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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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#2815808
legroscochon a écrit :@olibertino10
Votre rupture est liée à ses rencontres extra conjugales ?
Tu vas avoir du mal à retrouver une femme pareille...

Non notre rupture n’était en rien liée aux rencontres libertines, d’ailleurs même séparés elle envisagerait de que l’on revoit notre dernier complice pour qu’on s’amuse.

Sans parler d’elle et avec tout l’amour que j’ai encore pour elle, oui je ne vais pas trouver pareille mais c’est peut-être mieux ainsi. Je trouverai une femme différente mais je ne sais pas à quel point si c’est difficile de trouver des femmes qui acceptent ce fantasme. J’ai l’impression que ça l’est mais bon.
#2844457
chatoune83 a écrit :J'ai répondu en 2013
10 ans plus tard c'est plus de 200 mecs de plus qui ont sauté Chatoune.
Soit prét de 500 en 20 ans.
Blanc, Black et beaucoup d'arabes les dernières années.
Des vieux, comme des jeunes.

Maintenant à plus de 60 ans, elle a fait le tour de la question et elle s'est calmée.
Pendant 20 ans ça a été une chatte publique.


C'est juste impressionnant ;)
Dionysos06 a liké
#2915650
Son max en un fois c est 6

Son max en une soirée c est 12 mecs qui l ont sautee. Mais a cela il faut compter plusieurs hommes en plus qu’elle a sucés (combien ? Je ne sais pas 10 peut être qu elle a sucé quand elle se faisait sauter mais qui n’ont pas eu la chance de l enfiler).

Après cela reste exceptionnel. Elle fonctionne par cycles. Gourmande, voire ultra gourmande puis plus rien pendant plusieurs mois voir des années. Lors d un de ses pics précédents, en l espace de seulement 4 mois, elle s est faite sauter par 29 mecs et dans la même période elle en a suce 50, souvent jusqu au bout.

Au total, sur une période de 17 ans, elle a eu des relations sexuelles devant 550 personnes hommes surtout (dont certains ont participé ; environ 240 mecs ont eu l’opportunité de lui caresser ou de lui doigter la chatte).

Ses relations, elles les a eues avec 166 mecs (la cinquantaine non comptabilisée était juste des mecs opportunistes qui lui ont furtivement passé une main dans l entre-cuisse). Elle a aussi joué avec 32 filles, en étant autant active, que passive (voir sa femme faire un 69 avec une fille…. Mmmh quel délice !).

Elle a sucé 150 mecs et en a branle 125. Elle s’est faite lécher par 85 hommes et s’est faite sauter par environ 90 mecs. 2 seulement l’ont sodomise à ma connaissance. 1 mec sur 3 arrive à la faire jouir (les autres manquent de temps en général).

Bon voilà. Vous avez presque le mode d’emploi.

Pensez à nous contacter en MP.

:D
#2915668
Ce que lors d'une soirée trioliste ma femme a encaissé :
Total par chaque mâle de baises et elle de jouir
‘’avec son amant 9 baises où elle a joui108 fois’’
‘’avec Moi 11 baises où elle a joui 136 fois’’
Donc au total Baisée 20 fois elle a joui 144 fois

J'en ai fait un récit complet mais que je ne sais pas joindre ici ?
Ranxetrox a liké
#2915687
En rentrant du travail vers dix sept heures trente Béa va directement bécoter Jean-François sur la bouche.
- Comment vous voulez que je sois ce soir ?
En blanc ?
En noir parce que c’est l’hiver ?
Ou bien en rouge ?
Ce sont pratiquement ses seules paroles.
Lui, qui vient chez nous baiser sa pute, est là depuis environ une demi-heure.
Elle, la salope qui rentre aujourd’hui plus tôt chez elle, arrive pour se faire sauter par ses deux hommes.
Ma complaisance est totale et pour elle comme pour lui cette situation est une aubaine.
