remontant ses lècheries le long de la hampe jusqu'au trou au bout du gland avant d'engouffrer l'énorme champignon violacé tout en poussant doucement un doigt dans l'anus.
C'est en me regardant de nouveau droit dans les yeux qu'elle commença à pomper la queue en l'avalant jusqu'aux couilles tout en massant la prostate, ceci en faisant les bruits de succion les plus bruyants et vulgaires possibles.
J'entendais l'homme lui sucer la vulve comme s'il aspirait un bol de nouilles et assez logiquement il ne put tenir bien longtemps soumis à un tel traitement et à la vision pornographique offerte par les cuisses ouvertes de la jeune femme.
Je vis le périnée se mettre à vibrer et devinais que l'éjaculation commençait, ce qui me fut confirmé par la posture de Mai qui avait avalé à fond mais ne bougeait plus, le laissant se vider à gros jets en grognant comme un porc.
Je devinais 5 ou 6 contractions tout en sentant moi même mon jus couler au travers de la cage et imprégner la serviette sous mes fesses.
Mai était très patiente et appliquée, elle le garda bien embouché à fond tout le temps nécessaire pour qu'il ait bien fini de décharger, en l'aidant par de doux massages au périnée et aux testicules.
Le mouvement de ses joues montrait qu'elle pompait de façon continue et que sans doute sa langue tournait autour de la queue congestionnée par le plaisir.
J'ignore où cette jeune femme avait appris à sucer mais ce fut je crois la démonstration la plus spectaculaire que j'aie jamais vue, uniquement avec la bouche il faut le préciser. Elle ne l'a a aucun moment masturbé pour le faire venir.
Lorsqu'elle le lâcha, l'homme était totalement vide et son sexe flasque retomba, soulagé, entre ses cuisses.
Elle se retourna vers lui pour lui montrer sa bouche pleine et la nécessité de la vider, puis le recouvrit d'une serviette des pieds à la tête pour le laisser se relaxer.
Je m'attendais à ce qu'elle se dirige vers le lavabo pour cracher mais ce ne fut pas du tout le cas puisqu'elle ouvrit la porte de ma petite pièce et s'approcha de moi avec un grand sourire.
La suite au prochain épisode
Masterlaurent, canda, dane et 8 autres a liké
#2883934
Partie 4 :
Mai prenait tout son temps et continuait à me regarder en souriant largement, de toute sa hauteur.
C'est seulement à ce moment que je pu contempler pleinement la beauté de son corps, ses seins lourds et légèrement pendants avec des aréoles roses comme des sucettes, son ventre légèrement bombé, ses cuisses longues et fermes et surtout son pubis généreusement empoilé encore humide des longues lècheries de son client en rut.
Elle vit la tâche sous la cage et comprit instantanément que j'avais juté juste en les regardant, sans même pouvoir me toucher.
Elle me lança alors un regard d'une perversité inouïe et me mit sous le nez le doigt avec lequel elle avait massé la prostate de son client.
Comme un chien de Pavlov, je me mis à sniffer puis à sortir ma langue pour... le lécher puis le sucer.
Je recommençais à bander et à me tortiller sur ma chaise pour gérer la douleur de ma queue coincée et tordue vers le bas par la cage alors que, de son autre main, Mai me pinça sévèrement les couilles.
Son doigt dans la bouche pesa vers le bas, le message était clair et j'ouvris en grand.
Elle colla alors sa bouche à la mienne et me donna l'intégralité de la semence de l'homme qu'elle venait de pomper en me roulant une pelle infernale.
Le mouvement de sa main sur ma gorge était clair et net : je devais avaler ce qu'elle me donnait, et jusqu'à la dernière goutte.
Ce que je fis en coulant une deuxième fois sous moi malgré mes couilles douloureuses.
Cet homme ne devait pas avoir joui depuis longtemps ou être un très bon producteur tant la quantité que je dus déglutir me sembla énorme, mais je me dis que sa semence épaisse avait été allongée par la salive de Mai, ce qui faussait sans doute les sensations.
