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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Gaelica
#196325
Au cours des conversations sur notre site libertin, ma femme a rencontré un homme, qui par ses compliments et ses discussions hors du commun l’a littéralement envoutée. Cet homme se déclarait adepte du BDSM soft, et son plaisir consistait par la domination des femmes.
Celui-ci nous a donné rendez-vous un vendredi soir au bar d’un grand hôtel, et nous avons décidé de le rencontrer… surtout par curiosité
Pour l’occasion, mon amour avait mis une mini robe en jean et des bottines à hauts talons, en jean également. Habillée comme cela, elle paraissait immense. Dessous elle portait un petit string en vinyle rouge, mais pas de soutien gorge.
Lorsque nous sommes arrivés devant l’Hôtel, l’homme nous regardait par la fenêtre. A l’entrée le portier toisait ma femme qui visiblement l’avait impressionné. Ce qui fut aussi le cas pour l’homme qui nous attendait dans une petite alcôve.
Après avoir échangé quelques banalités et bu des boissons sans alcool. J’ai du m’absenter pour aller chercher mon porte monnaie que j’avais oublié dans notre voiture. Je m’en voulais d’avoir fait une erreur aussi grossière. J’étais angoissé à l’idée de laisser une si belle femme entre les mains d’une personne que l’on connaissait à peine. Une fois hors de vue, j’ai couru pour aller jusqu'à ma voiture et le retour fut aussi précipité.
J’arrivais tout de même eu le temps de reprendre mon souffle lorsque je suis arrivé dans le hall. Une fois revenu vers le couple que l’on pouvait croire illégitime, j’ai décelé sur le visage de mon épouse un sourire que je remarque lorsque nous avons envie de faire l’amour. Ensuite nous avons décidé d’aller diner au restaurant italien tout proche. La salle de restaurant était à l’étage. Et ce que je voulais absolument éviter s’est produit. J’étais devant en montant l’escalier, ma femme au milieu et l’homme en dernier. J’ai su après, qu’il avait à ce moment, vérifié la présence ou non d’une culotte. Mais ma femme n’avait à aucun moment exprimé son mécontentement.
Arrivé vers la table, naturellement je me suis retrouvé en face de mon épouse et l’homme tout proche à coté d’elle. Le restaurant était bondé, et il me semblait que les autres convives avaient deviné la composition de l’étrange trio. Au cours du repas l’homme était très proche de ma femme. J’imaginais ses mains caresser ses cuisses qui dans cette position était complètement découvertes. A un moment il lui a ordonné de retirer sa petite culotte et la déposer sur la table. Mais elle a refusé énergiquement.
Après le repas nous avons décidé d’aller nous promener au bord du lac qui se trouvait non loin du restaurant. Ma femme me donnait le bras et ainsi, était entourée par nous deux. Cinquante mètres devant nous se profilait un jeune homme d’une vingtaine d’années me semble t’il. Et s’est ce moment que le Maître, car il se dénomme ainsi, a choisi pour se positionner devant mon épouse. Lui relever instantanément sa robe et lui retirer aussitôt son string. L’effet de surprise étant si fort qu’elle n’a pas redescendu sa robe tout de suite et que l’inconnu que nous croisions esquissait un sourire entendu.
Une fois arrivé au bord de la plage la sensation érotique était un peu retombée et nous nous sommes avancés sur un ponton pour admirer les reflets de la lune dans l’eau (pas très original comme objectif je le reconnais). Je tenais ma femme par la main qui me serait très fort. Après avoir parcouru une vingtaine de mètres l’homme s’est retrouvé de nouveau positionné devant elle. L’a enlacé en l’embrassant sur la bouche. Et celle-ci, n’a opposé aucune résistance. J’étais un peu gêné par la situation. Il lui a ouvert et retiré son imperméable. La robe a suivi et ma chérie s’est retrouvée complètement nue face à cet homme. J’avais toujours sa main dans la mienne, mais son corps ne m’appartenait déjà plus. L e Maître la caressait et lui pinçait le bout de ses petits seins qui sont pour moi les plus beaux du monde. C’est là que ma femme a dit « Aïe » et que l’homme lui a suggéré de définir un mot magique pour arrêter instantanément toute sensation douloureuse, non tolérable. Une fois le sésame défini, l’homme nous a proposé de venir chez lui.
