- 22 avr. 2010, 08:38
#33795
Bonjour à vous tous
Catherine vit un tournant de son existence. Elle met pour la première fois les pieds dans une vraie maison close publique. Et pas pour une simple visite..
Beaucoup de plaisir à tous
amicalement
La femme s’était assise et Catherine restait seule debout au centre de la pièce et essayait de trouver une contenance, nue, son verre à la main.
- Elle fait quel rythme actuellement ?
- En moyenne quatre passes quotidiennes, cinq à six jours par semaine.
- Du travail de call-girl. Ça va la changer ici …
Toujours assis à son bureau, l’homme prit la parole.
- Viens là ma chatte.
Catherine s’approcha en se dandinant. Il flatta sa croupe nue
- Pose ton verre et mets toi à genoux à côté de moi.
Elle obéit et, instinctivement, croisa les bras dans le dos.
- Ici c’est Irina et moi, Peter, qui dirigeons les lieux et les filles. Pour toi comme pour les autres ce sera « Monsieur » et « Madame », c’est tout ce que tu auras à savoir. Et dès qu’avec ton mari nous aurons conclu les termes de ton placement, ce sera à nous que tu devras exclusivement obéir. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Maintenant, on m’a dit qu’avant de te mettre à louer ton cul, tu exerçais des responsabilités et tu jouissais de considération professionnelle et sociale. Même si ça a dû déjà pas mal changer depuis que tu fais la pute de luxe, ici on va t’apprendre que tes seules responsabilités vont être de rapporter le plus possible et que la considération qu’on va te porter sera uniquement liée à ton assiduité à ouvrir les cuisses et le reste.
- Oui Monsieur.
- Dans ton précédent job, tu étais une grande professionnelle à ce que je sais. Ici il va falloir que tu comprennes que pute est un job légal comme un autre, rien à voir avec l’amateurisme que permet la clandestinité dans laquelle vous exercez en France. Tu vas pouvoir nous montrer de quoi tu es capable et gravir les barreaux de l’échelle si tu te montres à la hauteur de ce qu’on attend de toi. Comme dans tout boulot, ici il y a des règles claires et strictes que tu devras respecter à la lettre et qui devront même devenir une seconde nature pour toi.
Il sortit du dossier une liasse de papiers reliés.
- Ça c’est ton contrat de travail. Rien de bien particulier, hormis le fait que ton activité est clairement définie selon les lois en vigueur ici. Ça n’est pas hôtesse ou escort, c’est simplement écrit « prostituée ». Dans ce document, tu reconnais que tu fais cela volontairement et que tu acceptes de plein gré toutes les pratiques sexuelles qui te sont demandées par les clients. Quand ton mari reviendra après ta période d’essai, tu iras avec nous te faire enregistrer et ficher auprès de la police municipale comme travailleuse du sexe et ce sera ton statut officiel à partir de ce moment.
Ce n’était qu’une formalité administrative à effectuer, mais un frisson la parcourut en pensant qu’elle allait faire inscrire dans un fichier public que sa profession était de se prostituer et que cela resterait peut-être à jamais au vu et au su de tous quoiqu’elle fasse.
Catherine vit un tournant de son existence. Elle met pour la première fois les pieds dans une vraie maison close publique. Et pas pour une simple visite..
Beaucoup de plaisir à tous
amicalement
La femme s’était assise et Catherine restait seule debout au centre de la pièce et essayait de trouver une contenance, nue, son verre à la main.
- Elle fait quel rythme actuellement ?
- En moyenne quatre passes quotidiennes, cinq à six jours par semaine.
- Du travail de call-girl. Ça va la changer ici …
Toujours assis à son bureau, l’homme prit la parole.
- Viens là ma chatte.
Catherine s’approcha en se dandinant. Il flatta sa croupe nue
- Pose ton verre et mets toi à genoux à côté de moi.
Elle obéit et, instinctivement, croisa les bras dans le dos.
- Ici c’est Irina et moi, Peter, qui dirigeons les lieux et les filles. Pour toi comme pour les autres ce sera « Monsieur » et « Madame », c’est tout ce que tu auras à savoir. Et dès qu’avec ton mari nous aurons conclu les termes de ton placement, ce sera à nous que tu devras exclusivement obéir. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Maintenant, on m’a dit qu’avant de te mettre à louer ton cul, tu exerçais des responsabilités et tu jouissais de considération professionnelle et sociale. Même si ça a dû déjà pas mal changer depuis que tu fais la pute de luxe, ici on va t’apprendre que tes seules responsabilités vont être de rapporter le plus possible et que la considération qu’on va te porter sera uniquement liée à ton assiduité à ouvrir les cuisses et le reste.
- Oui Monsieur.
- Dans ton précédent job, tu étais une grande professionnelle à ce que je sais. Ici il va falloir que tu comprennes que pute est un job légal comme un autre, rien à voir avec l’amateurisme que permet la clandestinité dans laquelle vous exercez en France. Tu vas pouvoir nous montrer de quoi tu es capable et gravir les barreaux de l’échelle si tu te montres à la hauteur de ce qu’on attend de toi. Comme dans tout boulot, ici il y a des règles claires et strictes que tu devras respecter à la lettre et qui devront même devenir une seconde nature pour toi.
Il sortit du dossier une liasse de papiers reliés.
- Ça c’est ton contrat de travail. Rien de bien particulier, hormis le fait que ton activité est clairement définie selon les lois en vigueur ici. Ça n’est pas hôtesse ou escort, c’est simplement écrit « prostituée ». Dans ce document, tu reconnais que tu fais cela volontairement et que tu acceptes de plein gré toutes les pratiques sexuelles qui te sont demandées par les clients. Quand ton mari reviendra après ta période d’essai, tu iras avec nous te faire enregistrer et ficher auprès de la police municipale comme travailleuse du sexe et ce sera ton statut officiel à partir de ce moment.
Ce n’était qu’une formalité administrative à effectuer, mais un frisson la parcourut en pensant qu’elle allait faire inscrire dans un fichier public que sa profession était de se prostituer et que cela resterait peut-être à jamais au vu et au su de tous quoiqu’elle fasse.
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coculopeencage a liké