- 20 mai 2011, 20:49
#450011
En décembre dernier, "Rose" et moi avons fêté nos 40ans de mariage. Mariés tout jeunes à une époque où il fallait convoler et fonder une famille rapidement, ce n'était pas une surprise ni une nouveauté.
Nous avons eu des enfants, qui ont grandi depuis. Chez nous, la femme s'occupe des enfants, le mari travaille. Maintenant qu'ils sont partis et que j'ai franchi le cap de la retraite, l'ennui s'est installé. Nous vivons dans une petite ville de la Meuse, sept jours sur sept il n'y a rien à faire.
Au hasard de navigation internet, je suis tombé sur l'ancienne édition du forum, qui m'avait fasciné, avec honte, mais pas de dégoût. Je n'avais jamais entendu parler de candaulisme, mais je me suis très bien renseigné sur le sujet, trop renseigné.. Peu à peu l'idée s'est installée dans mon esprit. Et comme beaucoup je suppose, j'y ai adhéré.
A 60ans, un senior n'est plus sexuellement très actif. Sans aller à dire que je ne ressentais plus le désir pour ma femme, je savais que je ne pouvais plus la contenter. C'est d'ailleurs la seule femme que j'ai connue, et je suis le seul homme qu'elle ait connu. Nos rapports étaient nuls depuis quelques années.
Quand je l'ai amenée à discuter de ce fantasme, Rose a d'abord été interloquée : dans notre imagination de provinciaux ce genre de chose n'existe pas. Mais elle a bien vu que j'étais sérieux et n'a rien répondu. Je n'ai pas non plus insisté sur le moment, mais je lui en avais parlé et ca suffisait : elle y réfléchirait.
Je lui avais parlé de mon envie de la voir prendre du plaisir avec quelqu'un d'autre que moi en Paques de l'année dernière. Elle en a mis du temps pour me dire qu'elle ne serait pas contre, et qu'elle en aurait même envie. Et c'est comme ca que j'en viens à notre première fois (il y en a une seconde avec le même homme, la derniere)
Dans notre petite ville, une usine (celle où j'ai travaillée toute ma vie) est dans le voisinage. De toutes les rubriques du candaulisme, l'interraciale m'avait le plus fasciné. Les hommes noirs sont bien montés pour la plupart, sinon tous. Je me souvenais que dans la douche de l'usine, ils étaient bien bâtis et bien dotés. J'ai donc fait une visite à mes collègues encore en activité.
Parmi eux se trouvait "Max", un black de 35 ans qui se chargeait des livraisons. Je ne le connaissais pas bien, il venait de rentrer quand je suis parti, profitant justement d'une de ses livraisons, je lui ai demandé de me déposer près de chez moi. Ce qu'il a fait. Dans la camionnette, je l'ai interrogé sur ses origines, s'il était marié, Max me répondait avec défiance (le FN a de beaux jours chez nous) pour le détendre je lui ai proposé de prendre un café chez moi. Il a d'abord refusé, j'ai insisté, il a accepté.
Rose nous a servis sans se douter de ce que j'avais en tête. Max non plus d'ailleurs, il a, à mon regret, à peine regardé ma femme. Ayant expédié son café, il s'est levé pour repartir, je lui ai dit de repasser quand il voudra.
Il n'est jamais repassé. Le croisant une fois au bistrot, je l'ai abordé, et on a discuté du travail, de ses itinéraires. J'ai plaisanté : tu devrais repasser plus souvent dans le coin (où j'habite) y a plein de bourgeoises seules. Max a rigolé, le courant commençait à passer, je lui ai alors sorti : tu la trouves comment ma femme ?
Pour abréger un peu, je dirai que Max a tout de suite saisi où je voulais en venir, ce qui m'a quand même surpris. Il m'a répondu poliment qu'elle ne faisait pas son âge. J'ai indiqué que je ne pouvais plus la toucher, ordre de mon médecin, qu'elle avait encore des envies de sexe, et que j'aimerai bien qu'il s'occupe d'elle.
Passons encore sur les détails. Rendez-vous fut pris deux semaines plus tard. Je devais préparer Rose à la nouvelle, me préparer aussi mentalement. Cette première fois ne fut pas réussie. Rose n'y est pas arrivée, même si Max lui a fait de l'effet. Mais la seconde, je vous la raconte ici.
