Le point de vu de l'amant.Le cocu est indissociable du plaisir que je prends. C'est pour ça que je ne chasse que des femmes aux maris complaisants...
C'est elle qui m'ouvre la porte... Tous les deux m'attendent... Trois semaines qu'ils ne m'ont pas vu. Elle est en manque, son dernier SMS en témoigne. Son cocu ne la touche plus, ceinture de chasteté ! En fait, elle m'expliquera plus tard devant son cocu, que n'en pouvant plus, elle s'était jetée sur lui, mais qu'il avait éjaculé sans même avoir commencé à la pénétrer !
La porte ouverte, elle me regarde, nous restons sages, les voisins pourraient nous voir... La porte se referme. Je soulève sa jupe, elle ouvre ma braguette, j'enfile un préservatif. Son regard me fixe, plein de désir, d'impatience, 10 minutes de retard, elle m'en fait la remarque, je soulève sa jambe gauche, et je m'enfonce en elle...
Elle n'attendait que ça. Elle gémit, son amant vient d'arriver. Son cocu est juste à côté dans le séjour. Il écoute. Il n'a pas le droit de rentrer.
J'aime cet instant de tension, où le couple m'attendait. Le cocu m'a envoyé des tas de SMS pour me demander de passer, de venir baiser sa femme. Je suis le mâle dominant, attendu. J'adore cette atmosphère. Le cocu est à côté attendant les premiers gémissements de sa femme. Elle est là, impatiente, trois semaines qu'elle n'a pas été prise.
Elle m'est fidèle. Je suis son amant, le seul à qui elle s'offre maintenant. Son cocu m'est soumis à travers elle. C'est un homme, et pourtant toutes les barrières viennent de tomber. Nos premiers ébats ont eu raison de sa dignité de mari. Nous venons de le réduire à l'état d'une larve. Assis sur le canapé, nous sommes moi et sa femme détendus. Notre larve nous sert. Elle s'occupe de nous. Sa femme lovée dans mes bras, presque nue, sa vulve ouverte et ma queue dressée, impudiques ! Sa larve n'attend qu'une chose, que nous faisions l'amour... Car avec le temps des sentiments se sont noués. Je la baise et nous faisons l'amour... Deux temps, deux rythmes différents... Sa larve est soumise. Dévorée par son excitation, elle est prête à tout pour sa femme et son amant. Je me régale. J'ai beaucoup d'affection pour cet homme qui sait se la
Le passage du statut de mari à celui de cocu me fascine. Quelle source de plaisir ! Nous étions à un pot de départ en retraite organisé dans son entreprise. Rien de bien amusant pour sa femme... Nous lui avions fait la surprise de ma venue. Elle était son épouse, et moi un ami... décontenancé, il devait assurer. Très sérieux, peu de choses transparaissaient. Quelques effleurements, une situation très excitante. L'agacement de son mari était manifeste. Proche de la colère au début, nous l'avons délicatement désarçonné... Une simple discussion sans intérêt, anodine, mais avec quelques cocus qui glissaient par-ci par-là, et des regards très insistant... Il était en proie à ses désirs... Sa femme acheva ses dernières réticences en lui disant qu'on venait de faire l'amour... Il était à nouveau soumis... Un mélange de cadre supérieur, de mari, et de soumis. Il était mignon avec sa cravate. Un de ses collègues passait, il redevenait le mari, l'époux, et il nous présentait... A peine son collègue reparti, à nouveau tous les trois, il reprenait sa place de cocu, de plus en plus soumis...
Après une bonne demi-heure, sa femme lui dit tranquillement, qu'elle n'en pouvait plus et que s'il ne se dépêchait pas de nous trouver un endroit discret, elle allait s'offrir à son amant (moi !

) devant tous ses collègues.
Il nous emmena dans son bureau... Il resta à la porte pour surveiller... Ce fut intense... Je lui laissai mon préservatif dans l'un de ses tiroirs en guise de souvenir...