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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
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par Erosverde76
#851055
wanabe a écrit :Merci Cassandre pour ces superbes posts, divinement bien écris.
Vous devriez en faire un livre !!



Avec le chapitre de la gifle (et les autres qu'on ne nous a pas racontées!)

Titre du livre:

"Jedem das Seine" = "A chacun son dû"

Ach za rabelle de pons zouvenirs!
par wanabe
#851752
Erosverde76 a écrit :
wanabe a écrit :Merci Cassandre pour ces superbes posts, divinement bien écris.
Vous devriez en faire un livre !!


Avec le chapitre de la gifle (et les autres qu'on ne nous a pas racontées!)

Titre du livre:
"Jedem das Seine" = "A chacun son dû"
Ach za rabelle de pons zouvenirs!


Et un point godwin un !! Erosverde76 vient de se discréditer en vérifiant la loi de Godwin :D
Plus sérieusement, que fais tu sur ce thread si tu n'y est pas intéressé ?
Tes interventions y sont inutiles et polluent quelque peu les délicieux échanges qui par ailleurs s'y déroulent.
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par Erosverde76
#851786
Toi t'es en admiration devant quelqu'un qui balance des torgniolles à son conjoint, et ce sont les autres qui pour toi sont dérangés!

Moi j'en ai rien à faire qu'elle manie la langue française avec l'aisance de quelqu'un à qui Papa et maman ont payé toutes les études qu'elle voulait, qu'elle gifle avec élégance et qu'elle est persuadée d'être la huitième merveille du monde!
Ce qui m'afflige c'est qu'il y aient des gogos pour baver devant ce qui n'est qu'une enfant gâtée!!
Qu'en à ta loi de machin chose, tu sais ce que tu peux en faire...
Mon grand-père, résistant cheminot est passé dans les mains de la gestapo, alors les gifles et autres douceurs pour soumettre l'autre relèvent pour moi de la même psychologie exterminatrice!
C'est clair non ?!
par wanabe
#853284
Erosverde76 a écrit :Mon grand-père, résistant cheminot est passé dans les mains de la gestapo, alors les gifles et autres douceurs pour soumettre l'autre relèvent pour moi de la même psychologie exterminatrice!
C'est clair non ?!

Ce qu'il faut pas lire ...
Donc la gifle de l'instit sur l'élève procède d'une psychologie exterminatrice. Idem pour la gifle de la mère à l'enfant.
Double point godwin !!

Désolé de poluer ce divin post Cassandra.
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par OnPlay
#854446
Erosverde76 a écrit : 13 Oct 2011, 13:26
Certes c'est bien l'esclave qui "produit" le maître et le fait vivre en quelque sorte, nous pourrions à l'infini intellectualiser comme vous le faites si bien cette dialectique maître-esclave qui n'est pas nouvelle.
Mais comme "FernandRaynaud" sur ce même post c'est l'évolution qui me glace le sang car vous semblez très à l'aise pour tout justifier par le désir de votre "mari" de subir tout cela.
Alors j'ai très envie quitte à être ultra violent dans mes propos de vous rappeler qu'à une certaine époque d'autres aussi ont justifié tout, même le crime de masse, par le consentement supposé des victimes qui couraient vers leur fin pour échapper à la soif quand leur bourreaux leur faisaient croire qu'ils allaient pouvoir se désaltérer et prendre une bonne douche.
J'affirme donc que Monsieur est enfermé dans un camp de concentration psychique et le fait qu'il accepte tout ne vous grandit aucunement bien au contraire!!!
Vos orgasmes Madame ont une sale odeur de solution finale.


Oui plus je lisais son texte plus cela me dérangeait, non pas tant par le contenu que par la manière manipulatrice de justifier l'esclavage. Cette femme, si elle est réelle, n'aurait cependant pas eu sa place dans certains camps où les gens ne faisaient là "que" leur travail. Ce qui rend la chose encore plus terrible car l'on voit bien qu'à toute époque cela peut se reproduire comme un "quotidien acceptable".

FernandRenaud a écrit :Et en définitive, d'où vient ce besoin d'emprisonnement de votre mari, ce besoin d'humiliation, d'avilissement, de se transformer en esclave ? Pourquoi ne pas s'être accordé le statut ultime de totale liberté, sans pour autant jouer sur sa propre image d'esclave et de soumis ?

Ceci étant, magnifique récit, si bien écrit, quel bonheur de lire des écrits de qualité, merci.


Oui magnifique, la qualité d'écriture, qui permet de mettre de la distance en introduisant de la beauté à un texte de boue. Je ne parlerai pas de bonheur à lire un texte sous pretexte de qualité quand il justifie la torture d'un homme et le plaisir qu'en retire une femme "pour le bien de son homme".
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par Erosverde76
#856104
Je dédie ces vers de Bernard Lavilliers au mari de Madame Cassandra :

La femme objet dans la baignoire
Et la misère au Brown Sugar

Le lit est froid un vrai poignard
C'est le parking du désespoir
Le ciel est bleu comme en enfer
Sur Las Vegas dans le désert

Mais...

N'appartiens jamais à personne
par wanabe
#857839
Erosverde76 a écrit :Cassandra est sans doute la mère de son mari ?
T'as pas dû assez jouer au docteur quand t'avais dix ans, t'as loupé quelque chose...

mouhahaha ca tourne pas clair dans vot' tête:
non Cassandra n'est pas la mère de son mari ... et votre grand-père, sa mère c'était la gestapo ???
Vous mélangez tout ...
par abyssos
#858114
Steeve a écrit :
cassandra a écrit :Cela peut paraître improbable, mais au fond ce mouvement simultané et divergeant nous unit: son amour s'intensifie dans le manque pendant que le mien s’épanouit dans l’abondance. Mon sexe manquant le comble de désir tandis que le sexe rentrant de mes amants me comble de jouissance.

MAGNIFIQUE. PUR ET BEAU !


désolé mais dès que j'ai arrêté de rire après avoir lu ces "diarrhées" verbales, j'ai pensé à un vers de J. Brel :
----------- beau, beau et kon à la fois ! --------------------
Heureusement, nous savons tous que ces délires "poétiques" (sic) ne sont que des fantasmes et tant mieux si ça fait plaisir à certains de croire le contraire !!!
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par CpleRéel
#861910
Steeve a écrit :La privation est l'élévation de tout l'être du cocu vers sa Maîtresse révérée. C'est le moyen le plus sûr et le plus beau d'arriver à l'amour véritable.


Cher Steeve,
Pour paraphraser ce que vous qualifiez d'"amour véritable", cet amour dans lequel ma Maîtresse vénérée me prive désormais d'elle tout en s'autorisant le plaisir auprès d'autres hommes transcende véritablement notre vie quotidienne.
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par CpleRéel
#862096
cassandra a écrit :Chacun de nous est régi par les dogmes qui lui sont soufflés, dès l’enfance : par ses parents, les institutions, les codes de la vie sociale, les règles de la bienséance. S’extraire de ce conditionnement pour se construire personnellement réclame du courage et, souvent, de frayer seul à travers la foule.
À ces règles s’ajoutent, pour les femmes, celles, non moins étouffantes, de la morale sexuelle. Je n’ai pas échappé à cela : enfance dans une petite ville de province, vie familiale étriquée, encouragements permanents à entrer dans le rang, à ne pas se distinguer, à être « comme il faut ». La chair s’est inclinée suivant le même poids imprimé à l’esprit : repli sur soi, corps jugé en disgrâce, plaisir étouffé. Non que je n’ai pas eu, plus tard, de vie amoureuse épanouie, mais son véritable potentiel m’était étranger. Me débarrasser de ces « habits » a pris du temps.
Jusqu’à la rencontre avec mon mari, et malgré quelques belles aventures amoureuses antérieures, je n’aimais pas spécialement mon corps. L’amour de mon mari pour moi, sa propre faculté à se libérer du rôle social que l’on réserve ordinairement aux hommes (force, ambition, pouvoir…) pour s’en remettre sans aucun réflexe de défense au désir que je lui inspirai m’ont libérée, de l’intérieur. Et ont littéralement « exhumé » ma beauté. Par beauté, je veux dire une sorte de rayonnement devant lequel tout devenait possible : érotisation du quotidien, fascination grandissante de mon mari à mon égard, extension du champ amoureux hors des gestes et des pratiques considérées comme décentes.
Le projet amoureux que nous avons construit, sur un fil ténu d'abord, n'a cessé de croître depuis plus de 15 ans. L'intelligence, la confiance que je trouvais en lui se sont avérées des signes suffisants pour que nous nous livrions l'un à l'autre dans nos gouffres. Et nous engagions à libérer notre amour des conventions afin d'en exhumer la partie gigantesque, inconnue. Il m'a fait accéder à un état "supérieur" qui me rend littéralement rayonnante. Plus j'aime, plus j'ai envie d'aimer et plus je suis aimée. Autour de notre relation de couple, je suis passée d'un amant à deux, puis trois, puis dix...

