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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par greg91
#80744
Voilà mon histoire : j’ai 39 ans et mon épouse 40. Nous sommes ensemble depuis une dizaine d’années et parents de deux enfants. Bref tout va bien. Le hic, c’est que depuis 3 ou 4 ans, j’ai une obsession pour laquelle je n’arrivai pas à trouver de nom jusqu’à ce que le mot candaulisme parvienne à mes oreilles.
Depuis, je n’ai de cesse de tenter de convaincre ma moitié de partager mon désir. Longtemps réticente à l’idée de se dévoiler en public, j’ai pu l’amener en douceur à de profonds changements dans sa façon d’être : j’ai ainsi réussi à la convaincre d’apparaître topless sur la plage puis à fréquenter en ma compagnie les plages naturistes où elle joue pleinement le jeu. Je l’incite à s’habiller sexy pour le boulot. Pendant l’amour, l’usage d’un gode est entré dans nos meurs, je lui susurre à l’oreille « imagine que nous sommes 3 », « pense à untel »… Des comportements nouveaux qui satisfont mes désirs et qui nous amènent à petits pas vers mes véritables fantasmes. C’est ainsi que nous avons franchi un cap il y a quelques semaines.
Malgré son refus catégorique, mon ambition est qu’elle ait une relation sexuelle avec mon meilleur ami C., lui-même célibataire endurci.
Pourtant, sous le prétexte qu’il ne lui plait pas physiquement, sa dénégation semblait définitive. Ce samedi soir là, aux alentours de minuit, ma femme était couchée à l’étage et mon ami et moi au RDC installés confortablement devant la télé dans une tenue, comment dire, décontractée (caleçon et torses nus). Ma femme descend (en tenue légère mais descente) chercher de l’eau et nous voit ainsi. La situation devient alors prétexte à tenter quelque chose : une fois remontée dans la chambre parentale, je la rejoins et lui demande s’il elle ne voudrait pas venir regarder un peu la télé avec nous. Bien entendu, elle me voit venir, mais accepte cependant en lui promettant qu’elle pourra remonter quand elle le souhaite et à tout moment. Je lui propose de passer des sous-vêtements plus aguichants : un top noir à demi-transparent et un string de la même couleur feront diablement l’affaire. Après quelques tergiversations, elle accepte finalement.
Je descends rejoindre mon ami et elle nous rejoint quelques minutes après, vêtue du fameux top mais le string a disparu, remplacé par une petite culotte noire plus conventionnelle. Elle demande alors à se mettre entre nous deux. Mon ami C. me regarde, l’œil brillant, connaissant lui aussi mon obsession. Je sens ma femme alors vraiment mal à l’aise, croisant les bras, les yeux rivés sur l’écran malgré la nullité du programme diffusé.
C’est alors que j’entreprends de l’embrasser, dans le coup d’abord, puis les bras, les jambes, remontant ensuite sur son top dont je fais négligemment descendre les bretelles. Malgré ses bras toujours croisés sur sa poitrine, je sens son 85B pointait déjà et m’encourager à aller plus avant. Elle ferme alors les yeux, bascule la tête en arrière et s’enfonce doucement dans le canapé. Je décroise ses bras, caresse et embrasse chacun de ses seins qui sont maintenant bien en évidence et à la vue de mon ami qui n’en perd pas une miette. Je décide alors d’aller explorer un peu plus bas tout en continuant mes caresses. En glissant quelques doigts dans sa culotte, je m’aperçois que finalement son string est bien en place, comme une seconde peau protectrice. Je soulève alors ses jambes puis retire son slip et entreprend dans la foulée un cunnilingus en écartant les bords de son string tout en veillant à ne pas enlever ce dernier complètement.
Au début impassible, je sens au bout de 1 à 2 minutes qu’elle commence à se lover doucement et selon moi à apprécier la situation. J’enlève alors le morceau d’étoffe en regardant mon ami qui a les yeux rivés sur le sexe humide et gonflé de ma femme. J’ôte mon caleçon et incite d’un geste de la main mon ami à en faire autant, ce qu’il fait sans se faire prier. Son sexe est aussi dur que le mien. Je meurs alors d’envie que C. pénètre mon épouse mais celle-ci a ouvert les yeux et nous regarde, l’air à la fois inquiète mais aussi en attente de la suite des événements. L’idée me vient alors de prendre la main droite de ma femme et de l'encourager à se masturber. Ce qu’elle fait sans sourcilier, renfonçant son corps et son visage dans le canapé.