Satisfaite de mon service, Mai se rinça la bouche avec de l'eau 3 fois de suite et me fit avaler à chaque fois son bain de bouche, puis elle referma la porte et retourna à son client en phase de récupération.
Une fois seul, alors qu'elle poursuivait la relaxation de son client en lui massant la tête, j'eus tout le loisir de réfléchir à ce qu'il venait de se passer.
Ce n'était pas la première fois que j'avalais du sperme. J'ai commencé par le mien quand j'étais ado puis ensuite celui de mon cousin puis plusieurs de mes copains dans ma période homo et enfin une multitude de fois tout frais dans le vagin de mon épouse lorsque son amant est là ou lorsqu'elle revoit son ex à Saïgon.
Autrement dit, j'adore le foutre et j'aime plus encore voir, entendre et sentir les hommes éjaculer surtout dans les femmes, mais jamais je n'ai reçu de dose de cette façon là, dans un contexte aussi érotique et... j'en voulais encore, encore et encore.
A ce moment précis, il était 15 Heures et j'ignorais à quel point j'allais être comblé par mon hôtesse qui aidait son client à se relever.
Ce dernier se rhabilla, l'enlaça et l'embrassa longuement, puis lui paya la somme convenue et ils sortirent tous les deux laissant la pièce vide à l'exception du cocu dans son réduit.
Quelques minutes après arriva l'un des gardiens, le plus gros des deux, un garçon d'une trentaine d'années, muni de draps, serviettes et tout le nécessaire d'entretien pour remettre au propre la salle de travail de Mai.
Ce qu'il fit promptement avec une efficacité remarquable.
Pendant qu'il travaillait je divaguais et pensais à mon épouse peut être en train de se faire monter par son ex, me disant qu'elle m'avait tout de même fait un beau cadeau en m'amenant ici, satisfaisant aux mieux mes goûts dépravés.
Connaissant très bien son ex, je les visualisais tous les deux nus en train de s'embrasser et de jouir lorsque, ne l'ayant pas vu venir, le gardien ouvrit la porte du réduit.
Il me détacha en me parlant sans que comprenne ce qu'il disait et m'invita à me lever et à me rendre aux toilettes pour me rafraichir au besoin.
Je ne savais comment le remercier de cette attention et il me ramena après mes ablutions dans le réduis où il me réinstalla de façon confortable pour la suite des évènements.
Je remarquais qu'il avait un beau visage et qu'il portait un petit anneau à l'oreille gauche. Lorsqu'il se releva je ne pus que bien voir la bosse asymétrique dans son pantalon et il quitta la salle sans un mot mais en me faisant un petit clin d'œil et surtout en laissant la porte grande ouverte.
C'est à ce moment que je m'aperçus qu'il avait abaissé le dossier de ma chaise et que j'étais maintenant dans une position quasi allongée quoique gardant la tête suffisamment relevée pour toujours bien voir la table de massage.
La suite au prochain épisode
dane, Wysiwyg, Dionysos06 et 6 autres a liké
#2885074
Partie 5 :
Le baiser à la crème de boules qui m'avait été offert par Mai tournait encore dans ma gorge et je dégustais les arôme subtils du foutre de son client en réfléchissant à ce moment intense que je venais de vivre, lorsque j'entendis des gens entrer dans la salle de massage.
Bien que n'étant pas des plus pudiques, j'étais tout de même totalement exposé et sans défense puisque la porte était grande ouverte et que, bon, j'étais attaché et nu comme un ver à l'exception de la cage de chasteté qui emprisonnait ma verge, si toutefois on peut assimiler cela à un quelconque vêtement.
Aux discussions, aux rires et aux voix, j'en déduisis que 4 personnes rentraient en ce moment dans la pièce et que l'une d'entre elles était sans aucun doute ma délicieuse épouse Anne, ce qui me fut confirmé lorsqu'elle apparut sans mon champ de vision bras dessus bras dessous avec Mai, face à la porte de mon petit réduit.