Néanmoins ma femme et son amant font cela de belle façon : ils combinent le coup puis le mec, comme si de rien n’était, m’appelle pour sois disant s’entendre avec moi pour venir baiser ma femme.
Après quoi je boucle en rappelant notre femelle qui me dit :
- Ah oui. Tu l’as eu. Je l’ai renvoyé vers toi. Il en a envie tu sais. Vous vous êtes entendus ?
Ce n’est bien souvent que pur formalisme mais elle y tient car par là elle s’assure à la fois que j’accepte et sois d’accord pour la prêter à l’autre et que d’autre part nous serons tous les deux pour la baiser en même temps comme elle en raffole.
- A un c’est pas pareil. J’ai pas mon compte.
N’hésite-t-elle pas à me répéter seule à seul.
C’est en effet une femme à quéquette, pour ne pas dire une sacrée salope, qui n’a pas trop de nous deux pour la satisfaire.
L’un comme l’autre nous la remplissons de toutes nos saillies car la femme du mec n’en veut plus du tout depuis longtemps et il fut, par là même, facile à ma femme de l’attirer entre ses cuisses.
De plus nous sommes très disponibles puisque lui et moi ne travaillons plus.
Cependant il cache sa liaison et la semaine dernière nous avons loupé une baise parce qu’il ne s’y est pris que dans la matinée et qu’il n’a pas réussit à me joindre malgré sept appels m’a dit notre femme.
- Il avait pourtant envie et je crois qu’il avait tout son temps ce soir. Maintenant ça reporte à la semaine prochaine.
Me dit-elle dépitée en rentrant.
On se doute qu’elle soit déçue car dans ce domaine elle aime le travail à la chaîne et à répétition.
Mais bon, si pour elle il reste toujours le service routinier, pour lui c’est pire car c’est dur de se retrouver sans ventre pour lâcher son foutre quand on a Béa toujours prête à écarter les cuisses.
Ce loupé eut son effet car dès le lundi matin lui et moi nous nous accordions pour le lendemain, le mardi soir, ce mardi soir.
Comme d’habitude, avant de s’offrir à un autre, elle est tout de suite partie se
laver le cul.
Elle ressort de la salle de bain en petite tenue avec une des parures offertes par B.S., la blanche : soutien gorge, porte jarretelle et culotte de chez Simone Pérèle et les bas beiges de chez Wolford.
Une des petites fortunes pour son cul dont son précédent amant la gratifiait.
Elle chausse ses talons reptiles de chez Bally Suisse achetés avec moi pour faire la pute.
Nous sommes veinards car elle réunit en elle à la fois la pute de la rue St Denis et la fine bourgeoise. C’est une bonne salope BCBG que nous nous tapons.
A quarante huit ans, très bien conservée, passée par plusieurs bites c’est maintenant une expérimentée que j’ai pourtant connue pucelle.
Avec ses cinquante deux kilos, quatre vingt dix de tour de poitrine pour un mètre soixante quatre, très brune, pas un poil blanc apparent tant à la tête qu’à la chatte c’est vraiment un beau petit lot pour le lit.
Nous la poussons au champagne puisqu’en boire l’excite.
- C’est une idée ou quoi. On dirait qu’elle a pris de la poitrine.
- C’est le soutien-gorge qui fait ça.
Réplique-t-elle à Jean-François.
- Ah oui on dirait que…
Nul doute qu’il pense à une grossesse de sa pute.
Lui aussi en rêve de la voir en cloque.
En fait elle porte la première parure, bas compris, offerts par B.S., son ex, il y a exactement quatre ans et le soutien gorge n’était déjà pas trop grand … Les asiatiques sont habitués aux petites poitrines.
Si Jean-François s’intéresse aux seins qui ressortent des balconnets du soutien-gorge moi c’est au cul d’autant que c’est bien la région la plus érogène et active de Béa.
Vicieusement assise de travers sur le lit son beau petit cul tourné vers moi m’obnubile. Je n’ai d’yeux que pour l’éclatante bande blanche de son fond de culotte satiné.
Son porte jarretelle aussi, en lui moulant bien son ventre bombé, a quelque chose de vicieux.
