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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par cassandra
#761027
La relation que j’entretiens avec mon mari est depuis une dizaine d’années (c’est-à-dire, une fois épuisées les soit disants évidences de la vie de couple ) un véritable laboratoire des cruautés et des douceurs. L’amour qui en sort ne cesse de grandir, développant, comme un arbre vers le ciel, des ramifications infinies.
Je comparerai la vénération que mon mari a pour moi à un chaudron où je verse mes ingrédients (mélange vénéneux d'amour, de tendresse, de don, de bienveillance, de supplices, de perversité, de privations...) et sous lequel je maintiens un feu permanent.
Chaque étape franchie semble être ultime... et chaque fois pourtant elle est dépassée.
J'ai pris hier une décision folle dont je ne me serai pas sentie capable il y a quelques semaines encore : priver définitivement mon mari de toute relation sexuelle avec moi, du moins tant que ma vie libertine restera active. Bien sûr, des exceptions seront possibles, selon mes envies, mais je me garde bien de le lui dire.
Je lui ai annoncé la nouvelle hier, non sans avoir pris la précaution de le faire pendant une période d’abstinence sexuelle, c’est-à-dire sur un point de crête où sa vénération pour moi est telle que seule lui importe la satisfaction de mes désirs, faisant passer au second plan toute considération personnelle.
Si cette annonce fut dans un premier temps un choc psychologique violent pour lui, la chasteté dans laquelle je le maintiens depuis plusieurs semaines s’est avérée un terrain favorable à l’acceptation progressive de cette idée.
Mais je sais aussi que les jours prochains vont être déterminants : il me faut être intraitable avec cette résolution que je lui impose autant que je me l’impose à moi-même.
Cette décision m'excite au plus haut point. Non seulement, elle est le prolongement d’une évidence sensuelle, portée ici à son point absolu : c'est avec mes amants et en dehors de la maison que je vis la singularité et la richesse de ma vie sexuelle. Mais elle porte aussi le désir de mon mari à un point culminant, indépassable, l’intensité de sa conscience d’aimer se confondant avec son manque de moi.
Cela peut paraître improbable, mais au fond ce mouvement simultané et divergeant nous unit: son amour s'intensifie dans le manque pendant que le mien s’épanouit dans l’abondance. Mon sexe manquant le comble de désir tandis que le sexe rentrant de mes amants me comble de jouissance.
par lobservateur
#778092
hum Cassandra... ma femm et moi en arrivons au meme point que toi, mais elle veut aller encore plus loin jecrois, car elle a constate que, à mon corps défendant, parfois pendan un e période ou elle minterdit formellement toutes jouissance jejacule parfois spontanément et que j'en ressens une jouissance correspondante
donc devant cette impossibilité à m imposer une chasteté totale elle a évoqué de me faire castrer, c est dire enlever mes petites couilles mais on lui a dit que meme sans couille on peut encore bander, alors elle sed emande s il ne faudrait pas tout supprimer, couilles et queue, qu'en penses tu? j'aimerais l'avis d une femme extérieure avant d accepter ou refuser
par FernandRenaud
#780925
J'ai lu des choses tellement incroyables ici que je ne sais plus ce qui est du lard ou du cochon. Ma première lecture du post de lobservateur était au premier degré : *chaud king *.
Effectivement, quand on se prend à croire que lobservateur a voulu faire du cynisme (lors d'une seconde lecture, au second degré), là, ouf, d'un seul coup je rigole et je me sens mieux.

[EDIT] En fait, LOL quoi :D
j'ai trouvé ça, du même auteur :

lobservateur a écrit :c'est marrant ça, tout le monde prétend être ds un couple UNI, AIMANT etc etc et de meme les annonces coquines précisent toujours nns nous aimons et ns respectons, formons un couple uni, complice, blablabla
Si c'etait si vrai que ça pourquoi ce besoin de le proclamer? pour vs rassurer en fait, la méthode Coué donc.
moi je m'en fiche de rencontrer une f ou un couple uni etc ce qui compte c'est la disponibilité de mes partenaires et la mienne pour eux et les plaisirs multiples que l'on retire de ces rencontres fugaces ou durables, voilà


Ca se passe là : jusqu-ou-va-l-influence-de-l-amant-sur-votre-couple-t12958-50.html#p598746
par FernandRenaud
#780951
Enfin bref, pour ma part, je crois être candauliste (je tripe quand je vois ma copine avec un 2ème mec, tout ça tout ça), mais lire des choses comme ce que je lis parfois, ça me fout les boules grave, j'en chie dans le froc à vrai dire, et je me force à croire que je ne dévierai jamais vers de telles pratiques courant à notre propre-perte, notre auto-destruction. Vraiment, ça me fout une peur bleue. Je finis par me dire qu'un jour, je vais tout arrêter, de peur de TOUT (au sens extrêmement large) perdre.
par cassandra
#803421
Steeve a écrit :La question de la privation est cruciale. C'est cette privation, surtout si elle est présentée comme définitive, qui va le conduire à faire de vous une déesse. Comme vous le dites si joliment, ne pouvoir s'enfoncer en vous, va l'élever vers l'amour pur et absolu.
Racontez-nous comment vous avez prix cette décision ? Et comment vous la lui avez annoncée ? Sa réaction ?
Dites-nous s'il lui est autorisé de se masturber ? Lui racontez-vous vos aventures, les détails ?
J'adore vos posts.

