- 30 juin 2010, 10:04
#53699
voici le récit de leur précédente sortie :
C’est par une soirée de printemps légèrement fraîche que Francesca est invitée au restaurant par son amant P. Des pensées attractives et stimulantes guide une longue conversation. Lors d’un dialogue sur la nature du désir P affirme « ce qui m’excite c’est de deviner ce que tu portes comme lingerie et de le découvrir plus tard ». Cette phrase éclaire Francesca sur la nature de l’after. Sur un quai, bordant les flots d’un grand fleuve P gare sa voiture. La discussion reprend. Francesca lui demande d’appeler Paolo. Un échange se met en place, qui guide Francesca à se pencher sur son amant pour lui prendre le sexe et commencer à lui caresser les couilles. À ce moment P découvre le ravissant body blanc qui enserre le corps et la poitrine voluptueuse de Francesca. Tout à son plaisir, elle embouche la queue et entame une longue fellation qui lorsque la bouche descend au plus loin et permet la gorge profonde, provoque des murmures de contentement chez l’homme. « Elle suce divinement bien » me confie-t’il au téléphone.
À la limite de l’éjaculation, la suceuse interrompt le mouvement. L’amant souhaite la lécher. Il se dispose à convenance pour exercer sur le con de Francesca un brillant cunnilingus. De l’autoradio émane une musique savante qui confère à la scène une puissante intensité. Dans l’habitacle résonnent alors les cris de Francesca emportée par la jouissance. Il faut de longues minutes pour que celle-ci retrouve ses esprits. Il faut la deviner allongée sur le dos, les jambes légèrement pliées, les cuisses écartées, la tête en arrière et le cou encore un peu tendue. La bouche légèrement entrouverte d’où s’échappe une fine expiration, mémoire de l’orgasme. Ensuite, s’enchaîne une séquence pendant laquelle Francesca met en oeuvre ses fabuleux dons de pompeuse. Des bruits de sucions se mêlent aux approbations et soupirs qui se transforment, au fur et à mesure de la puissance de la fellation, en râles de jouissance lorsque P éjacule en longs jets sur le visage et le buste de Francesca. La nuit, recouvre la scène de son odeur de foutre, laissant à l’aube du monde à venir, les amants apaisés.