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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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#847836
Mariés, depuis plusieurs années, nous avons, avec mon épouse, eu une vie sexuelle épanouie à l’intérieur de notre couple. Mais, comme cela arrive hélas parfois, une certaine lassitude s’est installée, monotonie due surtout à la répétition de nos gestes, de nos pensées, de nos mots, de nos bruits, de nos gênes, de nos envies, de nos pratiques pour tout dire. L’idée de l’échangisme a commencé à faire son chemin surtout pour moi je dois dire,et puis un jour nous nous sommes rendus compte que nous avions besoin de nous inventer des situations, des partenaires virtuels pour arriver à nous épanouir sexuellement, nous nous sommes inscrits sur un site ,auquel nous avons apporter des photos,des photos en intérieur pour commencer et puis en milieu naturel ,débridant notre peur et craintes d’être découvert en situation dénudé, plutôt excitant, nous avons aimé...
Après avoir rencontré notre premier couple en privé après quelque discutions sur le net ( Marie et son mari)ou pour la première fois j'ai pu assister à une découverte ,une joie ,un bonheur ,une phase d’excitation incroyable,ses deux épouses actrice se prodiguant mutuellement caresses, massages,jouant de la langue en harmonie,tantôt sur la bouche que sur les seins, venir mutuellement à glisser la pointe de leurs langues sur des vulves puis plus profond de leurs sillons entrouverts ,titillant leurs capuchons bandés ,ne laissant aucun centimètre intacte de salive...Nous étions des plus sérieux spectateurs ne sachant comment montrer notre joie, dissimulant presque avec honte notre bosse ornant notre pantalons ,j’inondais inexorablement mon boxer ,ma queue ne s'y tenais plus...Puis l'échange intervins et très rapidement posant quelques regards furtifs sur mon épouse je la découvris pleine d'initiative comme par surprise,étonné mais fière de ses actes,les yeux fermés suçant avec application une queue d'un autre,sa langue tournoyante autours de ce gland gonflé à bloc , (sans gout me lâchera plus tard comme déçue),léchant cette longueur des bouses à sa pointe ,provocant le désir certain de ce mâle; Puis cette queue dressée luisante de salive se présenta presque maladroitement à l'entrée de la grotte enfiévré laissant apparaitre une petite trainée de cyprine,ses doubles lèvres complétements épanouies et sans résistances bien au contraire,comme tambourinant de hâte pour cette étranger frappant à cette porte,gagnant millimètre par millimètre avec douceur malgré tous,les jambes relevées, écartant au maximum son minois débordant de désir ,au premier va et vient aperçue une bref seconde ce membre entourée du surplus de liqueur intime,ma Val,elle mouillait comme jamais,une fontaine naissante allant malgré elle et très rapidement à la rencontre de cette auréole sombre palpitant légèrement écartelée par les propres mains de mon épouse, je la surpris même à pousser sa croupe vers cette bite en forme de champignon ,elle la voulait ,elle la désirait au plus profond d'elle ...Gémissement, gloussement et râle intervenais régulièrement. Ce fut une révélation pour moi, tant de bonheur en ci peu de temps ,de ce regard que je portais vers elle,de cette révélation,...Pour ma douce ,il fut difficile pour elle d'accepter cette jouissance hors couple ,un peu honteuse malgré elle,acceptant malgré tous la trahison de son corps,ce vagin inondé de mouille au léger clapotis du va et viens de son partenaire ,les pointes de ses seins durcis à en avoir mal,la fièvre et la sueur du désir, et de ses orgasmes à répétitions.

Elle venait de réaliser son plus grand fantasme de femme, et j’en étais heureux car je lui avais démontré que tout peut se faire en amour dans le plus grand respect de l’autre, de son corps et de ses désirs avoués ou non, ayant hâte de poursuivre nos découvertes afin d'éduquer nos corps à plus encore de désirs.

Moi son homme et a la fois son amant et son mari je la trouvais encore plus belle...
#928733
Val raconte :

Depuis mon premier rapport avec une femme, Marie, mon mari et moi parlions depuis quelque temps du fantasme de faire des photos par un professionnel.
Il avait 
rencontré sur internet un photographe professionnel, un dialogue était né, et mon mari était venu à lui et avait demandé s'il accepterait, en étant payé bien sûr, de me faire poser.

Quand il m'en a parlé, au début, j’étais un peu réticente.
D'abord parce que je n’ai jamais posé nue hors mis devant l’objectif de Phil.
Je me voyais mal commencer devant quelqu'un que je ne connaissais pas dans ce genre pour poser. En plus, je considérais que ce sont des choses qu’on fait plutôt à 20 ans qu’à 40 ans. Même si j’ai un corps bien conservé je suis assez mince, entretenue de nature mais aussi par le faite de la gym.

Mon mari m’ayant montré le site internet assez complet de ce photographe, il avait aussi publié plusieurs livres de nus d’une grande qualité. Il était sans contestation que les femmes qui posaient pour lui étaient belles, et bien mises en valeur, que ses photos étaient douces, qu’elles exprimaient quelque chose. Mon homme me flatta en disant qu’il n’avait jamais tant aimé mon corps, qu’il désirait en avoir un souvenir qu’on regarderait avec plaisir dans dix ou vingt ans, qu’il me demandait ça comme un cadeau. Il sait être très persuasif quand il le faut. Et j’ai accepté pour lui faire plaisir mais aussi, pour repousser mes propres limites.
J’ai moi même contacté le photographe pour prendre rendez-vous, lui laissant parler à mon époux pour les modalités. Au téléphone, il semblait sympa, convivial, et me disait de ne pas m'inquiéter, qu'il avait déjà plusieurs fois photographié des femmes qui n'avaient jamais posé nues, à la demande de leur mari, et que ça c'était toujours très bien passé.


Le jour J, sur le départ, j’avais préparée un sac contenant, une paire de chaussures à talon haut, des dessous féminin qui dégageait beaucoup de charmes, un bustier mais aussi des sous-vêtements sexy et d’autres carrément sexes que nous avions acheté chez Lola Lun… tous ouverts, tantôt la perle, la pierre ou la plume reposent naturellement sur le haut des lèvres intimes toujours à la recherche du clitoris. Les soutiens gorges eux, laissent libre les auréoles et les pointes à l’airs libres glissant juste sous le mamelon.
Nous avons pris la voiture pour Nancy, j’étais habillée normalement, en dehors de mes sous-vêtements et de mes bas surmontés de mon porte jarretelle, mais sans en rajouter.
Une fois notre véhicule garé, mon Phil et moi nous nous sommes approchés de l’adresse, découvrant un immeuble bourgeois à l’entrée contenu surmonté d’une porte massive. Mon mari sonna à l’interphone sur le nom approprié, se présenta et le sésame de la gâche se fit retentir, Phil m’ouvrit la porte et nous découvrîmes une grande cour pavée, de grands bacs contenant des arbres boules au centre, ce qui ajoutait beaucoup de charmes.
Mais une chose impensable se passa, imprévisible pour moi, mon mari m’annonça à cet instant là, qu’il ne m’accompagnait pas, que je devais avoir confiance en lui et aussi que cette situation avait été demandé par le photographe, par intimité avec son modèle, ne voulant pas être dérangé par une tierce personne, pour une parfaite communion en quelque sorte …Un peu débité et déçu au fond de moi, aussi, un peu furieuse de cette situation, le laissant par obligation, après un échange de bisous langoureux, il s’en est aller en face, au bar, le portable à bout de bras, au cas ou.…