Est-il beau (votre époux) et est-il bien pourvu par la nature ?


Comment j'ai pris cette décision ? Je l'ai un peu évoqué dans mon post.
Nos relations se sont restreintes au fil des ans et de mes sorties libertines, réservant nos épisodes charnels avec à des moments "rares", à tous les sens du terme. Conjointement, je vis une vie sexuelle singulière, différente et abondante auprès de mes amants. Les deux vies s'encastrent l'une dans l'autre avec bonheur. La perversité de ma part, si il y en a une, est de maintenir mon mari dans un état désirant assez haut pour qu'il l'accepte et même appelle mon épanouissement de libertine de tous ses voeux. C'est chose faite depuis quelques années.
Quant à la décision de le priver définitivement (ou presque), elle est est venue comme un prolongement de ce que nous avons mené jusqu'à aujourd'hui: à moi les sorties, les lumières, l'abondance, à lui l'ombre, les fers, la privation.
Il n'est d'autre part, je l'ai déjà évoqué dans de précédents post, pas autorisé à se masturber : hors de son désir fou de moi, cet édifice mental s'écroulerait et il faudrait recommencer. Je lui fais donc porter une cage de chasteté en mon absence.
Il est bien sûr au courant de mes aventures, voit parfois passer un amant à la maison, où regarde mes ébats sur l'écran d'une webcam quand je suis dans le lit d'un autre. Mais la plupart du temps, je lui raconte. Il sait tout... ou presque, car j'aime aussi qu'il sache que j'ai une intimité avec mes amants et qu'il il n'y a pas accès. Qu'il sache que ce jardin existe est important.
C'est un homme beau à l'extérieur comme à l'intérieur, pourvu normalement au niveau du sexe... mais c'est aussi mon cocu. Rien ne le définit d'avantage. Et rien ne donne d'avantage d'horizons et d'épanouissement à ma propre vie de femme. C'est le Destin dans lequel je l'ai moulé, avec son consentement.
Modifié en dernier par cassandra le 12 oct. 2011, 14:50, modifié 1 fois.
#803668
Je continue de m'interroger sur le lien avec le Candaulisme. Ces récits me laissent songeur, pantois et même hagard. Je n'arrive pas à atteindre le degré de réflexion qui me permettrait de comprendre la motivation du mari (si je peux encore l'appeler par ce mot). Les frontières du bien et du mal semblent être dès lors complètement effacées à jamais. J'allais me poser la question de savoir quel est le bonheur que cherche à atteindre le mari, et comment l'atteindre. Mais pourquoi parler de bonheur, alors que c'est peut-être le pire des malheurs qui est devenu désormais la quête de cet homme.
par cassandra
#803769
Ohhhhh... je suis assez sidérée par ce (beau) témoignage Steeve ! Flattée et sidérée. Embrasser tout cela d'un regard donne le tournis ! Saurai-je vous répondre ? Ce sont des vies qu'il faut reprendre, les nôtres. Un amour hors normes où rien n'est accessoire, surtout pas les détails. Une histoire qui ne cesse de s'épanouir dans sa propre dissolution.
Il me faudra un peu de temps...
par cassandra
#804783
Sans doute ne vais-je répondre qu’imparfaitement à vos questions, si nombreuses. Sans doute aussi, ce post va-t-il paraître à certains un peu long. J’ai pioché dans les souvenirs, les échanges passés et le présent si brûlant la matière d’une première réponse. Résume-t-on une tempête en quelques jets d’encre ? Il me faudrait, au-delà des grands traits de notre histoire, entrer aussi dans le quotidien. Une autre fois, peut-être...

