Belle écriture , joli style , Je ne crois pas que cette histoire soit réelle, mais quelle importance ?
C'est bien écrit, c'est très excitant et c'est cela l'essentiel ...
- 24 oct. 2010, 18:21
#113914
ben dis donc tu as du passer ton dimanche devant ton ordi ci, mais c'est super j'avoue, bravo Je vis un peu les memes choses que toi avec ma femme actuellement et je trouve ça très excitant bien qu a la limite d un incendie, le pompier ui joue avec le feu, hum
- 24 oct. 2010, 19:54
#113972
Tu as connu son épouse, connu au sens biblique du terme?
lolau63 a écrit :je peux vous certifier de la bonne foi de Yann !!!!
Tu as connu son épouse, connu au sens biblique du terme?
- 25 oct. 2010, 00:01
#114177
Pour répondre à Georges je ne pense pas que quelqu'un ait pu connaitre Jenny au sens biblique du terme.Ni ici ni ailleurs, ni même moi! Je peux vous garantir qu'il ne s'agit pas de la Vierge Marie...Sinon je ne vais pas perdre mon temps comme je l'ai dit plus haut à tenter de convaincre de la réalité de mes propos, même si le côté humiliant de cette"confession" se trouve amoindrit par une méfiance qui me semble de mise dans ces régions où les fantasmes peuplent les récits..D'ailleurs je ne demande l'avis de personne, je ne demande aucun conseil, je ne recherche rien de précis...Il ne s'agit que de témoigner de mon candaulisme et il me semble que ce forum y est consacré, je crois que cela peut troubler certains qui comme moi vivent ou fantasment ou espérent cette position si particulière.
Ou bien troubler certains autres qui comme les amants de Jenny vivent ou fantasment ou espèrent une aventure avec une femme infidèle.
jenny ne sait pas ce besoin de m'épancher, il s'agit de mon jardin secret, ce désir un peu inexpliqué de crier à la terre entière ma condition de cocu...Elle n'a pas besoin de ça, elle dont la sensualité exacerbée laisse moins de place à l'imaginaire. C'est un peu de le paradoxe entre le côté cérébral du candauliste et le côté physique de ceux que l'on nomme cocufieurs, nous devons être complices alors que les uns ne peuvent comprendre les autres...
Comment peuvent-ils comprendre que nous sommes doubles, comment peuvent-ils saisir l'ambiguité de notre dualité quand nous avons tant de mal à la gérer...Comme tous les mecs je peux dial 5 minutes, passer un coup de fil, prendre un rdv et hop on est dans l'action! Mais comme candauliste, je suis tout autant comblé en visualisant, en racontant, en imaginant l'action qu'en la vivant moi même...Ce qui pousse plus d'un candauliste à partager son infortune au moment même ou elle est vécue, un cocu à dialoguer pour s'humilier pendant que sa chérie papillonne...
Quand certains ici essaient de nous faire passer des vessies pour des lanternes, essaient de faire croire que leurs épouses sont de sacrées salopes et eux de grands cocus, c'est d'abord eux qu'ils essaient de convaincre...
Mais bon voila, je me suis laissé prendre, je n'avais pas envie de ça, je préfère reprendre le cours de mon récit pour ceux que cela trouble.Bonne soirée à tous...
Ou bien troubler certains autres qui comme les amants de Jenny vivent ou fantasment ou espèrent une aventure avec une femme infidèle.
jenny ne sait pas ce besoin de m'épancher, il s'agit de mon jardin secret, ce désir un peu inexpliqué de crier à la terre entière ma condition de cocu...Elle n'a pas besoin de ça, elle dont la sensualité exacerbée laisse moins de place à l'imaginaire. C'est un peu de le paradoxe entre le côté cérébral du candauliste et le côté physique de ceux que l'on nomme cocufieurs, nous devons être complices alors que les uns ne peuvent comprendre les autres...
Comment peuvent-ils comprendre que nous sommes doubles, comment peuvent-ils saisir l'ambiguité de notre dualité quand nous avons tant de mal à la gérer...Comme tous les mecs je peux dial 5 minutes, passer un coup de fil, prendre un rdv et hop on est dans l'action! Mais comme candauliste, je suis tout autant comblé en visualisant, en racontant, en imaginant l'action qu'en la vivant moi même...Ce qui pousse plus d'un candauliste à partager son infortune au moment même ou elle est vécue, un cocu à dialoguer pour s'humilier pendant que sa chérie papillonne...
Quand certains ici essaient de nous faire passer des vessies pour des lanternes, essaient de faire croire que leurs épouses sont de sacrées salopes et eux de grands cocus, c'est d'abord eux qu'ils essaient de convaincre...
Mais bon voila, je me suis laissé prendre, je n'avais pas envie de ça, je préfère reprendre le cours de mon récit pour ceux que cela trouble.Bonne soirée à tous...
- 25 oct. 2010, 13:44
#114466
Effectivement Yann, tu n'as rien à prouver ici ... Continue tes récits c'est très excitant ... Les amants de ta belle Jenny ont beaucoup de chance , j'aimerai moi-même avoir le plaisir de la rencontrer ...
