- 07 sept. 2010, 17:15
#80744
Voilà mon histoire : j’ai 39 ans et mon épouse 40. Nous sommes ensemble depuis une dizaine d’années et parents de deux enfants. Bref tout va bien. Le hic, c’est que depuis 3 ou 4 ans, j’ai une obsession pour laquelle je n’arrivai pas à trouver de nom jusqu’à ce que le mot candaulisme parvienne à mes oreilles.
Depuis, je n’ai de cesse de tenter de convaincre ma moitié de partager mon désir. Longtemps réticente à l’idée de se dévoiler en public, j’ai pu l’amener en douceur à de profonds changements dans sa façon d’être : j’ai ainsi réussi à la convaincre d’apparaître topless sur la plage puis à fréquenter en ma compagnie les plages naturistes où elle joue pleinement le jeu. Je l’incite à s’habiller sexy pour le boulot. Pendant l’amour, l’usage d’un gode est entré dans nos meurs, je lui susurre à l’oreille « imagine que nous sommes 3 », « pense à untel »… Des comportements nouveaux qui satisfont mes désirs et qui nous amènent à petits pas vers mes véritables fantasmes. C’est ainsi que nous avons franchi un cap il y a quelques semaines.
Malgré son refus catégorique, mon ambition est qu’elle ait une relation sexuelle avec mon meilleur ami C., lui-même célibataire endurci.
Pourtant, sous le prétexte qu’il ne lui plait pas physiquement, sa dénégation semblait définitive. Ce samedi soir là, aux alentours de minuit, ma femme était couchée à l’étage et mon ami et moi au RDC installés confortablement devant la télé dans une tenue, comment dire, décontractée (caleçon et torses nus). Ma femme descend (en tenue légère mais descente) chercher de l’eau et nous voit ainsi. La situation devient alors prétexte à tenter quelque chose : une fois remontée dans la chambre parentale, je la rejoins et lui demande s’il elle ne voudrait pas venir regarder un peu la télé avec nous. Bien entendu, elle me voit venir, mais accepte cependant en lui promettant qu’elle pourra remonter quand elle le souhaite et à tout moment. Je lui propose de passer des sous-vêtements plus aguichants : un top noir à demi-transparent et un string de la même couleur feront diablement l’affaire. Après quelques tergiversations, elle accepte finalement.
Je descends rejoindre mon ami et elle nous rejoint quelques minutes après, vêtue du fameux top mais le string a disparu, remplacé par une petite culotte noire plus conventionnelle. Elle demande alors à se mettre entre nous deux. Mon ami C. me regarde, l’œil brillant, connaissant lui aussi mon obsession. Je sens ma femme alors vraiment mal à l’aise, croisant les bras, les yeux rivés sur l’écran malgré la nullité du programme diffusé.
C’est alors que j’entreprends de l’embrasser, dans le coup d’abord, puis les bras, les jambes, remontant ensuite sur son top dont je fais négligemment descendre les bretelles. Malgré ses bras toujours croisés sur sa poitrine, je sens son 85B pointait déjà et m’encourager à aller plus avant. Elle ferme alors les yeux, bascule la tête en arrière et s’enfonce doucement dans le canapé. Je décroise ses bras, caresse et embrasse chacun de ses seins qui sont maintenant bien en évidence et à la vue de mon ami qui n’en perd pas une miette. Je décide alors d’aller explorer un peu plus bas tout en continuant mes caresses. En glissant quelques doigts dans sa culotte, je m’aperçois que finalement son string est bien en place, comme une seconde peau protectrice. Je soulève alors ses jambes puis retire son slip et entreprend dans la foulée un cunnilingus en écartant les bords de son string tout en veillant à ne pas enlever ce dernier complètement.