J’étais quand même assez intimidée et seul de surcroîts, la boule serrée dans la gorge et un peu la peur au ventre quand j’ai traversé cette arrière cour au fond de laquelle était son atelier. Mais il m’a mise à l’aise tout de suite. D’abord, ce n’était pas un apollon, avec des lunettes rondes, grand et fin, la quarantaine aussi, grisonnant.
Pas du tout l’image qu’on se fait d’un photographe habitué à faire des nus avec des mannequins, et rien non plus du type qui cherche à séduire des femmes en les prenant en photos. Ensuite, comme il prenait une tasse de thé, il m’en proposa également une , j’acceptai parce que ça détendait forcément l’atmosphère entre nous et rendait ce qu’on allait faire plutôt neutre. Il me fit rire aussi en me racontant des anecdotes de certains modèles qui avaient posé pour lui. Il proposait de l’alcool tant elles étaient mal à l’aise, mais qu’avec moi le thé suffirait. Cela me fis plaisir qu’il ne me considérait pas comme une femme coincée.

Il me montra son studio, sur ce grand plateau avec toutes sortes d’estrades tantôt recouvertes de moquette noire tantôt blanche ou d’autres couleurs, sur des fonds de drap en coordonnés, des éclairages partout, de grands carrés blancs disposés autour pour renvoyer la lumière surmontés de parapluies. Il m’explique les fonctions des divers spots toujours très technique, très pro. Des miroirs ornaient sur tout un pan de mur juste en face des estrades, de ce fait le modèle pouvait se voir, mais ce qui me gênait un peu, la pièce dépourvue de fenêtres, sans lumière du jour naturel. Il m’expliqua que c’était normal, que c’était pour avoir une lumière constante sans avoir à faire de réglages.
Je découvris un peu plus le personnage, l’observant avec un peu plus d’attention, il était pied nu, par évidence des pieds soignés, un Thiaya très coloré (large pantalon Sénégalais) surmonté d’un teeshirt du même esprit, de ces mouvements je décelai qu’il ne portait rien dessous, son sexe certainement de bonne taille, allait d’un coté à un autre, comme un essuie glace à l’envers…
Il m’a demandé me désignant une porte de passer me changer dans la salle de bain, et de mettre un peignoir.
Après être rentrée dans l’endroit, je fis pose à mon cerveau, puis je me changeai, me passant une lingette parfumée au passage. Je n’ai pas osé mettre mes hauts-talons, pas tout de suite, ça aurait fait trop, idem pour les sous-vêtements trop sexy et encore moins ceux de chez Lola, gardant mes jarretelles et choisissant des dessous dentelles de même couleur de chez Barbara. A la réflexion Je les trouvais aussi trop sexy, mais ils correspondaient un peu plus à la situation, et de toute façon je n’avais rien de plus sage.
Quand je suis revenue, recouverte de mon peignoir court en soie vert pastel, il me demanda de le retirer et de tourner sur moi même, découvrant au passage la dentelle immiscée entre mes reins qui me laissait les fesses nues. Là ce fut un moment difficile pour moi, parce que je sentais son regard. Il me regardait vraiment, comme s'il me détaillait, me déshabillait du regard, demandant de me pencher en avant, me foulants de sa vision de toute parts.
Je me demandais s'il ne me trouvait pas trop banales, par rapport à des mannequins, forcément mieux faites et plus jeunes que moi. Heureusement, ses note d’humours étaient toujours présentes, il se voulait rassurant à mon égard, me proclament que pour moi le plus dur était passé, le cap pénible pour toutes les femmes qui posaient pour la première fois, mais il me pris de court en me demandant de me séparer temporairement de tous mes bijoux. J’en porte toujours plusieurs, chaîne, médaillon… J’aime çà, je trouve qu’ils soulignent ma personnalité. J’ai tout enlevé, même mon alliance couronnée de diamant, et après, j’avais vraiment le sentiment d’être complètement nue, comme je ne l’avais pas été depuis longtemps, étrange et même bizarre de cette situation.


Heureusement, la séance a commencé, et après ça a été plus facile car il me parlait beaucoup, prenait plein de photos très vite, en me faisant changer de poses, d’attitudes, il tournait autour de moi comme une abeille. J’avais l’impression d’être prise dans un tourbillon, avec juste le bruit de ses mots et de son appareil photo, comme si je n’étais pas nue face à un homme qui me regardait mais un appareil photo muni de la parole. Ce qui m’aida à prendre de la distance, me sentant de plus en plus à l’aise. Et il savait me faire des compliments, vrais ou faux, peu importe, me dire que j’avais un beau corps, que je bougeais bien. Parfois, il me touchait pour placer mon bras, ma cuisse. Au début, je n’ai pas pu réprimer un réflexe de recul: c’était tout de même un homme qui me touchait alors que j'étais presque nue ! 

Il s’en est évidemment aperçu, me disait la normalité de la chose, de ne pas penser à lui comme un homme, mais comme un photographe professionnel devant un mannequin, et de me mettre dans la peau d’un mannequin. C’est quand même le rêve de beaucoup de femmes, être considérée comme telle, une fois dans sa vie. Alors, je me suis encore plus détendue, j’ai joué le jeu, j’y ai même pris du plaisir, et il me disait que mon mari serait surpris et heureux du résultat. Cela commençais quand même à me faire quelque chose, le contact de ses doigts, la chaleur de sa peau. C’était un peu trouble, un peu érotique malgré moi. Pas de sa part je supposais, bien sûr, puisque lui faisait son métier et que chacun de ses gestes était justifié. Mais moi, oui, j’étais devant un homme que je ne connaissais pas, que je ne désirais pas, et qui touchait mon corps. C’est quand même une situation inhabituelle !
Quelque chose me troublât fortement, quelque chose qui inexorablement attirais de plus en plus mon regard, je décelais à ses passages devant certains spots de lumière, la forme entre ses jambes, elle me paraissait grossissante, tendant un peu plus son Thiaya… 

Il s’interrompit à un moment me demandant avec un sourire chaleureux suffisamment désarment pour que je ne m’offusque pas, de passer d’autre sous vêtements plus chaud… M’avouant que mon mari lui avait parlé de dessous très sexes qui me mettait très en valeur… La je dois dire que j’aurais volontiers serré la gorge de mon Phil de mes deux mains…Le salaud.
J'ai cru un moment que je ne ressortirais jamais de cette pièce !

Mais me voila, devant lui toute rougissante, tenant mes bras croisés devant mon adorable poitrine ronde, ferme, surmonté d'adorables tétons roses et lisses, le tous tenu par la dentelle minimaliste, mon porte jarretelle et mon string ficelle ne cachant plus rien, la perle opaque reposante sur l’endroit défini. La démarche un peu maladroite, j'avais l'impression de mesurer deux mètres, de l’émoie plein le corps malgré la chaleur de la pièce.