Chacun de nous est régi par les dogmes qui lui sont soufflés, dès l’enfance : par ses parents, les institutions, les codes de la vie sociale, les règles de la bienséance. S’extraire de ce conditionnement pour se construire personnellement réclame du courage et, souvent, de frayer seul à travers la foule.
À ces règles s’ajoutent, pour les femmes, celles, non moins étouffantes, de la morale sexuelle. Je n’ai pas échappé à cela : enfance dans une petite ville de province, vie familiale étriquée, encouragements permanents à entrer dans le rang, à ne pas se distinguer, à être « comme il faut ». La chair s’est inclinée suivant le même poids imprimé à l’esprit : repli sur soi, corps jugé en disgrâce, plaisir étouffé. Non que je n’ai pas eu, plus tard, de vie amoureuse épanouie, mais son véritable potentiel m’était étranger. Me débarrasser de ces « habits » a pris du temps.
Jusqu’à la rencontre avec mon mari, et malgré quelques belles aventures amoureuses antérieures, je n’aimais pas spécialement mon corps. L’amour de mon mari pour moi, sa propre faculté à se libérer du rôle social que l’on réserve ordinairement aux hommes (force, ambition, pouvoir…) pour s’en remettre sans aucun réflexe de défense au désir que je lui inspirai m’ont libérée, de l’intérieur. Et ont littéralement « exhumé » ma beauté. Par beauté, je veux dire une sorte de rayonnement devant lequel tout devenait possible : érotisation du quotidien, fascination grandissante de mon mari à mon égard, extension du champ amoureux hors des gestes et des pratiques considérées comme décentes.
Le projet amoureux que nous avons construit, sur un fil ténu d'abord, n'a cessé de croître depuis plus de 15 ans. L'intelligence, la confiance que je trouvais en lui se sont avérées des signes suffisants pour que nous nous livrions l'un à l'autre dans nos gouffres. Et nous engagions à libérer notre amour des conventions afin d'en exhumer la partie gigantesque, inconnue. Il m'a fait accéder à un état "supérieur" qui me rend littéralement rayonnante. Plus j'aime, plus j'ai envie d'aimer et plus je suis aimée. Autour de notre relation de couple, je suis passée d'un amant à deux, puis trois, puis dix...

Une seconde étape, toute aussi longue, consista à me libérer d’un statut de femme d’intérieur derrière lequel je m’étais confortablement réfugié. Ce n’était pas assez de m’affranchir de mon corps, il fallait que je franchisse le seuil de mon chez moi : l’amour était aussi dehors, il ne demandait qu’à s’offrir et à m’épanouir. Accepter cela demanda beaucoup d’échanges. Mon mari m’y aida encore une fois. Je lui en rends grâce parce qu’il reçut souvent de ma part de l’incompréhension et, pire parfois, mon jugement : s’il m’aimait, comment pouvait-il concevoir que je goûte l’amour « ailleurs » ? Je me battais contre des mensonges auxquels j’avais fini par croire : un homme, une vie, une maison, une famille.
Aujourd’hui, libre de plaire, je plais réellement. Je goûte mes amants sans culpabilité. Et je prends leur désir pour ce qu’il est : une possibilité de communion amoureuse qui enrichit ma vie, me rend meilleure, plus belle et aussi plus amoureuse au sein de mon couple. J’aime, je suis aimé et je rends cet amour au centuple à ceux qui m’entourent. De cela, chacun profite « sans compter »: on n’aime bien que plusieurs fois.

Pour entrer d’avantage dans le réel de notre vie, je dirai que le désir de mon mari pour moi est la matière infinie que je "travaille" et dont je tire des ressources de vie non seulement au niveau de notre couple, mais aussi sur le plan personnel !
J’ai découvert progressivement qu’en l’excitant et en le privant en même temps de moi, il développait des comportements d’attention, de docilité, de tolérance et d'adoration accrus. Je devenais son unique fantasme.
C’est un cercle vertueux : il me suffit d’accroître simultanément l’excitation et la privation pour que son inféodation et sa fascination grandissent !
Lorsque j’ai pris conscience de ce pouvoir, mon horizon de femme s’est littéralement ouvert devant moi. Tout à coup, j’obtenais non seulement l’amour illimité de mon mari, mais en même temps une liberté d’action sans mesure. Je peux même dire aujourd’hui que j’ai poussé cela si loin qu'il en a perdu tout libre-arbitre et jusqu’au souci de sa propre individualité. Chacun de ses actes est tourné vers un seul but : satisfaire mon bonheur. Mes plaisirs sont les siens et ce qui est bon pour moi est bon pour lui !