As-tu d'autres photos à nous proposer ?
Amicalement
As-tu d'autres photos à nous proposer ?
Amicalement
- 25 oct. 2010, 17:29
#114614
Quel magnifique récit ! Sans doute le plus accompli de ce forum !
L'histoire est-elle vraie ou inventée ?
Franchement, on s'en moque tant elle nous est contée avec talent.
On vit avec les personnages !
On bave devant le belle Jenny !
On envie ses fougueux amants !
On comprend les plaisirs masochistes du sympatique (mais compliqué) Yann !
Et, à bien y réfléchir, je trouve que ce récit a des parfums de vérité qui manquent cruellement à la plupart des "histoires vraies" qui peuplent ce forum de fantasmeurs...
Alors... plus qu'un mot : Encore !!
L'histoire est-elle vraie ou inventée ?
Franchement, on s'en moque tant elle nous est contée avec talent.
On vit avec les personnages !
On bave devant le belle Jenny !
On envie ses fougueux amants !
On comprend les plaisirs masochistes du sympatique (mais compliqué) Yann !
Et, à bien y réfléchir, je trouve que ce récit a des parfums de vérité qui manquent cruellement à la plupart des "histoires vraies" qui peuplent ce forum de fantasmeurs...
Alors... plus qu'un mot : Encore !!
- 25 oct. 2010, 17:35
#114617
Salut Yan,
Quel plaisir de te retrouver
!!! je viens d'enregistrer tout le récit pour relire tranquillement les aventures de la belle jenny !!! j'espère enfin connaitre la fin lol
Quel plaisir de te retrouver
!!! je viens d'enregistrer tout le récit pour relire tranquillement les aventures de la belle jenny !!! j'espère enfin connaitre la fin lol
- 26 oct. 2010, 17:01
#115387
de UTO (http://utoeuta.erog.fr)
Cher Yann
merci pour votre histoire.
Personnellement je la pense authentique pour une raison très simple : elle est (en dehors de la bisexualité féminine) presque exactement la nôtre. C'est bien écrit, ce qui ne gâte rien.
Cher Yann
merci pour votre histoire.
Personnellement je la pense authentique pour une raison très simple : elle est (en dehors de la bisexualité féminine) presque exactement la nôtre. C'est bien écrit, ce qui ne gâte rien.
- 26 oct. 2010, 18:42
#115443
L’homme descendit de sa voiture scrutant la terrasse du café du regard, il était grand et amincit par un costume de lin anthracite.
Une jeune fille blonde lui fit un signe de la main et le visage de l’homme s’éclaira, il se dirigea vers la table où elle l’attendait déjà depuis une bonne vingtaine de minutes. Pourtant elle ne manifesta aucun signe d’impatience, elle semblait simplement ravie de son arrivée. Ils échangèrent un baiser discret, commandèrent deux cafés qu’un serveur leur apporta rapidemment.
J’étais stationné à quelques encablures de là et j’observais leur petit manège avec intérêt, manifestement ces deux là étaient amants, malgré leur discrétion, les sourires complices, l’attitude lascive de la jeune fille depuis que l’homme était là, leurs mains qui se cherchaient sur le coin de la table étaient autant de signes qu’ils formaient un couple illégitime.
J’étais assez proche pour distinguer leur visage et on pouvait y lire les prémices du désir qui les attirait l’un vers l’autre.
Au bout d’un moment ils se levèrent et gagnèrent le véhicule, la jeune fille aux jambes interminables attirait tous les regards, elle portait un tailleur strict pourtant tres sexy, sa jupe courte soulignant sa croupe parfaite et ses cuisses gainées de noir. Sous les regards enflammés et envieux de la gent masculine alentour elle monta dans la voiture qui démarra séchement et s’éloigna dans un vrombrissement de moteur.
Les deux mains posées sur le volant je restais songeur un long instant, étreint par un sentiment de vide, j’aurais pu continuer des heures durant à espionner ma jeune épouse.
Je passais par là tout à fait par hasard quand j’avais reconnu Jenny installée à la terrasse et je n’avais pas résister à la tentation de découvrir qui allait la rejoindre car manifestement à en croire ses incessants regards vers la route elle attendait quelqu’un !
Je ne m’attendais pas véritablement à la surprendre en compagnie d’un nouvel amant inconnu mais j’y étais cependant préparé, il y avait de cela plusieurs semaines, Jenny m’avait fait part de son intention de partir en chasse, l’envie de me tromper la taraudait à nouveau : « Cette fois tu n’en sauras absolument rien, à toi de deviner et d’imaginer… »
Une jeune fille blonde lui fit un signe de la main et le visage de l’homme s’éclaira, il se dirigea vers la table où elle l’attendait déjà depuis une bonne vingtaine de minutes. Pourtant elle ne manifesta aucun signe d’impatience, elle semblait simplement ravie de son arrivée. Ils échangèrent un baiser discret, commandèrent deux cafés qu’un serveur leur apporta rapidemment.