Une seconde étape, toute aussi longue, consista à me libérer d’un statut de femme d’intérieur derrière lequel je m’étais confortablement réfugié. Ce n’était pas assez de m’affranchir de mon corps, il fallait que je franchisse le seuil de mon chez moi : l’amour était aussi dehors, il ne demandait qu’à s’offrir et à m’épanouir. Accepter cela demanda beaucoup d’échanges. Mon mari m’y aida encore une fois. Je lui en rends grâce parce qu’il reçut souvent de ma part de l’incompréhension et, pire parfois, mon jugement : s’il m’aimait, comment pouvait-il concevoir que je goûte l’amour « ailleurs » ? Je me battais contre des mensonges auxquels j’avais fini par croire : un homme, une vie, une maison, une famille.
Aujourd’hui, libre de plaire, je plais réellement. Je goûte mes amants sans culpabilité. Et je prends leur désir pour ce qu’il est : une possibilité de communion amoureuse qui enrichit ma vie, me rend meilleure, plus belle et aussi plus amoureuse au sein de mon couple. J’aime, je suis aimé et je rends cet amour au centuple à ceux qui m’entourent. De cela, chacun profite « sans compter »: on n’aime bien que plusieurs fois.

Pour entrer d’avantage dans le réel de notre vie, je dirai que le désir de mon mari pour moi est la matière infinie que je "travaille" et dont je tire des ressources de vie non seulement au niveau de notre couple, mais aussi sur le plan personnel !
J’ai découvert progressivement qu’en l’excitant et en le privant en même temps de moi, il développait des comportements d’attention, de docilité, de tolérance et d'adoration accrus. Je devenais son unique fantasme.
C’est un cercle vertueux : il me suffit d’accroître simultanément l’excitation et la privation pour que son inféodation et sa fascination grandissent !
Lorsque j’ai pris conscience de ce pouvoir, mon horizon de femme s’est littéralement ouvert devant moi. Tout à coup, j’obtenais non seulement l’amour illimité de mon mari, mais en même temps une liberté d’action sans mesure. Je peux même dire aujourd’hui que j’ai poussé cela si loin qu'il en a perdu tout libre-arbitre et jusqu’au souci de sa propre individualité. Chacun de ses actes est tourné vers un seul but : satisfaire mon bonheur. Mes plaisirs sont les siens et ce qui est bon pour moi est bon pour lui !

Plus concrètement, j’ai commencé par réduire progressivement nos relations sexuelles : depuis 5 ans, une fois par mois environ, mais en réalité cela dépend de mes rendez-vous extérieurs. J’assigne à mon mari le rôle d’un amant de substitution, à disposition lorsque mes amants ne le sont pas. Et quand je l’autorise à me faire l’amour, il doit se consacrer entièrement à mon plaisir, comme un amant. J'ai pris récemment la décision de le priver totalement de moi (je reviendrai sur un post à part sur les conditions de cet acte), mais c’est plus une emprise psychologique je l’avoue. J’ai besoin de sa queue parfois et lorsque nous baisons, je prétexte une envie subite ou une absence de mes amants.
C'est pareil pour les éjaculations, mais je prends soi de le vider tous les 10 jours environ. Parfois moins, parfois plus. Le temps de cette abstinence, je l’excite autant que possible (le plus souvent en le suçant), condition pour que mes
écarts de conduite ne génèrent aucun doute ou résistance de sa part. Ces éjaculations sont terminées à la main, comme une traite, de manière à ce qu’il ne puisse l’apparenter à une pratique sexuelle qu’il aurait avec moi. Un truc que je pratique parfois, pour le « punir », c'est le déni d’orgasme. Je fais venir les premières convulsions, puis je coupe brutalement : le sperme sort (un peu), mais sans qu’il en éprouve aucun plaisir. Sa tension retombe assez pour être supportable, mais pas suffisamment pour l’extraire de la brûlure du désir.
Je veille également à ce qu’il ne puisse se masturber. Quand je sors avec un amant, je lui fais porter une cage de chasteté. S’il est seul à la maison, je lui fais aussi porter la cage. Toute possibilité de se soulager en mon absence lui est ainsi impossible.
Les carences sexuelles que je lui impose n’altèrent en rien son comportement de mari ou d’amant, au contraire. Les faits parlent pour moi et sous l’emprise de sa nouvelle existence (identité devrai-je dire même), rarement il n’a l’occasion de se plaindre ou d’être un mauvais mari ou un mauvais amant.
Que cela soit clair, la privation dans laquelle je maintiens mon chéri n’exprime pas un éloignement de ma part mais plutôt la volonté de le « mouler » psychologiquement à mes seuls désirs. Comme cela marche au-delà de ce que je pouvais imaginer, il n’est pas pour moi de plus grand plaisir que de lui en faire, permettez-moi le terme, baver. Et pour cause : le priver de moi accentue son désir et son incapacité à me résister sans que sa psyché n’est à souffrir outre mesure des libertés, de plus en plus grandes, que je prends. Il vit quotidiennement dans cette famine de moi. Sa vie se « réduit» à me désirer, à m’attendre quand je sors, à tout faire pour me mériter, et je n’aime rien tant que de le savoir dans cette tension érotique permanente pendant je m’ébats joyeusement d'un lit à l'autre.
Pourrait-il s’en réveiller ? Je ne le pense pas. La dépendance dans laquelle je le plonge est comme un acquis, et chaque stimulation que j’y ajoute ne fait que la faire grandir, sans "retour" possible de sa part : c’est une spirale infinie. Il me faut simplement veiller, et vous avez parfaitement raison d’insister sur ce point, à ce que cette chaîne ne soit pas rompue. Et que les témoignages d’amour à son égard demeurent intacts. Il se trouve qu’ils le sont, ce qui tend à prouver que l’amour ne perd rien à rayonner vers plusieurs partenaires, contrairement à ce que l’on aurait tendance à nous faire croire depuis le berceau.

Aujourd’hui, ma vie est ainsi faite qu’il n’y a plus aucune restriction à mon épanouissement : je sors et couche avec qui je veux, aussi souvent que je veux, tout le temps que je veux.
Le sentiment de culpabilité n’existe plus pour moi : rien de ce que je fais n’est mal. Par exemple, si je veux faire une chose qui peut faire souffrir mon mari, mais que je considère cette chose bonne pour moi, j’accrois sa dépendance sexuelle envers moi afin que cette chose devienne bonne pour lui. Mieux encore, la notion de moralité ou d’amoralité dans ma vie quotidienne ou sexuelle est laissée à ma seule appréciation : je suis libre de dire ou de faire ce que je veux dans la mesure ou j'ai décrété que l’acte en question ne porte pas atteinte à notre amour. Ainsi, j’ai toujours raison, même lorsque j’ai tort !
Dans ce cadre, ma façon de parler à mon mari est un des outils dont je me sers pour accroître cette « distance vertueuse » entre nous et augmenter mon influence érotique sur lui. Je le traite de « cocu » aussi souvent que possible, manière de lui rappeler son seul statut à mes yeux. Cette pression est importante pour éviter tout flottement mental chez lui : l’homme voué a besoin de son piquet !
De la même façon, j’exige, je vampe, j’humilie, je provoque, j’ordonne, je gifle même parfois. Mais l’alternance est une excellente stratégie et une dureté calme est parfois le meilleur atout. Ma façon de procéder va de la moquerie douce à l’ordre le plus ferme, mais aussi de l’humiliation à la menace. Le dernier degré, pour moi, consistant à jouer avec sa terreur que je le quitte. Une arme infaillible… mais que je réserve aux cas exceptionnels, lorsque je dois lui faire accepter quelque chose de très éprouvant : une sortie ou un voyage de plusieurs jours avec un amant, une relation d'ordre amoureux avec un autre homme, des rapports sans préservatifs…
Cela me permet de m’exonérer, aussi, d’une (bonne) partie des taches ménagères. Globalement, il sait qu’il doit prendre en charge tout ce qui peut adoucir ma vie quotidienne et faciliter mes libertés sexuelles à l’extérieur de la maison. Ainsi, la boucle est bouclée.