Au début impassible, je sens au bout de 1 à 2 minutes qu’elle commence à se lover doucement et selon moi à apprécier la situation. J’enlève alors le morceau d’étoffe en regardant mon ami qui a les yeux rivés sur le sexe humide et gonflé de ma femme. J’ôte mon caleçon et incite d’un geste de la main mon ami à en faire autant, ce qu’il fait sans se faire prier. Son sexe est aussi dur que le mien. Je meurs alors d’envie que C. pénètre mon épouse mais celle-ci a ouvert les yeux et nous regarde, l’air à la fois inquiète mais aussi en attente de la suite des événements. L’idée me vient alors de prendre la main droite de ma femme et de l'encourager à se masturber. Ce qu’elle fait sans sourcilier, renfonçant son corps et son visage dans le canapé.
J’entreprends alors de me masturber, immédiatement accompagné par mon ami qui est tout aussi excité que moi par la situation. Ma femme finit par se faire jouir devant nous au bout de 30 à 45 secondes sous ses caresses, tandis que nous sommes loin, mon ami et moi d’en avoir fini. Las, la soirée avec Madame semble touchée à sa fin. Puisque sitôt terminée, elle se redresse et file à l’étage sans même nous regarder.
C. et moi nous rhabillons. Je suis monté voir mon épouse qui était déjà couchée, un livre à la main.
- Moi : « Ca va ? »
- Elle : « Humm… »
- Moi : « Tu veux qu’on en parle ? »
- Elle, sur un ton clair et plutôt ferme : « Non c’est bon, mais c’est la première et dernière fois ».
- Moi : « Comme tu veux ».
- Elle : « C. a dit quoi ? »
- Moi : « Rien. On s’est rien dit. Je suis monté tout de suite. Mais je pense, tout comme moi d’ailleurs, qu’il a apprécié ».
Devant son silence, je l’ai embrassé sur le front et suis redescendu trouver mon ami. Nous avons pris un verre comme si de rien n’était. Pour lui, pas de problème, il m’a fait comprendre que tout était ok et que si personne n’en parlait, lui n’en parlerait jamais.
Le lendemain, la journée s’est passée sans encombre et nous n’en avons pas reparlé depuis malgré quelques allusions de ma part dans les premiers jours qui ont suivi cet événement. Nos comportements l’un vis à vis de l’autre avec ma femme n’ont pas changé depuis, mais mon ami n’est toujours pas revenu à la maison… Et pour ma part, j’aimerai bien aller plus loin la prochaine fois…
Greg91
Depuis, je n’ai de cesse de tenter de convaincre ma moitié de partager mon désir. Longtemps réticente à l’idée de se dévoiler en public, j’ai pu l’amener en douceur à de profonds changements dans sa façon d’être : j’ai ainsi réussi à la convaincre d’apparaître topless sur la plage puis à fréquenter en ma compagnie les plages naturistes où elle joue pleinement le jeu. Je l’incite à s’habiller sexy pour le boulot. Pendant l’amour, l’usage d’un gode est entré dans nos meurs, je lui susurre à l’oreille « imagine que nous sommes 3 », « pense à untel »… Des comportements nouveaux qui satisfont mes désirs et qui nous amènent à petits pas vers mes véritables fantasmes. C’est ainsi que nous avons franchi un cap il y a quelques semaines.
Malgré son refus catégorique, mon ambition est qu’elle ait une relation sexuelle avec mon meilleur ami C., lui-même célibataire endurci.
Pourtant, sous le prétexte qu’il ne lui plait pas physiquement, sa dénégation semblait définitive. Ce samedi soir là, aux alentours de minuit, ma femme était couchée à l’étage et mon ami et moi au RDC installés confortablement devant la télé dans une tenue, comment dire, décontractée (caleçon et torses nus). Ma femme descend (en tenue légère mais descente) chercher de l’eau et nous voit ainsi. La situation devient alors prétexte à tenter quelque chose : une fois remontée dans la chambre parentale, je la rejoins et lui demande s’il elle ne voudrait pas venir regarder un peu la télé avec nous. Bien entendu, elle me voit venir, mais accepte cependant en lui promettant qu’elle pourra remonter quand elle le souhaite et à tout moment. Je lui propose de passer des sous-vêtements plus aguichants : un top noir à demi-transparent et un string de la même couleur feront diablement l’affaire. Après quelques tergiversations, elle accepte finalement.
