- 18 janv. 2011, 19:08
#196325
Au cours des conversations sur notre site libertin, ma femme a rencontré un homme, qui par ses compliments et ses discussions hors du commun l’a littéralement envoutée. Cet homme se déclarait adepte du BDSM soft, et son plaisir consistait par la domination des femmes.
Celui-ci nous a donné rendez-vous un vendredi soir au bar d’un grand hôtel, et nous avons décidé de le rencontrer… surtout par curiosité
Pour l’occasion, mon amour avait mis une mini robe en jean et des bottines à hauts talons, en jean également. Habillée comme cela, elle paraissait immense. Dessous elle portait un petit string en vinyle rouge, mais pas de soutien gorge.
Lorsque nous sommes arrivés devant l’Hôtel, l’homme nous regardait par la fenêtre. A l’entrée le portier toisait ma femme qui visiblement l’avait impressionné. Ce qui fut aussi le cas pour l’homme qui nous attendait dans une petite alcôve.
Après avoir échangé quelques banalités et bu des boissons sans alcool. J’ai du m’absenter pour aller chercher mon porte monnaie que j’avais oublié dans notre voiture. Je m’en voulais d’avoir fait une erreur aussi grossière. J’étais angoissé à l’idée de laisser une si belle femme entre les mains d’une personne que l’on connaissait à peine. Une fois hors de vue, j’ai couru pour aller jusqu'à ma voiture et le retour fut aussi précipité.
J’arrivais tout de même eu le temps de reprendre mon souffle lorsque je suis arrivé dans le hall. Une fois revenu vers le couple que l’on pouvait croire illégitime, j’ai décelé sur le visage de mon épouse un sourire que je remarque lorsque nous avons envie de faire l’amour. Ensuite nous avons décidé d’aller diner au restaurant italien tout proche. La salle de restaurant était à l’étage. Et ce que je voulais absolument éviter s’est produit. J’étais devant en montant l’escalier, ma femme au milieu et l’homme en dernier. J’ai su après, qu’il avait à ce moment, vérifié la présence ou non d’une culotte. Mais ma femme n’avait à aucun moment exprimé son mécontentement.
Arrivé vers la table, naturellement je me suis retrouvé en face de mon épouse et l’homme tout proche à coté d’elle. Le restaurant était bondé, et il me semblait que les autres convives avaient deviné la composition de l’étrange trio. Au cours du repas l’homme était très proche de ma femme. J’imaginais ses mains caresser ses cuisses qui dans cette position était complètement découvertes. A un moment il lui a ordonné de retirer sa petite culotte et la déposer sur la table. Mais elle a refusé énergiquement.
Après le repas nous avons décidé d’aller nous promener au bord du lac qui se trouvait non loin du restaurant. Ma femme me donnait le bras et ainsi, était entourée par nous deux. Cinquante mètres devant nous se profilait un jeune homme d’une vingtaine d’années me semble t’il. Et s’est ce moment que le Maître, car il se dénomme ainsi, a choisi pour se positionner devant mon épouse. Lui relever instantanément sa robe et lui retirer aussitôt son string. L’effet de surprise étant si fort qu’elle n’a pas redescendu sa robe tout de suite et que l’inconnu que nous croisions esquissait un sourire entendu.
Une fois arrivé au bord de la plage la sensation érotique était un peu retombée et nous nous sommes avancés sur un ponton pour admirer les reflets de la lune dans l’eau (pas très original comme objectif je le reconnais). Je tenais ma femme par la main qui me serait très fort. Après avoir parcouru une vingtaine de mètres l’homme s’est retrouvé de nouveau positionné devant elle. L’a enlacé en l’embrassant sur la bouche. Et celle-ci, n’a opposé aucune résistance. J’étais un peu gêné par la situation. Il lui a ouvert et retiré son imperméable. La robe a suivi et ma chérie s’est retrouvée complètement nue face à cet homme. J’avais toujours sa main dans la mienne, mais son corps ne m’appartenait déjà plus. L e Maître la caressait et lui pinçait le bout de ses petits seins qui sont pour moi les plus beaux du monde. C’est là que ma femme a dit « Aïe » et que l’homme lui a suggéré de définir un mot magique pour arrêter instantanément toute sensation douloureuse, non tolérable. Une fois le sésame défini, l’homme nous a proposé de venir chez lui.
Je ne reconnaissais plus mon épouse, si prude d’habitude, elle repartait nue sous son imperméable très court et de surcroit fendu très haut derrière.
L’homme pris sa voiture et nous la notre. Nous le suivions et les dix kilomètres qui nous séparaient de chez lui, nous permirent de fixer les limites qu’elle voudrait accepter et qui me permette d’intervenir si cela devenait trop dangereux pour elle. Même si l’homme nous paraissait tout de même très respectueux et plus dans la sensualité que dans la brutalité.