Cet amour hors norme, c’est notre projet de vie. Nous traversons un quotidien érotisé et tout ce que nous vivons s’en trouve intensifié : son amour pour moi, mon amour pour lui, mes relations avec mes amants, et même la vie quotidienne qui est tout… sauf quotidienne ! Ainsi, la singularité de notre relation rayonne sur tous les aspects de notre vie, bien au-delà du sexe.
Hors (entre ?) les lignes intenses de cette relation hors norme, mon mari et moi vivons une vie amoureuse qui est aussi faite de tendresse, de partage, de romance et des gestes de tous les amoureux du monde. Ces moments sont l’autre versant de notre histoire et rien, de l'extérieur, ne permet de nous distinguer de n’importe quel autre couple. Je dirai même que ces expressions amoureuses n’ont pas subi l’érosion du temps, à l’inverse de ce qui se passe souvent. Et que me lover dans les bras de mon mari en regardant un bon film m’est aussi essentiel que sa soumission sans condition à mes caprices. Elles résonnent comme un havre de paix au milieu de la tempête sexuelle de notre relation. Mieux même, je ne dissocie pas une expression amoureuse d’une autre : extrême tendresse ou extrême perversité, chacune est la manifestation de l’amour fou qui nous unit. La relation qui m’unit à mon mari, je l’ai dit, est centrale, essentielle. Je l’aime autant qu’il m’aime, et si nous ne l’exprimons pas de la même manière (lui en s’accordant à mes envies d’ailleurs, moi en ne le partageant pas), nous avons notre propre symbiose sexuelle. Le plaisir charnel que j’éprouve avec lui est intact et d’autant plus fort qu’il est rare. Nos relations tiennent de la communion instantanée. Elles ont leur propre singularité... comme celle que j’entretiens avec chacun de mes amants ont la leur !

Parmi ces singularités, l’amour a sa place : je me définis comme une poly-amoureuse. C’est-à-dire que je ne m’interdis pas d’éprouver des sentiments d’ordre amoureux pour mes amants, si ces sentiments viennent. C’est un mythe de croire qu’aimer plusieurs personnes diviserait l’amour. Mais je fais une hiérarchie. La relation avec mon mari est centrale, les autres sont des amours satellites qui tournent autour de cet axe.
Lorsque, dans le temps, ma relation avec un homme fait apparaître des sentiments d’ordre amoureux, mon mari en est le premier informé. Même si, je l’avoue, ce pincement au cœur si caractéristique de l'émotion amoureuse n’est pas aisé à traduire et que je crois que tout être a une propension naturelle à en faire son jardin secret. De surcroît, je ne dis pas tout, il n’y a pas d’obligation : je suis reine auprès des hommes et une part intime de ce que je vis m’appartient.
Ai-je été souvent amoureuse ? Une dizaine de fois sur la centaine d’amants que j’ai connu au fil des ans. Tenté d’en suivre un autre oui, une fois… mais de quitter mon mari, fondamentalement, non. Était-ce parce que je sentais déjà chez lui cette capacité à tout accepter de ma part, comme si, finalement, je n’aurais jamais à choisir entre mon mari et mes amants ? Peut-être, mais pas seulement. Le fait est surtout que nous avons converti nos convictions en actes et que notre vie de couple a permis cette jonction. Contrairement aux modèles auxquels la société veut nous faire croire, j’ai cette chance de ne pas à faire le deuil d’un amour pour en vivre un autre. La richesse de ma vie tient dans cette accumulation d’amours différents et vécus conjointement sans qu’aucun ne porte ombrage à l’autre. Est-ce que je me sens pour autant à l’abri définitif d’un accident ? Non, bien sûr.
Mais qui l’est vraiment ?
Ces amours, je les vis librement, devant mon mari parfois, comme en pleine rue ou à la terrasse d’un café. Il m’est même arrivée de croiser un amant en étant au bras d'un autre (situation étrange, le « cocu » n’étant pas toujours, à la lumière de leur regard, celui que l’on croit). À l’inverse, je veille à maintenir une cloison étanche entre cette face de ma vie et mon entourage proche, peu compréhensif sur ces choses-là. Enfin, lorsque je rencontre un de mes « chéris » en présence de mon mari, ce qui est somme toute assez exceptionnel, je n’éprouve aucune gêne à exprimer mes sentiments envers mon amant, par les mots, les gestes, les baisers. Dans ce cas-là, il est même bon que je fasse fi de la présence de mon mari afin d’être totalement naturelle avec mon amant et c’est plutôt pour ce dernier que je me montre démonstrative, au détriment de mon mari cette fois.

Ce pouvoir dont je semble être si sûre ne tire partie d’aucune vanité en moi mais d’une lecture, par les faits, de ce qui semble faire Loi : l’impuissance masculine devant la dimension sexuelle des femmes.
Je crois avoir fait de mon mari à peu près tout ce que l’on peut faire d’un homme. Au point de le soustraire à toute autre réalité que celle de me satisfaire et de me désirer. Il n’est qu’un bloc de fascination pure tendue vers moi seule. Il reconnaît lui-même que sa soumission a fini, au fil des ans, par le définir : il est cela et rien d’autre.
Sans doute pourrais-je aller plus loin encore si je le voulais. Parfois, quand je le vois dans cette idolâtrie malgré tout ce que je lui fais subir, ou quand je passe des nuits folles dans le lit d’un autre, ma perversité m’effraie : ce n’est pas que je ne vois plus de limite à mon pouvoir, c’est que mon pouvoir n’a, réellement, pas de limite. Pouvoir à son gré « piétiner » ce que l’on a de plus cher est un aphrodisiaque puissant.
De tout cela et pour tout cela, j’éprouve de la griserie. La griserie infinie d’être dépositaire d’un tel ascendant.
Cela dépasse la seule expérience de la domination : j’en éprouve un sentiment de liberté très haut qui me permet, entre autres choses, de vivre une vie affranchie du jugement des autres, du poids de l’éducation et des rôles dévolus à chaque sexe.
Concrètement, cela m’excite beaucoup aussi. Faire d’un homme à peu près tout ce que l’on veut et voir, malgré tout ce que je lui fais endurer, ses yeux morts d’amour pour moi est terriblement énergisant. Je me sens envahie d’une joie perverse. Et de ce sentiment de puissance, très grisant, de bousculer « l’ordre » du monde.
Bataille ne disait-il pas à ce sujet que ce qui est en jeu dans l’érotisme, c’est toujours une dissolution des formes constituées ?


