- 31 août 2010, 22:45
#76661
EN LIBRAIRIES DEPUIS QUELQUES SEMAINES...
". C'est à cause d'elle que je dois partir. A cause de Marie. Elle a épousé mon meilleur ami, Henri de Régnier ! Il m'a trahi ! Nous devions faire notre demande ensemble ! Alors que j'étais en voyage, il a payé les dettes de jeu du père, le vieux Heredia. Elle a été vendue ! Mais il y a une justice. Elle s'est toujours refusée à lui. Le mariage n'est pas encore consommé, et c'est moi qui ai baisé et enculé Marie !
_ De quoi vous plaignez-vous ?
_ Je voulais l'épouser ! Mais elle est enceinte. Vous comprenez ? Le cocu ne voudra jamais croire à une conception miraculeuse. Il faut absolument que le mariage soit consommé maintenant ! Le cocu ferait un scandale, et jusqu'à présent nous avons sauvé les apparences...Vous étiez un ami de mon frère. Vous êtes un gentleman... Je compte sur…
_ Je serai muet comme une pyramide."
(...)
"_ Tout artiste, tout écrivain rêve d’être un Pygmalion. Il veut donner vie aux obsessions de son esprit malade. Je ne connais pas ton Alexandre, mais je connais mon Pierre. A la ville c’est un jeune homme très poli, très cultivé, dont toutes ces dames voudraient faire leur gendre. Bien sûr, il a écrit des romans un peu lestes, mais de nos jours les mères sont tolérantes envers les personnes célèbres. Surtout la mienne. Seulement voilà, le charmant célibataire écrit aussi pour ses tiroirs, et pour quelques amis, des petites pièces merveilleusement dégoûtantes qui font de ses romans des missels.
_ Tu parles de Pierre...Louis, bredouilla Lucie incrédule ?
_ Oui.
_ Pierre Louis est ton amant ?
_ Oui.
_ C’est passionnant, continue !
_ C’est mon père qui a décidé le mariage avec l’autre ! Mais moi je n’ai pas renoncé à mon choix. Il a fallu deux ans pour le convaincre de cocufier son meilleur ami. Mais j’ai découvert que tous ces scrupules masquaient un esprit très pervers. Il a voulu me photographier nue, et plus encore... je ne devrais pas ...
_ Si, si !"
(...)
"_ J’espère qu’il n’est pas au courant de mes aventures avec ses amis.
_ C’est sa faute, il t’a abandonnée !
_ Oui, quand on me parlait des envies de femme enceinte je ne pensais pas qu’elles étaient de cette nature. Les hommes sont incompréhensibles !
_ Que veux tu dire ?
_ Ils adorent nous plier, nous pétrir, nous distendre, nous remplir, et quand la grossesse nous remplit et nous distend, ils fuient... Mon amant ne veut plus me voir et mon mari a peur de faire du mal au bébé. Oncques vit-on cocu aussi méritant !"
A SUIVRE...
". C'est à cause d'elle que je dois partir. A cause de Marie. Elle a épousé mon meilleur ami, Henri de Régnier ! Il m'a trahi ! Nous devions faire notre demande ensemble ! Alors que j'étais en voyage, il a payé les dettes de jeu du père, le vieux Heredia. Elle a été vendue ! Mais il y a une justice. Elle s'est toujours refusée à lui. Le mariage n'est pas encore consommé, et c'est moi qui ai baisé et enculé Marie !
_ De quoi vous plaignez-vous ?
_ Je voulais l'épouser ! Mais elle est enceinte. Vous comprenez ? Le cocu ne voudra jamais croire à une conception miraculeuse. Il faut absolument que le mariage soit consommé maintenant ! Le cocu ferait un scandale, et jusqu'à présent nous avons sauvé les apparences...Vous étiez un ami de mon frère. Vous êtes un gentleman... Je compte sur…
_ Je serai muet comme une pyramide."
(...)
"_ Tout artiste, tout écrivain rêve d’être un Pygmalion. Il veut donner vie aux obsessions de son esprit malade. Je ne connais pas ton Alexandre, mais je connais mon Pierre. A la ville c’est un jeune homme très poli, très cultivé, dont toutes ces dames voudraient faire leur gendre. Bien sûr, il a écrit des romans un peu lestes, mais de nos jours les mères sont tolérantes envers les personnes célèbres. Surtout la mienne. Seulement voilà, le charmant célibataire écrit aussi pour ses tiroirs, et pour quelques amis, des petites pièces merveilleusement dégoûtantes qui font de ses romans des missels.
_ Tu parles de Pierre...Louis, bredouilla Lucie incrédule ?
_ Oui.
_ Pierre Louis est ton amant ?
_ Oui.
_ C’est passionnant, continue !
_ C’est mon père qui a décidé le mariage avec l’autre ! Mais moi je n’ai pas renoncé à mon choix. Il a fallu deux ans pour le convaincre de cocufier son meilleur ami. Mais j’ai découvert que tous ces scrupules masquaient un esprit très pervers. Il a voulu me photographier nue, et plus encore... je ne devrais pas ...
_ Si, si !"
(...)
"_ J’espère qu’il n’est pas au courant de mes aventures avec ses amis.
_ C’est sa faute, il t’a abandonnée !
_ Oui, quand on me parlait des envies de femme enceinte je ne pensais pas qu’elles étaient de cette nature. Les hommes sont incompréhensibles !
_ Que veux tu dire ?
_ Ils adorent nous plier, nous pétrir, nous distendre, nous remplir, et quand la grossesse nous remplit et nous distend, ils fuient... Mon amant ne veut plus me voir et mon mari a peur de faire du mal au bébé. Oncques vit-on cocu aussi méritant !"
A SUIVRE...
Cocufieur, je l'ai été, avec différentes femmes, avec ou sans la complicité du mari, mais je suis candauliste dans l'âme et je préfèrerais tellement être le cocu ! Alors je cherche ma belle infidèle, ici et ailleurs...