J’étais stationné à quelques encablures de là et j’observais leur petit manège avec intérêt, manifestement ces deux là étaient amants, malgré leur discrétion, les sourires complices, l’attitude lascive de la jeune fille depuis que l’homme était là, leurs mains qui se cherchaient sur le coin de la table étaient autant de signes qu’ils formaient un couple illégitime.
J’étais assez proche pour distinguer leur visage et on pouvait y lire les prémices du désir qui les attirait l’un vers l’autre.
Au bout d’un moment ils se levèrent et gagnèrent le véhicule, la jeune fille aux jambes interminables attirait tous les regards, elle portait un tailleur strict pourtant tres sexy, sa jupe courte soulignant sa croupe parfaite et ses cuisses gainées de noir. Sous les regards enflammés et envieux de la gent masculine alentour elle monta dans la voiture qui démarra séchement et s’éloigna dans un vrombrissement de moteur.
Les deux mains posées sur le volant je restais songeur un long instant, étreint par un sentiment de vide, j’aurais pu continuer des heures durant à espionner ma jeune épouse.
Je passais par là tout à fait par hasard quand j’avais reconnu Jenny installée à la terrasse et je n’avais pas résister à la tentation de découvrir qui allait la rejoindre car manifestement à en croire ses incessants regards vers la route elle attendait quelqu’un !
Je ne m’attendais pas véritablement à la surprendre en compagnie d’un nouvel amant inconnu mais j’y étais cependant préparé, il y avait de cela plusieurs semaines, Jenny m’avait fait part de son intention de partir en chasse, l’envie de me tromper la taraudait à nouveau : « Cette fois tu n’en sauras absolument rien, à toi de deviner et d’imaginer… »
- 26 oct. 2010, 18:45
#115444
Devant mon air contrit elle ajouta avec tendresse et ironie mêlées « j’ai très envie d’une nouvelle aventure, découvrir une nouvelle peau, d’autres sensations, être désirée, une relation secrète et passionnelle. Je sais en plus que cela va te plaire. »
« Tu as déjà une idée derrière la tête ? »
« Non du tout, Ce sera au feeling, mais tu seras cocu dans très peu de temps… »
Voilà, j’avais été mis au parfum, depuis je ne savais rien, c’était encore pire qu’avec Alain car je savais sans savoir, plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis cette fameuse conversation et je ne pouvais que me nourrir de doutes, de petits indices que je guettais fébrilement.
Je n’avais aucune certitude, me trompait-elle déjà ou pas encore, rien ne me le laisser vraiment deviner, il y avait bien sur eu quelques signes mais rien de véritablement probant et je me surprenais à scruter jenny sous toutes les coutures, je l’espionnais, je controlais ses sms mais elle prenait bien soin d’effacer ses messages au fur et à mesure. Je n’avais rien trouvé jusqu’à ce jour où enfin je l’avais surprise en plein rendez vous galant. J’avais vu de mes yeux ma jeune epouse prendre un café avec un inconnu, un amant. C’était quelque chose de concret, bien davantage qu’une vague odeur masculine détectée au creux de son épaule. Ou que des lèvres un peu trop gonflées ou que des yeux légerement cernés.Je restais là, quasiment prostré sur le volant, je n’avais pas eu le réflexe de les suivre ou même d’essayer. Mais à quoi bon, ne savais je pas à quoi m’en tenir ? Je savais, la frustration était certes terrible, mais Jenny ne me laissait plus vraiment le choix, je savais, je ne pouvais pas être éternellement un amant en même temps qu’un mari, on peut toujours s’accrocher, avoir de louables intentions, la recherche de nouvelles sensations rendaient Jenny volage et il n’ y avait plus de doute là-dessus, sa beauté lui permettait de choisir les mâles les plus performants.
Plus que moi.
Le plus frustrant était désormais de ne plus la voir se faire sauter, je comprenais que nous aurions pu aller plus loin dans les jeux humiliants à mon encontre quand j’assistais à ses ébats, mais nous n’y étions pas prêts à ce moment là.
Et aujourd’hui je me soumettais à la volonté de Jenny, ce n’était pas simple, mais c’était certainement encore plus humiliant, il me semblait ne plus avoir mon mot à dire, peut-être en serait-il aller autrement si j’avais été plus viril, plus mâle, si je l’avais baisée mieux et davantage?
Peut-être alors aurait-elle eu moins besoin de se donner à d’autres?
Toujours est-il que j’étais là accroché à mon volant comme à une bouée de sauvetage sauf que je ne voulais pas être sauvé, je voulais me noyer, ensorcelé par ma belle sirène si sensuelle et si perverse, j’avais du mal à respirer mais c’était de rage contenue, je ne savais pas qui était l’inconnu qui l’avait séduite, ni comment il s’y était pris, ni quand, et encore moins comment ils se parlaient, se toucher, comment ils faisaient l’amour, quels étaient leurs rapports, s’agissait-il juste de cinq à sept ? D’une relation tres suivie ? Etait-il amoureux ? Et elle ?