Chère Cassandre,
Bravo pour vos splendides écrits (celui-ci en particulier), qui résonnent d'autant plus intensément en moi que mon couple marche petit à petit dans vos pas. Ma sublime Maîtresse a, comme vous, décidé il y a quelque temps que je ne la pénétrerais plus et qu'elle réserverait ses ébats à ses amants. Il ne lui est pas encore facile de s'affranchir pleinement, car comme vous l'avez écrit quelque part, il y a tout le poids de l'éducation, la morale sexuelle et ce sentiment de culpabilité qu'il faut surmonter. Au fil du temps, elle s'est révélée insatiable sexuellement, multi-orgasmique, parfait exemple de "l’impuissance masculine devant la dimension sexuelle des femmes". Il est évident que je n'ai pas su la combler sur ce plan, moi-même handicapé par mon inexpérience et mon incurie envers les besoins féminins. Aujourd'hui, elle commence à renaître à ses véritables aspirations, mais c'est un tournant important qu'il convient de ne pas rater pour ne pas entraîner chez elle de nouvelles désillusions. On y viendrait vite. Car les amants de passage ne sont pas toujours la panacée, et les faux-semblants sont légion (indisponibilité, exigences diverses ou même petits caprices, fiabilité et performances très relatives, etc.). Parallèlement, notre relation évolue favorablement, dans le sens d'un dialogue plus ouvert et de sentiments véritablement transcendés l'un envers l'autre, mais paradoxalement, les difficultés ne résident pas toujours chez celui des deux auquel on penserait de prime abord... Elle m'a dit dernièrement, après la rencontre d'un nouvel amant, qu'elle avait réalisé à cette occasion combien elle ne pouvait se passer de moi.
Parallèlement, elle a réglé mes problèmes masturbatoires (et la question de la pénétration) en m'imposant le port permanent d'une cage de chasteté fixée durablement au moyen d'un anneau de piercing de 2,4 mm à la place du classique cadenas (trop encombrant dans le slip), ou du scellé numéroté en plastique (trop facile à couper au premier "doute existentiel"). Le modèle "cage à furet" métallique est, en outre, très confortable, même la nuit, et autorise une bonne hygiène. Nous avons découvert à notre grande surprise que, durant nos jeux, je parvenais à avoir des éjaculations spontanées sans stimulation à travers la cage. De quoi supporter une tension qui serait autrement insoutenable.
Une différence par rapport à vous, cependant: elle a toujours été réticente à me prodiguer des fellations, et s'y est par conséquent très vite refusée. Mais elle a redécouvert le plaisir de sucer ses amants! Son désir est, à présent, de me préparer, tant physiquement que psychologiquement, à l'idée de recevoir le sexe d'un homme en bouche et dans l'anus. Rien que l'évocation de ces perspectives a pour effet de me faire éjaculer spontanément...
En espérant vous lire, et pourquoi pas partager de vive voix nos expériences, je vous adresse nos plus cordiales salutations.
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par utoeuta
#862809
CASSANDRA 'Enfin, lorsque je rencontre un de mes « chéris » en présence de mon mari, ce qui est somme toute assez exceptionnel, je n’éprouve aucune gêne à exprimer mes sentiments envers mon amant, par les mots, les gestes, les baisers. Dans ce cas-là, il est même bon que je fasse fi de la présence de mon mari afin d’être totalement naturelle avec mon amant et c’est plutôt pour ce dernier que je me montre démonstrative, au détriment de mon mari cette fois.'
Bien vu et je remercie mon mari (Uto) d'avoir insisté pour que mes rencontres avec mon amant (JJ) se passent en sa présence, quand bien même je pensais le décourager un peu en lui précisant que s'il assistait à mes ébats avec JJ il devrait ne pas me toucher, sauf à me nettoyer après que JJ ait éjaculé en moi, ou à m'embrasser après que ce même JJ ait éjaculé dans ma bouche.
Exprimer mes sentiments envers Jean Jacques, lui offrir mon corps, et être démonstrative à son égard, notamment sexuellement, m'excite beaucoup alors qu'auparavant j'étais très gênée. Uto me rassure en permanence, ce dont je le remercie, sur le fait qu'il n'éprouve lui même aucune jalousie à me voir avec Jean Jacques. Je ne comprenais pas jusqu'au moment où il a eut l'excellente idée de me dire que lorsque j'étais avec Jean Jacques je lui apparaissais non pas comme sa femme aimée, mais comme une autre femme inaccessible. Il est absolument vrai qu'avec Jean Jacques mon comportement est celui d'une 'femelle', d'une 'salope', et que ce n'est qu'avec lui que je me transforme ainsi. J'aime le sexe et Uto est absolument incapable de me satisfaire comme le fait Jean Jacques. Indubitablement Jean Jacques et moi nous nous entendons parfaitement sexuellement. Nos libidos respectives seraient 'hors normes' d'après des connaissances 'de cul' et mon mari. Je les crois bien volontiers. Mon plaisir sexuel se passe avec Jean Jacques. Mon mari acceptant ce fait, et c'est vrai que je n'éprouve absolument aucun désir sexuel pour lui en présence de Jean Jacques.

CpleRéel 'Parallèlement, elle a réglé mes problèmes masturbatoires (et la question de la pénétration) en m'imposant le port permanent d'une cage de chasteté ./.
Nous avons découvert à notre grande surprise que, durant nos jeux, je parvenais à avoir des éjaculations spontanées sans stimulation à travers la cage. De quoi supporter une tension qui serait autrement insoutenable.'
J'ai - comme Uto qui s'est déjà exprimé sur ce sujet ici - beaucoup de mal à comprendre qu'un mec accepte de porter une cage, et le plaisir dont vous dites que sa femme ressent à l'encager. Au risque de paraître cruelle et prétentieuse, je pense qu'une femme qui admet (ou comprend) que son mari puisse éprouver du plaisir à se contenter de la regarder s'envoyer en l'air ou pis 'aimer' un autre homme sous son nez, n'a aucun besoin de cage.
Par sa seule attitude, la femme doit imposer à son mari l'évidence qu'il ne doit pas la toucher. J'ai seulement dit UNE FOIS à Uto que lorsque j'étais en présence de Jean Jacques il ne devait pas me toucher. A un moment (il y a quelques mois déjà) mon mari a cru bon de demander à Jean Jacques son accord pour que je le touche en sa présence. Gentil garçon Jean Jacques lui a répondu oui ! De quoi je me mêle ? Mon corps est à moi. Ni à Uto, ni à Jean Jacques. Je me 'donne' à Jean Jacques parce que très peu d'hommes (surtout de son jeune âge) savent aussi bien faire l'amour à une femme que lui. Mon Uto a donc eut une 'piqure de rappel'. Il ne me touche pas en présence de Jean Jacques et je ne m'engage en rien à le toucher en présence de Jean Jacques. De fait je fais l'amour avec Jean Jacques devant Uto comme s'il n'était pas là. J'aime bien. De temps en temps, quand Jean Jacques a éjaculé en moi, j'autorise Uto à 'tremper' son petit sexe en moi. Il adore avoir son pénis lubrifié par le sperme de Jean Jacques. J'avoue que comme Uto ne me fait pas mouiller, c'est agréable pour lui comme pour moi qu'il me pénètre après l'orgasme de Jean Jacques. Et bien, je n'ai même pas à le demander à Uto : quand il va venir, il 'saute en marche' systématiquement et soit éjacule sur mon ventre soit sur le drap. Comme vous mister cpleréel, Uto éjacule (presque) spontanément au fait de 'passer après JJ'.
Il rêve que JJ lui éjacule dans la bouche. Je l'embrasse donc quand JJ a éjaculé dans la mienne, ce que je n'autorise qu'à JJ. Il rêve que JJ le sodomise, mais il n'est pas bi... La bisexualité d'un homme m'excite beaucoup s'il est actif. La bisexualité passive de mon mari m'agace.

'Rien que l'évocation de ces perspectives a pour effet de me faire éjaculer spontanément...' De toute évidence, il faut vous soulager ! Je conseille à Madame de vous laisser vous branler !!!!
#863550
Cassandra,

J'ai dévoré tes récits avec une volupté que tu ne peux pas imaginer car je suis dans la même situation que ton mari.

J'ai voulu être cocu depuis le début de mon mariage et peut être même avant! Mon épouse, jolie brunette d'origine antillaise, à la fois prude et provocante comme seules les antillaisse savent l'être, méritait selon moi d'avoir des amants à son niveau capable de l'amener à se dépasser.

Nous vivons en Martinique, petite ile de la Caraïbe peuplée de 400 mille habitant où la proximité géographique fait que tout le monde ou presque se connait.

Pour en revenir à nous, je crois que j'ai conçu que je serais cocu le jour de notre premier rapport, nous avions alors elle 19 ans et moi 21 ans. Non pas que je ne serais pas parvenu à faire jouir ma toute nouvelle conquête et à la satisfaire - selon elle, j'y suis arrivé bien au delà et bien mieux que ceux qu'elle avait connu avant moi - mais j'ai pensé ce jour là qu'une si jolie femme, au corps brulant de désir, exprimant une sensualité qu'il soit nu ou habillé, ne pouvait m'appartenir en exclusivité, que ce serait un crime que de le garder pour moi seul et qu'au contraire, je devais tout faire pour que ma chérie puisse choisir parmi les très nombreux hommes (et aussi les femmes) qui seraient forcément séduits par son charme, ceux et celles qui auraient le plaisir de l'honorer.

Evidemment, lorsque nous en avons parlé, ce fut la stupéfaction puis l'incompréhension voire la réprobation. Comment en effet un homme aimant sa femme peut-il concevoir l'idée de la partager? L'amour n'est-il pas exclusif? Ne doit-il pas être possessif? Faut-il prendre tant de risques?