J’entreprends alors de me masturber, immédiatement accompagné par mon ami qui est tout aussi excité que moi par la situation. Ma femme finit par se faire jouir devant nous au bout de 30 à 45 secondes sous ses caresses, tandis que nous sommes loin, mon ami et moi d’en avoir fini. Las, la soirée avec Madame semble touchée à sa fin. Puisque sitôt terminée, elle se redresse et file à l’étage sans même nous regarder.
C. et moi nous rhabillons. Je suis monté voir mon épouse qui était déjà couchée, un livre à la main.
- Moi : « Ca va ? »
- Elle : « Humm… »
- Moi : « Tu veux qu’on en parle ? »
- Elle, sur un ton clair et plutôt ferme : « Non c’est bon, mais c’est la première et dernière fois ».
- Moi : « Comme tu veux ».
- Elle : « C. a dit quoi ? »
- Moi : « Rien. On s’est rien dit. Je suis monté tout de suite. Mais je pense, tout comme moi d’ailleurs, qu’il a apprécié ».
Devant son silence, je l’ai embrassé sur le front et suis redescendu trouver mon ami. Nous avons pris un verre comme si de rien n’était. Pour lui, pas de problème, il m’a fait comprendre que tout était ok et que si personne n’en parlait, lui n’en parlerait jamais.
Le lendemain, la journée s’est passée sans encombre et nous n’en avons pas reparlé depuis malgré quelques allusions de ma part dans les premiers jours qui ont suivi cet événement. Nos comportements l’un vis à vis de l’autre avec ma femme n’ont pas changé depuis, mais mon ami n’est toujours pas revenu à la maison… Et pour ma part, j’aimerai bien aller plus loin la prochaine fois…

Greg91
#133111
Suite de mes premiers pas…
Madame étant quelque peu déroutée par notre première expérience candauliste (voir le post précédent), j’ai alors trouvé un petit subterfuge pour assouvir mes pulsions tout en restant relativement soft.
Il y a une semaine de cela, inspiré par un film vu a la télé, je lui demande, si elle serait d’accord pour faire des plans à la webcam avec un inconnu. M’attendant à une réponse négative, j’avais bien entendu prévu une parade… Effectivement, elle me dit ne pas être emballée. Je n’insiste pas sur le moment mais reviens à la charge le lendemain en lui proposant d’utiliser nos deux ordis portables, elle confortablement installée dans la chambre et moi dans le salon à l’autre bout de la maison, pour qu’elle puisse se lancer, face à moi, dans cet exercice. Après quelques négociations ;) elle accepte.
Le soir venu, me voilà dans mon canapé, web cam branchée. Mon épouse se connecte de son côté, et là pendant une quinzaine de minutes elle se produit devant son PC dans une tenue et des positions relativement hot : elle apparaît ainsi slip sexy et petit haut blanc, soutien gorge, pour finir dénudée, clitoris apparent et suintant face caméra sous l’action de ses doigts. Je l’entends jouir en son dolby stéréo et me félicite d’avoir, bien entendu, enclenché le bouton « record » de mon ordinateur portable dès les premiers instants de ce show torride.
Passons la fin de cette soirée et attaquons-nous à celle de jeudi soir dernier passée en mode célibataire chez un vieil ami qui connaît mes penchants pour le candaulisme, et qui ne rêve que d’une chose : baiser ma femme.