Je réalisais à quel point Jenny ne m’avait jamais autant exclu de ses jeux, autant humilié, elle en avait conscience, elle m’avait prévenu afin que j’en tire une douce torture. Une douce torture qui lui permettait de vivre ses fantasmes comme elle le voulait, profitant des miens pour s’éclater à son aise. J’en tirais énormément d’amertume et pourtant j’étais là, à cet instant précis, dissimulé dans ma voiture, après avoir été témoin de mon infortune, en train de me masturber discrètement mais furieusement, poussé par une exaltation irrépréssible.
Libre comme l’air, Jenny allait prendre du plaisir, un mec allait la baiser, peut-être pendant qu’il s’enfoncerait en elle songera-t-il à ce mari incapable de garder pour lui une si splendide créature, si sensuelle, si gourmande ?
Ce mec devait en tirer un sentiment de supériorité et ça me rendait malade.
Peut-être après tout étais je à des années lumières de ses pensées, il avait déjà bien à faire avec Jenny, certainement gavé de délicieuses et violentes sensations, par la douceur de sa peau, la volupté de sa bouche.
« Tu as déjà une idée derrière la tête ? »
« Non du tout, Ce sera au feeling, mais tu seras cocu dans très peu de temps… »
Voilà, j’avais été mis au parfum, depuis je ne savais rien, c’était encore pire qu’avec Alain car je savais sans savoir, plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis cette fameuse conversation et je ne pouvais que me nourrir de doutes, de petits indices que je guettais fébrilement.
Je n’avais aucune certitude, me trompait-elle déjà ou pas encore, rien ne me le laisser vraiment deviner, il y avait bien sur eu quelques signes mais rien de véritablement probant et je me surprenais à scruter jenny sous toutes les coutures, je l’espionnais, je controlais ses sms mais elle prenait bien soin d’effacer ses messages au fur et à mesure. Je n’avais rien trouvé jusqu’à ce jour où enfin je l’avais surprise en plein rendez vous galant. J’avais vu de mes yeux ma jeune epouse prendre un café avec un inconnu, un amant. C’était quelque chose de concret, bien davantage qu’une vague odeur masculine détectée au creux de son épaule. Ou que des lèvres un peu trop gonflées ou que des yeux légerement cernés.Je restais là, quasiment prostré sur le volant, je n’avais pas eu le réflexe de les suivre ou même d’essayer. Mais à quoi bon, ne savais je pas à quoi m’en tenir ? Je savais, la frustration était certes terrible, mais Jenny ne me laissait plus vraiment le choix, je savais, je ne pouvais pas être éternellement un amant en même temps qu’un mari, on peut toujours s’accrocher, avoir de louables intentions, la recherche de nouvelles sensations rendaient Jenny volage et il n’ y avait plus de doute là-dessus, sa beauté lui permettait de choisir les mâles les plus performants.
Plus que moi.
Le plus frustrant était désormais de ne plus la voir se faire sauter, je comprenais que nous aurions pu aller plus loin dans les jeux humiliants à mon encontre quand j’assistais à ses ébats, mais nous n’y étions pas prêts à ce moment là.
Et aujourd’hui je me soumettais à la volonté de Jenny, ce n’était pas simple, mais c’était certainement encore plus humiliant, il me semblait ne plus avoir mon mot à dire, peut-être en serait-il aller autrement si j’avais été plus viril, plus mâle, si je l’avais baisée mieux et davantage?
Peut-être alors aurait-elle eu moins besoin de se donner à d’autres?
Toujours est-il que j’étais là accroché à mon volant comme à une bouée de sauvetage sauf que je ne voulais pas être sauvé, je voulais me noyer, ensorcelé par ma belle sirène si sensuelle et si perverse, j’avais du mal à respirer mais c’était de rage contenue, je ne savais pas qui était l’inconnu qui l’avait séduite, ni comment il s’y était pris, ni quand, et encore moins comment ils se parlaient, se toucher, comment ils faisaient l’amour, quels étaient leurs rapports, s’agissait-il juste de cinq à sept ? D’une relation tres suivie ? Etait-il amoureux ? Et elle ?
Je réalisais à quel point Jenny ne m’avait jamais autant exclu de ses jeux, autant humilié, elle en avait conscience, elle m’avait prévenu afin que j’en tire une douce torture. Une douce torture qui lui permettait de vivre ses fantasmes comme elle le voulait, profitant des miens pour s’éclater à son aise. J’en tirais énormément d’amertume et pourtant j’étais là, à cet instant précis, dissimulé dans ma voiture, après avoir été témoin de mon infortune, en train de me masturber discrètement mais furieusement, poussé par une exaltation irrépréssible.
Libre comme l’air, Jenny allait prendre du plaisir, un mec allait la baiser, peut-être pendant qu’il s’enfoncerait en elle songera-t-il à ce mari incapable de garder pour lui une si splendide créature, si sensuelle, si gourmande ?
Ce mec devait en tirer un sentiment de supériorité et ça me rendait malade.
Peut-être après tout étais je à des années lumières de ses pensées, il avait déjà bien à faire avec Jenny, certainement gavé de délicieuses et violentes sensations, par la douceur de sa peau, la volupté de sa bouche.