Reprenant nos places respective, lui derrière l'objectif et moi sur l’estrade m’empressent toujours malgré tous de couvrir mes seins avec mes mains, mes cuisses serrées. Il shoota quelques photos de plus, surement pour me donner le temps de dépasser ma pudeur me demandant de temps en temps de changer de pose ce qui me libera tous doucement à sa vision. La tension retombant sous les flashs, les poses se faisant moins figées, et lui venant corriger sans un mot, plaçant tantôt un main sur ma hanche, tournant parfois mon corps vers la lumière. Je me sentais a la fois protecteur et offert à ce photographe qui me manipulait comme une marionnette. Je m'abandonnais de plus en plus à ses directives, offrant toute mon inimitée à son objectif.
A un moment, il pris un verre d’eau froide et se dirigeât vers moi, y mettant les doigts, et posa ceux-ci au contacte de ma poitrine, sur mes tétons plus précisément pour obtenir le durcissement de ceux ci en les mouillant, en les pinçant un peu, et en soufflant dessus, ce qui devait arrivé arriva très vite et sans contrôle possible, mes tétons se développèrent sans scrupule, me créant une multitude de frissons dans tous le corps, lui toujours en me parlant, très « technicien », mais moi, une fois la surprise passée, cela me fit forcément quelque chose.
Il m’enveloppa d’un regard admiratif et de plus en plus désireux et m’avoua qu’il me trouvait très sensuelle puis me signifia d’aller au devant de l’appareil, aller vers lui, s’ouvrir pour lui, comme si je désirais cet appareil photo, afin qu’elles expriment le désir du ressentis vis-à-vis de mon mari. Là encore, j’ai joué le jeu, j’ai creusé mes reins, j’ai tendu mes seins en mettant mes bras en arrière. Il parlait toujours aussi vite, me faisait tout le temps changer de position. J’avais de plus en plus chaud, sous la chaleur des projecteurs.
Une brève pause intervint à son signal pour me changer de nouveau, adoptant la tenue la plus osée qui soit, je prenais à mon retour un verre qu’il me tendait, le buvant d’un trait, une sorte de cocktail légèrement alcoolisé aux fruits.
De nouveau devant lui sur un décor neuf, mes seins bandés à l’extrêmes, j’étais dés lors, bercée par ses paroles, par le bruit de l’appareil photo, certaines positions qu’il me faisait prendre, étaient presque vulgaires mais comme une sorte d’hypnose plutôt agréable, je l’écoutais, je me découvrais, je lui montrais mes parties intimes. Il me demanda alors d’être chatte, de pénétrer ma bouche d’un doigt, de laisser couler ma langue sur mes lèvres de façon provocante, se que je m’appliquais à faire…
Rapproché de moi, il prenait ses photos de plus près, ses mains venaient plus souvent sur mon corps, le tutoiement créait aussi une forme de proximité, comme si un cap avait été franchi entre nous. Sa main à proximité de ma rose à vouloir ouvrir doucement mes longues jambes, me montrant la position voulue, je réalisais que j’étais très humide et il ne pouvait pas, ne pas apercevoir.
Puis il me demanda plus de rythme avec toujours les clics de l’appareil photo… De me caresser se que je fis sans butter sur l’ordre, glissant mes doigts sur ma fente et me mis à imaginer mon homme me faisant l’amour, de transformer chaque battement de mon cœur en coups de buttoir de la queue de mon mari dans ma chatte, de poussez mon bassin en avant… Mon string vola, retombant sur le coté de l’estrade, libérée de la dentelle qui emprisonnait mes généreuses babines vaginales, elle se dévoilait voluptueuse et pulpeuse, le bas de ma vulve baillait désormais, mon puits était visible, laissant échapper sans retenu et avec abondance le liquide blanc opaque, un parfum subtil émanait de me jambes… L’effet était d’un érotisme fou. Je sentais son regard concentré sur mon entrecuisse et cela me donnait encore plus de frisons dans le bas du ventre, créant des tourments supplémentaires dans mon vagin, je commençais à perdre pied dans ce plaisir à m’exhiber ainsi devant mon voyeur. J’avais l’impression que mes lèvres intimes se dilataient et, sans pouvoir me retenir, un jet de cyprine s’échappe de mon sexe, glissant sur mon fessier.
Profitant de l’occasion, il enfonça un peu plus loin ses doigts, effleurent mes premières lèvres distendues ainsi humidifiées, conscient alors de l’état dans lequel je me trouvais. Nos regards se croisaient et devenaient sans le vouloir complices.
Par moment je fermais les yeux, mais une chose attirât mon regard, son pantalon avait disparu, sa main droite tenait son membre tendu vers le ciel, le gland circoncis et brillant, une goute de pré-sperme perlant sur le méat, ruisselant et sucré de sa chair, absence de tous poils, d’une belle taille, toute veinée, d’un bel aspect, c’était comme si l’ange sur mon épaule m’interdisait la chose, le diablotin sur l’autre me disant ,vas-y juste une fois, touche là, tu meurs d’envie de te saisir de cette bite…
Il posa son doigt sur mon bourgeon décapuchonné ce qui m’électrisa faisant évaporer les deux personnages de mes épaules, mon clitoris saillant était dur, sans contact direct il me titillait de douleur, il le massait toujours shootant avec son appareil, ne dissimulant pas ces doigts sur les photos, en appuyant juste un peu, le titillant. Paralysée par l’envie, interdite de toute résistance, je ne voulais pas le regarder, je gardais les yeux fermés, je ne voulais pas, à tous pris… Ne pas gémir.
Prenant possession de ma caverne à délice, mes cuisses décidaient bien malgré moi de lui ouvrir plus amplement l’entrée, son doigt inquisiteur s’y engouffra généreusement pendant que le pouce titillait mon bouton d’amour, mon bourgeon rouge vif sortait de son capuchon protecteur. Un deuxième et un troisième retrouvèrent leurs autres frères en moi au coeur de ma braise, il les ressortait remplis de mouille filandreuse pour mieux y retourner, je libérais un gémissement, j’étais toute atlante, Emporté par le rythme de la pénétration, mes seins qui se balançaient rapidement, accentuant encore plus le mouvement de va et viens.
A un moment, il a dû sentir que j’étais près de jouir, à mes balancements du bassin qui accompagnaient ses doigts. Il ralentit le rythme de ses caresses.
J’aurais aimé trouver la force, lui dire que je ne trouvais pas ça bon, mais au contacte de sa bouche sur mes lèvres, mes dernières résistances s’évaporerais définitivement, m’entrainant dans un long et délicieux baiser ou nos langues se mêlèrent et se caressèrent, en échangeant nos salive.
Saisissant au détour d’une caresse ma main pour la poser délicatement sur son long sexe, que je me mis à caresser, un peu chancelante, l’enserrent et entament de lent va et vient. Il semblait apprécier, sa queue accompagnant le rythme de ma main. Alors que sa main remontait vers mes seins, l’autre venait se poser sur ma nuque, a chaque allez retour sur sa verge, le gland grossissait, plus large désormais que ça base, je la sentais m’attirer vers elle, bientôt la voyant devant mon visage restreint à des millimètres, son phallus au contact de mes lèvres, de ma bouche qui s’ouvrait, comme si elle ne m’appartenait plus, posant ma langue sur cet intrus en l’enroulant, prenant possession de la perle sur la pointe, le déguster, gouter l’enivrant. Le va et viens lancé, ma langue ne cessait de le caresser à chacun de ces mouvements, j’avalais le flot de son désir, lui prodiguer une délicieuse fellation me donnant plus de fièvre, ma main malaxant ses bourses que je trouvais énormes. J’en avais envie, trop envie…
J’ai entendu qu’il posait son appareil photo, mais le crépitement d’un autre appareil motorisé pris le relais sans savoir comment… Et le bruit d’une enveloppe de préservatif qui se déchirait. 

