- 25 juil. 2011, 00:49
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En fonction des circonstances, quand elle rentrait et que nous étions seuls, qu'elle venait juste de se faire remplir, qu'elle avait encore envie etc, elle me demandait de la lécher, parfois elle me racontait en me caressant, parfois je manifestais mon désir et elle me repoussait....
Un jour je lui demandais que nous refassions une soirée à trois et elle ne m'envoya pas balader, au contraire elle eu un petit sourire espiègle et nous prîmes rdv pour deux jours plus tard...
A sa demande j'avais préparé un de mes cocktails dont j'ai le secret, elle s'était préparée avec soins pour le recevoir comme à son habitude, j'étais fébrile, je ne les avais pas revus depuis le début et surtout depuis quelques jours elle ne me racontait plus rien et lui s'était fait plus discret également.
On s'installa dehors sur la terrasse, après deux ou trois verres l'ambiance avait pris un tour très érotique, ils échangeaient des baiser ou des caresses, des regards complices, je pouvais sentir toute l'intimité qu'avait crée entre eux toutes leurs rencontres, leurs ébats, je pouvais toucher du doigt qu'ils étaient un vrai couple d'amants, combien elle le désirait, combien sexuellement elle lui appartenait déjà, j'en avais la gorge serrée mais j'avais tellement envie de les voir faire l'amour que l'excitation prenait le pas sur la jalousie....Quand Jen s'agenouilla devant lui, le dégrafa, sortit sa queue qui jaillit comme un diable de sa boite, qu'elle commença à le sucer, je ressentit une décharge dans le bas ventre ou dans le cerveau ou partout en même temps...J'avais à nouveau la chance de voir ma princesse dans ses oeuvres.
Elle cessa quelques secondes de le prendre entre ses lèvres pour me lancer un " branles toi chéri" suivit comme j'hésitais d'un " je veux voir ta petite queue, dépêches toi!" qui résonna comme un ordre, " et mets toi nu!".
Elle savait parfaitement que je complexais pour mes kilos en trop que j'avais amassais depuis quelques temps, elle savait qu'entre le corps d'athlète de son amant et le mien, qu'entre sa queue et la mienne, il n'y avait pas photo et que j'en ressentais forcément de l'humiliation. Elle le savait et elle en jouait délicieusement je dois l'avouer même si sur l'instant je la maudissais tout en lui obéissant presque à mon corps défendant.
Je ne bandais pas mais j'étais pourtant au bord de la jouissance, Sébastien tout en se délectant de la caresse prodiguée par ma femme ayant commencé à me faire le récit de leurs derniers ébats, sans ménagement, en employant des mots précis, diaboliquement crus, me disant comment il la prenait, comment elle se donnait, combien ses reins s'étaient accoutumés à lui...Jenny m'attira vers elle, elle lâcha la queue de Seb pour prendre la mienne dans sa main, " tu ne bandes pas mon amour!? dommage, tu sais que je n'aime que les queues très dures..."
Elle regarda celle de son amant avec envie et ce n'était pas un jeu, je pouvais lire dans ses yeux combien cette queue puissante devait la satisfaire, elle leva le regard vers Seb et c'était un regard de femelle comblée.
Au moment où elle goba une de ses couilles et que la tenant par les cheveux son amant lui dit" tu es à moi maintenant " , je ne pu retenir plus longtemps la montée de mon plaisir et je jouis dans mes mains en gémissant, une jouissance terriblement forte qui me laissa sans force, aussi bien cérébrale que sexuelle.
Jenny m'embrassa tendrement pendant que Seb rentra son engin et ils m'annoncèrent qu'ils sortaient, qu'ils avaient prévus ensuite d'aller en boite...
"vous ne restez pas? " fis je , sans pouvoir cacher ma déception...
"on revient ne t'inquiètes pas, dis Jennifer, mais tu nous laisses la chambre et ne nous attends pas on rentrera certainement dans la nuit."
"tu voulais en baver...ajouta Sébastien dans un demi sourire...