Je ne me suis pas démonté et avec patience et conviction, j'ai expliqué à ma chérie que si je souhaitais qu'elle s'épanouisse dans d'autre bras que les miens, c'était pour moi la plus grande preuve d'amour, c'est--à-dire de confiance que je pouvais lui donner!

J'ajoutait à cela qu'en dépit du plaisir qu'elle avait avec moi, j'étais persuadé et convaincu que ce n'était que le pale reflet de celui qu'elle pouvait avoir avec un amant qu'elle choisirait et qui correspondrait mieux à ses attentes et au besoin que son corps exprimait. Je considérais à l'époque et je considère toujours avoir un petit sexe (10-12 cm en érection), de petites graines peu productives et être peu endurant, peu résistant et en tout cas, totalement incapable non seulement de faire durer le plaisir en raison d'une tendance à jouir précocément mais aussi de remettre le couvert dans des délais raisonnables.

Comme souvent en pareil cas, le hasard s'en est mélé et 6 mois après notre maraige, laissant ma chérie seule en Martinique pour une absence d'un an, avec mon accord total pour qu'elle réponde positivement si une occasion se présentait, elle a eu son premier amant avec qui elle entrtint une relation régulière durant 8 mois, s'offrant à lui quasi quotidiennement, chez nous, dans le lit conjugal, sans autre protection que sa peau, le SIDA n'ayan,t pas encore fait parler de lui.

Cette histoire, je ne l'ai su que 2 ans après mon retour, par le principal intéressé que j'avais rencontré, mon épouse n'ayant avoué la chose que 2 ans plus tard, soit 4 ans après les faits. ce jour là, elle m'a raconté tout le plaisir qu'elle a eu aucours de ces 8 mois, celui de se sentir envahi par son amant et inondé par lui au cours d'ébats intenses qui pouvaient durer toute la nuit.

Je lui ai naturellement demandé si depuis mon retour et 4 ans après, cela lui manquait. Elle eut des difficultés à me répondre mais il faut croire que j'ai su trouver les mots pour la convaincre que la parole était libératrice. M'avouant qu'elle regrettait de ne plus avoir les émotions qu'elle avait connu durant ces 8 mois, je lui ai alors proposé de renouveler l'expérience, en clair d'être cocu consentant, à elle de trouver celui qui mériterait d'être son amant.

Elle m'a alors posé 4 questions :

1 - que ferais-je si cet amant la faisait jouir plus que moi?
2 - Y avait-il des pratiques qui devaient m'être réservée?
3 - Ou cela devait-il se passer?
4 - Que ferais-je si elle s'attachait?

Mes réponses fures brèves mais claires!
1 - le but étant qu'elle ait un plaisir incommensrablement supérieur à celui que j'étais capable de lui donnert, je ne pouvais qu'être heureux de la savoir heureuse, mon plaisir étant d'abord le sien.
2 - C'était à elle et à elle seule de déterminer jusqu'ou elle devait aller. Pour ma part, j'étais d'avis qu'il ne devait y avoir aucune limite autre que celle qu'elle se fixerait et que je souhaitais les plus éloignée possible.
3 - Je récusais l'hôtel pour des raisons de discrétion et d'emblée, notre domicile et dans ce cas précis notre chambre et notre lit pouvait accueillir mon épouse et ceux dont elle aurait les faveurs. Mais en fin de compte, je ne voyais aucun interdit : plage, nature, hotel, voiture...etc peut importait! D'ailleurs, je souhaitais qu'il y ait une véritable relation, que ce soit en ma présence ou non, y compris des sorties dans des lieux publics (cinéma, restau, soirées, boites ....etc.) où ma chérie pouvait être vue au bras d'un autre homme, en ma présence ou non, se comportant avec son amant comme peut le faire une femme amoureuse.
4 - De ce qui précède, j'ai su dès le début que je ne partagerais pas seulement son corps, mais aussi son coeur et qu'elle serait tôt ou tard amoureuse de son amant, en particulier si leur relation devait durer dans le temps. J'étais totalement d'accord pour l'accepter, persuadé qu'il n'y avait aucun risque, ce que je crois toujours. Mais j'étais pret aussi à une séparation si, d'aventure, ma chérie trouvait bien mieux que moi, non pas que ce fut impossible mais parce que si son bonheur l'exigeait, j'étais disposer à l'accepter.

C'est ainsi que mon épouse a eu des amants qui progressivement entrèrent dans sa vie pour y prendre une place de plus en plus importante. D'abord épisodique ou ponctuelle, ses relations sont devenues au fil des ans régulières et depuis 20 ans maintenant, mon épouse a toujours eu en permanence un amant, parfois deux, par fois un couple avec lesquels elle pouvait non seulement faire l'amour et s'offrir sans retenue aucune, mais sortir, passer la nuit ou le weekend, avec ou sans moi.

C'est ainsi que progressivement, l'idée de la chasteté a germé pour s'imposer petit à petit. Au début, il s'gissait d'une simple limitation de nos rapports, subordonnés à ceux qu'elle avait avec son ou ses amants mais s'espaçant de plus en plus. Mais depuis 10 ans, ces rapports ont disparu! mieux, ile me sont interdits, mon épouse ne pouvant être honorée et pénétrée que par les vrais hommes, ceux qui sont aptes à la satisfaire et à la remplir. Je n'ai droit qu'à des caresses manuelles, plus rarement bucales et à la possibilité, quand elle le souhaite, de guider son amant en elle et de la lécher, notamment pendant l'acte ou quand son amant vient de lui faire l'amour et qu'elle se trouve pleine de sa semence. Cela se passe en présence de l'amant qui acquiert ainsi le rôle de mâle dominant par rapport à moi mais au service de ma chérie.

Tout le reste, le service à table, le service d'apprétifs, la confection de repas, le petit déjeuner au lit, tels que décrient par Cassandra sont connus de moi.

Mais il y a un point dont cassandra ne fait pas mention, c'est celui de son entourage. En tant que mari cocu, soumis et chaste, je suis très heureux que mon épouse soit heureuse dans d'autres bras que les miens et je prends plaisir à ce que cela se sache ou simplement se subodorre ou se devine. Y compris dans nos familles respectives et je suis fier d'être capable d'assumer mon rôle de cocu tout comme je suis fier de ma chérie qui assume sa sexualité que d'aucun désignerait sous le vocable de "salope"! Et dans un petit pays comme la Martinique, cela va vite! Cela est littéralement délicieux, délicieusement humiliant mais si riche d'enseignement sur soi!

Cette humiliation si douce est un bonheur et rien ne me fait plus plaisir que mon épouse m'appelle "petit kiki" ou "petite virgule" ou encore "mon petit cocu" , que nous soyons seuls ou non, dans l'intimité ou non!!!!

Est-ce le cas pour vous?
par cassandra
#863743
Depuis que j’ai annoncé à mon mari que je mettais un terme définitif à nos relations sexuelles, j’observe les effets de cette décision sur lui. Plus de 2 mois se sont écoulés depuis notre dernier rapport. Non seulement, il semble avoir maintenant intégré cette perspective (bien qu’il me fasse souvent part de son envie de moi, chose que j’accepte d’entendre), mais je le trouve aussi plus docile qu’il ne l’était, plus à l’écoute de mes besoins. Comme si l’exclusion de l’accès à ma sexualité et à mon corps l’avait aussi exclu d’une certaine prérogative virile à l’égard du féminin. Le voici « rentré dans le rang » des êtres désirants et sublimant par cette privation le sujet de leur désir.

Étrangement aussi, cette décision m’a libéré d’un poids, d’une obligation... alors que, paradoxalement, le fait de faire l’amour épisodiquement avec lui ne l’était pas du tout. Sentiment paradoxal qui a fait sauter un verrou supplémentaire en moi. Une nouvelle rencontre récente et le retour d’un amant avec qui j’avais vécu une relation très particulière il y a 2 ans n’ont fait qu’ajouter à mon questionnement d’aller plus loin. J’ai envie de profiter davantage des opportunités que me proposent mes amants : partir en week-end ou plusieurs jours en vacances avec eux, par exemple, partager un peu plus que leur vie sexuelle... invitations qu’ils me proposaient souvent et auxquelles je ne répondais qu’exceptionnellement.