Plus concrètement, j’ai commencé par réduire progressivement nos relations sexuelles : depuis 5 ans, une fois par mois environ, mais en réalité cela dépend de mes rendez-vous extérieurs. J’assigne à mon mari le rôle d’un amant de substitution, à disposition lorsque mes amants ne le sont pas. Et quand je l’autorise à me faire l’amour, il doit se consacrer entièrement à mon plaisir, comme un amant. J'ai pris récemment la décision de le priver totalement de moi (je reviendrai sur un post à part sur les conditions de cet acte), mais c’est plus une emprise psychologique je l’avoue. J’ai besoin de sa queue parfois et lorsque nous baisons, je prétexte une envie subite ou une absence de mes amants.
C'est pareil pour les éjaculations, mais je prends soi de le vider tous les 10 jours environ. Parfois moins, parfois plus. Le temps de cette abstinence, je l’excite autant que possible (le plus souvent en le suçant), condition pour que mes
écarts de conduite ne génèrent aucun doute ou résistance de sa part. Ces éjaculations sont terminées à la main, comme une traite, de manière à ce qu’il ne puisse l’apparenter à une pratique sexuelle qu’il aurait avec moi. Un truc que je pratique parfois, pour le « punir », c'est le déni d’orgasme. Je fais venir les premières convulsions, puis je coupe brutalement : le sperme sort (un peu), mais sans qu’il en éprouve aucun plaisir. Sa tension retombe assez pour être supportable, mais pas suffisamment pour l’extraire de la brûlure du désir.
Je veille également à ce qu’il ne puisse se masturber. Quand je sors avec un amant, je lui fais porter une cage de chasteté. S’il est seul à la maison, je lui fais aussi porter la cage. Toute possibilité de se soulager en mon absence lui est ainsi impossible.
Les carences sexuelles que je lui impose n’altèrent en rien son comportement de mari ou d’amant, au contraire. Les faits parlent pour moi et sous l’emprise de sa nouvelle existence (identité devrai-je dire même), rarement il n’a l’occasion de se plaindre ou d’être un mauvais mari ou un mauvais amant.
Que cela soit clair, la privation dans laquelle je maintiens mon chéri n’exprime pas un éloignement de ma part mais plutôt la volonté de le « mouler » psychologiquement à mes seuls désirs. Comme cela marche au-delà de ce que je pouvais imaginer, il n’est pas pour moi de plus grand plaisir que de lui en faire, permettez-moi le terme, baver. Et pour cause : le priver de moi accentue son désir et son incapacité à me résister sans que sa psyché n’est à souffrir outre mesure des libertés, de plus en plus grandes, que je prends. Il vit quotidiennement dans cette famine de moi. Sa vie se « réduit» à me désirer, à m’attendre quand je sors, à tout faire pour me mériter, et je n’aime rien tant que de le savoir dans cette tension érotique permanente pendant je m’ébats joyeusement d'un lit à l'autre.
Pourrait-il s’en réveiller ? Je ne le pense pas. La dépendance dans laquelle je le plonge est comme un acquis, et chaque stimulation que j’y ajoute ne fait que la faire grandir, sans "retour" possible de sa part : c’est une spirale infinie. Il me faut simplement veiller, et vous avez parfaitement raison d’insister sur ce point, à ce que cette chaîne ne soit pas rompue. Et que les témoignages d’amour à son égard demeurent intacts. Il se trouve qu’ils le sont, ce qui tend à prouver que l’amour ne perd rien à rayonner vers plusieurs partenaires, contrairement à ce que l’on aurait tendance à nous faire croire depuis le berceau.

Aujourd’hui, ma vie est ainsi faite qu’il n’y a plus aucune restriction à mon épanouissement : je sors et couche avec qui je veux, aussi souvent que je veux, tout le temps que je veux.
Le sentiment de culpabilité n’existe plus pour moi : rien de ce que je fais n’est mal. Par exemple, si je veux faire une chose qui peut faire souffrir mon mari, mais que je considère cette chose bonne pour moi, j’accrois sa dépendance sexuelle envers moi afin que cette chose devienne bonne pour lui. Mieux encore, la notion de moralité ou d’amoralité dans ma vie quotidienne ou sexuelle est laissée à ma seule appréciation : je suis libre de dire ou de faire ce que je veux dans la mesure ou j'ai décrété que l’acte en question ne porte pas atteinte à notre amour. Ainsi, j’ai toujours raison, même lorsque j’ai tort !
Dans ce cadre, ma façon de parler à mon mari est un des outils dont je me sers pour accroître cette « distance vertueuse » entre nous et augmenter mon influence érotique sur lui. Je le traite de « cocu » aussi souvent que possible, manière de lui rappeler son seul statut à mes yeux. Cette pression est importante pour éviter tout flottement mental chez lui : l’homme voué a besoin de son piquet !
De la même façon, j’exige, je vampe, j’humilie, je provoque, j’ordonne, je gifle même parfois. Mais l’alternance est une excellente stratégie et une dureté calme est parfois le meilleur atout. Ma façon de procéder va de la moquerie douce à l’ordre le plus ferme, mais aussi de l’humiliation à la menace. Le dernier degré, pour moi, consistant à jouer avec sa terreur que je le quitte. Une arme infaillible… mais que je réserve aux cas exceptionnels, lorsque je dois lui faire accepter quelque chose de très éprouvant : une sortie ou un voyage de plusieurs jours avec un amant, une relation d'ordre amoureux avec un autre homme, des rapports sans préservatifs…
Cela me permet de m’exonérer, aussi, d’une (bonne) partie des taches ménagères. Globalement, il sait qu’il doit prendre en charge tout ce qui peut adoucir ma vie quotidienne et faciliter mes libertés sexuelles à l’extérieur de la maison. Ainsi, la boucle est bouclée.