Deux hommes les rejoignirent enfin, l'un que je connaissais également fort bien puisqu'il s'agissait de Kim, son ex mari, l'autre étant manifestement l'un de ses copains moins âgé, la quarantaine je dirais, mais étonnamment costaud pour un vietnamien.
Tout le monde riait à gorge déployée en me regardant et mon épouse me fit la traduction : "Mon chéri, Kim et Hoang veulent savoir si tu as apprécié le cadeau de Mai. Est ce que tu as bien tout avalé mon cœur ? "
Je répondis "Oui chérie, c'était tellement inattendu et délicieux, si tu savais. En plus j'ai vu l'homme se faire pomper à fond par Mai avant qu'elle me donne tout, c'était magnifique"
Anne : "J'en étais sûr, mais tu sais chéri, nous allons t'en donner encore un peu tu vas voir"
Et il ne fallut que cette phrase pour que les 2 couples commencent à s'embrasser et à se déshabiller mutuellement.
Tout le monde fut intégralement nu en quelques instants.
Je connaissais déjà fort bien le corps d'Anne et Kim évidemment, et ce dernier, quel beau salaud, avait la queue bien tendue et le gland enflé et humide au dessus de ses deux lourdes glandes, encore semi pendantes entre ses cuisses musclées.
Mais je découvrais le corps de Hoang, très inhabituel voire atypique.
Pour un vietnamien, il était vraiment grand et gros avec des cuisses et un cul énormes mais un pénis et des testicules tout petits sans le moindre poil. Peut être était ce le contraste avec le reste de son corps mais vraiment ce petit zizi tout calotté et ses deux petites bourses étaient plus celles d'un enfant que d'un adulte, ce qui ne l'empêchait pas ceci dit de bander dur tout en restant bien calotté.
Il avait également tout comme moi deux petits seins bien marqués avec des gros tétons que Mai était d'ailleurs en train de caresser et pincer doucement, faisant bander plus encore son zizi de petit garçon qui commençait à mouiller au bout.
Mai abandonna Hoang et disposa deux tabourets de chaque côté de la chaise où j'étais allongé dans le but de me faire participer à leurs ébats à sa façon.
A l'assurance de ses gestes, je déduisis que ce n'était pas son coup d'essai et qu'elle avait déjà géré ce genre de scène en mode partouze avec un cocu soumis aux désirs de sa femme.
C'est donc en riant et en plaisant avec la fine équipe qu'elle m'enjamba et se mit accroupie au dessus de mon visage, m'offrant ainsi son entre cuisse largement écarté à admirer et à lécher, ce que je me mis à faire dès quelle fut au contact, la parcourant du pubis à l'anus en faisant le plus de bruit possible.
Sa vulve empoilée était gonflée de plaisir et sentait la femme.
Elle mouillait comme une folle et respirait de plus en plus fort.
Elle déplaçait son bassin en fonction de son désir et cela dura bien 5 minutes avant que son cul n'écrase ma gueule de cocu en se contractant. Elle jouissait et me remplissait la bouche de petits jets de fluides odorants pendant que je faisais des bruits de gorge d'une vulgarité inouïe.
Hoang l'aida à se relever, tant la jouissance lui avait cassé les jambes. Pour ma part je devais avoir le visage ravagé mais je m'en foutais vu ma bite tendue à l'envers dans la cage me faisait terriblement souffrir.
Et, à ma grande surprise, ce fut Hoang qui prit sa place et écarta son énorme entrejambe au dessus de moi pendant que je devinais mon épouse et Kim commençant à faire l'amour sur la table de massage.
C'était un spectacle d'une pornographie insupportable, à la limite des capacités humaines.
J'avais au dessus de moi la petite verge calottée et les couilles épilées ainsi que l'énorme raie poilue de Hoang qui s'apprêtait à se frotter sur mon visage.