Je ne reconnaissais plus mon épouse, si prude d’habitude, elle repartait nue sous son imperméable très court et de surcroit fendu très haut derrière.
L’homme pris sa voiture et nous la notre. Nous le suivions et les dix kilomètres qui nous séparaient de chez lui, nous permirent de fixer les limites qu’elle voudrait accepter et qui me permette d’intervenir si cela devenait trop dangereux pour elle. Même si l’homme nous paraissait tout de même très respectueux et plus dans la sensualité que dans la brutalité.
Une fois arrivé chez lui, dans un joli petit appartement avec mezzanine, l’homme m’a proposé de m’asseoir. En revanche il était beaucoup plus directif avec ma femme et il lui a ordonné de se mettre nue. Celle-ci s’est exécutée comme si elle était déjà soumise. Toujours debout, Il a entouré son cou avec un collier de cuir équipé d’une boucle et d’une laisse métallique. Des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles avec des boucles également. Je la sentais un peu désemparée mais tellement docile et si jolie que j’en étais resté bouche bé.
Toujours aussi autoritaire, il lui ordonna de s’agenouiller sur un tapis et de sucer son sexe qu’il avait sorti de son pantalon de cuir. Elle s’exécuta aussitôt. Après quelques minutes, il lui demanda de se relever et attacha ses deux poignets à chaque extrémité d’une barre métallique qu’il accrocha au dessus de sa tète après un crochet fixé sur une poutre à 2.50 du sol environ. Il lui banda les yeux car l’homme trouvait que nos regards complices perturbaient les sensations qu’elle devait avoir.
Ensuite il prit un martinet avec de longues lanières de cuir et commença à l’utiliser doucement sur le corps de ma femme qui , a mon étonnement réagissait par des spasmes de plaisir. Les coups devenaient de plus en plus forts. Mais ma chérie semblait ne ressentir aucune douleur. De temps en temps l’homme se positionnait devant elle et l’embrassait sur la bouche. Moi, j’étais assez gêné et je détournai le regard quand je trouvais cela insupportable. Mais ma femme ne prononçait toujours pas le mot magique. Finalement, le Maître trouvant peut être la résistance de ma femme exceptionnelle lui débanda les yeux et lui présenta une cravache comme celle qui sert en autre à faire galoper les chevaux pour les pousser au maximum. Il lui caressa tout doucement les seins, le ventre, les fesses, le dos et bien sur son sexe. Il tapa doucement sur ses fesses comme pour évaluer sa résistance. Une fois deux fois trois fois jusqu’à ce qu’elle prononce le mot magique. Ses fesses étaient toute rouges. Comme si elle avait reçu une fessée. Le Maître parti chercher dans son réfrigérateur un bloc de glace pour rafraîchir les bouteilles de champagne, et lui appliqua sur son corps. La sensation paraissait soulager ma femme et il en profitait pour lui caresser le sexe et l’embrasser de nouveau.
La séance était terminée et il lui demanda si elle voulait de venir sa Soumise. Et il lui conseilla de lire le livre « histoire d’O » pour comprendre ce que cela impliquait pour elle.
Nous sommes rentrez chez nous. Il est vrai assez perturbé par ce que nous venions de vivre et que ma femme s’étonnait elle-même, d’avoir fait. Aujourd’hui elle a fini de lire le livre et ils communiquent par sms ou par téléphone. Ma femme me raconte tout car elle sait que la condition pour que notre amour résiste passe par là.
KneelDown a liké
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par cestpasmoi
#196361
Gaelica a écrit :Au cours des conversations sur notre site libertin, ma femme a rencontré un homme, qui par ses compliments et ses discussions hors du commun l’a littéralement envoutée. Cet homme se déclarait adepte du BDSM soft, et son plaisir consistait par la domination des femmes.
Celui-ci nous a donné rendez-vous un vendredi soir au bar d’un grand hôtel, et nous avons décidé de le rencontrer… surtout par curiosité
Pour l’occasion, mon amour avait mis une mini robe en jean et des bottines à hauts talons, en jean également. Habillée comme cela, elle paraissait immense. Dessous elle portait un petit string en vinyle rouge, mais pas de soutien gorge.