Puis il m’invita en me tenant par la taille à me coucher sur le dos et présenta sa colonne de marbre recouverte, Il s'est couché sur moi. Je n’ai rien fait pour l’en empêcher... A l’entrée de mon antre gluant, son gland contre ma chatte, coulissait dans mon sillon, je cambrais les reins. La pression de son sexe s’accentua, mon vagin s’ouvrait, réclament le pieu de chair, mon trou s’écartaient encore plus comme pour mieux le happer cherchant à l’avaler tous entier, la poussée continua, de sa queue pénétrante en moi, je la sentais m’envahir jusqu’au contact de ses bourses contres mes fesses. D’exquises sensations s’emparent de mon corps. Il resta ainsi quelques secondes puis adopta immédiatement un rythme rapide de va-et-vient. À chaque pénétration, ses bourses venaient me cogner. Sa queue était douce et chaude, d’un bon diamètre je la sentais parfaitement glisser d’avant en arrière dans mon vagin. De ma chatte émanait de grand bruits mouillé, des bruits de ventouses aussi…
Des gémissements émanaient de nos gorges dans un même plaisir, de grands coups de reins me soulevait le bassin, la température de mon sexe montait dans la zone rouge, je jouissais délicieusement prenant un plaisir immense à me faire défoncer ainsi de ces puissants coups de reins. Après deux autres profondes et brutales pénétration il s’immobilisa en moi dans un râle, relâchant son emprise sur moi, détectant parfaitement au travers du plastique le liquide chaud qu’il venait de déverser à l’intérieur À cet instant mon plaisir est à son maximum, j’avais chaud, tout mon corps brillait de transpiration, j’était si trempée et ruisselante, inondant le haut de mes cuisses.
Après, je l’ai serré dans mes bras, j’accompagnais ses derniers mouvements de reins, je l’embrassais dans le cou, toujours ce besoin féminin de tendresse, de contact, après le plaisir. Il a joui à son tour, est sorti de moi tout de suite. J’ai entendu qu’il enlevait son préservatif.
Il s’est penché vers moi en souriant gentiment et posait un baiser rapide sur mes lèvres, un baiser d’ami, pas un baiser d’amant. Il me dit de ne pas m’en faire, que ce n’était pas grave, que ce genre de choses arrivait parfois sans qu’on le veuille vraiment, que les photos d’un corps de femme ne fussent jamais si belles qu’après l’amour. Moi, je ne disais rien. Et il a repris la séance, comme si rien ne s’était passé, avec le même ton professionnel, le même débit, la même manière de tourner autour de moi, de m’aider à trouver, de ses mains, la pose qu’il voulait. 
Il me faisait des compliments sur mon corps, me trouvait très expressives, me disait que mon corps était détendu, apaisé, tranquille, et que ça allait très bien avec mon air timide. La séance a encore duré un bon quart d’heure. Puis il m’a de nouveau posé un rapide baiser sur les lèvres, je n’en avais pas envie mais je ne pouvais quand même pas détourner mon visage après ce qui s’était passé, me signifiant la fin, que j’avais été un excellent modèle, que les photos seraient très belles, et que je pouvais aller me changer dans la salle de bains. 
Bêtement, je ne sais pas pourquoi, j’ai remis le peignoir avant d’y aller. Il connaissait pourtant tout de moi, même mon intimité. Mais je voulais sans doute lui montrer que c’était fini, bien fini. J’ai ramassé tous mes bijoux, mais je ne les ai pas remis, dans la salle de bains, je voulais me rhabiller vite, partir vite. Je craignais aussi qu’il m’attende à la sortie, et me propose d’aller dans sa chambre, puisqu’il vivait là. Mais ce n’était pas le cas. Il fumait une cigarette, faisait défiler les photos sur l’écran de son appareil, me proposant une cigarette. J’ai dit non. Il me montra quelques photos, découvrant les planches, les séries de l’étreinte entre autre, en me disant qu’on ne voyait pas grande chose sur cette taille, mais qu’elles étaient réussies, que je les verrai mieux quand il me montrerait les tirages papier. Il n’a fit aucune allusion à ce qui s’était passé, me serrent la main en partant en me disant qu’il m’appellerait quand les photos seraient prêtes, et que nous serions contant du résultat, mon mari et moi.
En sortant, je ne suis pas allée dans le café tous de suite. Je devais réfléchir, remette de l’ordre dans mes idées, me préparer à répondre aux questions de mon mari quand il me demanderait si tout s’est bien passé, ne voulant pas lui mentir. A l’approche du café, je tremblais un peu, je m’en suis aperçue en remettant mes bijoux. Ca me faisais drôle de remettre mon alliance. Je me suis détendue un peu, pensant au plus bizarre, c’était le sentiment d’avoir fait l’amour, et d’y avoir pris du plaisir, avec un homme que je ne désirais pas, qui ne me plaisait pas, que je n’aie pas choisi. Il n’y avait pas eu de rencontre, pas d’affinités, pas de séduction, aucun signe annonciateur. Deux heures avant, je sonnais à sa porte sans le connaître. Ca ne m’était évidemment jamais arrivée, je ne pensais même pas que ça soit possible, et surtout d’avoir du plaisir dans ces conditions. Je me disais qu’il avait sans doute raison, que ce genre de choses devaient arriver parfois dans une séance de photos, qu’il m’avait emmenée sur un chemin un peu glissant, sans qu’on réalise lui et moi où il pouvait lui mener. Sauf que j’ai réalisé que lui le savait, puisqu’il avait sans doute fait çà avec d’autres modèles, et qu’il avait quand même un préservatif dans sa poche, pas dans la table de nuit de sa chambre. Ce qui m’a aidée à me remettre d’aplomb, c’est le sentiment, à tort ou à raison, que je n’avais pas réellement trompé mon mari. Je n’avais pas désiré un autre homme que lui, je n’y avais pas pensé avant, je ne le reverrais pas, ce n’était le début de rien. C’était juste un concours de circonstances, un accident de parcours.

Quand je suis rentrée pour le retrouver à sa table dans un coin, je n’ai même pas eu besoin de mentir à mon mari, il le savait, il l’avait deviné…
J’ai dit simplement que tout s’était bien passé, que le photographe avait été très sympa, très délicat, très professionnel dans sa manière de me mettre à l’aise, qu’il pensait que les photos seraient très belles. Mon mari m’a embrassé en disant qu’il était fier de moi.

