Un jour, Alexandre m’a reçue très froidement. Je me demandais ce qui se passait.
Il m’a dit: viens espèce de pute.
J’étais complètement estomaquée. Jamais il ne m’avait parlé comme ça.
Il m’a emmenée dans son bureau et m’a montré son écran d’ordinateur, en me demandant: c’est quoi ça?
J’étais là, en grand sur son écran, assise sur une bite d’un black qui me malaxe les nichons.
J’avais oublié cette séance photo, oublié le gars, et jamais imaginé que cette photo se trouverait un jour sur un site.
Tout m’est revenu d’un seul coup. Mes kilos en trop,
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il y a deux ans, la chambre d’hôtel minable, ce black qui aurait pu être mon père mais qui avait une grosse bite, son copain qui faisait des photos avant de prendre son tour. Mon abandon, ma dépravation, ma déprime.
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J’ai voulu prendre Alexandre dans mes bras, il s’est dégagé, mais j’avais eu le temps de sentir son érection. Je n’ai pas réfléchi, je me suis agenouillée et j’ai commencé à ouvrir son pantalon.
Il me disait: arrête, fous le camps espèce de catin, tu ne sais faire que ça, hein? J’ai dit machinalement «oui» et j’ai pris son gland entre mes lèvres. Il continuait de m’insulter: lâche-moi sale pute, tu me salis. Mais il ne faisais rien pour bouger et il me laissait engloutir sa bite jusqu’aux couilles.
Je l’ai sucé comme jamais je n’avais sucé un mec.
Il a joui si fort que je n’ai pas pu tout avaler. J’en avais partout, il criait en me lâchant ses salves chaudes et épaisses: vas y prends, montre ce que tu sais faire, nettoie moi la bite et puis fous le camps que je ne te vois plus jamais.
C’est ce que j’ai fait.
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Je suis partie en pleurant, avec le goût de son sperme sur la langue et des tâches sur mon pull. Puis l’ai marché pendant plus d’une heure dans la ville avant d’échouer dans un bar.
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