Hier, j’ai initié une discussion avec mon mari pour lui faire part de tout cela. Pour une fois, c’était hors de la fièvre sexuelle que je provoque quand je veux lui faire accepter mes envies. Non, là, c’était un dialogue calme, à tête reposée, entre lui et moi. Je parlais lentement, posément afin qu’il sente que ce que je lui annonçai était indiscutable et non lié à une excitation particulière. Nous étions assis sur le canapé, face à face, je portais une robe courte et j‘ai sorti mes seins pour appuyer mes dires. Je parlais doucement et entre deux phrases, je l’embrassai par petites touches sur la bouche comme pour pousser mes mots au fond de lui. Je lui ai dit : « Mon cocu chéri, il faut que tu comprennes que la fin de ta vie sexuelle est le départ d’une nouvelle pour moi. J’ai très envie de profiter de toutes les propositions qui me sont faites de vivre des relations plus poussées. Même si tu ne peux plus me baiser, tu as toujours une place centrale pour moi. Mais si certaines choses étaient sauvegardées entre nous, il faut que tu t’attendes à ce qu’elles ne le soient plus. Je veux que tu te prépares mentalement à cela. Tu vas devoir m’attendre de plus en plus souvent. Il se peut que je sois régulièrement absente, sur des durées plus longues mais je compte sur toi pour te contenter du peu que je t’offrirai. C’est déjà beaucoup. Mesure la chance que tu as de vivre à mes côtés. Tu sais, je ne compte plus les fois ou j’ai entendu mes amants dire que tu avais une chance inouïe de vivre avec une femme comme moi. Mesure bien cette chance et en échange, applique-toi à me combler. Je ne veux plus rien avoir à demander... fais en sorte de devancer mes désirs, c’est d’accord ? Ne me déçois pas. Tu sais très bien que parmi mes amants, certains n’attendent que cela : que je plaque tout pour vivre avec eux. Tu ne veux pas que je te quitte ? Alors ne me donne pas cette occasion. Si tu te comportes parfaitement, comme un bon cocu fou de sa femme et prêt à tout pour elle, alors il n’y a aucune raison pour que je le fasse. Contente-toi de peu, ne me demande rien et fait, de toi-même, tout ce qui est en ton pouvoir pour rendre ma vie plus heureuse. C’est ainsi que je t’aime. Et c’est ainsi que tu me prouveras ton amour. »
Il m’écoutait fixement, il était pâle. Je continuai de poser de petits baisers sur ses lèvres. Sans doute, un nouveau degré d’amour était-il en train de s’ouvrir sous son crâne. Il m’a dit, d’une voix un peu tremblante, qu’il me le promettait, qu’il ferait tout pour me mériter... que cette dimension de moi le dépassait... et qu’il ne voulait pas que je le quitte, qu’il m’aimait à la folie.
J'y suis allée de mon petit refrain mi-ange, mi-démon: « oh, mon cocu chéri, tu es chou... c’est très bien ce que tu viens de dire... c’est très important pour moi, pour nous... je compte sur toi pour ne pas me décevoir... ». Puis, pour l’encourager, j’ai attiré son visage entre mes seins, comme pour lui signifier : « tiens, régales-toi un peu... »

C’est vrai que mes propos étaient volontairement outrés. Le langage est un outil de travail terriblement efficace sur sa psyché. Et s’ils ne dépassent pas ma pensée, ils dépassent parfois les actes que je suis prête à faire. Cependant, des désirs bouillonnent en moi, auxquels je me veux disponible et dans lesquels il reconnaît déjà les siens.
Un cap de plus vient d’être franchi, derrière lequel, je le sens, se profile un territoire vierge, où l’amour se réinvente encore.
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par Erosverde76
#863786
Il est vrai que vos VRP avaient préparé le terrain pour votre retour depuis quelques jours et donc je ne suis pas surpris du tout!
La descente aux enfers (vers l'enfermement psychiatrique ou même le suicide qui vous débarassera de lui) est bien avancé!
Vous lui proposez de ne plus vous voir ou bien d'accepter que vous le quittiez, où est la différence? si ce n'est la joie pour vous de le traîner plus bas que terre et de le faire mourir à petit feu.
Vous n'êtes pas à une manipulation près, vous parlez d'une discussion "calme à tête reposée"....avec les seins sortis et des baisers sur la bouche!!!
Il y aurait vraiment de quoi être plié de rire, s'il n'y avait un pauvre malheureux qui a dépassé le stade du libre arbitre et qui n'a plus toute sa raison...
nous sommes dans le lessivage de cerveau méthode CIA des années 60 ou dans la manipulation psychologique de type secte.
Cela relève de l'abus sur personne vulnérable.
Rendez-lui sa liberté, tirez-vous.
Ce n'est pas parce que vos parents vous ont empêché de jouer au docteur et de vous tripoter le bouton que ce pauvre Mr Cassandro doit finir en HP et payer le prix de votre névrose. Il risque de se tuer au sens propre!
Êtes-vous câpable de comprendre cela? J'en doute.
Ayez le courage de répondre vous-même et non de nous envoyer vos piètres VRP, défenseurs de la schlague qui vous défendent plutôt mal!
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par Erosverde76
#863887
Cassandra a dit:
"tu avais une chance inouïe de vivre avec une femme comme moi. Mesure bien cette chance... "

J'en crois pas mes yeux, quelle vanité! Vous vous pensez vraiment comme la merveille des merveilles?!! :lol:

Mais vous aussi vous aurez les seins qui tombent, la peau du cul fripée et des plis derrière les genoux... :twisted:
Le plus tard possible me répondrez-vous? :geek:

Mais l'âme noire et la méchanceté crasse avec la névrose sont déjà là! Et çà ça ne se soigne pas chez l'esthéticienne! :cry:
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par utoeuta
#864523
petitkiki97231 a écrit :
Elle m'a alors posé 4 questions :

1 - que ferais-je si cet amant la faisait jouir plus que moi?
2 - Y avait-il des pratiques qui devaient m'être réservée?
3 - Ou cela devait-il se passer?
4 - Que ferais-je si elle s'attachait?


./.
C'est ainsi que progressivement, l'idée de la chasteté a germé pour s'imposer petit à petit.
./.
En tant que mari cocu, soumis et chaste, je suis très heureux que mon épouse soit heureuse dans d'autres bras que les miens et je prends plaisir à ce que cela se sache ou simplement se subodorre ou se devine.
./.
Cette humiliation si douce est un bonheur et rien ne me fait plus plaisir que mon épouse m'appelle "petit kiki" ou "petite virgule" ou encore "mon petit cocu" , que nous soyons seuls ou non, dans l'intimité ou non!!!!

Est-ce le cas pour vous?


Ton récit est très intéressant. Merci.
1 - que ferais-je si cet amant la faisait jouir plus que moi?
Encourager ses relations avec ledit amant...
2 - Y avait-il des pratiques qui devaient m'être réservée?
En aucun cas, et c'est l'inverse qui se produit. C'est ainsi par exemple qu'Uta n'accepte que le sperme de son amant en bouche.
3 - Ou cela devait-il se passer?
Uta comme moi, sommes très favorables à ce que "cela se passe"...au coeur même de notre intimité conjugale. Cela s'est fait spontanément et naturellement. Jean-Jacques quand il arrive chez nous dort à ma place dans notre lit conjugal.
4 - Que ferais-je si elle s'attachait?
Je l'encourage à ce que son attachement perdure. Je note que cela m'est assez facile, Uta restant très attachée à moi bien que sexuellement nous n'ayons presque plus de rapports...