Une fois arrivé chez lui, dans un joli petit appartement avec mezzanine, l’homme m’a proposé de m’asseoir. En revanche il était beaucoup plus directif avec ma femme et il lui a ordonné de se mettre nue. Celle-ci s’est exécutée comme si elle était déjà soumise. Toujours debout, Il a entouré son cou avec un collier de cuir équipé d’une boucle et d’une laisse métallique. Des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles avec des boucles également. Je la sentais un peu désemparée mais tellement docile et si jolie que j’en étais resté bouche bé.
Toujours aussi autoritaire, il lui ordonna de s’agenouiller sur un tapis et de sucer son sexe qu’il avait sorti de son pantalon de cuir. Elle s’exécuta aussitôt. Après quelques minutes, il lui demanda de se relever et attacha ses deux poignets à chaque extrémité d’une barre métallique qu’il accrocha au dessus de sa tète après un crochet fixé sur une poutre à 2.50 du sol environ. Il lui banda les yeux car l’homme trouvait que nos regards complices perturbaient les sensations qu’elle devait avoir.
Ensuite il prit un martinet avec de longues lanières de cuir et commença à l’utiliser doucement sur le corps de ma femme qui , a mon étonnement réagissait par des spasmes de plaisir. Les coups devenaient de plus en plus forts. Mais ma chérie semblait ne ressentir aucune douleur. De temps en temps l’homme se positionnait devant elle et l’embrassait sur la bouche. Moi, j’étais assez gêné et je détournai le regard quand je trouvais cela insupportable. Mais ma femme ne prononçait toujours pas le mot magique. Finalement, le Maître trouvant peut être la résistance de ma femme exceptionnelle lui débanda les yeux et lui présenta une cravache comme celle qui sert en autre à faire galoper les chevaux pour les pousser au maximum. Il lui caressa tout doucement les seins, le ventre, les fesses, le dos et bien sur son sexe. Il tapa doucement sur ses fesses comme pour évaluer sa résistance. Une fois deux fois trois fois jusqu’à ce qu’elle prononce le mot magique. Ses fesses étaient toute rouges. Comme si elle avait reçu une fessée. Le Maître parti chercher dans son réfrigérateur un bloc de glace pour rafraîchir les bouteilles de champagne, et lui appliqua sur son corps. La sensation paraissait soulager ma femme et il en profitait pour lui caresser le sexe et l’embrasser de nouveau.
La séance était terminée et il lui demanda si elle voulait de venir sa Soumise. Et il lui conseilla de lire le livre « histoire d’O » pour comprendre ce que cela impliquait pour elle.
Nous sommes rentrez chez nous. Il est vrai assez perturbé par ce que nous venions de vivre et que ma femme s’étonnait elle-même, d’avoir fait. Aujourd’hui elle a fini de lire le livre et ils communiquent par sms ou par téléphone. Ma femme me raconte tout car elle sait que la condition pour que notre amour résiste passe par là.
Celui-ci nous a donné rendez-vous un vendredi soir au bar d’un grand hôtel, et nous avons décidé de le rencontrer… surtout par curiosité
Pour l’occasion, mon amour avait mis une mini robe en jean et des bottines à hauts talons, en jean également. Habillée comme cela, elle paraissait immense. Dessous elle portait un petit string en vinyle rouge, mais pas de soutien gorge.
Lorsque nous sommes arrivés devant l’Hôtel, l’homme nous regardait par la fenêtre. A l’entrée le portier toisait ma femme qui visiblement l’avait impressionné. Ce qui fut aussi le cas pour l’homme qui nous attendait dans une petite alcôve.
Après avoir échangé quelques banalités et bu des boissons sans alcool. J’ai du m’absenter pour aller chercher mon porte monnaie que j’avais oublié dans notre voiture. Je m’en voulais d’avoir fait une erreur aussi grossière. J’étais angoissé à l’idée de laisser une si belle femme entre les mains d’une personne que l’on connaissait à peine. Une fois hors de vue, j’ai couru pour aller jusqu'à ma voiture et le retour fut aussi précipité.
J’arrivais tout de même eu le temps de reprendre mon souffle lorsque je suis arrivé dans le hall. Une fois revenu vers le couple que l’on pouvait croire illégitime, j’ai décelé sur le visage de mon épouse un sourire que je remarque lorsque nous avons envie de faire l’amour. Ensuite nous avons décidé d’aller diner au restaurant italien tout proche. La salle de restaurant était à l’étage. Et ce que je voulais absolument éviter s’est produit. J’étais devant en montant l’escalier, ma femme au milieu et l’homme en dernier. J’ai su après, qu’il avait à ce moment, vérifié la présence ou non d’une culotte. Mais ma femme n’avait à aucun moment exprimé son mécontentement.
Arrivé vers la table, naturellement je me suis retrouvé en face de mon épouse et l’homme tout proche à coté d’elle. Le restaurant était bondé, et il me semblait que les autres convives avaient deviné la composition de l’étrange trio. Au cours du repas l’homme était très proche de ma femme. J’imaginais ses mains caresser ses cuisses qui dans cette position était complètement découvertes. A un moment il lui a ordonné de retirer sa petite culotte et la déposer sur la table. Mais elle a refusé énergiquement.