C’était un samedi matin, le week-end est passé, la seule chose que je redoutais, c’était le coup de fil du photographe. Je craignais qu’il veuille recommencer. Il m’a appelée le mercredi, les photos étaient prêtes.
Je suis passée les prendre le lendemain chez lui, entre midi et deux. Je m’étais préparée à cette rencontre. Je me suis habillée de la manière la plus neutre possible, pour qu’il ne se fasse pas des idées, et j’ai refusé la tasse de thé qu’il m’a proposée quand je suis arrivée, pour lui montrer qu’il n’y avait pas d’intimité entre nous, même si, paradoxalement, on avait fait l’amour. Je crois qu’au fond de moi, j’aurais bien aimé qu’il tente quelque chose ou me propose de recommencer. J’y ai pensé en rentrant à mon bureau. Comme çà, j’aurais pu lui dire non, et bien lui montrer que ça n’avait été qu’un accident, qu’un dérapage ponctuel, dû aux circonstances, et que je ne le désirais pas en tant qu’homme. Mais il n’a rien tenté du tout, il était de nouveau très pro, très détaché. Il m’a montré les tirages qu’il avait faits. Les photos étaient très belles. On ne voyait pas mes défauts : je me trouvais les épaules un peu étroites, le visage trop allongé ... Je ne sais pas comment il s’y est pris, mais ça ne se voyait pas. En revanche, il y avait plusieurs photos de mes fesses, qui sont bien cambrées et musclées. Et de mes seins bien plantés aux pointes épuisées, et j’aime le contraste avec mon ventre plat. Je me suis trouvé belle, plus belle que je ne le suis en vérité. 

Il m’a montré, mais toujours sur un ton professionnel, comme si ce n’était pas lui qui avait pris les photos, ou pas moi qui avait été le modèle, la progression des photos. Au début, quand j’étais un peu raide. Après, quand il me demandait de tendre mon corps vers l’appareil. Et ensuite, pendant et après qu’on ait fait l’amour, certaine obscène, sa queue plantée dans ma chatte, en gros plan... Réalisant sans comprendre que tous nos ébats étaient sur le papier glacé, de loin, de près, de très près, des détails les plus sordides mais à la fois excitants, mon corps me trahissait une nouvelle fois, je m’humidifiais.
Il me disait que mon corps était apaisé par le plaisir, plus détendu, moins conquérant, que mon regard était plus doux. J’étais gênée parce que j’avais l’impression que c’était vrai, mais en même temps il me disait çà gentiment, comme si ce n’était pas lui qui m’avait fait l’amour.

En me quittant, il m’a serrée la main. J’ai eu envie de lui poser un baiser sur les lèvres, moi aussi, pour lui montrer que c’était bien fini, que je ne lui en voulais pas, que je n’en faisais pas une montagne. Mais je n’ai pas osé. Et au bureau, un moment où j’étais seule, j’ai mélangé l’ordre des photos. Sans vraiment savoir comment, je ne voulais pas que mon mari remarque la progression.

Il les trouva très belles, son visage s’illuminant sur certaines, sans poser de question sur mon infidélité, me disant que c’était un magnifique cadeau, qu’on aurait plaisir à les regarder dans quelques années. Tous de suite, nous n’avons pas fais l’amour mais nous avons baisé, autant lui que moi avec un peu de violence dans nos actes, suivi de grandes jouissance multiple pour moi, et deux pour mon homme.
Après, il m’a quand même demandé si le photographe n’avait pas été insistant, et si moi j’avais ressenti du trouble à être photographiée comme çà, sur le faite d’être prise par un inconnue Je lui avouai le contraire sur le trouble, mais son sourire ne fit que s’amplifié.
Après, j’ai eu un doute, le fait de me demande de poser nue. Et il avait abordé quelques mois avant le sujet d’une sexualité plus libre dans notre couple, comme s’il cherchait à me pousser dans cette direction. Alors, je me suis demandée si le photographe et lui, si ce n’était pas ce que mon mari cherchait. Mais comme il ne m’en a pas reparlé, je crois que non.
Si mon mari voulait renouveler l’expérience, par désir, par force, je serais partante avec grand intérêt, toujours bien malgré moi, le grand oui remportant sur le non. 


Ces photos, il m’est arrivé de les regarder seule, dans l’émotion à chaque fois. J’en connais l’ordre, ou à peu près. Et c’est troublant pour moi de voir la progression : avant le désir, pendant le désir, et après. C’est vrai que je ne suis pas la même, que mon corps n’exprime pas la même chose, mais c’est peut-être juste dans ma tête. 


Val.
#931489
Superbe récit de cette séance photo. Tout y est. :P

Le fait que tu te laisses emporter par le plaisir sans réel désir de l'homme doit venir du rendez-vous avec un photographe.

J'ai lu les mêmes choses (écrites différemment bien sur) sur le blog d'une femme qui a voulu faire un cadeau à son homme et a faite la démarche d'elle même. L'homme ne lui plaisait pas. Elle se sentait intimidée par le fait de s'exposer en sous-vêtements sexy ou nue. Et pourtant, l'envie s'est imposer de passer à l'acte avec ce "professionnel".
Je pense que le fait de vous sentir belle au travers des yeux d'un homme qui a vu de jolies modèles devant lui, vous enlève certainement ce sentiment de timidité ou de pudeur que vous avez en entrant.

Ces hommes sont aussi habitués à être au contact des femmes et savent certainement bien comment les amener à ce qu'ils veulent.

Merci encore et ton mari a tout compris. :)

Je n'ai plus qu'une envie, découvrir ces trésors que tu caches avec ton homme. Mais je sais qu'il vous appartient. ;)
#949609
Mon épouse est l’incarnation de cette harmonie et c’est un privilège rare d’être le mari de celle-ci…
Depuis des mois, pendant nos rapports, j’essayais d’exciter ma douce en supposant la présence d‘une troisième personne dans nos ébats. Val m’avoua que cette idée ne lui déplaisait pas.
Phil.


Récit de Val.

Les visions de certaines choses de la vie nous paraissent bien différentes à la suite de certaines expériences…
Quelque mois ont passé, dans une discutions avec mon mari, nous échangions nos fantasmes pour mettre du piment dans notre relation, jusqu’ au jour ou mon homme a soulevé la question du faite de renouveler l’expérience avec notre connaissance, le photographe.
En faite la possibilité avait été émergente à l’initiative du photographe lui même, il tendait la perche à mon mari sur internet, l’informant d’une futur possible séance.
Et l’idée fit son petit bonhomme de chemin dans ma tête, râlassent sans cesse les différents tableaux exquis qui m’avais permis de découvrir tant de choses en moi, tiraillée dans l’instant entre le désir et le politiquement correcte, mais le fait de l’imaginer, mes seins durcissaient et une humidité envahissait mon entrejambes inexorablement et à chaque reprise.
Dans un éclair de lucidité ou de reconnaissance, un peu confuse et quelques peu gênée je lui avouai que comme lui, le même désir qui nous unissait. Mon homme acquiesça d’un ton noble est volontaire, la mine romantique et enjoué.
Troublée par la vision future d’impatience inavouée de cette nouvelle rencontre, j’acceptais le deal non sans émotion.
Consciemment, je savais qu’en qualité de femme mariée, mon mari voulait posséder mon corps et le soumettre sexuellement à d’autres que lui pour nous, pour l’excitation intense que cela produisait mais aussi, pour moi, mon épanouissement personnel et la certitude de vivre son corps, je vivais dans ces instants des moment précieux et inoubliables.
Il me répétait régulièrement me désirer comme son épouse, sa femme, sa meilleure amie, mais aussi comme amante, et pour la première fois, je comprenais ses paroles…