Cet amour hors norme, c’est notre projet de vie. Nous traversons un quotidien érotisé et tout ce que nous vivons s’en trouve intensifié : son amour pour moi, mon amour pour lui, mes relations avec mes amants, et même la vie quotidienne qui est tout… sauf quotidienne ! Ainsi, la singularité de notre relation rayonne sur tous les aspects de notre vie, bien au-delà du sexe.
Hors (entre ?) les lignes intenses de cette relation hors norme, mon mari et moi vivons une vie amoureuse qui est aussi faite de tendresse, de partage, de romance et des gestes de tous les amoureux du monde. Ces moments sont l’autre versant de notre histoire et rien, de l'extérieur, ne permet de nous distinguer de n’importe quel autre couple. Je dirai même que ces expressions amoureuses n’ont pas subi l’érosion du temps, à l’inverse de ce qui se passe souvent. Et que me lover dans les bras de mon mari en regardant un bon film m’est aussi essentiel que sa soumission sans condition à mes caprices. Elles résonnent comme un havre de paix au milieu de la tempête sexuelle de notre relation. Mieux même, je ne dissocie pas une expression amoureuse d’une autre : extrême tendresse ou extrême perversité, chacune est la manifestation de l’amour fou qui nous unit. La relation qui m’unit à mon mari, je l’ai dit, est centrale, essentielle. Je l’aime autant qu’il m’aime, et si nous ne l’exprimons pas de la même manière (lui en s’accordant à mes envies d’ailleurs, moi en ne le partageant pas), nous avons notre propre symbiose sexuelle. Le plaisir charnel que j’éprouve avec lui est intact et d’autant plus fort qu’il est rare. Nos relations tiennent de la communion instantanée. Elles ont leur propre singularité... comme celle que j’entretiens avec chacun de mes amants ont la leur !

Parmi ces singularités, l’amour a sa place : je me définis comme une poly-amoureuse. C’est-à-dire que je ne m’interdis pas d’éprouver des sentiments d’ordre amoureux pour mes amants, si ces sentiments viennent. C’est un mythe de croire qu’aimer plusieurs personnes diviserait l’amour. Mais je fais une hiérarchie. La relation avec mon mari est centrale, les autres sont des amours satellites qui tournent autour de cet axe.
Lorsque, dans le temps, ma relation avec un homme fait apparaître des sentiments d’ordre amoureux, mon mari en est le premier informé. Même si, je l’avoue, ce pincement au cœur si caractéristique de l'émotion amoureuse n’est pas aisé à traduire et que je crois que tout être a une propension naturelle à en faire son jardin secret. De surcroît, je ne dis pas tout, il n’y a pas d’obligation : je suis reine auprès des hommes et une part intime de ce que je vis m’appartient.
Ai-je été souvent amoureuse ? Une dizaine de fois sur la centaine d’amants que j’ai connu au fil des ans. Tenté d’en suivre un autre oui, une fois… mais de quitter mon mari, fondamentalement, non. Était-ce parce que je sentais déjà chez lui cette capacité à tout accepter de ma part, comme si, finalement, je n’aurais jamais à choisir entre mon mari et mes amants ? Peut-être, mais pas seulement. Le fait est surtout que nous avons converti nos convictions en actes et que notre vie de couple a permis cette jonction. Contrairement aux modèles auxquels la société veut nous faire croire, j’ai cette chance de ne pas à faire le deuil d’un amour pour en vivre un autre. La richesse de ma vie tient dans cette accumulation d’amours différents et vécus conjointement sans qu’aucun ne porte ombrage à l’autre. Est-ce que je me sens pour autant à l’abri définitif d’un accident ? Non, bien sûr.
Mais qui l’est vraiment ?
Ces amours, je les vis librement, devant mon mari parfois, comme en pleine rue ou à la terrasse d’un café. Il m’est même arrivée de croiser un amant en étant au bras d'un autre (situation étrange, le « cocu » n’étant pas toujours, à la lumière de leur regard, celui que l’on croit). À l’inverse, je veille à maintenir une cloison étanche entre cette face de ma vie et mon entourage proche, peu compréhensif sur ces choses-là. Enfin, lorsque je rencontre un de mes « chéris » en présence de mon mari, ce qui est somme toute assez exceptionnel, je n’éprouve aucune gêne à exprimer mes sentiments envers mon amant, par les mots, les gestes, les baisers. Dans ce cas-là, il est même bon que je fasse fi de la présence de mon mari afin d’être totalement naturelle avec mon amant et c’est plutôt pour ce dernier que je me montre démonstrative, au détriment de mon mari cette fois.