Prétextant une recherche sur Internet à une heure relativement avancée, je sors de ma poche ma clé USB où est enregistrée la séquence vidéo que je crève d’envie de lui montrer depuis une bonne heure. Sans rien lui dire, je lance le médiaplayer et la vidéo sur son écran de 19 pouces. Comprenant instantanément ce qu’il s’apprête à visionner, il tourne sa tête vers moi l’œil rond et humide de plaisir. Voyant mon sourire qu’il me rend aussi sec, en un éclair, il fixe l’écran de ses yeux. N’osant parler au début, je l’incite à se livrer sur ce qu’il ressent : « qu’est ce qu’elle est canon », des « oohh » et des « aahh » sortent du fond de sa gorge. Mais plus elle se déshabille à l’écran, plus je l’incite à livrer le vrai fond de sa pensée. Au moment où elle se met à se masturber de l’autre côté de l’écran, je sens mon ami au bord de la syncope, il n’ose plus parler. Une fois la séance finie, il se lève d’un trait fumer une cigarette dans la rue. Je le rejoins et à peine arrivé à sa hauteur, il me demande poliment de revoir une nouvelle fois la vidéo. J’acquiesce mais lui demande une faveur : « ok mais lâche-toi alors ! »
Ce n’est qu’à la 3ème séance que mes souhaits seront exaucés. Après l’avoir mis en confiance, il va véritablement se livrer : « quelle salope, regarde cette chienne, oh p… comment je lui mettrais bien dans le c… Elle a une chatte énorme ! ». Après l’avoir laissé seul dans un coin du salon (je sentais qu’il voulait un peu d’intimité), il s’est branlé devant l’écran d’ordinateur à deux reprises se repassant la vidéo encore une ou deux fois. Je le soupçonne même d’avoir fait une copie…
#206208
De retour après avoir passé quelques jours au soleil dans l’hémisphère sud (et oui il y en a qui ont de la chance…), me revoilà sur la toile pour vous compter l’aventure qui m’est arrivée là bas.
Un après-midi, mon épouse et moi, nous repérons une petite plage déserte (si, si ça existe), entourée par quelques maisons. J’incite rapidement ma belle à se mettre topless et à se promener sur les rochers brûlants. Ce qu’elle fait non sans un malin plaisir, tournoyant sur elle même pour observer les poissons et autres crustacés qui s’agitent dans l’eau. Arrivés depuis quelques jours pour ce séjour paradisiaque en amoureux, le corps de ma dulcinée est déjà légèrement halé par le soleil. Ses seins, qu’elle a généreusement exposé sur la plage de l’hôtel depuis notre arrivée aux yeux de tous les vacanciers sont splendides, tant par leur couleur, que par leur taille et leur forme (ce qui est généralement le cas à quelques jours de ses menstruations).
Je prends quelques clichés de ma belle et repère au loin (60, peut être 80 mètres) deux pécheurs en train de nous observer. Je lui fais remarquer, mais cela ne semble pas la gêner le moins du monde. C’est alors que je lui propose de s’étendre sur sa serviette, au milieu des rochers mais suffisamment surélevée, afin de s’offrir aux rayons du soleil et de se dispenser une petite partie de plaisir solo. Elle s’exécute sans la moindre hésitation, je ressens même l’étrange impression qu’elle attendait cela avec impatience. Elle se tourne alors vers nos amis pêcheurs sans que ma requête ne comporte expressément cet élément. Une fois installée sur sa serviette de bain, elle cambre ses seins et plonge deux doigts de sa main droite dans sa bouche avant de les retirer rapidement pour introduire la totalité de sa main dans son maillot de bain. Je lui propose de retirer ce dernier pour être plus à l’aise mais elle refuse. Elle se met alors à se masturber frénétiquement tout en observant nos deux pêcheurs derrière ses lunettes de soleil pendant que, de mon côté, je mitraille cette scène avec mon petit appareil photo. Le va et viens déchaîné de ses doigts dans sa petite chatte épilée alors que nos deux observateurs se contorsionnent à distance est un instant magique et profondément érotique.
Mon cœur explose et mon sexe est certainement aussi dur que les cannes à pêche de nos deux autochtones. Je les aperçois d’ailleurs au loin ces deux là ; il me semble même qu’ils se sont rapprochés un peu maintenant. En tout cas, il ne fait aucun doute qu’ils nous observent, qu’ils nous scrutent. Mais déjà ma chérie est en mode jouissance, son corps se redresse et retombe pendant quelques secondes alors qu’elle pousse quelques soupirs puis des cris symptomatiques. Elle a jouie, me regarde alors que lui montre maintenant du doigt nos deux mateurs amateurs. Elle leur fait un petit signe amical de la main et récupère à la va vite l’intégralité de ses affaires. Elle enfile sa petite robe. Et nous voilà partis sans le temps d’avoir dit ouf… Quelle expérience mes amis ! ;)
#224905
J’aimerai l’avis du forum.