Tout d’abord, il y eut à prévoir les détails d’ordre pratique, celui de porter un soin particulier à mon corps. Épilée de près, le corps enduit d’une huile parfumée qui laissait ma peau luisante et satinée.
Phil ne m’informa par jeu que je n’avais cette fois ci nul besoin de sous-vêtements dans tous les sens du terme.
J’enfilais une robe blanche de fin tissus, je la savais transparente à contre jour, le décolleté laissait deviner la naissance de mes seins à moitiés dévoilés, à tout moment je pouvais me transformer en femme sexy et provocante. L’étoffe flottante me caressait la chute des reins, avec délectation elle léchait ma nudité intégrale lors de mes mouvements subliminaux.
Comme pour la première fois nous nous sommes séparées devant la cour intérieure, nous embrassant longuement, avec douceur, en plaquant discrètement, mais fermement ma main sur sa braguette et je pouvais parfaitement sentir la raideur naissante de son sexe.

L’homme aux lunettes rondes était là devant moi, et immanquablement mon regard c’est accroché, captive, presque envoûtée, je me suis comme aimantée par son charme, son charisme et son sourire de mec arrogant, il me fit rentrer dans son atelier après m’avoir salué en me serrant la main et sans me la lâcher me fait découvrir les lieux métamorphosé, l’atmosphère est différente, une musique douce divulguée par des enceintes invisibles, les estrade sont absentes, juste en centrale comme une pièce de théâtre, était érigé un décor grandeur nature. Le thème de la luxure y était présenté, sans équivoque possible. Trônait au centre, un lit rond couleur pourpre, sur la droite un petit canapé du même ton, au mur des rideau se soie, sur le sol des plumes de belles tailles, tous autour une multitude d’appareil photos sur trépieds.
Il me proposa élégamment un verre que je ne refusai pas cette fois ci… Il m’expliqua le déroulement de cette séance avec distinction, je le regardais sans vraiment écouter, les mouvements infimes de mes cuisses m’apprenaient que je commençais à mouiller, mais n’ayant toujours pas d’attirance physique, je me posais la question du pourquoi sans avoir de réponse, repassant dans ma tête les images chaude de notre rapport sexuelle, de mes orgasmes et jouissance de la dernière fois…
Il se leva me tendant la main, le contact de sa peau me troublait, il me désigna la salle de bain me demandant de m’y rendre et de prendre possession d’une surprise, surprise à mon attention.
Une fois à l’intérieure je découvris dans un carton doré au nœud rouge, à l’intérieure, tous un ensemble sexy d’une grande qualité, une couleur jamais portée, avec quelques traces de rouge et de noir jetées à priori au hasard ; un savant amalgame de couleurs très prisées dans l’univers de la frivolité, l’art de la séduction et donc de la beauté était le thème de la séance.
Je suis féminine à souhait, alanguie parfois suivant les saisons, mais capable de coup d’éclat, comme une étincelle dans mon entourage combattante de la tristesse.
Ce déluge de dentelles et de matières toutes plus suggestives les unes que les autres, les formes très prononcées presque irréelles, je retirais ma robe, nue comme un verre, je glissais mon doigt à l’entrée de mon sillon et constatais sans équivoque l’humidité croissante mais encore immergée. J’enfilais avec soin les porte-jarretelles, les bas, le soutien gorge me laissait les mamelons libre, je pressais de mes doigts les pointes de ma poitrine, voulant les faire sortir, le point du gros bourgeon parsemé de légères fissures, rugueux, l’excroissance que l’homme rêve de croquer à pleines dents sans prendre garde à sa fragilité. Quelle sensation déjà pour moi de sentir le bouillonnement de cette chair, de le voir changer de contexture et presque de couleur ! Parfois je le voudrais encore plus volumineux…
Le string qui avait une découpe particulière, une épaisseur rugueuse et épaisse entre mes cuisses mais bien au contacte de mon petit bouton d’amour, le frottant légèrement dans ma démarche.
Me découvrir devant l’image réfléchie ajoute encore à mon paroxysme intérieur, à cette tempête des sens qui me perturbe … Différente, mais au combien désirable, un peu femme du monde et à la fois, un peu…Comment dire… Un peu salope.
Je me présentais à lui comme inquiète de son jugement, de son regard porté sur moi, il y vit de quoi nourrir ou déclencher les fantasmes les plus extravagants, me découvrant un sourire nourris, détaillant l’entièreté, le temps s’arrêta..
Un Canon à la main il s’approcha de moi et m’invita à rentrer dans le tableau idyllique, la séance commença, les projecteurs s’allumèrent, l’appareil crachait des crépitements de son mécanisme.
Je posais libre de tous, lui présentais ma croupe, parfois très osée et très suggestive, je pensais à mon homme, du plaisir qu’il aurait eu de me voir poser, ma façon d’allumer et de provoquer l’objectif, de jouer la perverse, des gestes et des mimes, me surprenant même…
Sans crier gars, quelque chose se passa, je marquais un temps d’arrêt, dans mon bas ventre, hormis la chaleur et la forte présence de sécrétion bien installée, une douce vibration venait de se déclencher, le sommet de mon excroissance était titillé, le tissu de mon string collé à ma foufoune agissait de même qu’un sexe Toys, vibrant, mes lèvres à ce contacte s’ouvraient comme les pétale d’une rose.
Dès lors le rôle à jouer était divin, j’adorais…
Lui avait le regard cruel et sans pitié avait une touche perverse à la fois très sensuelle, il me poussait dans mes retranchements, j’acquiesçais ne sachant plus vraiment les limites de quoi…
Mes sens activés, luttant contre la révolte de la chaleur diffuse, je m’ouvrais toute entière malgré moi, essayant de rapprocher à plus de sensation, mon conduit intérieure s’ouvrait et se refermait de spasme libérant ma liqueur translucide, je devenais lentement une obsédée du déhanchement, contrainte à un traitement inhumain, mon regard se posait avec envie de plus en plus souvent sur sa bosse grandissante et déformante, lui qui n’avait de contacte avec moi qu’au travers de l’objectif.
Les vibrations désormais changeantes mais terriblement efficaces, ma bouche s’entrouvrait et se refermait, unie comme des jumelles à ma conque, toute deux déclaraient leurs désirs.
Je prenais ce défi comme un examen, un concours qui enfin m’amènerais, je l’espérais bigrement, au baccalauréat de son sexe. Je me comparais à l’héroïne d’un conte, devant passer un grand nombre d’épreuves pour atteindre sa récompense que j’imaginais aisément.
La vibration s’arrêta, peut être avec regret, très près de la limite fatidique, la vulve et mes lèvres parfaitement, plissées et dégoulinantes de cyprines, le clitoris, piton turgescent et frétillant, hoquetait tous seul de ce premier coït…