Après le repas nous avons décidé d’aller nous promener au bord du lac qui se trouvait non loin du restaurant. Ma femme me donnait le bras et ainsi, était entourée par nous deux. Cinquante mètres devant nous se profilait un jeune homme d’une vingtaine d’années me semble t’il. Et s’est ce moment que le Maître, car il se dénomme ainsi, a choisi pour se positionner devant mon épouse. Lui relever instantanément sa robe et lui retirer aussitôt son string. L’effet de surprise étant si fort qu’elle n’a pas redescendu sa robe tout de suite et que l’inconnu que nous croisions esquissait un sourire entendu.
Une fois arrivé au bord de la plage la sensation érotique était un peu retombée et nous nous sommes avancés sur un ponton pour admirer les reflets de la lune dans l’eau (pas très original comme objectif je le reconnais). Je tenais ma femme par la main qui me serait très fort. Après avoir parcouru une vingtaine de mètres l’homme s’est retrouvé de nouveau positionné devant elle. L’a enlacé en l’embrassant sur la bouche. Et celle-ci, n’a opposé aucune résistance. J’étais un peu gêné par la situation. Il lui a ouvert et retiré son imperméable. La robe a suivi et ma chérie s’est retrouvée complètement nue face à cet homme. J’avais toujours sa main dans la mienne, mais son corps ne m’appartenait déjà plus. L e Maître la caressait et lui pinçait le bout de ses petits seins qui sont pour moi les plus beaux du monde. C’est là que ma femme a dit « Aïe » et que l’homme lui a suggéré de définir un mot magique pour arrêter instantanément toute sensation douloureuse, non tolérable. Une fois le sésame défini, l’homme nous a proposé de venir chez lui.
Je ne reconnaissais plus mon épouse, si prude d’habitude, elle repartait nue sous son imperméable très court et de surcroit fendu très haut derrière.
L’homme pris sa voiture et nous la notre. Nous le suivions et les dix kilomètres qui nous séparaient de chez lui, nous permirent de fixer les limites qu’elle voudrait accepter et qui me permette d’intervenir si cela devenait trop dangereux pour elle. Même si l’homme nous paraissait tout de même très respectueux et plus dans la sensualité que dans la brutalité.
Une fois arrivé chez lui, dans un joli petit appartement avec mezzanine, l’homme m’a proposé de m’asseoir. En revanche il était beaucoup plus directif avec ma femme et il lui a ordonné de se mettre nue. Celle-ci s’est exécutée comme si elle était déjà soumise. Toujours debout, Il a entouré son cou avec un collier de cuir équipé d’une boucle et d’une laisse métallique. Des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles avec des boucles également. Je la sentais un peu désemparée mais tellement docile et si jolie que j’en étais resté bouche bé.
Toujours aussi autoritaire, il lui ordonna de s’agenouiller sur un tapis et de sucer son sexe qu’il avait sorti de son pantalon de cuir. Elle s’exécuta aussitôt. Après quelques minutes, il lui demanda de se relever et attacha ses deux poignets à chaque extrémité d’une barre métallique qu’il accrocha au dessus de sa tète après un crochet fixé sur une poutre à 2.50 du sol environ. Il lui banda les yeux car l’homme trouvait que nos regards complices perturbaient les sensations qu’elle devait avoir.
Ensuite il prit un martinet avec de longues lanières de cuir et commença à l’utiliser doucement sur le corps de ma femme qui , a mon étonnement réagissait par des spasmes de plaisir. Les coups devenaient de plus en plus forts. Mais ma chérie semblait ne ressentir aucune douleur. De temps en temps l’homme se positionnait devant elle et l’embrassait sur la bouche. Moi, j’étais assez gêné et je détournai le regard quand je trouvais cela insupportable. Mais ma femme ne prononçait toujours pas le mot magique. Finalement, le Maître trouvant peut être la résistance de ma femme exceptionnelle lui débanda les yeux et lui présenta une cravache comme celle qui sert en autre à faire galoper les chevaux pour les pousser au maximum. Il lui caressa tout doucement les seins, le ventre, les fesses, le dos et bien sur son sexe. Il tapa doucement sur ses fesses comme pour évaluer sa résistance. Une fois deux fois trois fois jusqu’à ce qu’elle prononce le mot magique. Ses fesses étaient toute rouges. Comme si elle avait reçu une fessée. Le Maître parti chercher dans son réfrigérateur un bloc de glace pour rafraîchir les bouteilles de champagne, et lui appliqua sur son corps. La sensation paraissait soulager ma femme et il en profitait pour lui caresser le sexe et l’embrasser de nouveau.
La séance était terminée et il lui demanda si elle voulait de venir sa Soumise. Et il lui conseilla de lire le livre « histoire d’O » pour comprendre ce que cela impliquait pour elle.
Nous sommes rentrez chez nous. Il est vrai assez perturbé par ce que nous venions de vivre et que ma femme s’étonnait elle-même, d’avoir fait. Aujourd’hui elle a fini de lire le livre et ils communiquent par sms ou par téléphone. Ma femme me raconte tout car elle sait que la condition pour que notre amour résiste passe par là.
KneelDown a liké