"C'est ainsi que progressivement, l'idée de la chasteté a germé pour s'imposer petit à petit. "
C'est étrange. Cette même idée s'est imposée à moi, sans aucune suggestion de la part de ma femme, qui semble sincèrement "désapprouver" à ce renoncement. En même temps, par son attitude elle m'encourage dans cette voie. Quand JJ passe plusieurs jours avec nous, ma femme n'a des relations sexuelles qu'avec lui. De fait, je suis bien obligé d'être chaste. Uta a toujours eu énormément de relations sexuelles. Libertine depuis près de 20 ans, sa libido est hors normes, et elle n'a pas diminuée depuis qu'elle est "avec JJ". Ses centres d'intérêt se sont seulement déplacés. JJ étant un amant exceptionnellement doué (selon elle), Uta a moins d'envie d'hommes. C'est d"ailleurs JJ qui lui en procure quand elle a des envies de pluralité masculine. Sa sélection est rigoureuse, et à de nombreuses reprises je l'ai vu rentrer à la maison "épuisée" par des après midi ou des nuits de baise avec des étalons du niveau de JJ. En fait, Uta s'oriente de plus en plus vers des relations entre filles. Elle avoue devenir elle aussi candauliste. Elle ne prend pas seulement du plaisir sexuel à baiser avec des femmes, mais elle prend de plus en plus de plaisir cérébral à voir "son Homme" donner du plaisir aux femmes qu'elle baise !
Elle s'amuse - un peu moqueuse - du plaisir que j'ai à "nettoyer" son minou de la semence généreuse qu'y dépose JJ, mais je suis bien certain que je verrai un jour ma chérie (qui s'en délecte en le suçant) le récupérer au sortir du sexe d'une complice pour laquelle elle flashera un jour ou l'autre (Uta aimerait trouver une jolie nana pour former un trio avec JJ...)

"je prends plaisir à ce que cela se sache ou simplement se subodorre ou se devine"
De même, mais UNIQUEMENT en présence de libertins. Je serai très gêné que "cela se sache", alors que parmi nos amis libertins je n'hésite pas à en parler, à le dire, quand bien même c'est évident à tous si par exemple nous arrivons tous les 3 dans une soirée libertine, que "le mari de ma femme...est son amant" !

"...mon épouse m'appelle "petit kiki"...."

Là encore, sans qu'elle ne cherche à m'humilier, il est vrai que ma femme a tendance à mesure que le temps passe (cela fait plus de 2 ans qu'elle est la maîtresse de JJ) à se moquer (gentiment) de moi. En tête à tête cela ne m'excite guère, en revanche devant un public de libertins...j'adore. Je suis surement un peu "maso" ! Cela dit, les gestes et les attitudes comptent davantage que les paroles...Comme s'il lui était nécessaire "d'imposer" son "Mâle" en présence de libertins, j'ai remarqué qu'Uta - presque systématiquement - adore se faire "prendre" par Jean-Jacques devant tout le monde, ostensiblement en ma présence.

UTO
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par Erosverde76
#864623
Uto & Uta,

Je suis sidéré, le dernier post de Mme cassandra ne vous inspire aucun commentaire sur l'enfermement psychique dans lequel se retrouve ce pauvre Monsieur cassandr"o" : avoir à choisir entre ne plus voir son amour que de temps à autre (une fois toutes les semaines? ou quinzaines?) ou bien plus du tout (mais elle s'arrange pour qu'il n'ait pas le choix, voir conditions de la "discussion" à "tête reposée" [seins sortis] ) :twisted:
Elle veut qu'il la supplie : "laisse moi devenir l'ombre de ton chien, l'ombre de ton ombre..." :cry:

Dans ces conditions je me suiciderais non sans avoir tuer d'abord Mme cassandra et fait sauter la maison, puis éliminer un à un tous les amants histoire de rire une dernière fois avant fermeture pour cause d'inventaire :lol:

Et vous vous commentez l'actualité d'un autre post tranquillement comme si de rien n'était.... :o

Ou bien alors je suis le dernier à savoir que Mme Foldingue alias Cassandra n'existe pas, n'est qu'une lopette en mal d'inspiration...
Tiens oui d'ailleurs, pourquoi Mme cassandra et son soit disant mari ne sont-ils pas certifiés???

C'est peut être la bonne question!
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par Erosverde76
#865854
"Après des présentations volontairement rapides avec mon mari, nous montons dans la chambre et nous jetons l'un sur l'autre comme des adolescents. Sans gêne ni retenue. Dans le clignotements de la jouissance, le fait de savoir mon mari dans la maison agit comme un aphrodisiaque supplémentaire : tantôt je l'oublis, tantôt je m'en délecte..."
Cassandra: écrit le 16/02/2011 dans le topic "le sperme poin de fusion etc.."

On est déjà bien loin du mois de février!
Plus question de mari présent avec Madame ni de délectation, Mme est passée à "je l'oublie" et bientôt "je t'oublie définitivement! MAIS toi mon mari, je suis trop possessive et jalouse pour te redonner ta liberté et que tu t'épanouisses ailleurs, non tu es ma chose, mon sujet au même titre que mes objets de toilettes et je te veux dans une attente perpétuelle de moi, de mon retour hypothétique (dont j'ai décidé que cela serait un non-retour dans les faits) Mon mari tu ne dois pas vivre ta vie sans moi, tu dois vivre MA vie mais sans moi, attendre toujours ATTENDRE dans ta niche, à te morfondre dans le lit glacé, à ne plus manger, ne plus dormir, submergé par la tristesse et la solitude, à sombrer peu à peu dans la folie où je veux t'emmener et alors la jouissance que je ressentirai à te sentir mourir pour moi peu à peu me rendra épanouie comme jamais! Je suis Cassandra, une amie de la mort! Ma névrose est sans limite aucune!
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par Erosverde76
#866475
M. Steeve et autres VRP de Mme Cassandra,

échappés de la rubrique cukold réservée aux adeptes du "tape moi dessus encore encore, mais plus fort" vous vous évertuez à jouer les larbins plumitifs de la folie ravageuse d'une névropathe. Si vous ne voulez pas que l'on donne notre point de vue critique, retournez donc entre vous dans la rubrique prévue à cet effet par les concepteurs de ce site, comme je l'ai déjà dit maintes fois et surtout laissez-nous, nous confronter directement avec Mme Foldingue qui doit être suffisamment forte d'esprit pour ne pas avoir besoin ici de lèche-bottes à son service. Je ne polémiquerai donc avec personne d'autres qu'elle!
par mohican
#868924
Steeve a écrit :Messieurs,
Je vois que, comme moi, vous êtes des experts de la prose de Cassandra. Tant mieux ! Mais votre acharnement à rouspèter et râler, comme des concièrges grincheuses sur le pas de leur porte est franchement pénible. Contentez-vous de fantasmer en regardant vos chérie se faire ramoner par n'importe qui pour votre seul plaisir et laisser Cassandra nous décrire les chemins complexes, subtils et, c'est vrai, parfois douloureux, de la soumission.
Et ouste !
Steeve
PS : je baise les pieds de notre hotesse dont la tendre sévèrité n'a d'égale que la perfection d la langue.


Votre psychopathie, cher Steeve fait écho à celle de cassandra (sans majuscule). Ce qui permet à une personne d'être humiliante c'est qu'il y ait un humilié qui se laisse détruire. Comment une femme saine de corps et d 'esprit peut entraîner un homme (qu'elle prétend aimer de surcroît, mais même sans amour, faire subir de tels sévices à un semblable est inexcusable) dans une telle dérive ! Merci du reste de traduire l'émotion du malheureux qui est loin de s'extasier à l'annonce de ces nouvelles règles de vies ("il pâlit" ou "blémit", "tremblant"... ou comment jouir de faire souffir). Satyre immergé dans un camp de nudiste, chauffé à blanc par les frustrations, son consentement aussi mal éclairé que possible lui est arraché sous la menace et le chantage le plus pervers possible : le quitter... le procédé est écoeurant et tellement facile ! Vous avez dit manipulation ?

Il y a un abîme entre perversion et vice. Le vice c'est ce que nous partageons tous ici plus ou moins avec nos fantasmes et pratiques un peu "atypiques". Le pervers jouit de la souffrance de sa victime, il en a besoin. Ce sont eux qui sont coupable de crimes sexuels. Il y a peu de femme qui relèvent de sanctions pénalesà ce titre il est vrai, la violence étant rarement leur recours directs (le viol est délicat...) et leur victimes souvent "consententes"... à voir ! L'attitude de cassandra relève de la perversion la plus stricte. Il y a une négation totale de l'autre qui ne doit connaître le plaisir que dans le sien, seul référant utile à sa vie qui lui est entièrement dédiée. Ne pas oublier que la pauvre victime doit anticiper le moindre désir ou besoin de la perverse..

Outre le sacrifice de sa sexualité, il doit sacrifier sa vie entière en devançant le moindre des désir de son idole...