Voilà, si vous avez lu mes posts précédents, vous connaissez la situation : mon épouse et moi faisons nos premiers pas dans le candaulisme, pour tout dire des petits pas jusqu’à présent mais diablement prometteurs.
Depuis quelques temps, elle communique (tel et mails) avec un ancien amant qu’elle a connu y a une quinzaine d’années. Bon amant à priori, mais il n’y a jamais eu d’amour entre eux. Bonne pioche puisque c’est exactement le profil que je recherche pour être cocufié. Sous ma pression, ma femme entame un petit jeu avec lui en lui envoyant de temps en temps des photos sur Internet, photos où elle apparaît de plus en plus déshabillée et dans des poses de plus en plus suggestives. Et ce qui devait arriver est arrivé : après lui avoir suggéré qu’elle n’avait jamais fait de partie à 3 et que ce serait dommage de ne pas vivre cette expérience au moins une fois, il lui a proposé un petit rdv calin. Pour ma part, je suis pour à 100%, que je participe aux ébats ou non d’ailleurs, mais ma moitié ne partage pas mon impatience. Voilà ce qu’elle me dit : « ok, je vais peut être faire l’amour avec lui et toi, je vais certainement être excitée, mais une fois qu’il m’aura fait jouir, j’angoisse pour la suite : je me sentirais tellement honteuse que je risque de fuir et d’être dégoûtée par ce que j’ai fait. J’ai besoin d’être amoureuse au moment du passage à l’acte pour me sentir bien dans ma tête et ce ne sera pas du tout le cas ». On risque donc de sauter le pas et elle de me le reprocher ensuite. Quelqu’un a-t-il vécu cette situation. Et vous que feriez-vous ? J’ai besoin de vos conseils éclairés. Merci par avance (sur ce forum ou MP si vous le souhaitez).
#239998
elle doit voir son (ex - futur ;) amant la semaine prochaine pour boire un café : c'est elle qui lui a proposé et il a tout de suite accepté. Je pense qu'elle va le faire venir à notre domicile, à l'heure du déjeuner, pendant que je serais absent.
On a trouvé ce compromis pour qu'elle se sente plus à l'aise.
Elle ne me dit rien mais elle a l'air drolement excitée... Je lui ai acheté des sous-vetements très très coquins et compte bien lui suggérer de mettre une tenue qui doit le rendre dingue. De haut en bas : bottes noires, bas, jupe, chemisier blanc largement ouvert...
J'aimerais qu'elle lui fasse une petite pipe et qu'il la tripote un peu. C'est ce que je vais lui suggérer. Ce serait un bon début. Je ne voudrais pas que cela aille plus loin, n'étant pas là pour assister aux évenements !
Normalement, si tout se passe comme prévu, elle doit lui proposer de se revoir mais tous les 3...
La semaine va être longue...
Modifié en dernier par greg91 le 03 mars 2011, 14:50, modifié 1 fois.
#482444
La rencontre tant attendue a enfin eu lieu. Après plusieurs semaines à venir prendre un café le mercredi en début d’aprèm (ma femme ne travaillant pas ce jour là), un ex de Madame, appelons le C., a franchi le pas… Ou plutôt ils ont franchi le pas car ma femme y ait pour beaucoup… et moi aussi je dois dire, tellement j’ai été insistant. Ces deux là, à force de s’envoyer des sms, des photos de plus en plus osées, les évènements ont pris une tournure qui correspond à ce que j’attendais…
Donc, à 14 heures, comme tous les mercredis depuis 3 semaines, C. vient à mon domicile, à l’invitation de ma femme pour boire un café. Elle est habillée d’une petite robe avec un large décolleté, sans soutien gorge. Tout ce qui va suivre, ou presque, je lui ai suggéré…
Elle l’accueille, s’en suit une discussion banale de 10 minutes, et elle engage la discussion sur les sms qu’ils s’envoient :
- elle : « alors, tu penses que j’ai des marques de bronzage ? »
- lui : « je sais pas, à toi de me le dire »
- elle, un peu troublée, mais respectant notre scénario : « constate par toi-même ». Là dessus, elle coulisse la bretelle gauche de sa mini-robe à l’aide de sa main droite et laisse apparaître son sein gauche, gonflé et pointant d’excitation. D’un mouvement de la main gauche, elle réitère le même mouvement sur la brettelle droite et offre au grand jour sa poitrine à notre visiteur. Sourires gênés, mais très vite, elle lui prend la main droite et lui se laisse guider ainsi, caressant à tour de rôle ses deux seins parfaitement symétriques.