En relevant les yeux, je voyais Mai par en dessous, qui lui massait et pinçait les tétons de plus en plus fort en lui roulant des gros palots.
En abaissant mon regard je voyais sous l'horizon du cul de Hoang celui de Kim qui montait et descendait pour bien pistonner sa queue dans le vagin de mon épouse dont il tenait les jambes écartelées au maximum sur la table de massage.
Plus que ça, je crois bien qu'il lui aurait déboité les hanches.
Kim faisait les mouvements de l'amour avec le plus d'amplitude possible, faisant péter le vagin d'Anne en lui fouettant la raie de ses grosses couilles.
Elle en redemandait encore et encore en pleurant presque, perdant le contrôle lentement mais surement.
Ce vieux dégueulasse de Kim tapait dans le fond de ma femme, de ma chérie, de mon épouse et je ne pouvais strictement rien faire d'autre qu'entendre et regarder.
Hoang se baissa et m'écrasa le visage, me forçant à lécher son anus bien gras et joufflu, puis se décala vers le bas et commença à me baiser la bouche en me rentrant intégralement son pénis et ses couilles pendant que Kim et Anne gémissaient de plus en plus fort.
Je n'en pouvais plus et éjaculais une troisième fois dans ma cage de cuck en râlant comme une truie en chaleur.
Mai ne perdit pas de temps et utilisa le jus clair qui coulait lamentablement de ma queue sur le scrotum vide pour s'en lubrifier les doigts et en introduire deux dans l'anus de Hoang qui me baisait la gorge de plus belle.
Ce dernier, qui semblait aussi avoir une tendance homo salope, se mit à couiner.
Il avait sans doute l'habitude de se faire masser la prostate tout en se faisant sucer par de bonnes pédales soumises et du coup, c'était pour lui jour de fête.
Dès qu'il sortait son petit paquet tout raide de ma bouche, je miaulais comme une chatte jusqu'à ce qu'il me refourre à fond et me tape dedans comme il aurait baisé le cul d'une pute de chantier.
Dans ma bouche dégoulinante de salive, je sentis d'abord ses boules disparaître, puis sa quéquette se décalotter d'un coup libérant les saveurs et le smegma de son petit gland pour finir par se mettre à vibrer comme un diapason.
Je reçu alors une quantité invraisemblable de sauce en 7 ou 8 longs jets que je n'eus d'autre choix qu'avaler bruyamment pour que tout le monde sache bien ce qu'il se passait.
Le mec avait peut être un micro zizi et des petites boules, ce qui était toutefois beaucoup mieux qu'une queue d'eunuque comme la mienne, mais il éjaculait pourtant comme un étalon sous testostérone.
Et manifestement, il ne prenait jamais la peine de se décalotter, préférant se faire reluire par des morues dans mon genre.
Hoang se dégagea de ma bouche pleine pendant que Mai sortait ses doigts de son cul pour que je puisse le lécher à fond, rentrant ma langue dans son anus et suçant alternativement ses doigts comme si j'étais un drogué du cul, ce qui était purement et simplement la réalité.
J'avais maintenant 2 décharges de spermatozoïdes dans le ventre.
De semi homme, j'étais devenu une outre à sperme, un sac à foutre, une morue à la crème et au fromage.
Mais le feu d'artifice n'était pas terminé. Manquait encore le bouquet final.
Le fin au prochain épisode...
#2886476
Partie 6 et fin :
S'étant bien fait récurer la raie, la bite et la vulve par une langue servile, Hoang et Mai me relevèrent la tête pour que j'assiste à l'accouplement de Kim et de mon épouse.
Bien sûr je les avais souvent vu faire l'amour en ressentant ce mélange exquis de désir, de soumission et de jalousie que seuls les cocus expérimentés connaissent et apprécient.
Mais là c'était sublime, d'autant que nous étions 5 dans une ambiance d'orgie déjà bien avancée. Toute la salle sentait le stupre, le cul, le foutre et la transpiration, pire qu'un bordel de marché londonien au XIXème siècle.