Lorsque nous sommes arrivés devant l’Hôtel, l’homme nous regardait par la fenêtre. A l’entrée le portier toisait ma femme qui visiblement l’avait impressionné. Ce qui fut aussi le cas pour l’homme qui nous attendait dans une petite alcôve.
Après avoir échangé quelques banalités et bu des boissons sans alcool. J’ai du m’absenter pour aller chercher mon porte monnaie que j’avais oublié dans notre voiture. Je m’en voulais d’avoir fait une erreur aussi grossière. J’étais angoissé à l’idée de laisser une si belle femme entre les mains d’une personne que l’on connaissait à peine. Une fois hors de vue, j’ai couru pour aller jusqu'à ma voiture et le retour fut aussi précipité.
J’arrivais tout de même eu le temps de reprendre mon souffle lorsque je suis arrivé dans le hall. Une fois revenu vers le couple que l’on pouvait croire illégitime, j’ai décelé sur le visage de mon épouse un sourire que je remarque lorsque nous avons envie de faire l’amour. Ensuite nous avons décidé d’aller diner au restaurant italien tout proche. La salle de restaurant était à l’étage. Et ce que je voulais absolument éviter s’est produit. J’étais devant en montant l’escalier, ma femme au milieu et l’homme en dernier. J’ai su après, qu’il avait à ce moment, vérifié la présence ou non d’une culotte. Mais ma femme n’avait à aucun moment exprimé son mécontentement.
Arrivé vers la table, naturellement je me suis retrouvé en face de mon épouse et l’homme tout proche à coté d’elle. Le restaurant était bondé, et il me semblait que les autres convives avaient deviné la composition de l’étrange trio. Au cours du repas l’homme était très proche de ma femme. J’imaginais ses mains caresser ses cuisses qui dans cette position était complètement découvertes. A un moment il lui a ordonné de retirer sa petite culotte et la déposer sur la table. Mais elle a refusé énergiquement.
Après le repas nous avons décidé d’aller nous promener au bord du lac qui se trouvait non loin du restaurant. Ma femme me donnait le bras et ainsi, était entourée par nous deux. Cinquante mètres devant nous se profilait un jeune homme d’une vingtaine d’années me semble t’il. Et s’est ce moment que le Maître, car il se dénomme ainsi, a choisi pour se positionner devant mon épouse. Lui relever instantanément sa robe et lui retirer aussitôt son string. L’effet de surprise étant si fort qu’elle n’a pas redescendu sa robe tout de suite et que l’inconnu que nous croisions esquissait un sourire entendu.
Une fois arrivé au bord de la plage la sensation érotique était un peu retombée et nous nous sommes avancés sur un ponton pour admirer les reflets de la lune dans l’eau (pas très original comme objectif je le reconnais). Je tenais ma femme par la main qui me serait très fort. Après avoir parcouru une vingtaine de mètres l’homme s’est retrouvé de nouveau positionné devant elle. L’a enlacé en l’embrassant sur la bouche. Et celle-ci, n’a opposé aucune résistance. J’étais un peu gêné par la situation. Il lui a ouvert et retiré son imperméable. La robe a suivi et ma chérie s’est retrouvée complètement nue face à cet homme. J’avais toujours sa main dans la mienne, mais son corps ne m’appartenait déjà plus. L e Maître la caressait et lui pinçait le bout de ses petits seins qui sont pour moi les plus beaux du monde. C’est là que ma femme a dit « Aïe » et que l’homme lui a suggéré de définir un mot magique pour arrêter instantanément toute sensation douloureuse, non tolérable. Une fois le sésame défini, l’homme nous a proposé de venir chez lui.
Je ne reconnaissais plus mon épouse, si prude d’habitude, elle repartait nue sous son imperméable très court et de surcroit fendu très haut derrière.
L’homme pris sa voiture et nous la notre. Nous le suivions et les dix kilomètres qui nous séparaient de chez lui, nous permirent de fixer les limites qu’elle voudrait accepter et qui me permette d’intervenir si cela devenait trop dangereux pour elle. Même si l’homme nous paraissait tout de même très respectueux et plus dans la sensualité que dans la brutalité.