Je rêve maintenant qu’elle soit mise enceinte alors que je me semble l’en avoir dissuadée lorsqu’elle a commencé à coucher.
C’était avec Michel :
- Veux-tu que je sois aussi mise enceinte ?
M’avait-elle demandé. Pressée aussi par lui je crois
Si d’entrée elle n’a jamais fait mettre de préservatif à ses partenaires c’est son choix délibéré et non pas ma demande.
Enfin je trouve maintenant qu’hélas, pour cela, elle n’oublie pas assez souvent de prendre sa pilule.
Elle, à côté de cela, rêve de la ménopause pour gagner quelques jours par mois de disponibilité pour baiser avec Jean-François.
Moi je la baise depuis toujours pendant ses règles, pas les autres.
Lorsque des vacances sont prévues avec Jean-François elle fait sauter ses règles en prenant sa pilule sans discontinuer.
Le champagne et les petits gâteaux c’est pour se mettre en conditions.
Jean-François a aussi amené une boite de caviar mais ce sera pour après : ce sera la récompense.
- Alors si je veux du caviar y faut que …
- Ah y faut que … que tu te laisses aller.
L’amant veut le festin alors la servante va mettre le couvert ...
- Je vais enlever mes chaussures. J’ai peur de vous faire mal.
Alors j’ai mes seins qui ont grossi ? C’est le rêve de ma vie ça.
Elle s’allonge, nous la caressons, elle gémit tout de suite :
- Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm …ça me gêne ce truc là.
- Ah oui
- Hein !
Retirant et jetant sa culotte la servante présente donc le plat.
- Humm … Humm … Qui c’est qui vient le premier ? Le p’tit gros ou le … grand maigre ? Ah y sont grands tous les deux. Le grand gros ou le … le grand maigre ?
En écartant les cuisses elle confirme l’invite.
C’est le gros, Jean-François, cent dix kilos, qui se met le premier en position :
- y’a d’quoi qu’il est plus gros qu’Alain, hein … même dans le brouillard …
Il pousse sa grosse bite sur la fente de notre femme.
- Va doucement.
Lui dit-elle
- T’as pas pris la …
Sous-entendu la crème lubrifiante me demande t-elle.
- y’en a là si tu veux ?
- Attends ben je vais voir … comment monsieur se porte aujourd’hui …
Et je peux dire qu’il se porte bien. Il a vraiment encore une grosse bite aujourd’hui, décalottée et toute sèche.
- Ben pt’être. Parce que si on a plusieurs séances … Tu vois ce que j’veux dire. Pépé.
Je tends une goutte de gel lubrifiant à Jean-François :
- tiens
Il s’en badigeonne le gland.
- pépé
Ajoute-t-elle.
Il se repositionne sur ma femme.
- voilà, ça passe tellement mieux comme ça … c’est pas la peine d’être irritée pour autant.
Et pénétrée d’un seul coup Jean-François la tringle, vite, vigoureusement.
- Humm … Humm … Humm … Humm … Haaaa …
Ah t’es brutal là…
Humm … Haaaa … Humm … Hée … Hée …
- Hooo … Hée …
Gémit-il
A son tour en lui lâchant certainement son foutre.
Elle apprécie la prestation :
- Humm … Humm …
- Ah ben dis donc. On voit qu’il bosse plus le mec. Il est en forme.
Sur une bonne quarantaine de fois qu’il lui a tamponné l’entre cuisse il lui a surtout collé une vingtaine d’introductions très puissantes qui ont fait craquer le lit.
Je passe sur ma femme dès qu’il s’en retire.
- Haaa …
Crie t’elle aussitôt.
- Toi aussi t’es en forme
Je lui dis en la baisant.
- Chez moi tout est en forme. Tu savais pas ?
Réplique-t-elle en riant.
- C’est que vous avez bien bandé
Et elle continue à jouir :
- Humm … Vas-y bon dieu … Haa … Haa … Hum …
Moi aussi je ponctue à chaque défonce :
- Humm … Humm … Humm …
Je me retire et elle souffle un peu mais tout de suite Jean-François revient dessus la re pénétrer :
- Débandes pas. Fais attention. Hein.
