Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.
Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.
Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.
Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
REGLES DE CETTE SECTION :
Les différentes pratiques candaulistes : Parlons ici dans cette partie du Forum Candauliste des diverses pratiques candaulistes et aussi des pratiques plus poussées comme le cuckolding. Vous pouvez parler de tout ce qui se fait en candaulisme, ou qui ne se fait pas :-)
Je pense que l'ouvrage de référence est celui de Géraldine Puccini-Delbey, "La vie sexuelle à Rome" édité chez Seuil (collection Points histoire) Le chapitre II traite de ce sujet
Steeve a écrit :Histoire à l’antique. Servus vitae, suite. Ce soir là, Stivius s’était déjà allongé sur sa couche. On avait ; comme chaque soir, déjà sorti les oies, volailles fidèles qui prévenaient aussi bien toute tentative d’évasion d’un esclave que d’intrusion mavenue. L’intendant passait mettre les fers à ses pieds comme aux autres esclaves, quand une gamine arriva toute rose d’excitation d’avoir été chargée de la confidence et souffla à mi-voix, mais assez haut pour qu’on l’entende, « Stivius chez la Domina ! Lavement ! La Domina veut qu’on lui fasse un lavement», et elle sorti en riant. Il était trop fin connaisseur de sa Maîtresse pour ne pas comprendre le signal à peine voilé qu’elle lui envoyait. Ou plutôt qu’elle envoyait à toute la chambrée. Dix fois par le passé, il lui avait dit, tandis qu’il lui enseignait son futur rôle de Domina, qu’il était bon de sodomiser les esclaves : quoi de mieux pour montrer l’autorité du Maître, quoi de mieux pour remettre à sa place un esclave arrogant ? Et il lui avait souvent raconté en riant, comment des clients (oui, des hommes libres !) de tel ou tels puissant de la Ville, étant en défaut d’une dette quelconque, trainés dans une ruelle et sodomisés devant leur serviteur ou leurs affidés. Moins sanguinolent qu’une lame de poignard, le vit vainqueur rendait l’infortuné débiteur honteux et zélé. Contrairement à un débiteur mort, un débiteur honteux rembourse. Il fut ce soir là conduit dans les bains privés de la grande Villa. On inséra dans son anus une longue canule de plombs par laquelle cinq à six litres d’eau gelée l’envahirent. L’opération fut recommencée deux fois. Nadia voulait qu’il fut parfaitement propre.