Ce pouvoir dont je semble être si sûre ne tire partie d’aucune vanité en moi mais d’une lecture, par les faits, de ce qui semble faire Loi : l’impuissance masculine devant la dimension sexuelle des femmes.
Je crois avoir fait de mon mari à peu près tout ce que l’on peut faire d’un homme. Au point de le soustraire à toute autre réalité que celle de me satisfaire et de me désirer. Il n’est qu’un bloc de fascination pure tendue vers moi seule. Il reconnaît lui-même que sa soumission a fini, au fil des ans, par le définir : il est cela et rien d’autre.
Sans doute pourrais-je aller plus loin encore si je le voulais. Parfois, quand je le vois dans cette idolâtrie malgré tout ce que je lui fais subir, ou quand je passe des nuits folles dans le lit d’un autre, ma perversité m’effraie : ce n’est pas que je ne vois plus de limite à mon pouvoir, c’est que mon pouvoir n’a, réellement, pas de limite. Pouvoir à son gré « piétiner » ce que l’on a de plus cher est un aphrodisiaque puissant.
De tout cela et pour tout cela, j’éprouve de la griserie. La griserie infinie d’être dépositaire d’un tel ascendant.
Cela dépasse la seule expérience de la domination : j’en éprouve un sentiment de liberté très haut qui me permet, entre autres choses, de vivre une vie affranchie du jugement des autres, du poids de l’éducation et des rôles dévolus à chaque sexe.
Concrètement, cela m’excite beaucoup aussi. Faire d’un homme à peu près tout ce que l’on veut et voir, malgré tout ce que je lui fais endurer, ses yeux morts d’amour pour moi est terriblement énergisant. Je me sens envahie d’une joie perverse. Et de ce sentiment de puissance, très grisant, de bousculer « l’ordre » du monde.
Bataille ne disait-il pas à ce sujet que ce qui est en jeu dans l’érotisme, c’est toujours une dissolution des formes constituées ?
Avatar de l’utilisateur
par Erosverde76
#805097
Certes c'est bien l'esclave qui "produit" le maître et le fait vivre en quelque sorte, nous pourrions à l'infini intellectualiser comme vous le faites si bien cette dialectique maître-esclave qui n'est pas nouvelle.
Mais comme "FernandRaynaud" sur ce même post c'est l'évolution qui me glace le sang car vous semblez très à l'aise pour tout justifier par le désir de votre "mari" de subir tout cela.
Alors j'ai très envie quitte à être ultra violent dans mes propos de vous rappeler qu'à une certaine époque d'autres aussi ont justifié tout, même le crime de masse, par le consentement supposé des victimes qui couraient vers leur fin pour échapper à la soif quand leur bourreaux leur faisaient croire qu'ils allaient pouvoir se désaltérer et prendre une bonne douche.
J'affirme donc que Monsieur est enfermé dans un camp de concentration psychique et le fait qu'il accepte tout ne vous grandit aucunement bien au contraire!!!
Vos orgasmes Madame ont une sale odeur de solution finale.
#805172
Et en définitive, d'où vient ce besoin d'emprisonnement de votre mari, ce besoin d'humiliation, d'avilissement, de se transformer en esclave ? Pourquoi ne pas s'être accordé le statut ultime de totale liberté, sans pour autant jouer sur sa propre image d'esclave et de soumis ?

Ceci étant, magnifique récit, si bien écrit, quel bonheur de lire des écrits de qualité, merci.
#805351
patrice6666 a écrit :
FernandRenaud a écrit :Enfin bref, pour ma part, je crois être candauliste (je tripe quand je vois ma copine avec un 2ème mec, tout ça tout ça), mais lire des choses comme ce que je lis parfois, ça me fout les boules grave, j'en chie dans le froc à vrai dire, et je me force à croire que je ne dévierai jamais vers de telles pratiques courant à notre propre-perte, notre auto-destruction. Vraiment, ça me fout une peur bleue. Je finis par me dire qu'un jour, je vais tout arrêter, de peur de TOUT (au sens extrêmement large) perdre.



je t'approuve dans ton raisonnement, c'est de la folie c'est trucs


je ne sais plus quoi penser. Je respecte la pratique, je ne peux pas me permettre de la désapprouver, ce n'est pas ma vie. D'autres plus "normaux" que moi me considéreraient comme fou de prêter ma propre compagne sous mes propres yeux. Où se situe la limite ? Qu'est on prêt à vivre, à endurer ? Je ne sais plus. Mais je crois connaitre les miennes, désormais.
#806345
je crois que cassandra et son mari(s'ils existent vraiment) sont au bord de la folie, pouvant les mener a un acte irréparable de par et d'autre, freinez il est encore temps, si vous pouvez,,, sinon que le diable vous emporte hihhi
mais quand même vousexagérez à moins que ce ne soient que des fantasmes et d es d elires imaginaires
par cassandra
#808272
Des détails donc. Voilà une petite scène toute fraîche, pour entrer dans le concret de notre vie. Elle date de ce matin...

