- 29 juin 2011, 11:37
#576112
Je ne suis pas sûr d'etre dans la bonne rubrique, mais si cela est le cas je compte sur les modos pour rediriger mon texte.
Je ne l'ai pas ércris moi-même, c'est mon épouse qui l'a écrit pour un autre site où nous allions.
Je l'ai retrouvé , je crois qu'il correspond bien au forum( vos pratiques candaulistes ).
Voila je vous livre ce texte de mon épouse, bonne lecture à vous, et dites nous ce que vous en pensez...
Cette histoire est le fruit de deux choses, d’une panne de fuel, et aussi d’une discussion sur le fait que l’hiver n’est pas propice aux exhibs en général.
Nous avions une discussion avec Darys sur ce sujet, moi, disant que l’hiver il y avait peu de choses à faire, et lui, que si les choses viennent moins facilement, il faut les provoquer, il me donne alors l’exemple de la livraison de fuel dans les jours à venir, (et là je le soupçonne d’y avoir pensé avant), et il me dit « tu n’as qu’à chauffer le livreur ».
Je suis un peu septique, car les autres fois le livreur était plutôt sage, et les fois où il était remplacé, c’était pareil. Darys lui prétend que même lui dans ces conditions, il ne bougerait pas un œil s’il n’avait pas un signal fort lui faisant penser que la femme le fait volontairement et que ans ce cas il n’y aura pas de conflit si il mate.
Donc le jour venu, je suis prête, pas convaincue du résultat mais motivée !!! Nous avons convenu avec Darys que je reçois le livreur seule, (Darys dans la pièce à côté pour ne pas effaroucher notre livreur) vêtue d’un mini peignoir en coton tout fin, très court, et très peu croisé, sans rien dessous bien sur.
Vers 10h du matin, klaxon devant la maison, je fais signe au livreur de faire le tour pour arriver de l’autre coté de la maison où nous avons la citerne, je descends lui ouvrir la porte du jardin, et lui montrer où est la citerne. Surprise ce n’est pas celui de d’habitude, quarantaine pas mal, souriant, sympa quoi…
Dehors dans ma tenue, je n’ai vraiment pas très chaud, lui s’en est rendu compte, et me le dit en souriant, du coup je lui réponds, « je ne sais pas comment vous le savez, mais c’est vrai, je ne vous dirai pas ce que je me gèle mais je me le gèle ».
Je retourne à la maison le temps qu’il finisse et il arrive un moment plus tard avec des stylos de pub et un calendrier, il remplit son bordereau, et moi mon chèque. Je suis penchée en avant pour écrire et je sais que mon peignoir et largement entrouvert pour qu’il puisse voir, je crois même sentir son regard , mais je n’ose pas regarder , le chèque rempli je me relève , et là je vois bien qu’il est très réceptif , sans remettre de l’ordre dans ma tenue, je lui propose un café qu’il accepte de suite et me dit qu’il va fermer son camion le temps de boire le café, surprise par sa fuite, je vais en vitesse voir Darys à côté pour lui dire qu’il mate pas mal .
A son retour il quitte son blouson en entrant, le pose sur le porte manteau en disant que dehors ça caille et que chez nous il fait bon, et il ajoute au fait vous vous êtes réchauffé ce qui gelait ? Un peu gênée je réponds que oui ça se réchauffe vite, lui me dit il faut mettre des culottes en laine, je lui dis, « encore faut-il en mettre une » … et là il me scotche en répondant, oui je crois bien avoir vu.
Il s’assoit en bout de table dans la cuisine, je mets nos tasses et au moment ou je suis juste à côté et que je commence à verser le café dans la sienne il passe sa main droite entre mes jambes juste au-dessus du genou, l’attaque est franche, pas prévue, je n’ose pas le regarder je continue à verser.
Lui monte doucement sa main en me disant que ma peau et douce, je pose la cafetière sur la table et ferme les yeux, il continu à me parler doucement, les mots, la main tout me caresse, la main est de plus en plus précise.
Il me dit on pourrait mettre le café sur le buffet, et je m’entends dire oui sans même avoir réfléchi.
Nous enlevons tasses et cafetière de la table, il veut que je m’assoie sur le bout de la table, comme je crois qu’il veut me prendre comme ça je lui dis pas sans protection, et lui répond, c’est ce que je suis allé chercher dans mon camion.
Assise sur le bout de la table il continu ses mots doux et me complimente en me caressant, ouvre le peignoir, caresse mes seins puis me fait allonger sur la table, il met une chaise de chaque coté pour que je pose mes pieds, puis plonge sa tête entre mes cuisses, commence en douceur puis de plus en plus ferme et rythmé, c’est très agréable mais je ne crois pas pouvoir jouir.