- 26 oct. 2010, 18:57
#115448
Les semaines passèrent comme cela sans que ma princesse ne se décide à m'avouer quoique ce soit. Je n'en pouvais pu, d'autant que volontairement elle se cachait de moins en moins, laissant derrière elle des indices comme le Petit Poucet laissait des cailloux. «Ce soir puisque tu recois tes potes je vais au ciné avec Camille, et je dormirai certainement chez elle...Ca m'arrangerait que tu ne vérifies pas! » me fit-elle dans un sourire...Peu de temps après elle décida enfin de tout me raconter, du moins me raconta-t-elle tout ce dont elle eut envie, il y avait des zones d’ombres mais j’étais bien trop heureux qu’elle se dévoile pour la ramener. On arrivait aux beaux jours et je trouvais qu'il était temps!
Elle me dit leur rencontre et tout ce qui l’excitait dans cette relation adultère, c’était lors d’un de mes rares week end libre et nous fîmes l’amour encore et encore, elle me racontait et on refaisait l’amour, elle se rappelait de détails et on replongeait.
« Ecoutes, c’était vraiment tres bon comme çà, de te tromper, vivre une aventure secrète, brulante, sans contrainte. Comme je te l’avais dit …
J’ai envie que tu saches maintenant, partager enfin avec toi tout le plaisir que je prend à t’être infidèle, tout le plaisir que me donne mon amant et je suis sure que tu meurs d’envie de savoir »
Elle ajouta, perverse «Mais ne te fais pas d’illusion, ça ne signifie pas que désormais tu sauras tout, je crois que çà décuple notre excitation quand ça se passe ainsi. Sauf si cela devait devenir pénible pour toi, si ta frustration devenait trop importante, tu me diras ».
« Tu l’as rencontré comment » dis je en déglutissant avec difficulté, sans pouvoir lui dissimuler mon trouble.
« Il m’a abordée dans la rue avec un sacré toupet, je marchais en ville, sur le trottoir, m’apprètant à traverser quand un inconnu dans un coupé noir s’est arrêté à ma hauteur. Il a descendu la vitre en se penchant vers moi, j’ai cru qu’il allait me demander un renseignement quelconque mais non, il s’est fendu directement d’un :
-pardonnez moi, je n’ai pas pour habitude d’importuner les jeunes femmes comme cela, mais je tenais à vous dire toute mon admiration, vous êtes absolument magnifique !
Comme c’était joliment tourné, qu’il avait de grands yeux verts pétillants d’intelligence et un air canaille je lui ai sourit en haussant les épaules, j’allais reprendre mon chemin quant il me tendit une carte de visite :-permettez moi, je m’en voudrais trop de ne pas insister et de laisser passer la chance de vous revoir éventuellement. Prenez ma carte ou bien acceptez que je vous invite à prendre un verre.
-Désolé, je suis mariée et fidèle lui répondis je en m’éloignant.
« Tu ne t’es pas étranglée là ? »
« Tu es bête ! Du coin de l’œil je l’ai vu ranger sa voiture et en descendre, il me rattrapa quelques mètres plus loin et se planta devant moi, Il me dépassait d’une bonne tête malgré mes talons, je ne le trouvai pas immédiatement beau mais très attirant, tres grand et très attirant et surtout sa voix chaude, presque gutturale, conjuguée à sa carrure, lui conférait une virilité qui me troublait. »
Sur de lui, il me regarda droit dans les yeux en me disant :- Vous êtes la plus jolie fille que j’ai jamais vue dans cette ville, et je ne dis pas çà uniquement pour vous plaire, je suis sincère.
-Seulement de la ville ? Je lui réponds.
Il éclata de rire en me tendant de nouveau sa carte – Dites moi qu’il y a une chance pour que vous m’appeliez, soyez chic.
Je pris sa carte finalement, il était trop craquant – Vous ne lachez pas facilement vous lui dis je en lui souriant franchement cette fois.
-Ce n’est pas dans mes habitudes effectivement me glissa-t-il, et on ne croise pas tous les jours une créature comme vous, dit-il en me montrant du regard une terrasse d’un café à quelques pas de nous, - Venez, cela ne vous engage à rien.
« Tu es allé prendre un verre avec lui ? »
« Ben oui, finalement, il s’y prenait plutôt bien, j’avais envie de voir un peu mais je ne me sentais pas de lui téléphoner ensuite.
« Tu l’as revu plusieurs fois ensuite avant de de donner à lui ? »
« Heu…Pas trop en fait… »
« Combien de fois ? Dès la fois suivante ?? »
Elle sourit, mutine.
« Laisses moi poursuivre…Pendant qu’on discutait en sirotant nos cafés, j’étais de plus en plus sensible à sa voix, sa prestance me troublait, tu sais comme je suis. Il s’est rendu compte qu’il ne me laissait pas indifférente alors pour reprendre contenance je suis allé aux toilettes, j’en profitais pour me brosser les cheveux, je me disait qu’en redescendant je prendrais congé de lui. J’avais la ferme intention de ne pas en rester la mais je ne voulais pas passer pour une fille facile ».