Kim pilonnait Anne comme une machine en se foutant totalement de tout le reste.
Je les entendais se rouler des pelles pendant que ce vieux dégueulasse sautait mon épouse sous les yeux son propre mari.
Sa verge nue allait et venait sans la moindre retenue dans le vagin conjugal en y provoquant des petits pets liquides.
Il la clouait littéralement sur la table de massage en lui tenant les cuisses ouvertes au maximum de ses bras puissants, ramenant ses mains sous ses fesses pour les ouvrir comme un gros abricot bien mur et lui fouiller l'anus du bout des doigts, la faisant ronronner comme une chatte en chaleur.
Ses grosses boules pendantes étaient maintenant remontées au point d'avoir presque totalement disparu, la hampe épaisse, veinée et surtendue coulissait sur toute sa longueur, faisant presque ressortir du con un gland congestionné devenu aussi difforme qu'un champignon.
C'était d'une régularité hypnotique et on pouvait se demander qui baisait qui.
N'était ce pas plutôt ma douce femme qui aspirait la queue de Kim plutôt que Kim qui l'enfilait ?
Chaque détail même le plus futile se gravait de façon indélébile dans ma mémoire.
Kim transpirait abondamment du dos et des fesses; chaque poil était le siège d'une goutte brillante de sueur et sa raie luisait comme un petit ruisseau insalubre, son anus rose marbré de brun se contractant et se dilatant au rythme de ses puissants coups de reins dans le ventre de ma femme.
La sueur dégoulinait de sa raie pour finir par couler le long de sa queue et goutter dans le cul d'Anne après s'être mélangée aux sécrétions intimes extraites par son piston.
Mai et Hoang me détachèrent alors que j'étais incapable de parler, la langue sortie en émettant des bruits de succion.
J'étais comme une bête, je ne maîtrisais plus rien, mon cerveau ne traitait plus que des éclairs d'informations constitués de culs, de bites, de vagins, de foutre...
Je pu enfin m'approcher et ce fut Mai qui me poussa la tête droit dans... la raie de Kim.
Je léchais ainsi la raie et l'anus de l'ordure qui sautait ma femme, j'aspirai la sueur de son cul et ses parfums intimes puissants, je léchais ses boules rétractées et le membre qui montait et descendait dans le jardin sacré de mon épouse, je léchais l'anus d'Anne luisant de la sueur de son amant, quelle honte absolue.
Le cul de Kim me tapait littéralement dans la gueule à chaque coup de pine jusqu'à ce qu'il commence à ralentir, encore et encore pour se mettre à vibrer de jouissance en grognant, calé tout au fond du vagin de ma petite femme, le gland collé à son col de l'utérus, la remplissant comme jamais je n'aurais pu le faire, même en rêve.
Sous le regard subjugué de Hoang et Mai, je rentrais le bout de ma langue dans l'anus de l'homme pour sentir chaque contraction de sa prostate, chaque jet de foutre déchargé dans le corps de mon épouse.
Le gout amer de la rondelle du vieux salaud me submergea les sens pour s'imprimer comme une claque dans mon cerveau proche du court-circuit.
Ce n'était plus seulement l'accouplement d'un homme et d'une femme, c'était une fécondation en bonne et due forme.
Et je restais comme ça, parfaitement à ma place de roi des cucks, attendant leur bon vouloir, attendant que Kim ait fini d'éjaculer, attendant qu'il déconne, attendant le cadeau tant espéré, ma langue écrasée par les pulsations du cul du mâle en rut qui finirent pas s'espacer puis par cesser.
Kim une fois comblé se détendit et son cul s'ouvrit alors comme par magie permettant à ma langue de s'enfoncer au plus profond de mes possibilités dans sa grotte sous le regard interdit de Mai qui n'avait jamais vu ça malgré son expérience.