Mais il est patient, et petit à petit le fait d’être nue sur cette table en train de ma faire sucer par un inconnu, alors que la grille du portail est grande ouverte , et la porte pas fermée à clé, avec mon chéri à côté qui ne doit pas en louper un mot, ni peut-être une image, si il peut voir par moment par la porte entrouverte, et qui doit bander comme un voyeur qu’il est !!!
Toujours est-il que le risque d’être surprise par un voisin, de faire bander mon chéri, et la langue de mon livreur, qui se révèle un excellent partenaire, je me sens monter, lui aussi sent que je monte et se règle sur moi, sa langue suit mon plaisir qui monte.
A mon premier gémissement il comprend que je pars, il plaque sa bouche en succion sur mon clito et ne le lâche plus, le plaisir est énorme, je ne gémis plus je jouis franchement, après le début de ma tempête, sa langue va de mon vagin au clito, jusqu'à la fin de mon plaisir,
La il se relève met une capote, moi je n’ai pas bougé, anéantie par le plaisir, il rentre d’un coup en moi puis commence tout doucement, et puis accélère progressivement le mouvement, il tire sur mes cuisses pour me pénétrer plus profondément, là je le regarde bien pour voir quand il va venir, c’est à mon tour de guider son plaisir.
Je guette sur son visage la première contraction, (hé oui messieurs vous faites des grimaces quand vous jouissez), au moment où il jouit il grogne de plaisir, moi je sers mon vagin le plus fort possible et pour le sentir mieux et aussi pour accroître son plaisir a lui.
C’est je crois une des premières fois que ça marche aussi fort avec un inconnu qui n’est pas guidé pour savoir ce que j’aime.
Il est parti après un bisou qu’il méritait bien, (presque en courant sa tournée était bien compromise), et en oubliant le chèque que nous avons dû poster.
A peine parti, Darys est sorti de la pièce à côté en bandant comme un cerf, il a commencé a me caresser les seins, mais l’heure n’est plus aux préliminaires.
Sur la table dans les mêmes conditions, il me baise avec la fougue d’un gamin, sauf qu’il bloque l’éjaculation à plusieurs reprises pour que ça dure, là il nous faut l’orgasme le plus fort possible.
Je ne l'ai pas ércris moi-même, c'est mon épouse qui l'a écrit pour un autre site où nous allions.
Je l'ai retrouvé , je crois qu'il correspond bien au forum( vos pratiques candaulistes ).
Voila je vous livre ce texte de mon épouse, bonne lecture à vous, et dites nous ce que vous en pensez...
Cette histoire est le fruit de deux choses, d’une panne de fuel, et aussi d’une discussion sur le fait que l’hiver n’est pas propice aux exhibs en général.
Nous avions une discussion avec Darys sur ce sujet, moi, disant que l’hiver il y avait peu de choses à faire, et lui, que si les choses viennent moins facilement, il faut les provoquer, il me donne alors l’exemple de la livraison de fuel dans les jours à venir, (et là je le soupçonne d’y avoir pensé avant), et il me dit « tu n’as qu’à chauffer le livreur ».
Je suis un peu septique, car les autres fois le livreur était plutôt sage, et les fois où il était remplacé, c’était pareil. Darys lui prétend que même lui dans ces conditions, il ne bougerait pas un œil s’il n’avait pas un signal fort lui faisant penser que la femme le fait volontairement et que ans ce cas il n’y aura pas de conflit si il mate.
Donc le jour venu, je suis prête, pas convaincue du résultat mais motivée !!! Nous avons convenu avec Darys que je reçois le livreur seule, (Darys dans la pièce à côté pour ne pas effaroucher notre livreur) vêtue d’un mini peignoir en coton tout fin, très court, et très peu croisé, sans rien dessous bien sur.
Vers 10h du matin, klaxon devant la maison, je fais signe au livreur de faire le tour pour arriver de l’autre coté de la maison où nous avons la citerne, je descends lui ouvrir la porte du jardin, et lui montrer où est la citerne. Surprise ce n’est pas celui de d’habitude, quarantaine pas mal, souriant, sympa quoi…
Dehors dans ma tenue, je n’ai vraiment pas très chaud, lui s’en est rendu compte, et me le dit en souriant, du coup je lui réponds, « je ne sais pas comment vous le savez, mais c’est vrai, je ne vous dirai pas ce que je me gèle mais je me le gèle ».