Le professionnel lança de sa voie une pause, au plus mauvais moment, l’envie de lui en vouloir…
Il nous servit deux verres de cocktail fruitée néanmoins bien alcoolisé puis il s’excusa pour s’absenter un instant.
Il réapparue tenant quelque chose dans sa main, me le tendit, reprenant sa pose son outil de travail en main, je découvrais sans autre explication de sa part un masque caresse d’ange, assise de coté sur la canapé, positionnée sur le lit à genou, j’enfilais bizarrement la chose sans me poser de question, un rideau de nuit devant mes yeux, me laissant aller couler sur l’assise mes mains entreprirent de partir à la conquête de mon corps, une musique douce vint me rejoindre dans mes actes, indécente, je me titillais les pointes des seins gonflés de désir, ils étaient surdimensionnés, avides de sens imperceptibles faites de contractions comme des signes.
Je sursautai sans vouloir, sans m’y attendre, mais d’un soupir qui voulait dire enfin, le contact d’une, puis deux mains sur moi, m’effleurèrent de douceur, puis un baiser plein, avec la langue se mélangeant à la mienne, échangeant nos saveurs de papille, charnel et terriblement érotique, les pointes se mêlant l’une à l’autre, se cherchant en de savantes circonvolutions… Et cette musique toujours envoûtante, toujours prenante, entêtante. Ce baiser qui durais, qui durais, encore et encore… mon corps liquéfié m’abandonnait, je vais me donner à lui c’est sur, pensais-je avec certitude, l’envie trop forte me tenaillait.
La main passa entre mes fesses et il me soulevait, mes jambes de chaque côté de son bassin pour garder une prise et l’équilibre, ces muscles me malaxaient de toute part, m’embrassant fougueusement dans le cou et sur les épaules et très rapidement elles libèrent ma poitrine de la dentelle ajourée tous en jouant avec mes pointes dardées, sa langue me lubrifia les mamelons. Délicatement positionnée sur le dos, mon bassin en avant et avec lenteur mon string s’en alla rejoignant son compère inanimé dans un coin. La chatte libérée, à la vue de tous, la distinguassions parfaitement de tous ses contours, les grandes lèvres ouvertes, dissimulant à peine le rose de leurs voisines, le noyau planté presque au sommet de cette amande charnelle, à sa vision imaginative, j’étais un peu honteuse du temps marqué pour la découverte, sentant de plus, la rivière de cyprine qui s’échappait de mes babines éloignées de l’une de l’autre, coulant jusque ma raie culière, explicite dans l’état des choses.