Une fois arrivé chez lui, dans un joli petit appartement avec mezzanine, l’homme m’a proposé de m’asseoir. En revanche il était beaucoup plus directif avec ma femme et il lui a ordonné de se mettre nue. Celle-ci s’est exécutée comme si elle était déjà soumise. Toujours debout, Il a entouré son cou avec un collier de cuir équipé d’une boucle et d’une laisse métallique. Des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles avec des boucles également. Je la sentais un peu désemparée mais tellement docile et si jolie que j’en étais resté bouche bé.
Toujours aussi autoritaire, il lui ordonna de s’agenouiller sur un tapis et de sucer son sexe qu’il avait sorti de son pantalon de cuir. Elle s’exécuta aussitôt. Après quelques minutes, il lui demanda de se relever et attacha ses deux poignets à chaque extrémité d’une barre métallique qu’il accrocha au dessus de sa tète après un crochet fixé sur une poutre à 2.50 du sol environ. Il lui banda les yeux car l’homme trouvait que nos regards complices perturbaient les sensations qu’elle devait avoir.
Ensuite il prit un martinet avec de longues lanières de cuir et commença à l’utiliser doucement sur le corps de ma femme qui , a mon étonnement réagissait par des spasmes de plaisir. Les coups devenaient de plus en plus forts. Mais ma chérie semblait ne ressentir aucune douleur. De temps en temps l’homme se positionnait devant elle et l’embrassait sur la bouche. Moi, j’étais assez gêné et je détournai le regard quand je trouvais cela insupportable. Mais ma femme ne prononçait toujours pas le mot magique. Finalement, le Maître trouvant peut être la résistance de ma femme exceptionnelle lui débanda les yeux et lui présenta une cravache comme celle qui sert en autre à faire galoper les chevaux pour les pousser au maximum. Il lui caressa tout doucement les seins, le ventre, les fesses, le dos et bien sur son sexe. Il tapa doucement sur ses fesses comme pour évaluer sa résistance. Une fois deux fois trois fois jusqu’à ce qu’elle prononce le mot magique. Ses fesses étaient toute rouges. Comme si elle avait reçu une fessée. Le Maître parti chercher dans son réfrigérateur un bloc de glace pour rafraîchir les bouteilles de champagne, et lui appliqua sur son corps. La sensation paraissait soulager ma femme et il en profitait pour lui caresser le sexe et l’embrasser de nouveau.
La séance était terminée et il lui demanda si elle voulait de venir sa Soumise. Et il lui conseilla de lire le livre « histoire d’O » pour comprendre ce que cela impliquait pour elle.
Nous sommes rentrez chez nous. Il est vrai assez perturbé par ce que nous venions de vivre et que ma femme s’étonnait elle-même, d’avoir fait. Aujourd’hui elle a fini de lire le livre et ils communiquent par sms ou par téléphone. Ma femme me raconte tout car elle sait que la condition pour que notre amour résiste passe par là.

Jolie recis......................
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par Gaelica
#443945
Après la première rencontre, ma Femme a continué à communiquer avec cet homme sur le site libertin. Ils se sont envoyés aussi des SMS. Ma chérie me racontait aussitôt les messages enflammés qu’elle recevait et qu’elle lui répondait également. Aujourd’hui, elle doit accepter ou non, d’être sa soumise. C'est-à-dire autoriser cet homme à lui faire subir ses diverses demandes sexuelles. Bien sur avec son accord. Il deviendrait alors son dominateur. Pour cela elle doit accepter le rencontrer seule chez lui habillée sexy et sans string. Elle a un peu peur, mais cela la tente beaucoup. Car elle me dit apprécier énormément les fantasmes de cet homme. Cela m’angoisse, car je ne veux pas qu’elle prenne des risques. Nous ne le connaissons pas vraiment.
Les nuits qui ont suivis ont été pour nous, très agitées. Parce que nous faisions l’amour en pensant à la demande de cet homme qui nous bousculait et qui nous excitait aussi. Et puis, j’ai eu l’idée, pour permettre à ma femme de rester en contact avec moi, si elle acceptait de le rencontrer seul, d’utiliser son téléphone portable en communication permanente avec moi. Le sien dans la poche de son manteau et le mien avec le kit main libre dans ma voiture.