« Ce que tu n’est pas ! » fis je ironiquement.
Jenny ignora ma reflexion que je n’avais pas voulu blessante.
« La porte des toilettes s’ouvrit. Confusément je crois que j’avais très envie de ce qui suivit, inconsciemment j’attendais qu’il le fasse, qu’il me rejoigne, je m’en voulais et en même temps mon corps le voulait. Je sentis son souffle froler ma nuque, d’une main il caressa légèrement mes cheveux, huma mon parfum et se plaqua tout contre mes reins.Ses mains s’égarèrent sur ma poitrine et une barre d’acier durcit contre mes fesses.
« Que faites vous ? Dis je, mais je n’eus pas la force de le repousser, je n’avais déjà plus cette volonté la, j’avais envie de lui.
« Tu es splendide murmura-t-il de sa belle voix grave, j’ai terriblement envie de toi, tu le sens ? »
Je voyais dans le miroir l’image réfletée d’une jeune femme bcbg en train de se faire trousser par un bel inconnu et cette jeune femme c’était moi, j’avais les joues en feu, les pointes de mes seins se dressaient sous les doigts de ce type, l’image devint carrément indécente quand il écarta les pans de ma jupe et que je vis comme dans un film sa main se glisser entre mes cuisses.
« Tu le sens comme je te veux » répéta-t-il en effeuillant mes lèvres et lentement en introduisant ses doigts dans mon vagin, il émit un petit rire de satisfaction en me découvrant déjà humide et chaude et cela me dispensa de répondre, je n’avais pas vraiment la force de parler ni la volonté de nier mon désir quand il ajouta que moi aussi j’avais l’air d’avoir envie.
Intérieurement je me traitais de salope mais je n’y pouvais rien, au contraire cela redoublait la vague brulante qui déferlait le long de ma colonne vertébrale, faisait couler mon ventre, palpitait mon sexe, j’avais besoin d’être ouverte, remplie et je n’opposai aucune résistance quand après avoir tendu le bras pour tirer le verrou, mon futur amant se dégrapha, releva ma jupe, la roula fébrilement sur mes reins, écarta le tissu de mon tanga et enfin fit coulisser son sexe dréssé dans le creux de mes cuisses.
Je sentais son ventre se coller à mes fesses nues, sa queue durcir encore au contact de la douceur et de la moiteur de mon ventre.Je pris appuie de mes mains de chaque coté du lavabo, je fléchis un peu les genoux, l’invitant ainsi à me pénétrer. Je me mordais les lèvres, tenaillée par le désir.
« Tu me rend fou dit-il, je n’avais jamais fait ce genre de trucs », son gland se fraya un passage entre mes lèvres, j’étais si mouillée qu’il glissait et d’une main je l’aidais à s’introduire en moi. Il s’enfonça lentement, j’avais l’impression de n’avoir jamais ressenti une possession pareille, sa queue me semblait énorme, elle s’enfonçait, s’enfonçait toujours plus loin, envahissait mon ventre, il me soulevait du sol, lentement, je le sentais monter loin,très loin, ça n’en finissait plus, il n’arrêtait pas de me remplir, de m’ouvrir progressivement et quand enfin il buta au fond de ma matrice, j’étais embrochée jusqu’à la garde, dilatée au possible, ouverte en deux, totalement submergée par cette queue monstrueuse. J’en avais le souffle coupé, je paniquais en imaginant ce qui allait ce passer quand il allait commencer à remuer, je voyais dans le miroir la base de cet épais baton de chair écarteler mes petites lèvres
Elle me dit leur rencontre et tout ce qui l’excitait dans cette relation adultère, c’était lors d’un de mes rares week end libre et nous fîmes l’amour encore et encore, elle me racontait et on refaisait l’amour, elle se rappelait de détails et on replongeait.
« Ecoutes, c’était vraiment tres bon comme çà, de te tromper, vivre une aventure secrète, brulante, sans contrainte. Comme je te l’avais dit …
J’ai envie que tu saches maintenant, partager enfin avec toi tout le plaisir que je prend à t’être infidèle, tout le plaisir que me donne mon amant et je suis sure que tu meurs d’envie de savoir »
Elle ajouta, perverse «Mais ne te fais pas d’illusion, ça ne signifie pas que désormais tu sauras tout, je crois que çà décuple notre excitation quand ça se passe ainsi. Sauf si cela devait devenir pénible pour toi, si ta frustration devenait trop importante, tu me diras ».
« Tu l’as rencontré comment » dis je en déglutissant avec difficulté, sans pouvoir lui dissimuler mon trouble.
« Il m’a abordée dans la rue avec un sacré toupet, je marchais en ville, sur le trottoir, m’apprètant à traverser quand un inconnu dans un coupé noir s’est arrêté à ma hauteur. Il a descendu la vitre en se penchant vers moi, j’ai cru qu’il allait me demander un renseignement quelconque mais non, il s’est fendu directement d’un :
-pardonnez moi, je n’ai pas pour habitude d’importuner les jeunes femmes comme cela, mais je tenais à vous dire toute mon admiration, vous êtes absolument magnifique !