Nous avons eu des enfants, qui ont grandi depuis. Chez nous, la femme s'occupe des enfants, le mari travaille. Maintenant qu'ils sont partis et que j'ai franchi le cap de la retraite, l'ennui s'est installé. Nous vivons dans une petite ville de la Meuse, sept jours sur sept il n'y a rien à faire.
Au hasard de navigation internet, je suis tombé sur l'ancienne édition du forum, qui m'avait fasciné, avec honte, mais pas de dégoût. Je n'avais jamais entendu parler de candaulisme, mais je me suis très bien renseigné sur le sujet, trop renseigné.. Peu à peu l'idée s'est installée dans mon esprit. Et comme beaucoup je suppose, j'y ai adhéré.
A 60ans, un senior n'est plus sexuellement très actif. Sans aller à dire que je ne ressentais plus le désir pour ma femme, je savais que je ne pouvais plus la contenter. C'est d'ailleurs la seule femme que j'ai connue, et je suis le seul homme qu'elle ait connu. Nos rapports étaient nuls depuis quelques années.
Quand je l'ai amenée à discuter de ce fantasme, Rose a d'abord été interloquée : dans notre imagination de provinciaux ce genre de chose n'existe pas. Mais elle a bien vu que j'étais sérieux et n'a rien répondu. Je n'ai pas non plus insisté sur le moment, mais je lui en avais parlé et ca suffisait : elle y réfléchirait.
Je lui avais parlé de mon envie de la voir prendre du plaisir avec quelqu'un d'autre que moi en Paques de l'année dernière. Elle en a mis du temps pour me dire qu'elle ne serait pas contre, et qu'elle en aurait même envie. Et c'est comme ca que j'en viens à notre première fois (il y en a une seconde avec le même homme, la derniere)
Dans notre petite ville, une usine (celle où j'ai travaillée toute ma vie) est dans le voisinage. De toutes les rubriques du candaulisme, l'interraciale m'avait le plus fasciné. Les hommes noirs sont bien montés pour la plupart, sinon tous. Je me souvenais que dans la douche de l'usine, ils étaient bien bâtis et bien dotés. J'ai donc fait une visite à mes collègues encore en activité.
Parmi eux se trouvait "Max", un black de 35 ans qui se chargeait des livraisons. Je ne le connaissais pas bien, il venait de rentrer quand je suis parti, profitant justement d'une de ses livraisons, je lui ai demandé de me déposer près de chez moi. Ce qu'il a fait. Dans la camionnette, je l'ai interrogé sur ses origines, s'il était marié, Max me répondait avec défiance (le FN a de beaux jours chez nous) pour le détendre je lui ai proposé de prendre un café chez moi. Il a d'abord refusé, j'ai insisté, il a accepté.
Rose nous a servis sans se douter de ce que j'avais en tête. Max non plus d'ailleurs, il a, à mon regret, à peine regardé ma femme. Ayant expédié son café, il s'est levé pour repartir, je lui ai dit de repasser quand il voudra.
Il n'est jamais repassé. Le croisant une fois au bistrot, je l'ai abordé, et on a discuté du travail, de ses itinéraires. J'ai plaisanté : tu devrais repasser plus souvent dans le coin (où j'habite) y a plein de bourgeoises seules. Max a rigolé, le courant commençait à passer, je lui ai alors sorti : tu la trouves comment ma femme ?
Pour abréger un peu, je dirai que Max a tout de suite saisi où je voulais en venir, ce qui m'a quand même surpris. Il m'a répondu poliment qu'elle ne faisait pas son âge. J'ai indiqué que je ne pouvais plus la toucher, ordre de mon médecin, qu'elle avait encore des envies de sexe, et que j'aimerai bien qu'il s'occupe d'elle.
Passons encore sur les détails. Rendez-vous fut pris deux semaines plus tard. Je devais préparer Rose à la nouvelle, me préparer aussi mentalement. Cette première fois ne fut pas réussie. Rose n'y est pas arrivée, même si Max lui a fait de l'effet. Mais la seconde, je vous la raconte ici.
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