- elle : « alors ? »
- lui : « je crois que je bande ».
- elle : « voyons ça ». Elle délaisse la main droite de C. qui se débrouille très bien seule et entreprend de dégrafer les boutons du jean de notre ami, boutons qui subissent effectivement une pression conséquente…
Elle sort du jean, puis du caleçon de C. un sexe totalement dépourvu de pilosité qu’elle estime d’une taille appréciable (je n’ai pas réussi à lui faire dire combien, mais à priori plus grand que le mien qui n’est que de 17cm en érection). Ils s’embrassent alors longuement, leurs langues s’entremêlant dans leurs bouches respectives. Il s’assoit sur le rebord de la table et elle comprend instinctivement ce qu’elle doit faire : elle s’accroupit et lui lèche le sexe, le suce langoureusement, puis énergiquement, lui massant les couilles. Il éjacule, assez rapidement me dit-elle, dans la bouche de ma femme en poussant un petit râle tonique et en lui maintenant une main sur la tête. Elle avale le tout, jusqu’à la dernière goutte.
Ils se relèvent tous les deux, se sourient, s’embrassent fougueusement, puis se rhabillent.
- elle : « la prochaine fois, ce sera à moi de jouir ».
Il éclate d’un grand rire et lui répond : « avec grand plaisir ».
Ils reprennent leur conversation sans intérêt là où ils l’avaient laissé. Il repart 10 minutes plus tard et elle s’empresse de me téléphoner pour me raconter cette aventure que je m’empresse de vous raconter… Je bande encore à mort, et vous ?
#558952
franchement la premiere est top


PS: Tu avais demander un conseil un peu plus haut dans le post, moi j'ai accepter le fait d'etre candaulisme mais sa a etait trés dure de l'accepter aussi bien pour moi que pour ma femme.
Car effectivement elle avait les même crainte que ta femme ne plus pouvoir s'accepter etre dégouter Ect........
Mais je l'ai tellement rassurer que 1 ans aprés etre passer à l'acte nous sommes plus amoureux qu'avant sachant que sa fait quand même 22 ans que nous vivont ensemble.
Je vous ferez part de mon histoire prochainement. ;)
#737115
Compte-rendu de « ma 1ère fois » :
Nous appellerons B, notre guest et L, ma tendre moitié… Je précise que B a notre âge et est un ami de L de longue date, ex-amant, que je n’avais jusqu’ici vu qu’une fois il y a quelques mois seulement en coup de vent.
Si vous suivez mes pérégrinations, vous savez que B a déjà entamé les préliminaires avec L. j’avais donc hâte d’entamer le second chapitres de nos aventures.
Un soir d’été, nous invitons B à partager notre soirée, chacun de nous étant informé de l’issue probable de notre rencontre. B arrive vers les 20 heures, habillé d’un jean et d’une chemisette, chargé d’une bouteille de champagne bien fraîche, cela en fera donc 2 avec celle que j’ai déjà réfrigérée.
B prend place dans le canapé, L à ses côtés et moi dans un fauteuil, leur faisant face. La télé est branchée sur des vidéo-clips, les lumières sont tamisées.
Première bouteille vidée, nous faisons connaissance B et moi, le courant passe bien. L est radieuse, vêtue d’une petite robe noire pourvue d’un décolleté à la limite de la décence, et personne ne semble intimidée par la situation. Nous parlons de choses et d’autres, L et B évoquant quelques souvenirs communs, sans être lourds. La deuxième bouteille est déjà largement entamée, il est déjà 22h00. Il est temps de passer à la vitesse supérieure.