Comme c’était joliment tourné, qu’il avait de grands yeux verts pétillants d’intelligence et un air canaille je lui ai sourit en haussant les épaules, j’allais reprendre mon chemin quant il me tendit une carte de visite :-permettez moi, je m’en voudrais trop de ne pas insister et de laisser passer la chance de vous revoir éventuellement. Prenez ma carte ou bien acceptez que je vous invite à prendre un verre.
-Désolé, je suis mariée et fidèle lui répondis je en m’éloignant.
« Tu ne t’es pas étranglée là ? »
« Tu es bête ! Du coin de l’œil je l’ai vu ranger sa voiture et en descendre, il me rattrapa quelques mètres plus loin et se planta devant moi, Il me dépassait d’une bonne tête malgré mes talons, je ne le trouvai pas immédiatement beau mais très attirant, tres grand et très attirant et surtout sa voix chaude, presque gutturale, conjuguée à sa carrure, lui conférait une virilité qui me troublait. »
Sur de lui, il me regarda droit dans les yeux en me disant :- Vous êtes la plus jolie fille que j’ai jamais vue dans cette ville, et je ne dis pas çà uniquement pour vous plaire, je suis sincère.
-Seulement de la ville ? Je lui réponds.
Il éclata de rire en me tendant de nouveau sa carte – Dites moi qu’il y a une chance pour que vous m’appeliez, soyez chic.
Je pris sa carte finalement, il était trop craquant – Vous ne lachez pas facilement vous lui dis je en lui souriant franchement cette fois.
-Ce n’est pas dans mes habitudes effectivement me glissa-t-il, et on ne croise pas tous les jours une créature comme vous, dit-il en me montrant du regard une terrasse d’un café à quelques pas de nous, - Venez, cela ne vous engage à rien.
« Tu es allé prendre un verre avec lui ? »
« Ben oui, finalement, il s’y prenait plutôt bien, j’avais envie de voir un peu mais je ne me sentais pas de lui téléphoner ensuite.
« Tu l’as revu plusieurs fois ensuite avant de de donner à lui ? »
« Heu…Pas trop en fait… »
« Combien de fois ? Dès la fois suivante ?? »
Elle sourit, mutine.
« Laisses moi poursuivre…Pendant qu’on discutait en sirotant nos cafés, j’étais de plus en plus sensible à sa voix, sa prestance me troublait, tu sais comme je suis. Il s’est rendu compte qu’il ne me laissait pas indifférente alors pour reprendre contenance je suis allé aux toilettes, j’en profitais pour me brosser les cheveux, je me disait qu’en redescendant je prendrais congé de lui. J’avais la ferme intention de ne pas en rester la mais je ne voulais pas passer pour une fille facile ».
« Ce que tu n’est pas ! » fis je ironiquement.
Jenny ignora ma reflexion que je n’avais pas voulu blessante.
« La porte des toilettes s’ouvrit. Confusément je crois que j’avais très envie de ce qui suivit, inconsciemment j’attendais qu’il le fasse, qu’il me rejoigne, je m’en voulais et en même temps mon corps le voulait. Je sentis son souffle froler ma nuque, d’une main il caressa légèrement mes cheveux, huma mon parfum et se plaqua tout contre mes reins.Ses mains s’égarèrent sur ma poitrine et une barre d’acier durcit contre mes fesses.
« Que faites vous ? Dis je, mais je n’eus pas la force de le repousser, je n’avais déjà plus cette volonté la, j’avais envie de lui.
« Tu es splendide murmura-t-il de sa belle voix grave, j’ai terriblement envie de toi, tu le sens ? »
Je voyais dans le miroir l’image réfletée d’une jeune femme bcbg en train de se faire trousser par un bel inconnu et cette jeune femme c’était moi, j’avais les joues en feu, les pointes de mes seins se dressaient sous les doigts de ce type, l’image devint carrément indécente quand il écarta les pans de ma jupe et que je vis comme dans un film sa main se glisser entre mes cuisses.
« Tu le sens comme je te veux » répéta-t-il en effeuillant mes lèvres et lentement en introduisant ses doigts dans mon vagin, il émit un petit rire de satisfaction en me découvrant déjà humide et chaude et cela me dispensa de répondre, je n’avais pas vraiment la force de parler ni la volonté de nier mon désir quand il ajouta que moi aussi j’avais l’air d’avoir envie.
Intérieurement je me traitais de salope mais je n’y pouvais rien, au contraire cela redoublait la vague brulante qui déferlait le long de ma colonne vertébrale, faisait couler mon ventre, palpitait mon sexe, j’avais besoin d’être ouverte, remplie et je n’opposai aucune résistance quand après avoir tendu le bras pour tirer le verrou, mon futur amant se dégrapha, releva ma jupe, la roula fébrilement sur mes reins, écarta le tissu de mon tanga et enfin fit coulisser son sexe dréssé dans le creux de mes cuisses.