Me dit-elle essoufflée pendant qu’il commence à s’activer en elle.
C’est rapide et très puissant. Craquements de lit entrecoupés de gémissements :
- Humm … Humm … Humm … Haa …
Une soixantaine de coups et, épuisé, à court de souffle il marque un temps d’arrêt.
Elle pouffe de rire et lui claque les fesses :
- Ha tu viens mais t’irais où pépé ? Hée reste pas là hein.
En riant et ajoutant t-elle une invite :
- y’en a un qu’attends !
Et elle le vire pour que je revienne la tringler.
- Ah c’est pas si bien que tout à l’heure. Y fatiguent les pépés hein …
Le deuxième coup c’est moins …
- Ça m’a pas fait le même effet.
- ben y faut…
Lui dit-il.
Mais :
- C’est tout mou là.
Dit-elle en riant et tâtant la bite de Jean-François.
- Faut quand même avoir la santé pour entendre tes conneries et arriver à te baiser.
Réplique-t-il.
- Ça l’a complètement déconcentré.
Ben écoute. Faut faire semblant ? Moi je fais pas semblant.
Clame-t-elle.
Tout à l’heure, inactif dans le trou de sa pute, il reprenait son souffle mais celle là ne l’entendait pas ainsi et elle l’a viré pour se taper son autre queue.
- T’es bien une pute. C’est ça une pute
Et elle rit que je la traite de pute.
- Faut faire semblant ?
Et elle fait mine de simuler ces gémissements de films pornos.
C’est bien sûr la pause et maintenant elle a droit à son caviar. Elle l’a bien gagné maintenant que son cul est plein de foutre.
Comme il lui en ressort de la fente et qu’elle a la jambe repliée elle s’en met sur le bas.
Elle s’enfile toujours du champagne et nous nous tentons quelques caresses.
- Ah non non c’est le plateau d’une part, la baise d’autre part mais pas les deux ensembles parce que j’ai pas envie de changer les draps et tout le bordel hein.
Mais elle fait tout débarrasser du lit pour que l’on remette cela :
- Comment on baise ? On va voir si y’en a un qui rattrape l’autre
Et pour cela elle nous tâte les bites.
- Ah dis donc c’est pas comme tout à l’heure. T’étais, vous étiez, plus en forme.
- Ça tient à peu de choses…
Dit Jean-François.
- Ah bon… ça peut venir d’un seul coup ? Ah oui !
Mais si vous bandez pas mieux que ça on peut pas faire autrement … autrement que je sois couchée.
On pourrait faire autrement si vous étiez plus bandants.
- Ah ben attends
Dit Jean-François.
- Ah ! Mais moi je suis pressée merde. Moi à mon âge faut que ça aille vite hein. Moi je suis pas à la retraite hein. Moi je peux encore vite fait bien fait, moi, dans mon boulot.
En astiquant et en se concentrant sur la bite de Jean-François qui est étendu sur le dos elle réussit à le faire rebander.
- Ah ben tu veux monter ? Tu veux monter dessus ?
Lui propose-t-il.
- Uuu…
- Eh ben monte dessus.
- Ah ! On va pas toujours faire pareil quand même !
Et satisfaite de varier les plaisirs elle grimpe à califourchon dessus et s’enfile la bite qu’elle vient de se câliner et raviver.
- Humm …
Qu’est ce tu fais derrière ?
Tu viens ?
Elle me réclame et demande que par derrière je vienne aussi dans sa chatte :
- Je te sens pas derrière !
T’es dedans ?
Ben je sens rien !
Humm…
Je suis pourtant rentré à côté de Jean-François et nos bites se touchent dans le con de notre femme.
- Humm… Allez merde faites pas semblant les mecs
Crie-t-elle.
- Humm… Non t’en vas pas… Hée… Hée… Humm…
Là elle a bien senti que ma bite lui était sortie du con.