Les mains reprirent possessions de ma peau, découvrant chaque centimètre de mon corps sans toucher la lave du volcan dés lors en grande fusion, je quémandais l’urgence.
L’appareil photo était au ange, encore plus actif de mitraillage, je l’imaginais me figeant sans relâche et mémorisant chaque instant, un peu impatiente de les découvrir.
Mon poignet décolla, guidé par un autre membre, atterrissant de mes doigts au contacte d’un pieu de chaleur, délicatement, je le pris, me le dévoilant, un sexe turgescent de taille respectable, parcourant du bout des doigts cette surface de chair douce, le phallus était décalotté ou circoncis, veloutée et onctueuse au toucher, le tapoter, le taquiner et pianoter sur cette peau tendue, je le tournais dans tous les sens en le palpant avec insistance, il intimait un petit va-et-vient provocateur, je le le transformais en une pompe infernale. Enfin, comme impatiente, je l’enserrais dans l’étau de mes doigts, il gémissais de plainte esquisses sous mes caresses appuyées. Il n’en pouvait déjà plus de couler, ainsi manipulée. Sa liqueur abondante et visqueuse collait à mes doigts, à sa peau et tout le long de son membre, se perdant dans les testicules que je trouvais surdimensionnées.
Mais au contacte directe des doigts inquisiteurs, mon sexe n’est pas en reste, je tentais de les retenir prisonniers en serrant mes cuisses brutalement. Tout comme une éjaculation, je me liquéfiais aussi, abondante, ruisselante, expulsant un torrent de miel, fruit de mon plaisir, bref, irrépressible mais d’autant plus intense qu’il n’y avait là pas le moindre soupçon de préméditation. Les doigts en actions, combien sont-ils ? Comme impatients, ils s’engagent entre mes lèvres boursouflées et distendues qui ne cessent de s’éloigner l’une de l’autre. Au début tout est facile, il n’y a aucun obstacle, ils nagent dans un espace mi- solide, mi- liquidé, une humidité douillette qui les accueille avec envie. Puis peu à peu ce nid se rétrécit, les parois d’un canal surgissent et elles ne cessent de se durcir. Ils doivent repousser des collines douces et trempées qui s’effacent après avoir été heurtées, palpées ou pressées.
Ce sont nos corps qui se sont accordés à une vitesse folle et qui ont souhaité se faire jouir aussi prodigieusement.
Puis tous contact quitte mon tunnel d’amour si parfaitement dompté, mon répit n’a été que très passager, entre mes cuisses largement ouvertes, et sans autre procès, sa langue vagabonde glissa dans ma fente déjà offerte, découvrant le friselis de mes petites nymphes. Je vibrais, encore plus, écartelée, repoussant au plus loin mes jambes. Il ne pouvait que s’engouffrer, sa langue sur mon sexe tremper qu’il se mit à parcourir de haut en bas dans une folle sarabande, terminant sa course échevelée sur l’anus. Cet orifice, déjà dilaté, et frémissante se rétracta, comme voulant empêcher l’intrus de s’y introduire sans mon autorisation. Puis il remontait et titilla longuement mon bourgeon bandé, l’évasant, exerçant une pression de plus en plus forte, pour ouvrir enfin la porte baignée dans mon liquide chaud et sucré qui mêle salive et sécrétion. Mais, je résiste toujours et encore, vibrant de plus en plus, m’écartant parfois largement pour me rétrécir presque aussitôt, fier de lui échapper en permanence. Pourtant, d’un seul coup, je cède à cette fouille indiscrète et l’homme s’y engage sans plus tarder, mais sans se montrer conquérant, il vient de ressentir mes premières crispations violentes au niveau de la taille et le jet de mouille sur la langue.
Quelque chose touche ma joue, la chose est brulante, je devine un gland au bout perlant, surprise et dépourvue, les idées lointaines sans réalité immédiate, je m’aide à imaginer la queue de mon homme, de notre fantasme, elle tremblait en sursautant, les bourses gonflées comme ces ballons de fête, elle est animée de toutes les émotions sensuelles qui prennent naissance quelque part dans son corps et qui se répandent en des vagues sauvages, déferlantes d’envie et de désir. C’est un instrument pour mon plaisir, le pré-sperme abondant coulait de l’extrémité, je le tétais, et faisant disparaître la plus grosse partie de la belle verge jusqu’au fond de mon palais, ma langue essayant de se frayer un chemin pour une caresse exquise, la pression sur mes lèvres était maximum pour enserrer son sexe et maximiser son plaisir l’aspirant goulûment, je la trouvais délicieuse et comme par folie je le pompais à m’en couper le souffle, ma langue était excitée, elle courait sur le montant palpitant, cherchant à l’enrober de toute part, ne voulant laisser aucun endroit vierge. Par moment je crachais sur le gland découvert, libérant le mélange de salive et de son jus d’excitation trop perçu de ma gorge; ma main avait le soin du coulissement naturel de cette queue enfiévrée. Il en redemandait et je prolongeais son plaisir par un doux va-et-vient plus classique et moins exigeant pour ma bouche. Il était terriblement dur et je m’attaquais à ses couilles. Je les gobais partiellement en bouche et les suçant un peu, très à mon goût, dépourvu de poils et douce. Ma langue excitait ses testicules, je les léchais, les reprenant en bouche et les calant au fond pour l’exciter au maximum. Il est un peu surpris par cette attention, mais nullement réticent.
Je me surpris moi même, m’entendant leurs dire d’une première parole: < Baisée moi ! >.
A l’initiative de la bouche au contact de mes lèvres souillées de plaisir, harcelant mon clito, j’imaginant avec certitude la vision de la bouche de l’homme recouvert de mes sucs. Positionné entre mes cuisses ouvertes, il dirigeait fermement cet accouplement creusant ma fente de son membre, cette coupure certainement toute rouge, presque saignante qui refusait obstinément de s’agrandir davantage… Sa tige de chair pénétrante et incessante, imprimant aussitôt un rythme de mon bassin pour plus de contacte, l’obligeant à aller le plus loin possible, sans faire de pause, réduite à l’état d’un pilon. Les premiers aller-retour profonds et puissants sont un vrai soulagement, tant mon sexe le désirait. Nos pubis rasés se plaquaient l’un à l’autre avec rudesse, ils s’aimantaient, nos entrecuisses trempées se croisaient et s’entremêlent, et cela toujours plus vite, immodérés dans leur comportement, je ne respirais plus ou à peine, de long râle obnubilés par cette course effrénée qui s’était emparée de ma gorge, l’alcool ou le sexe, je ne sais pas, mais ma tête tournait, tous comme mon corps d’ailleurs. Couteau et hache à la fois, il me défonçait sans retenue, ayant l’impression d’être pénétrer à chaque fois dans un nouvel univers, mon trou l’avalais plus qu’elle ne l’aspirait, l’engloutissant d’un seul morceau pour le recracher aussitôt tout entier hors d’ elle avec une musique unique.
Les assauts de ma langue ne peuvent pas tout, même si je m’appliquais en le dévorent, le sexe se tendait un peu plus, de mes lèvres j’en sentais la courbure douce, un doute, de sa taille, de son gout, je ne savais plus… Je ne mesurais plus. Trop obnubilée par la perfection savante des caresses de leurs mains, de leurs lèvres sur ma peau.
C’est alors que la trahison de mon corps me cambra en un nouveau spasme violent, m’arrachant des cris, agitée de nombreux frissons qui contractaient tous mes muscles. Je le sentais durcir et se figer douloureusement dans ma chatte, il ne bougeait plus, le sexe enfoui au bout de mon antre, soulagée et épuisée par cet assaut que je ne prévoyait pas être aussi fougueux. Ils dégageaient ensemble leurs bites de mes mâchoires qui les l’emprisonnaient. Dans un souffle fort, je les devinais échangeant leurs places, puis sous ces nouvelles pénétrations je m’agrippais à cette queue grasse sur mes lèvres en libérant des sons parfaitement inaudibles.
Ma noblesse s’était évaporée, j’étais luxure et vice.
Mes doigts conquièrent le sexe tendu et trempé de notre plaisir, vacillant en accord avec ma langue enroulée autours de cette verge, je tangue au rythme des avancées toujours plus audacieuses et appuyées en moi. La hampe large m’écartait avec délectations, une sensation nouvelle me traversait, la compréhension définitive et bien tardive, toutes ces queues pénétrantes étaient de parfaite inconnue, tant par leurs conceptions que par leur gout…
Les vibrations qui parcouraient mon corps à chaque pénétration, les deux pieux largement enduits allaient et venaient en moi. C’était fulgurant, cela me coupait en deux, me laissant interdite de l’espace régulièrement.
Puis, l’abandon soudain de l’attitude conquérant, il massa mon conduit, se montrait plus doux, je fondais alors sous ses caresse. Des bouches se posaient à tour de rôle sur mes tétons, telle des ventouses insatiables, elles les aspiraient et les avalaient. Je sentais mes pointes gonflées comme jamais.
Des mains touchaient mes cheveux, se faisaient caressante, le bandeau glissa sur l’arrière, me délivrent de l’obscurité à la lumière et peu à peu, je découvrais un peu avec crainte mes deux admirateurs. De parfait inconnue avaient pris possession de moi, mais aucune déception ne me gagna… Mon cœur battait juste encore plus fort.
Et sans prévenir dans leurs attitudes, ils déclenchaient un pilonnage conjoint avec véhémence, l’orgasme, une jouissance inexorable fessait exploser mes reins, mon ventre bouillonnait, je convulsais me compressant la poitrine et ma tête illuminait. Je pousse des cris terribles qui se transformaient en des râles sauvages, je crus avoir expulsée ma semence partout dans la chambre, mes cuisses étaient inondées. Je suis complètement bouleversée par cette sensation inconnue, brusquement et longuement répandue dans tout mon corps comme un fleuve de plaisir, un plaisir total, puissant, impossible à dominer. Je me suis soumise à cette onde merveilleuse et inépuisable.
Mes doigts se sont transformés en un anneau qui chauffe à blanc une lanterne magique qui crépitait à l’intérieur de mes dents, le jus apparaissait, plus étincelant. Une goutte, puis une autre qui se présenta. De cette queue inépuisable, son sperme gras coulait et glissant au fond de ma bouche, je fermais les yeux et avalais sa semence âcre avec un sensuel mouvement de langue, le liquide était abondant, je l’avalais avec naturel appréciant la saveur de celle-ci, le nettoyant jusqu’à la dernière goutte, le vidant complétement. Je rêvais d’un jet puissant et abondant dans mes entrailles mais il s’échappa dans un flop en rallant, laissant mon con et son périmètre souillé à souhait, la porte grande ouverte, les parois de mon intimité dilater et détrempée, il arracha au passage le capuchon plastifié et éjacula dans ma direction de tous son être, la tête renversée. Les premiers jets atteignis mon visage se glissant entre mes lèvres entrouvertes gouttant cette nouvelle liqueur salée de ma langue, mes seins suivirent, le liquide chaud glissant de part et d’autre de mes formes arrondies.
Le photographe s’approcha de mon visage, la grosse mandibule a la main et cracha de son méat de grande quantité liquoreuse, m’inondant la bouche demie-ouverte, le sperme onctueux se perdant entre mes dents et ma gorge, étalant de ma langue sa crème brulante contre le palais, je me pencha pour l’avaler flattant mes lèvres au passage, le nettoyer lui rendant un aspect neuf.
Dans un ultime effort, plusieurs doigts sur mon clitoris, me déclenchais de dernier soubresaut, jouissante une dernière fois de tous mon être.
Les yeux fermés, trois bises successives vinrent me toucher….Mes amants d’un jour disparurent me laissant pantelante, mais impatiente de me retrouver dans les bras de mon amoureux.

Valphil.

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