Je n'oublierai jamais ce qu'elle répéta alors en boucle : "What a bastard, he sucks his shit hole. I've never seen that. Never "
La langue plantée dans le cul de l'homme qui venait de féconder ma femme, mon nez collé dans la raie poilue et dégoulinante, j'avais honte de moi une fois encore.
Au bout de quelques minutes pendant lesquelles ils s'embrassaient et se disaient des mots d'amour, Kim se recontracta et m'expulsa de son cul puis se retira du sexe d'Anne non sans lui avoir remonté les jambes au maximum sachant trop bien ce que j'attendais.
Un fil épais s'étira entre le gland pourpre et le con distendu puis se détacha du bout de la queue du vieux salaud pour s'étendre bien au travers de mon visage.
La fente de ma femme était rose, presque rouge d'avoir été si bien défoncée et... j'ai de la peine à le dire... elle baillait et débordait de semence, la décharge épaisse commençant même à glisser du bas de la vulve vers l'anus.
Je n'en perdis pas une goutte et commençait à laper du cul au con pendant que Kim filmait afin d'immortaliser le moment et que ma femme m'encourageait en me caressant tendrement la tête.
Nettement moins tendre, Mai se mit à me claquer les fesses de toutes ses forces en criant en anglais "lick it bitch, swallow the milk now"
La douleur de cette fessée extrêmement brutale et imprévue me fit pleurer pendant que j'observais la purée épaisse, odorante et grumeleuse, comme un riz au lait, affleurant au calice sacré de ma belle épouse.
Les coups de Mai redoublaient et mes larmes se mélangèrent au foutre de Kim engluant la vulve empoilée de l'amour de ma vie.
Cette fois Mai hurla "SWALLOW BITCH" et c'est à coups de badine qu'elle me cingla le cul jusqu'au sang, jusqu'à ce que je bouffe la chatte glaireuse.
Alors je me collais à la vulve et pompais tout ce que je pouvais mais ça ne permettait pas de bien vider le vagin d'Anne, rempli de laitance comme une huitre trop grasse.
Mai me fit m'allonger au sol à coups de badines et de cris hystériques.
Alors Hoang, le plus costaud, souleva mon épouse sous les bras pendant que Kim et Mai lui prenaient chacun une cuisse pour l'asseoir, totalement écartelée, sur ma bouche ouverte.
Ce qui me permit de recevoir encore une bonne dose de jute, nettoyant cette fois mon épouse de tout ce que Kim y avait déversé au plus profond.
Quoiqu'une petite part de lui continuerait à vivre encore plusieurs jours dans son corps, au delà du col de l'utérus, me rappelant bien qui possédait vraiment mon épouse et qui marquait ainsi son territoire jour après jour.
Lorsque Kim jutait dans ma femme, il y injectait sa semence fertile, ses spermatozoïdes, son ADN, lui même, ce qui marquait une différence de taille avec le jus clair et stérile du cocu de service qui en outre n'avait de toute façon aucun droit à la pénétration de l'épouse vénérée.
Mes pathétiques coulées d'eunuque étaient aujourd'hui plus proches de l'eau salée que du sperme épais produit par un vrai homme, il fallait bien l'admettre.
Je tentais de me remettre de mes émotions lorsqu'Anne fit une chose à laquelle je ne m'attendais pas et qui fut sans doute involontaire de sa part vu la position dans laquelle elle était, associée à la fatigue accumulée durant nos ébats.
Elle se mit à pisser à petits jets dans ma bouche ouverte et là, ce fut le signal libérateur, le bouquet des bouquets, puisque tout le monde se mit à pisser moi y compris, inondant la salle heureusement équipée d'écoulements adaptés à ce genre de situation.
Kim et Hoang tenaient maintenant mes cuisses écartées et pissaient sur ma queue encagée et dans ma raie, montrant leur statut dominant par rapport au mien.
Anne et Mai, bien plus perverses, visaient le visage et la bouche.
Mai reprit la badine et se déchaina. Elle se mit à me fouetter l'intérieur des cuisses, la queue encagée, le sac vide, puis les tétons avec une telle violence que je manquais de m'évanouir sous son regard narquois et vicieux.