Je propose un petit strip poker. Les jetons de B s’envolent rapidement et il se retrouve très vite nu comme un ver. L et moi de notre côté jouons sérieusement, mais je décide d’augmenter les mises de départ pour accélérer le jeu. L. doit alors ôter sa robe et cela devient prétexte à un petit strip tease : elle se dévêtit devant nous, offrant ses formes à la vue de notre invité. J’observe qu’il n’ose pas la regarder trop longtemps. Est-il intimidé par la situation à ce moment là ? Pour ma part, j’admire ses seins, gonflés d’excitation, qu’elle a pris soin de faire bronzer pendant le début de l’été, ainsi que ses hanches dorées et fines. Elle porte désormais juste un string transparent qui laisse apparaître la blancheur de son sexe totalement dépourvu de pilosité.
Très vite, elle perd de nouveau, et nous décidons de lui donner un gage, chacun de nous devant lui faire un baiser sur son sexe. Je retire son string et l’embrasse sans m’attarder, trop pressé de céder ma place à B. J'étreint alors ma partenaire et nos langues se mélangent pendant que notre invité embrasse tendrement, puis lèche délicatement le clito de madame. Positionné comme je le suis, je n’en perds pas une miette. Tour à tour et à plusieurs reprises, nous allons échangé nos places, B et moi alternant les caresses manuelles et bucales sur toutes les parties du corps de ma bien aimée. Celle-ci nous branlant, nous embrassant sur la bouche et nous suçant à tour de rôle, plutôt équitablement et sans laisser l’un de nous de côté. A deux ou trois reprises, je croise le regard de L pour savoir si tout va bien : à son large sourire, je comprends que tout est ok et que la situation nous convient à tous les 2. Je décide de la pénétrer en adoptant la position de la levrette pendant que de l’autre côté du canapé, elle suce profondément notre ami. Je joui plutôt vite en elle et me retire afin d’apprécier le reste de leurs ébats. A son tour, il la pénètre, cette fois en missionnaire. Je ressens alors une douce euphorie. Je la vois se libérer totalement pendant qu’il se retire, ne parvenant pas à bander suffisamment. Il se met alors à la doigter et à la lécher magnifiquement : elle jouie à son tour en se contorsionnant comme je ne l’avais plus vu faire à moi depuis bien longtemps. Nous restons ensuite quelques temps assis dans le canapé, retrouvant nos esprits peu à peu. Elle se love dans ses bras, puis dans les miens et nous remercie de cette douce soirée. D’un accord tacite, nous nous rhabillons, chacun comprenant que nous allons en rester là pour ce soir, sur cette excellente impression.
#775112
J’ai un ami, appelons le F., qui est célibataire depuis quelques mois. Il demeure à plus de 500km, nous nous voyons donc assez peu ces dernières années. C’est un garçon charmant, gentil… plutôt beau garçon. Je pense qu’il n’a jamais laissé ma moitié indifférente, mais la question ne s’est jamais vraiment posée.
Il me téléphone aujourd’hui, nous bavardons comme de vieux camarades et m’annonce qu’il travaille beaucoup, qu’il n’a pas le temps d’avoir une relation avec le sexe opposé mais qu’il en crève d’envie. Un peu plus loin dans notre discussion, il m’annonce qu’il devrait passer nous rendre visite dans les prochaines semaines, devant effectuer un déplacement professionnel. J’en profite pour l’inviter à passer la nuit, et rebondissant sur ces déclarations précédentes, lui annonce : « faudra peut être que je partage ma femme aussi, vu que tu es en manque ». Il se marre et enchaîne : « ne me dit pas ça tu sais… ». Je lui réponds du tac au tac : « pourquoi ? ». Il se reprend, devient sérieux et déclare : « non, tu sais, on est ami, je ne pourrais pas ». Sur quoi, je poursuis : « mais si je te dis que je suis d’accord ». Silence. Je sens qu’il ne sait plus sur quel pied danser. Alors je conclue : « je déconnais… ». Lui : « t’es con ». Moi : « ou pas… ». Il se marre de nouveau et embraye sur un autre sujet.
