- 19 juin 2011, 19:30
#541991
Voici une aventure qui nous est arrivée il y a plusieurs années. Emma (salopegourmande) et moi étions en couple depuis un moment et nos jeux sexuels évoluaient doucement vers la pluralité masculine. Nous avions alors déjà fait quelques trios avec un ami mais nous voulions aller plus loin. J’ai alors mis, pour elle, une annonce sur un site de rencontre dédié au libertinage. L’annonce était sans équivoque puisqu’elle présentait Emma comme une salope, vide couilles qui ne demandait que ça, sans discrimination ethnique ou d’âge…
Nous n’avons donc pas tardé à avoir des réponses et j’ai fait la sélection des prétendants. Emma voulait que je choisisse les hommes qui la baiseraient. Après quelques échanges par mail, un homme m’a paru assez sérieux et j’ai décidé de le rencontrer pour organiser cette première soirée pluralité. Le jour convenu, David m’attendait, avec l’un de ses collègues de boulot dont je ne me rappelle plus le prénom, au Grand Café Riche. Ils avaient tous les deux une bonne dizaine d’année de plus que moi. Nous avons mis les choses au clair autour d’une bière. Ils seraient quatre. Ils ne pourraient pas prendre de photos, ni de vidéos. Je serais le seul à pouvoir immortaliser ce moment. Mais au niveau purement sexuel, pipes, sodomie, éjacs, double pénétration, tout était possible… Leurs regards incrédules m’ont beaucoup amusé mais je savais de quoi Emma avait envi et ce dont elle était capable. Nous avons convenu d’un rendez-vous en fin de semaine sur leur lieu de travail.
Ce soir d’hiver, la nuit était tombée très tôt. Emma, préparée, maquillée, avait mis dans un sac les vêtements que je lui avais demandé de porter. Sur le trajet, elle s’est habillée, dans la voiture, d’un sg noir, d’un haut transparent qui faisait aussi office de porte-jarretelles avec tour du coup en vinyle noir, de bas résille et de mules plateformes transparentes à talons hauts. Pour recouvrir le tout, elle ne portait qu’une veste en cuir rouge qui lui arrivait à mi-cuisse. Je ne voulais pas que nos nouveaux amis se trompent sur la manière dont il faudrait la traiter.
Les informaticiens travaillaient dans une zone d’activités commerciales, dans un des ces bâtiments dont on ne sait pas s’ils sont des bureaux ou des entrepôts, et où l’on se perd facilement (tout se ressemble)… Nous sommes arrivés avec une demi-heure de retard au rendez-vous ! David, qui m’avait guidé par téléphone, nous attendait sur le parking. Il nous a guidés à travers les bureaux et nous sommes entrés dans un genre de salle de réunion. Là, deux autres hommes étaient assis à une table, entrain de déguster des petits gâteaux et une coupe de champagne. Un matelas de fortune avait été installé sur le sol, c’est donc là que se déroulerait l’action…
Quand Emma est entrée dans la pièce, j’ai bien regardé la réaction de nos hôtes. Sur ses talons, avec sa veste, on ne voyait rien d’autre que ses bas résille. Elle avait vraiment l’air d’une p**e ! L’incrédulité qui était la leur, lors de la mise au point, s’évanouissait aussi violemment que leurs yeux étaient écarquillés. Ils avaient pu avoir un aperçu de son physique sur des photos tandis qu’elle ne les avait jamais vu. Après les présentations d’usages, Emma dit : « Vous ne deviez pas être quatre ? ». Cela sonnait comme une déception. La première réaction d’Emma finit de les convaincre qu’elle n’était pas venue pour blablater...
Nous n’avons donc pas tardé à avoir des réponses et j’ai fait la sélection des prétendants. Emma voulait que je choisisse les hommes qui la baiseraient. Après quelques échanges par mail, un homme m’a paru assez sérieux et j’ai décidé de le rencontrer pour organiser cette première soirée pluralité. Le jour convenu, David m’attendait, avec l’un de ses collègues de boulot dont je ne me rappelle plus le prénom, au Grand Café Riche. Ils avaient tous les deux une bonne dizaine d’année de plus que moi. Nous avons mis les choses au clair autour d’une bière. Ils seraient quatre. Ils ne pourraient pas prendre de photos, ni de vidéos. Je serais le seul à pouvoir immortaliser ce moment. Mais au niveau purement sexuel, pipes, sodomie, éjacs, double pénétration, tout était possible… Leurs regards incrédules m’ont beaucoup amusé mais je savais de quoi Emma avait envi et ce dont elle était capable. Nous avons convenu d’un rendez-vous en fin de semaine sur leur lieu de travail.
Ce soir d’hiver, la nuit était tombée très tôt. Emma, préparée, maquillée, avait mis dans un sac les vêtements que je lui avais demandé de porter. Sur le trajet, elle s’est habillée, dans la voiture, d’un sg noir, d’un haut transparent qui faisait aussi office de porte-jarretelles avec tour du coup en vinyle noir, de bas résille et de mules plateformes transparentes à talons hauts. Pour recouvrir le tout, elle ne portait qu’une veste en cuir rouge qui lui arrivait à mi-cuisse. Je ne voulais pas que nos nouveaux amis se trompent sur la manière dont il faudrait la traiter.
Les informaticiens travaillaient dans une zone d’activités commerciales, dans un des ces bâtiments dont on ne sait pas s’ils sont des bureaux ou des entrepôts, et où l’on se perd facilement (tout se ressemble)… Nous sommes arrivés avec une demi-heure de retard au rendez-vous ! David, qui m’avait guidé par téléphone, nous attendait sur le parking. Il nous a guidés à travers les bureaux et nous sommes entrés dans un genre de salle de réunion. Là, deux autres hommes étaient assis à une table, entrain de déguster des petits gâteaux et une coupe de champagne. Un matelas de fortune avait été installé sur le sol, c’est donc là que se déroulerait l’action…
Quand Emma est entrée dans la pièce, j’ai bien regardé la réaction de nos hôtes. Sur ses talons, avec sa veste, on ne voyait rien d’autre que ses bas résille. Elle avait vraiment l’air d’une p**e ! L’incrédulité qui était la leur, lors de la mise au point, s’évanouissait aussi violemment que leurs yeux étaient écarquillés. Ils avaient pu avoir un aperçu de son physique sur des photos tandis qu’elle ne les avait jamais vu. Après les présentations d’usages, Emma dit : « Vous ne deviez pas être quatre ? ». Cela sonnait comme une déception. La première réaction d’Emma finit de les convaincre qu’elle n’était pas venue pour blablater...