Je sentais son ventre se coller à mes fesses nues, sa queue durcir encore au contact de la douceur et de la moiteur de mon ventre.Je pris appuie de mes mains de chaque coté du lavabo, je fléchis un peu les genoux, l’invitant ainsi à me pénétrer. Je me mordais les lèvres, tenaillée par le désir.
« Tu me rend fou dit-il, je n’avais jamais fait ce genre de trucs », son gland se fraya un passage entre mes lèvres, j’étais si mouillée qu’il glissait et d’une main je l’aidais à s’introduire en moi. Il s’enfonça lentement, j’avais l’impression de n’avoir jamais ressenti une possession pareille, sa queue me semblait énorme, elle s’enfonçait, s’enfonçait toujours plus loin, envahissait mon ventre, il me soulevait du sol, lentement, je le sentais monter loin,très loin, ça n’en finissait plus, il n’arrêtait pas de me remplir, de m’ouvrir progressivement et quand enfin il buta au fond de ma matrice, j’étais embrochée jusqu’à la garde, dilatée au possible, ouverte en deux, totalement submergée par cette queue monstrueuse. J’en avais le souffle coupé, je paniquais en imaginant ce qui allait ce passer quand il allait commencer à remuer, je voyais dans le miroir la base de cet épais baton de chair écarteler mes petites lèvres
- 26 oct. 2010, 19:19
#115456
Bien sur Jenny romance moins son récit et je rajoute des détails que j'imagine mais c'est en gros comme cela qu'elle me raconte et je n'y résiste pas...je finirai ce passage tantôt et vous dirai ensuite comment les choses ont évoluées....
- 27 oct. 2010, 09:04
#115800
OUAHHHHHHHHHH que de souvenirs, super content de vous revoir, je me souviens encore de bonnes soirées et nuits en votre compagnie sur un autre forum pour lire vos expèriences et voir la belle se livrer dans les bras de ses amants....
- 28 oct. 2010, 16:14
#116831
Le spectacle dans le miroir était si cru que je fus submergée par un orgasme qu'il prolongea en me possédant longuement, sa main baillonnant ma bouche pour camoufler les gémisssements que je ne pouvais contenir.
Il se retira et je m'agenouillai devant lui pour lui rendre le plaisir qu'il venait de me procurer. "
Pour une première ce fut aussi fort qu'imprévu et c'est exactement ce qu'elle recherche, ma princesse.
Elle avait hésité à s'en ouvrir à moi puis avait pris la décision de continuer sur sa lancée, de jouer encore à la femme infidèle, jusqu'à ce jour où l'envie de partager avec moi se fit plus pressante.
A partir de la elle y gagna en liberté, pouvant désormais le rencontrer le soir, elle lui dit également m'avoir tout avoué, face à sa surprise elle lui expliqua notre mode de vie et il ne fut pas contre l'idée de faire ma connaissance à un moment ou à un autre et eventuellement de jouer à d'autres jeux.....
Nous étions au mois de Juin.....
Il se retira et je m'agenouillai devant lui pour lui rendre le plaisir qu'il venait de me procurer. "
Pour une première ce fut aussi fort qu'imprévu et c'est exactement ce qu'elle recherche, ma princesse.
Elle avait hésité à s'en ouvrir à moi puis avait pris la décision de continuer sur sa lancée, de jouer encore à la femme infidèle, jusqu'à ce jour où l'envie de partager avec moi se fit plus pressante.
A partir de la elle y gagna en liberté, pouvant désormais le rencontrer le soir, elle lui dit également m'avoir tout avoué, face à sa surprise elle lui expliqua notre mode de vie et il ne fut pas contre l'idée de faire ma connaissance à un moment ou à un autre et eventuellement de jouer à d'autres jeux.....
Nous étions au mois de Juin.....
- 28 févr. 2011, 17:09
#257715
Quel dommage de ne plus avoir de vos nouvelles ! Ce récit et les (trop) rares photos qui l'agrémentent sont magnifiques.
YANNCOCU a écrit :Le spectacle dans le miroir était si cru que je fus submergée par un orgasme qu'il prolongea en me possédant longuement, sa main baillonnant ma bouche pour camoufler les gémisssements que je ne pouvais contenir.
Il se retira et je m'agenouillai devant lui pour lui rendre le plaisir qu'il venait de me procurer. "
Pour une première ce fut aussi fort qu'imprévu et c'est exactement ce qu'elle recherche, ma princesse.
Elle avait hésité à s'en ouvrir à moi puis avait pris la décision de continuer sur sa lancée, de jouer encore à la femme infidèle, jusqu'à ce jour où l'envie de partager avec moi se fit plus pressante.
A partir de la elle y gagna en liberté, pouvant désormais le rencontrer le soir, elle lui dit également m'avoir tout avoué, face à sa surprise elle lui expliqua notre mode de vie et il ne fut pas contre l'idée de faire ma connaissance à un moment ou à un autre et eventuellement de jouer à d'autres jeux.....
Nous étions au mois de Juin.....
Quel dommage de ne plus avoir de vos nouvelles ! Ce récit et les (trop) rares photos qui l'agrémentent sont magnifiques.