Nous avons donc pris rendez vous ce vendredi a 18h chez lui. Pour l’occasion ma femme avait mis une mini robe brillante, ultra moulante et si courte qu’elle laissait voir le bas de ses fesses. Un zip devant permettait de la déshabiller en un clin d’œil. A la demande de cet homme elle devait être complètement nue dessous. Bien sur, elle avait mis des bottines à talons hauts (celles qu’elle porte sur la photo) et un manteau par-dessus qui, fermé, ne laissait pas tellement paraitre le volcan qu’il pouvait y avoir dessous.
Nous sommes arrivés à 18h15, car je roulais très doucement sans m’en rendre compte, peut-être pour reporter le plus loin possible le moment ou ma chérie s’offrirait à cet homme. Devant chez lui mais à l’abri de sa vue, nous avons mis en communication nos téléphones. Ma femme, m’a demandé de l’accompagner jusque devant la porte de son futur maître si elle l’acceptait bien sur. Car elle avait peur de croiser quelqu’un en montant l’escalier. Cela ne pouvait pas laisser d’équivoque possible car l’homme devait être connu de ses voisins. Arrivés devant chez lui, elle ouvrit son manteau, et nous nous sommes embrassés très fort. J’en profitais pour lui caresser le sexe, que je trouvais très lisse et étonnamment très ferme, l’excitation était me semble t’il déjà au maximum. Elle me dit de m’en aller avant qu’elle ne sonne. Ce que je fis aussitôt. Descendu d’un étage, j’écoutais l’homme lui ouvrir la porte et s’extasier devant cette femme qui n’était bientôt plus, uniquement la mienne.
Je me dépêchais de rejoindre ma voiture et là je me suis mis à écouter leur conversation qui était, il faut bien le reconnaître, pas très audible mais toutefois compréhensible. L’homme ordonna à ma femme de se mettre à genoux et de lui faire une fellation. Ensuite, à nouveau debout elle fut déshabillée et embrassée vigoureusement me raconta t’elle. Car il n’est évidemment pas facile d’entendre cela au téléphone. Quelques échanges ont eu lieu. Lui assez autoritaire et ma femme déjà soumise lui répondait. Elle devait être attachée avec des bracelets en cuir reliés à une barre métallique aux chevilles et en bois aux poignets. Les bras en l’air et attachés a une sangle il lui caressait le sexe en lui disant tu aimes ça petite chienne ! Et la réponse fut « oui Maître ».
C’est alors qu’il la fouetta avec un martinet qui claquait dans les hauts parleurs de ma voiture. Après un quart d’heure et toujours prêt à intervenir si cela tournait mal, il lui imposa un bondage qui pour lui serait très joli sur son corps très mince. Ma femme était ensuite allongée par terre sur le ventre avec les jambes repliées et écartées qui devait rendre son sexe entièrement disponible.
C’est alors qu’elle lui demanda de lui faire l’amour. Il lui répondit que c’était exceptionnel et qu’il ne faisait jamais ça pendant une séance de soumission. Elle était à nouveau debout et je l’entendais gémir de plaisir sous les coups de boutoir de cet homme qui maintenant faisait tout ce qu’il voulait.
Après leur étreinte il lui demanda comment elle devait me contacter pour que je vienne la chercher. Bien entendu c’était par téléphone. C’est alors, et au bout d’une heure et demi, que je décidais de couper la communication. Mais il m’a fallu encore attendre une demi-heure avant que mon téléphone retentisse. Je m’étais fixer justement cette limite avant d’aller sonner à la porte.
C’est ma femme qui ouvrit la porte. Elle était entièrement nue avec ses bottines et je voyais dans son regard un mélange de satisfaction et de fierté. Je l’embrassais et lui caressais les seins qui pointaient fièrement. Une fois vers l’homme, celui-ci m’offrit un café et me remercia de lui avoir fait confiance (confiance contrôlée quand même, mais il ne le savait pas). Ma chérie remit sa petite robe, et son manteau et nous avons pris congé de notre hôte. En rentrant chez nous, nous nous sommes arrêtés au bord de la route dans un chemin forestier et nous avons fait l’amour. Je voulais absolument profiter aussi de ce corps magnifique qui par magie était encore plus désirable.
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par sergio
#1236487
Merci pour la photo. :P
Mais plus de récit sur son avancement de soumise? :)

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