Hier soir, j'ai passé la nuit avec un nouvel amant, toute la nuit. Un beau métis, c'était merveilleux. Je suis rentrée ce matin (on a traîné au lit, on s'est bécoté, difficile de se séparer...)
Quand je suis arrivée chez moi, mon mari était tout anxieux, je l'ai vu quand j'ai ouvert la porte. Il m'attendait, il avait préparé le petit-déjeuner. Je l'ai embrassé voluptueusement et je lui ai dit que c'était inutile pour le petit-déjeuner, que je l'avais déjà pris. Et que j'étais fatiguée, qu'il fallait qu'il comprenne. Il s'est un peu assombri, m'a dit qu'il m'avait attendu, que j'aurai pu le prévenir que je passerai la nuit complète dehors. Ce n'est pas la première fois que cela arrive, il n'arrive pas à se faire à ce que je change mon emploi du temps sans prévenir. Je me suis plantée face à lui et je l'ai giflé. Une seule fois, mais très fort (je me suis fait un peu mal même). Je lui ai dit que lorsque j'étais au lit avec un mec, je ne voulais pas avoir à regarder ma montre ! Que ça m'exaspérait d'avoir à le répéter. Et que puisqu'il se plaignait, je pouvais tout aussi bien ne pas rentrer du tout ! ça la très vite calmé. Il a bafouillé, s'est excusé. J'ai dit que pour sa peine, j'ajoutais 2 jours de plus à sa prochaine éjaculation.
Cela fait aujourd'hui 11 jours qu'il ne s'est pas vidé. Il s'est mis à genoux devant moi, je portais une minijupe en toile kaki avec des leggins et des bottines à hauts talons. Il m'a dit que j'étais trop belle, qu'il avait tellement envie de moi, qu'il fallait le comprendre. J'ai fait : ok, ok, je sais que tu as envie de moi, mais tu sais que ce n'est pas possible. Je l'ai fait se relever, j'ai baissé son slip et je lui ai dit : voyons ce qu'il y a dans là-dedans. Il portait bien sa cage. Je l'ai ouverte et je l'ai retirée (je porte la clé sur un petit bracelet à mon poignet). Sa queue s'est tendue aussitôt, elle était un peu bleue, tout de suite très dure. Je lui ai dit : et bien mon chéri, tu es dans tous tes états on dirait. J'ai baissé entièrement son pantalon et son slip. Je l'ai fait asseoir sur la table du salon, je me suis assise sur une chaise, entre ses jambes et je l'ai sucé un peu. Il était littéralement fou, la somme des réminiscence de la nuit passée, les 11 jours d'abstinence, la gifle, la peur, le désir, tout cela sans doute. Il m'a dit son amour fou, il avait encore la marque de mes doigts sur la joue. Je lui ait dit que je l'adorai, qu'il était mon cocu. Puis je suis allée me reposer une heure. Il s'est occupé de tout.
Nous nous sommes retrouvés autour des menus gestes de la vie quotidienne, moments simples et précieux du week-end. Lui transi, moi toute légère. Amoureux, pleins d'attentions l'un pour l'autre, comme aux premiers jours.
Modifié en dernier par cassandra le 16 oct. 2011, 14:29, modifié 1 fois.
#808847
Steeve a écrit :
Shiryu a écrit :Violance conjugale... moral et physique maintenant. Tu y va fort dans ton delire...


Je ne comprends pas cette hargne. Cassandra a choisi de vivre comme elle l'entend. Son mari y trouve plus que son compte. Tu crois qu'il serait heureux auprès de bobonne en train de lire sa page sports en se grattant les couilles avec un rire gras ? Pourquoi ces critiques moralisatrices ?


Cette chute dans le cliché réducteur le plus simpliste te déshonore.
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par Erosverde76
#809297
Cette dame doit coucher avec son amant dans un mirador, aimer les bites en forme de fusil Mauser et doit rêver un jour de transformer son mari tatoué en lampe de chevet faite avec sa peau!
Mais Monsieur acceptera tout cela bien sûr tout est une question de persuasion.
(J'espère qu'elle n'est pas DRH ça doit être super l'ambiance...)
#809695
Erosverde76 a écrit :Cette dame doit coucher avec son amant dans un mirador, aimer les bites en forme de fusil Mauser et doit rêver un jour de transformer son mari tatoué en lampe de chevet faite avec sa peau!
Mais Monsieur acceptera tout cela bien sûr tout est une question de persuasion.
(J'espère qu'elle n'est pas DRH ça doit être super l'ambiance...)


LOL excellent :-D
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par Erosverde76
#810659
stefano a écrit :Surtout ne vous découragez pas Cassandra. Continuez à nous décrire votre relation D/S.


Toi tu aimerais bien te prendre plein de baffes dans la figure...
Vas-y postule!
#811477
reverencieux a écrit :ah la D/S..moi celel que je preferre c'est la nouvelle DS5,...


Moi c'est plutôt celle de Nintendo. Je fantasme de voir Mario le plombier débarquer chez moi à la maison et mettre ses tuyaux dans les trous de ma femelle, la pénétrer avec des clés à molette, pendant que moi attaché, ligoté, je suis soumis à voir toutes les pires humiliations qu'il lui ferait.