Je la lui positionne dans la raie, sur son petit trou.
- Ah voilà comme ça, c’est bon même si ça va pas plus loin c’est bon.
Hée… Hée… Hée… Humm… Haa… Humm… Humm…
Je pointe là, ce petit trou, où pourtant elle n’a plus jusque là voulu se faire mettre par moi après une seule et unique fois.
- T’en va pas. Pourquoi tu t’en vas ?
- J’peux pas partir ricane Jean-François essoufflé
- C’est pas toi.
Et en effet lui par dessous a la bite bien emprisonnée dans le con de Béa
- Humm…
A ma grande surprise je crois bien que la voilà qui s’éveille par là et la prochaine fois avec un peu de lubrifiant et de douceur j’irai plus loin dans son trou du cul pour qu’après son mec l’encule à son tour avec sa grosse bite.
Nous sommes l’un et l’autre bien montés alors il faut des précautions.
- Humm … Humm … Humm …
Ah j’ai envie d’autre chose !
Et elle se dégage très vite, s’installe sur le dos cuisses écartées.
L’étonnement de Jean-François la fait s’interroger :
- T’as pas été jusqu’au bout ?
- Moi ? Ah j’ai fait un aller et retour.
- Ça veut dire quoi ça ? Oui ou pas ?
- Ben oui j’ai été au bout.
- C’est bien ce qui me semblait mais t’avais l’air de …
- J’voulais jouer les prolongations …
Elle s’était retirée dès qu’elle avait senti qu’il lui avait jouit dedans.
Non pas qu’elle le fasse ‘’sauter du train en marche’’ car elle aime que nous
jutions toujours en elle.
En trois ans elle a peut être été deux ou trois fois fécondée mais à son âge ça ne s’accroche pas et ça s’en va avec une petite hémorragie insignifiante.
C’est moi qui maintenant est grimpé dessus et la baise.
- Humm … Humm … Hée … Haa …
- Humm … Humm …
Je gémis moi-même.
- Humm … Ah c’est à retardement. Ça me fait de l’effet après coup.
Elle se finit elle même en s’enfonçant sur ma queue inerte mais toujours en elle.
Je suis épuisé
- Ah. Euh. Oh. N’ai pas l’air épuisé à ce point là merde, tu fais que ça de la journée.
Bon on va bouffer ?
- Ouais.
- Tiens rends moi ma culotte. Je risque d’avoir des fuites avec tout ce que vous m’avez mis là. Vaut mieux mettre une barrière.
- Faut mettre un bouchon que je propose.
Alors qu’elle a re enfilé sa culotte nous continuons à discuter un peu sur le lit et je lui caresse la fente en insistant bien et en faisant bien rentrer la culotte de façon à bien l’imprégner du jus qui se trouve dans sa chatte.
- Ça va j’suis pas trop grosse, j’ai du ventre en vieillissant.
- C’est des muscles. T’as des muscles. Quand tu baises comment tu fais ?
Et Jean-François pose la main sur le petit ventre bombé :
- Tu vois t’en as des muscles, t’en as, je les ai sentis tout à l’heure.
Il aime bien en effet tâter le ventre de sa pute : il doit rêver que sa semence lui mette un vrai gros ventre.
Nous sommes au restaurant et c’est la pause mais nous profitons de la charger d’alcool avec du bordeaux.
Bien sûr en rentrant à la maison elle est déchaînée.
- Là tu sais que … j’vais t’dire, elle va vite à se déshabiller, hein
Fait Jean-François Et en effet elle est à poil avant nous deux.
- Ben tu viens ?
Me demande-t-elle.
- Oh c’est long. Viens. Y manque quelqu’un devant là. Viens par là.
Alors s’allongeant en travers du lit je la grimpe et l’enfile
- Humm … Humm … Je suis en train d’avaler ma pilule.
- Qu’est-ce tu fais ?
Relève Jean-François.
- J’avale ma pilule. T’as envie d’être père ? T’es déjà grand père c’est pas mal !
Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm …T’as pas mal au dos toi comme ça ?
Lui demande-t-elle pendant que je la tringle et que lui est à l’envers, les fesses
sur le bord du lit et la tête parterre.
- Humm … Humm … Humm …
Attends on va essayer quelque chose mais faut que tu m’aides
Et ainsi s’adresse-t-elle à Jean-François en s’empalant dessus, sans qu’il ait bougé, dès que je me retire de son con.
- Humm … Attention hein … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm… Humm … Humm … Humm … Humm … Hein … Humm … Humm …Humm…
C’est long et puissant, je ne sais trop qui remue mais le lit grince et la bite de Jean-François ramone au moins cent vingt fois la connasse de Béa.
Aussitôt elle se met sur le dos et écarte les cuisses pour me recevoir.
- Ah merde la lumière en plein dans les yeux. Tu peux …
C’est bon
Dit-elle précipitamment alors qu’elle se met à jouir.
- Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm… Humm … Humm … Humm …
Il revient dedans.
- Ah ! Doucement … Humm … Humm … Attends m’irrite pas.
- Tu veux du truc ?
- Non si le monsieur est patient ça va aller mais …
Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Vas-y merde … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … encore … ah merde … moi j’ai affaire à des vieux … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein … Haa … Haa …
Il vient de lui en coller au moins quatre vingt coups bien appuyés mais elle est déchaînée.
C’est alors une vraie salope en transes qui n’en reste pas là et se défonce elle même à nouveau et continue à jouir :
- Humm … Humm … Hein … Hein …
Je reviens dessus :
- Hein … Hein … Hein … Hein …
Et comme je faiblis :
- Ah fais pas le vieux hein … moi je t’éjecte sinon. Hein … Hein … Hein … Va au fond, au fond … Hein … Hein … Hein … Hein … Hein …
Et lorsque je me retire :
- J’ai encore envie moi. J’en ai pas eu assez. J’en ai pas eu assez. Faut pas me donner envie comme ça.
On la caresse alors et elle me demande de la branler :
- Humm … Humm … Oui ta main … Humm … Humm … Met ta main … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm … Humm …
- Doucement
Que je lui dis alors qu’elle se trémousse dans tous les sens.
- Pourquoi doucement ? C’est mal ?
- Tu vas te faire mal.
- Ah si je me fais mal je le sens. J’ai envie de plein de trucs. Vous bandez assez pour faire par derrière ?
Fais voir ? Et elle tâte la bite de Jean-François.
- Humm c’est limite hein. Faut bander mieux que ça. Vous êtes pas concentrés sur le sujet.
Ah ben écoute fallait pas me faire boire. Ça me donne des envies.
J’ai envie de plein de choses là. Puis je veux du bon hein.
Attends. Humm…
Et la chienne présente son cul à Jean-François.
- Attends. On a déjà pas fait tout à l’heure ça ?
Il voudrait bien qu’elle revienne s’empaler sur lui alors que c’est à quatre pattes, en levrette qu’elle veut se faire bourrer.
Il la fait se mettre en travers du lit de façon à rester lui debout, la bite à hauteur du cul de ma femme.
- Non mets-toi dans l’autre sens, moi je vais, je vais rester comme ça. Plus apte finalement.
Moi je m’installe en soixante neuf sous la chienne pour bien l’ouvrir à la queue et la voir se faire bourrer
- Attends, eh, oh, là je m’emmêle. Je sais pas là. Y’a trop de choses. Ça me fait mal. Je sais pas qui. Je sais pas comment.
Mais elle l’assure dès qu’il a atteint l’objectif :
- Oh ça va t’es au bon endroit, t’inquiètes pas.
Lui est enfilé dedans par derrière et moi je découvre par dessous que notre femme présente vraiment un gros ventre.
Notre fantasme n’est pas pour autant atteint car au toucher il se révèle mou, flasque et c’est la position qui en accentue le volume et non pas nous qui l’avons emplie.
Elle chatouille les couilles de Jean-François et cela a pour effet de lui faire perdre tous ses moyens.