Les coups les plus durs me furent portés à la raie et au trou du cul, me faisant couiner et me tordre comme un ver, tant de plaisir que de douleur, les ultimes jets dorés arrosant chaque blessure sanglante.
Les zébrures me cuisaient comme du feu alimenté par le sel .
Mai me crachait au visage comme une chatte enragée et finit par se baisser et frotter ma face ravagée avec son cul dans un dernier orgasme qui la laissa tétanisée.
Nous nous écroulâmes tous là, épuisés de jouissance, et il nous fallut presque une heure pour nous relever enfin et nous diriger en titubant vers une douche aussi nécessaire que méritée, dans la joie, les rires et le plaisir de ce moment passé ensembles.
Comme pour se rattraper de sa cruauté, ce fut Mai qui m'enduisit le cul, les cuisses et les tétons d'un baume cicatrisant pour apaiser la douleur des coups.
Elle était redevenue douce et nul n'aurait pu imaginer le démon qui se cachait en elle.
Elle pris même le temps de me sortir de la cage, avec l'autorisation de mon épouse qui en détenait de toute façon la clé, pour bien nettoyer mon zizi et mon scrotum tuméfiés avant d'y appliquer ce même baume magique.
La folie du plaisir passé, j'avais si mal que ma queue resta molle malgré toutes ses attentions et il fut ainsi d'autant plus facile de la remettre en cage et de refixer le verrou et le piercing qui en garantissait le maintien.
La soirée se termina au restaurant où j'invitais tout le monde pour remercier comme il se doit cette fine équipe.
J'avoue que c'est avec regret que je bus la première bière en apéritif, celle ci effaçant une bonne partie des arômes que j'avais gardé en chemin dans ma bouche, sur ma langue, dans mon estomac.
Le plus présent d'entre eux était le goût du foutre des 3 hommes et plus particulièrement celui de Hoang qui m'avait servi en direct.
Mais il y avait aussi la saveur de la vulve des femmes, du cul des hommes, de leur sueur, de leurs fluides... c'était enivrant et le flot de bière vint malheureusement disperser ces effluves tout en m'aidant à digérer les 3 doses de laitance au fond de mon ventre.
Il me restait toutefois le souvenir cuisant des coups de badines distribués par Mai qui rendit la position assise des plus inconfortables pendant plusieurs jours.
Kim et Anne ne manquèrent pas de s'embrasser amoureusement pendant le repas, provoquant des regards curieux et des sourires parmi serveurs et clients.
Mai et Hoang quant à eux riaient aux éclats et se passaient des mains complices pendant que je servais mets et vins fins.
Mais qui était donc cet homme étrange qui invitait 2 couples amoureux, tout en semblant à leur service.
Un majordome, un ami de passage, un cousin éloigné, un fan un peu excessif ?
Qui donc pouvait imaginer qu'il s'agissait d'un eunuque candauliste venant de passer le deuxième moment le plus extrême de son existence et qui bandait douloureusement dans sa cage de cuck tout en se tortillant sur son cul de salope zébré a coups de badine ?
Qui pouvait se douter que la belle femme à sa droite était la sienne et non celle de l'homme qui lui caressait ostensiblement l'intérieur des cuisses et la culotte ?
Qui aurait pu croire que cette langue experte dégustant un délicieux vin rouge lapait il y a peu de temps le cul de chacun des convives présents jusqu'à même venir se planter dans celui des quatre qui avait déboité le vagin de sa magnifique épouse à cru ?
Quoi que ces gens puissent imaginer, même les plus tordus d'entre eux, ils étaient bien loin d'un début de vérité.
Et c'est ainsi que nous rentrâmes tous nous reposer de cette journée extraordinaire, passant l'une de meilleures nuits depuis longtemps pour recharger nos énergies et, nos réserves de foutre, du moins pour les deux en mesure de le faire
Demain serait un autre jour ! :qs:
zztop a liké

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