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par cassandra
#811628
De retour. Disponible après une semaine plutôt creuse (un seul amant). Mais pleine d'enthousiasme et de vice pour mes prochains rendez-vous. Et prête à montrer à « mes hommes » que leur vie tourne autour de mon joli derrière.
J’ai commencé par mon cher mari, que je prive de moi depuis plus d’un mois. C’était hier le jour de sa délivrance. 18 jours qu’il n’a pas éjaculé. Après le dîner, je l’ai fait asseoir sur le canapé, nu, devant moi. J’étais assise derrière lui, en maintenant ses jambes ouvertes avec les miennes. J’ai joué avec sa queue pendant que je regardais la tv. Je l’ai branlé doucement. Ses nerfs étaient à fleur de peau, il tremblait d’excitation. Ça a duré une vingtaine de minutes. Puis, je lui ai dit qu’il allait pouvoir gicler. Qu’il devait tout lâcher, mais seulement au moment où je le lui ordonnerai. Et c’est exactement ce qu’il a fait. J’ai accéléré le mouvement de la main, j’ai mis l’autre sur sa bouche pour l’empêcher de hurler et je lui ai dit, vas-y, tu peux jouir maintenant ! C’était incroyable : il a enfoncé son visage dans la paume de ma main et il s’est vidé dans de véritables convulsions. Son sperme a jailli par jets, comme des secousses électriques. J’adore voir le sperme sortir d’un homme, cet instant où il n’est plus rien que son désir de moi.
Sinon, journée tranquille. J’ai passé l’après-midi allongée sur le lit. J’ai feuilleté quelques magazines de mode et passé commande de maquillage. J’ai avalé un thé, fumé trois cigarettes, appelé deux de mes amants. On s’est un peu excités au téléphone (après, je me suis caressée doucement en pensant à l’un d’eux).
Mon seul souci de la journée a été de choisir l’ensemble de lingerie que je porterai pour sortir demain et retrouver O, l’un de mes amants chéris. Cela fait 3 ans que nous nous fréquentons. On se voit peu, mais régulièrement. J’aime son côté brut, animal. J’ai finalement opté pour un soutien-gorge balconnet orné de broderies d’or platine, recouvert de tulle en dentelle et assorti d’un nœud de satin avec une perle au creux des seins... et d’un tanga coordonné. Sourire : quelques grammes de tissu pour venir à bout de la volonté d’un homme...
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par aline73300
#812130
Steeve a écrit :Et encore, il a de la chance ! Ma Maitresse me branlait -quand elle le faisait- assez durement et en faisant quelque chose d'autre : télévision, magazine, internet. Parfois le soir dans le lit pour que je ne l'importune pas (elle me le disait comme ça), parfois aussi, comme vous, de dos, mais debout devant la glace de la salle de bains, cependant le plus souvent, debout, au garde à vous, près d'elle. Et après, toujours une petite sanction de rien du tout (ongles, ceinture, lécher ou douche froide).

Comme vous, je sais qu'elle aussi trouve un plaisir particulier à sentir un homme (moi ?) éjaculer sur son ordre. Elle me disait qu'il y avait dans ce moment de grande intensité, une vulnérabilité de l'homme qui l'émouvait.

Messieur les grincheux, je crois qu'il y a des femmes qui aiment dominer leur petit soumis.

oui, mon mari ne mérite que cela
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par Erosverde76
#812547
Cassandra, Steeve et Aline, avez-vous remarqué qu'il existe une rubrique intitulée "cukold masochiste" un peu plus bas faites pour les gens comme vous et surlaquelle je ne m'exprime plus depuis un certain temps car elle est vraiment réservée à ceux et celles qui promènent le mari lopette au bout d'une laisse comme d'autres promènent leur brosse à dent au bout d'une ficelle en l'appelant Médor.
Vous y avez tout à fait votre place et serez tranquilles entre gens du même monde!
Mais dans les étages supérieurs du forum ne vous étonnez pas d'être rejetés avec virulence car nous ressentons cela comme une agression personnelle (les gifles et autres martyrisations j'ai l'impression douloureuse des les prendre en pleine figure comme mon grand-père mort dans les mains de la gestapo!)
Bon vent et salut!
par cassandra
#814858
C'est un espoir miraculeux pour vous... une main tendue (fusse celle de vos démons intérieurs). Ne la manquez pas, pourrai-je vous conseiller à la lumière de vos écrits passés.
Cette femme est sans doute votre Destin et je sais qu'un être peu se réaliser dans l'amour sans condition qu'il porte à une femme. Votre dénuement pour Elle est votre ambition sur terre. Mais pour l'accomplir, aimez-là, ne répétez pas les erreurs passées, oubliez votre orgueil, votre vanité masculine, soyez ce que vous voulez qu'elle soit. Votre joie, c'est elle. Votre joie, c'est SON plaisir.
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par Erosverde76
#814902
Cassandra et Steeve,
Sans doute vous avez convenu par MP que vous continueriez comme si de rien n'était... histoire de montrer que seuls vos ego comptent et que les autres humains sur terre vous n'en avez rien à f..... mis à part la cocufieuse de Steeve.
Serait-il possible quand vous aurez retiré votre entonnoir de sur votre tête vous puissiez poursuivre ce débat de sado/maso en ouvrant un topic dans la rubrique idoine nommée "cukold masochiste" .
C'est comme dans une piscine, il y a un endroit pour se laver avant le bain (même que cela s'appelle une douche) et un endroit pour faire ses besoins (ça s'appelle des toilettes)
Vous êtes en train de faire caca au mauvais endroit. :cry:

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