Je retourne à la maison le temps qu’il finisse et il arrive un moment plus tard avec des stylos de pub et un calendrier, il remplit son bordereau, et moi mon chèque. Je suis penchée en avant pour écrire et je sais que mon peignoir et largement entrouvert pour qu’il puisse voir, je crois même sentir son regard , mais je n’ose pas regarder , le chèque rempli je me relève , et là je vois bien qu’il est très réceptif , sans remettre de l’ordre dans ma tenue, je lui propose un café qu’il accepte de suite et me dit qu’il va fermer son camion le temps de boire le café, surprise par sa fuite, je vais en vitesse voir Darys à côté pour lui dire qu’il mate pas mal .
A son retour il quitte son blouson en entrant, le pose sur le porte manteau en disant que dehors ça caille et que chez nous il fait bon, et il ajoute au fait vous vous êtes réchauffé ce qui gelait ? Un peu gênée je réponds que oui ça se réchauffe vite, lui me dit il faut mettre des culottes en laine, je lui dis, « encore faut-il en mettre une » … et là il me scotche en répondant, oui je crois bien avoir vu.
Il s’assoit en bout de table dans la cuisine, je mets nos tasses et au moment ou je suis juste à côté et que je commence à verser le café dans la sienne il passe sa main droite entre mes jambes juste au-dessus du genou, l’attaque est franche, pas prévue, je n’ose pas le regarder je continue à verser.
Lui monte doucement sa main en me disant que ma peau et douce, je pose la cafetière sur la table et ferme les yeux, il continu à me parler doucement, les mots, la main tout me caresse, la main est de plus en plus précise.
Il me dit on pourrait mettre le café sur le buffet, et je m’entends dire oui sans même avoir réfléchi.
Nous enlevons tasses et cafetière de la table, il veut que je m’assoie sur le bout de la table, comme je crois qu’il veut me prendre comme ça je lui dis pas sans protection, et lui répond, c’est ce que je suis allé chercher dans mon camion.
Assise sur le bout de la table il continu ses mots doux et me complimente en me caressant, ouvre le peignoir, caresse mes seins puis me fait allonger sur la table, il met une chaise de chaque coté pour que je pose mes pieds, puis plonge sa tête entre mes cuisses, commence en douceur puis de plus en plus ferme et rythmé, c’est très agréable mais je ne crois pas pouvoir jouir.
Mais il est patient, et petit à petit le fait d’être nue sur cette table en train de ma faire sucer par un inconnu, alors que la grille du portail est grande ouverte , et la porte pas fermée à clé, avec mon chéri à côté qui ne doit pas en louper un mot, ni peut-être une image, si il peut voir par moment par la porte entrouverte, et qui doit bander comme un voyeur qu’il est !!!
Toujours est-il que le risque d’être surprise par un voisin, de faire bander mon chéri, et la langue de mon livreur, qui se révèle un excellent partenaire, je me sens monter, lui aussi sent que je monte et se règle sur moi, sa langue suit mon plaisir qui monte.
A mon premier gémissement il comprend que je pars, il plaque sa bouche en succion sur mon clito et ne le lâche plus, le plaisir est énorme, je ne gémis plus je jouis franchement, après le début de ma tempête, sa langue va de mon vagin au clito, jusqu'à la fin de mon plaisir,
La il se relève met une capote, moi je n’ai pas bougé, anéantie par le plaisir, il rentre d’un coup en moi puis commence tout doucement, et puis accélère progressivement le mouvement, il tire sur mes cuisses pour me pénétrer plus profondément, là je le regarde bien pour voir quand il va venir, c’est à mon tour de guider son plaisir.
Je guette sur son visage la première contraction, (hé oui messieurs vous faites des grimaces quand vous jouissez), au moment où il jouit il grogne de plaisir, moi je sers mon vagin le plus fort possible et pour le sentir mieux et aussi pour accroître son plaisir a lui.
C’est je crois une des premières fois que ça marche aussi fort avec un inconnu qui n’est pas guidé pour savoir ce que j’aime.
Il est parti après un bisou qu’il méritait bien, (presque en courant sa tournée était bien compromise), et en oubliant le chèque que nous avons dû poster.
A peine parti, Darys est sorti de la pièce à côté en bandant comme un cerf, il a commencé a me caresser les seins, mais l’heure n’est plus aux préliminaires.
Sur la table dans les mêmes conditions, il me baise avec la fougue d’un gamin, sauf qu’il bloque l’éjaculation à plusieurs reprises pour que ça dure, là il nous faut l’orgasme le plus fort possible.