Quelques minutes après, alors qu’il va raccrocher il me lance : « bon allez je te laisse… et embrasse ta femme sur la bouche de ma part». Il a mordu. Yes ! Pas du tout déstabilisé, je lui réponds : « t’auras qu’a l’embrasser toi-même quand tu viendras ». Eclats de rire général et il raccroche là dessus.
Le challenge est lancé. Je vous tiendrais informé des suites de cette affaire sur ce post, mais mon objectif désormais est clair : je veux que F. baise ma femme, qu’il la fasse jouir et qu’il prenne son pied lui aussi, devant moi ou dans mon dos, peu importe. La partie commence…
#824112
à l'heure où j'écris ces quelques lignes, Madame est avec B, seuls à notre domicile conjugal.
Je ne tiens plus en place, je n'arrive pas à me concentrer sur quoi que ce soit.
Attention, je ne suis pas énervé, bien au contraire, je suis excité comme jamais.
C'est normal docteur ? ;)
#828615
Résumé du mercredi où Madame s’est fait une grosse frayeur…
Comme je le disais dans mon précédent post, B était venu rendre une petite visite de courtoisie à ma chère épouse, abandonnée à elle-même ce mercredi après-midi.
Après quelques échanges sur la pluie et le beau temps, ils s’installent confortablement sur notre canapé qui trône au milieu du salon, sirotant un breuvage infusé. A l’initiative de Madame, la conversation prend une tournure plus « caliente » :
- Elle : « Alors, tu ne m’as pas félicité sur ma silhouette ? »
- Lui : « C’est vrai, j’allai le faire, tu es très belle ».
- Elle : « Aussi belle que cet été lorsque nous avons passé cette soirée avec mon mari ? »
- Lui : « Oui et je voulais te demander à ce sujet, vous en avez reparlé ? «
- Elle : « Et comment, on a adoré tu sais »…
En disant ces mots, elle se rapproche de son visage et l’embrasse dans le cou, remonte doucement vers ses lèvres et ils s’embrassent langoureusement.
Leurs échanges de baisers se poursuivent pendant qu’il la déshabille, d’abord en lui ôtant les boutons de son chemisier. Elle se retrouve en soutien-gorge noir, les seins gonflés d’excitation. Rapidement, n’en tenant plus, elle défait elle-même les boutons de son pantalon et se retrouve en string noir, à califourchon sur son ôte. Poursuivant leurs baisers, il lui caresse les seins (à travers le soutien gorge qui a résisté aux assauts) et le ventre, le dos et les cuisses. Elle sent l’excitation de B. bien palpable. Il est vrai qu’à se frotter comme elle le fait contre son entre-jambe, j’en connais plus d’un qui ne pourrait retenir plus longtemps une érection.
- Elle : « J’ai la permission tu sais… »
- Lui, en riant : « Oui, et bien pas moi tu sais… »
Sur ces mots, elle met la main entre les cuisses de B et remonte jusqu’à son sexe, dur comme une pierre m’avouera-t-elle.
- Lui, un peu paniqué : « Je crois que je viens de voir passer quelqu’un derrière la fenêtre »… Et sur ces paroles, on frappe à la porte d’entrée.
Elle se redresse, enfile son chemisier, son pantalon et ses chaussures et court ouvrir à notre visiteur : « Maman, mais qu’est ce que tu fais là ? » hurle-t-elle en réajustant ses vêtements.
- Ma belle-mère : « Je t’apportais ce que tu m’as demandé avant-hier, j’ignorai que je te dérangerai… » dit-elle avec de la peine dans la voix.
- Elle : « Non entre maman, tu connais B ? On buvait un thé. Tu en veux un ? »
- Ma belle-mère : « Non je dois filer, bonjour Monsieur. Tiens ce que tu m’as demandé. Passe le bonjour à Greg. » Et elle repart aussi vite qu’elle était arrivée.
B a fini sa tasse illico presto, a embrassé ma femme sur la joue puis et reparti quelques minutes plus tard. Ma tendre épouse me téléphonant dans la seconde pour me lancer, légèrement affolée et un peu irritée : « on s’est fait griller ».

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