- Attends. On va attendre cinq minutes. Ça me fait rire
Lui dit-elle
- Tu trouves ça drôle alors qu’il est réduit momentanément à l’impuissance.
- Ben oui,
Qui est-ce qui veut de moi pendant ce temps là pour me faire pardonner ?
Tu vois y’a beau avoir l’excitant ça vaut pas le Viagra hein. Je serais curieuse de voir le Viagra … Ce que ça fait hein. Si y’avait pas de problème médicaux … mais faudrait quand même pas que vous bandiez sur moi (elle veut dire claquiez sur moi). Ça me ferait chier. T’imagine le problème je suis incapable de … hein …
- T’en profiterais encore. Je suis sûr on serait crevés elle en profiterait
encore.
Tout le monde rit en imaginant la scène d’un mec bandant sur la pute mais claqué d’une crise cardiaque mais elle est pleine de vice :
- Eh ben c’est une consolation. Tu pourrais dire au moins jusqu’au dernier moment et même après j’ai fait plaisir a quelqu’un. Mais si tu claque à mon avis ça doit être moins rigide. Y’a pas longtemps j’ai appris qu’un pendu ça bandait alors ça, ça m’intéresse. Hée.
Je lui grimpe dessus :
- Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… J’ai un petit problème de longueur de bras, j’ai pas mon bras assez long.
Elle veut revigorer Jean-François en même temps.
- Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… T’as fini ? Je savais pas. Humm… Humm…
Elle continue à se limer sur ma bite.
Jean-François remis en condition vient la prendre après avec vigueur cette fois.
Elle hurle :
- Humm… Humm… Aille… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Elle pète… pète… Vas-y bon dieu… Humm… Haa Humm… Humm… Hée Humm… Hée… Continue… Haa… Hée… Elle lui tape sur les fesses et il redouble de vigueur… Haa… Haa… Hée… Haa… Hein…
A mon tour de passer dessus. Elle remet cela :
- Je suis de travers. Humm… Tu veux baisser la lumière ? Ah voilà c’est mieux. Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Haaaa…
Un formidable rugissement lorsque je lui lâche mon sperme dedans ;
- Humm… Humm… Humm… Humm…
J’ai encore envie… j’ai pas assez…
Elle jubile de le sentir tout de suite se mettre à ma place.
- Ah… voilà…
Hée… Ah sort pas…
Il balance de grands coups entre les cuisses de la pute et sa bite un peu courte s’échappe du vagin que je viens d’inonder.
- Vas-y… Humm… Vas-y…
Le lit craque.
- Humm …
Finalement vous êtes épuisés avant moi.
Vous tenez moins la route que moi. Moi j’ai encore envie puis vous vous êtes poufs.
Moi j’avais encore envie puis vous vous êtes pas capables.
L’un comme l’autre vous flanchez. C’est vous qu’êtes pas en forme merde.
Moi je me taperais encore bien quelque chose hein. N’importe lequel. Mais là vous êtes épuisés. Je comprends pas. Moi je suis pas épuisée. Je suis pas épuisée du tout moi alors je suis un peu déçue.
- Alors là t’es dégueulasse.
Dit Jean-François.
- Ben écoute vous êtes épuisés avant moi.
- Attends c’est pas qu’on est épuisés.
- Ah si aussi bien l’un que l’autre. Je suis désolée.
- C’est qu’on bande plus. C’est qu’on a tout donné.
- J’ai essayé mais les deux sont épuisés.
J’ai pas mon compte.
Mais tu peux me chatouiller hein ça me déplais pas. Toi aussi hein. C’est pas fatigant ça, oh, de me chatouiller, c’est pas fatigant. Moi je suis pas rassasiée. On fait avec les moyens du bord si vous êtes pas capables de
faire autrement. Vous faites comme vous voulez.
Et voilà la salope qui se remet à jouir dès que je lui effleure le clitoris et que Jean-François la pénètre du doigt.
- Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Ah c’est bon… Continuez… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Humm… Y’en a un qui vient ? Humm… Humm…
C’est Jean-François qui se positionne dessus pour la défoncer une centaine de fois.
- Haa… Humm… Haa… Haa… Humm… Humm… Haa… Haa… Humm … Haa… Haa… Haa… Haa… Haa… Humm… Humm… Humm…
Ah… viens… Ah… reste pas là en admirateur.
Me demande-t-elle.
- Ah j’ai encore envie.
Ah vous arriverez pas ce soir à me rassasier.
Vas-y fait pas semblant. Hein. Je suis pas une fantoche.
Ça t’a pas donné envie de me voir ?
Humm… Humm… Humm… Humm… Haa… Haa… Haa… Humm…
Je souffle, je suis épuisé.
- Pourtant si y’en a quelqu’un qui devrait être fatiguée c’est moi
Dit-elle.
- Tiens c’est trempé maintenant. Remarque c’est ta place c’est pas grave. Vous allez quand même pas me dire que c’est crevant, vous avez rien foutu.
Puis elle reconnaît quand même :
- Ah je suis un petit peu fatiguée là.
- Ah bon quand même. Finalement t’es sûr qu’elle bouffe pas du Viagra féminin
Demande Jean-François.
- Y parait que ça un effet aussi.
Que j’ajoute
- Pour les femmes ?
Réagit-elle.
- Mais t’as pris une pilule c’est pas du Viagra ?
Demande Jean-François.
- Qui moi ? Ah non c’est une pilule pour pas me mettre enceinte… parce que tels que je vous connais vous en seriez capables… comme des fois ça m’est arrivé de l’oublier …
Ce qui, entre autre une fois, ne l’a pas empêchée de continuer à prendre du sperme et à se faire baiser pendant une semaine deux fois par jour et par chacun lorsque nous étions en vacances ensembles.
- Je suis un petit chouia fatiguée.
Jean-François s’en va.
Elle s’endort tout de suite.
Ma place dans le lit, là où elle avait son cul, est en effet complètement trempée.
Le lendemain matin en revenant de la salle de bain dans la chambre elle me demande d’aérer la pièce :
- Y’a une odeur là dedans… ça doit sentir le sperme.
Ses sous vêtements qu’elle avait jetés en rentrant du restaurant traînent par terre :
- Tu pourras laver ça. Tout a dû en prendre.
En effet y en a sur un bas et encore mieux dans la culotte.
Lorsqu’elle l’avait re enfilée je m’étais déjà appliqué avec mon doigt à bien la lui rentrer dans la fente. Après, en se levant et au restaurant sa chatte avait dégouliné la jute que son mec lui avait lâchée dedans.
Cette culotte n’est pas la première. Je l’ai déjà échangée pour conserver celle offerte par Shimizu alors toute tachée du sperme de cet amant.
La tache est bien nette mais il est vrai plus petite et quand elle dit que Jean-François ne doit pas lui en mettre beaucoup dedans c’est qu’il lui en met moins à la fois mais comme c’est toujours au moins trois ou quatre fois par séance il y en a assez pour arrondir son petit ventre.
Là encore je ne vais pas laver cette culotte mais la remplacer et la garder avec d’autres.
- J’ai des courbatures en haut des cuisses, de chaque côté cette fois.
Me dira-t-elle en rentrant le soir après une journée de travail assez dure qui lui parut longue.
Au cours de la soirée, en moins de trois heures au lit, aussi incroyablement que cela puisse paraître, elle s’est offerte neuf fois à la bite de Jean-François, onze fois à la mienne et en plus elle m’a demandé deux fois de la branler au clito et Jean-François l’a ramonée et bien faite jouir avec deux doigts dans le vagin rencontrant, à n’en point douter, son point G.
Cela comprenant, et c’est une nouveauté, mes deux coups spéciaux qui font la différence : l’un en chatte à côté de Jean-François et l’autre en enculage.

Total par chacun baise et elle de jouir ‘’Lui 9 elle joui108’’ ‘’Moi 11 elle joui 136’’
Ranxetrox a liké
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