Je descends rejoindre mon ami et elle nous rejoint quelques minutes après, vêtue du fameux top mais le string a disparu, remplacé par une petite culotte noire plus conventionnelle. Elle demande alors à se mettre entre nous deux. Mon ami C. me regarde, l’œil brillant, connaissant lui aussi mon obsession. Je sens ma femme alors vraiment mal à l’aise, croisant les bras, les yeux rivés sur l’écran malgré la nullité du programme diffusé.
C’est alors que j’entreprends de l’embrasser, dans le coup d’abord, puis les bras, les jambes, remontant ensuite sur son top dont je fais négligemment descendre les bretelles. Malgré ses bras toujours croisés sur sa poitrine, je sens son 85B pointait déjà et m’encourager à aller plus avant. Elle ferme alors les yeux, bascule la tête en arrière et s’enfonce doucement dans le canapé. Je décroise ses bras, caresse et embrasse chacun de ses seins qui sont maintenant bien en évidence et à la vue de mon ami qui n’en perd pas une miette. Je décide alors d’aller explorer un peu plus bas tout en continuant mes caresses. En glissant quelques doigts dans sa culotte, je m’aperçois que finalement son string est bien en place, comme une seconde peau protectrice. Je soulève alors ses jambes puis retire son slip et entreprend dans la foulée un cunnilingus en écartant les bords de son string tout en veillant à ne pas enlever ce dernier complètement.
Au début impassible, je sens au bout de 1 à 2 minutes qu’elle commence à se lover doucement et selon moi à apprécier la situation. J’enlève alors le morceau d’étoffe en regardant mon ami qui a les yeux rivés sur le sexe humide et gonflé de ma femme. J’ôte mon caleçon et incite d’un geste de la main mon ami à en faire autant, ce qu’il fait sans se faire prier. Son sexe est aussi dur que le mien. Je meurs alors d’envie que C. pénètre mon épouse mais celle-ci a ouvert les yeux et nous regarde, l’air à la fois inquiète mais aussi en attente de la suite des événements. L’idée me vient alors de prendre la main droite de ma femme et de l'encourager à se masturber. Ce qu’elle fait sans sourcilier, renfonçant son corps et son visage dans le canapé.
J’entreprends alors de me masturber, immédiatement accompagné par mon ami qui est tout aussi excité que moi par la situation. Ma femme finit par se faire jouir devant nous au bout de 30 à 45 secondes sous ses caresses, tandis que nous sommes loin, mon ami et moi d’en avoir fini. Las, la soirée avec Madame semble touchée à sa fin. Puisque sitôt terminée, elle se redresse et file à l’étage sans même nous regarder.
C. et moi nous rhabillons. Je suis monté voir mon épouse qui était déjà couchée, un livre à la main.
- Moi : « Ca va ? »
- Elle : « Humm… »
- Moi : « Tu veux qu’on en parle ? »
- Elle, sur un ton clair et plutôt ferme : « Non c’est bon, mais c’est la première et dernière fois ».
- Moi : « Comme tu veux ».
- Elle : « C. a dit quoi ? »
- Moi : « Rien. On s’est rien dit. Je suis monté tout de suite. Mais je pense, tout comme moi d’ailleurs, qu’il a apprécié ».
Devant son silence, je l’ai embrassé sur le front et suis redescendu trouver mon ami. Nous avons pris un verre comme si de rien n’était. Pour lui, pas de problème, il m’a fait comprendre que tout était ok et que si personne n’en parlait, lui n’en parlerait jamais.
Le lendemain, la journée s’est passée sans encombre et nous n’en avons pas reparlé depuis malgré quelques allusions de ma part dans les premiers jours qui ont suivi cet événement. Nos comportements l’un vis à vis de l’autre avec ma femme n’ont pas changé depuis, mais mon ami n’est toujours pas revenu à la maison… Et pour ma part, j’aimerai bien aller plus loin la prochaine fois…
Greg91