Céline écrivait "Seulement, il n'y avait que moi, moi tout seul, un Ferdinand bien véritable auquel il manquait ce qui ferait un homme plus grand que sa propre vie, l'amour de la vie des autres. ça, je l'avais pas." ça cassandra l'ignore également et absolument ! En revanche, elle l'exige de son mari au dela de sa propre vie.

Je n'ose imaginer l'orgasme dévastateur qui sera le sien lorsqu'elle trouvera son mari suicidé à force de maltraitantce affective, de frutsrations, de sévices en tous genres lui ayant fait perdre jusqu'à la conscience de la valeur de sa propre vie à ce malheureux amoureux de la pire personne qu'il soit possible de trouver sur cette foutu terre ! Suicidé par geste d'amour fou, destructeur à la Hugolin ("je t'aime d'amour Manon!"), quelle ivresse d'absolu ! Quelle jouissance ! Et en même temps, perdre un escalve si dévoué, quel gâchis !

Merci a erosverde76 de faire parler un peu de bon sens. L'adresse rhétorique de cassandra ne peut faire oublier le fond qu'à des individus placés en situation de faiblesse (la frustration sexuelle est un outil très utile à ce titre) psychologique.

Je n'attends aucune réponse d'elle et n'en espère pas, je suis plus consterné qu'il n'y ait pas davantage de manifestations de surprises (l'indignation sous-entendant une désaprobabtion que beaucoup s'interdisent par soucis de "respect"... mais où est le respectable dans cette diatribe abjecte) à de tel excès qui relèvre de la psychiatrie et de rien d'autre (Uto et Uta, je vous ais assez "pratiqué" pour savoir que vous valez mieux que ça !).

cassandra, inutile de me répondre, pas plus que je n'ai ouvert votre dernier MP je ne lirait le suivant. C'est stérile, à votre image. Si vous avez pris la peine de lire celui-là, c'était inutile vous ête irrécupérable et vous perdez votre temps. Vous êtes une alcoolique dans le dénie de son addicttion.

Un détail vous aura échappé cependant lors d'une de vos réactions. Debout je suis, debout je suis toujours resté et resterait en toute circonstance, je ne sui pas votre mari et peu le pourraient, Dieu en soit loué, vous n'avez ni à m'autoriser ni à m'interdire quoique ce soit.

Vous soumettez vos pratiques sur ce forum avec une plume magnifique, dommage qu'elle soit au service d'une âme aussi répugnante.
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par utoeuta
#869413
Erosverde76 a écrit :Uto & Uta,

Je suis sidéré, le dernier post de Mme cassandra ne vous inspire aucun commentaire sur l'enfermement psychique dans lequel se retrouve ce pauvre Monsieur cassandr"o" :


Cher Erosverde, de toute évidence, Cassandra ou Cassandre a des propos très exagérés.
Sa - peu importe qu'il soit femme ou homme - lecture en est néanmoins intéressante.
UTO et UTA
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par utoeuta
#869494
de UTO
pour continuer sur le sujet "Candaulisme et privation", il nous parait évident à Uta comme à moi-même, que plus la relation candauliste s'affirme, plus il y a proximité entre l'amant et la femme du candauliste.
En l'espèce et pour ce qui est de notre cas, plus le temps a passé et plus Uta est proche de JJ, ce qui de facto nous a amené Uta et moi à reconstruire notre propre couple différemment.
JJ quand il est avec nous, est devenu le mari d'Uta au sein du couple qu'il forme avec elle.
Vis à vis de ceux qui ne connaissent pas le couple UTO et UTA, Uta et JJ forment un couple finalement assez "classique" dans la catégorie des couples "libertins, à tendance échangiste". L'échangisme est très bien vécu dans le couple UTA et JJ, car Uta comme JJ sont chacun d'excellents partenaires sexuels. Ma femme, Uta, est considérée par la quasi totalité de ses partenaires sexuels (hommes ou femmes puisqu'elle est une vraie bisexuelle) comme un "super-coup", de même que JJ bénéficie de la même appréciation. Uta est d'ailleurs très fière de sortir au bras de JJ. Il est beau mec, sympathique, pas idiot du tout et en position horizontale ils forment tous deux "THE COUPLE", celui avec lequel on a envie de baiser dans une soirée de cul. Je les ai vu à l'oeuvre plusieurs fois dans des soirées libertines, et très honnêtement à part ceux qui n'aiment pas les blacks ou n'apprécient pas la différence d'âge, ils baisent avec qui ils ont envie et ceux et celles qui baisent avec eux "y reviennent" toujours. Uta n'a pas hésité une seconde à me dire qu'elle voulait "partouzer" en compagnie de JJ et surtout pas en la mienne. Elle n'est pas pour autant un monstre de m'avoir fait cette déclaration. On va dans une partouze pour recevoir mais aussi donner du plaisir aux autres, même si ce n'est que sexuel. De fait, mes capacités physiques ne me mettent pas sur un pied d'égalité avec trop de couples. A chaque fois que je me suis trouvé avec Uta dans des soirées à vocation "échangiste", il est vrai que je n'étais pas à la hauteur sexuellement et qu'Uta a été mal à l'aise. Accompagnée par JJ, celui-ci a toujours été capable de satisfaire sexuellement à la fois Uta mais aussi la fille qui accompagnait l'homme également capable de satisfaire Uta...
De fait, pendant les soirées "échangistes" Uta ne s'occupait pas du tout de moi, s'affichant en femme seule, comme elle le faisait aussi pendant les soirées "trio", faites pour cela (ces soirées sont surtout fréquentées par des couples dont les maris sont candaulistes).
Je peux (et Uta autant que moi) comprendre que Cassandra-femme élimine son mari sexuellement en présence de partenaires sexuels. C'est ce qui se passait avant qu'Uta ne rencontre JJ et devienne sa maîtresse. Je dois avouer que ce n'était pas très agréable pour moi. Uta avait envie de sexe, et en pratique je n'étais que son accompagnateur. Mais à sa décharge, il est vrai que je ne faisais aucun effort pour l'accompagner réellement. Chaque couple l'approchant sentais immédiatement que je n'étais pas "partant". Certains couples, résolument échangistes, se détournaient donc de nous et par conséquent d'Uta dès qu'ils percevaient ma timidité ou gêne à faire quelque chose. A l'inverse, ceux qui aiment les trios ffh étaient ravis et d'autant plus ravis s'ils pouvaient s'isoler avec ma femme et se faire avec elle une bonne baise à 3 ! De fait, je dois avouer que j'ai une tendance naturelle à me priver. J'ai participé à des centaines de soirées pendant lesquelles Uta baisait parfois avec plusieurs dizaines de partenaires hommes et femmes, pendant que je ne baisais avec personne. Je suis pourtant si ce n'est "beau mec", disons plutôt "pas mal"... Je souffre surement comme beaucoup de candauliste d'un complexe d'infériorité, sexuellement. Le nombre de partenaires moyen d'Uta pendant une soirée de baise est de 7. Il est de 0,01 pour moi !!! Clairement, lorsqu'Uta est accompagnée par JJ dans une soirée de cul, elle baise avec 5 partenaires en moyenne, et JJ en fait de même...la fin de la soirée se terminant en un long moment de baise entre eux deux...dont je suis totalement exclu. Uta considère qu'en sortant avec eux, je suis libre de baiser avec qui je veux et que c'est mon problème si je ne baise avec personne, et enfin qu'en fin de soirée, elle ne baise qu'avec JJ, comme quand nous sommes à 3.
De fait, quand JJ est avec ma femme, ce n'est pas lui qui m'impose de ne rien faire, mais bien Uta qui m'impose de ne pas la toucher... Candaulisme rime donc avec privation, le candauliste étant privé par sa femme dans une plus ou moins grande mesure...
Plus JJ voit ma femme, plus en fait je suis privé de ma femme. Mais c'est très consensuel en fait. Chacune peut décider différemment. Dans notre cas, ce n'est pas JJ qui m'empêche d'avoir des rapports sexuels avec Uta. A 3, c'est UTA qui décide si je serai ou non admis à avoir ou pas de rapport sexuel avec elle. En pratique, si on considère qu'un rapport sexuel normal dans un couple se traduit pas une pénétration avec éjaculation provoquant un orgasme, je n'ai pas de rapport avec Uta. C'est uniquement JJ qui lui donne des orgasmes en la pénétrant. Ceci ne résulte pas d'une interdiction formulée par Uta mais d'une incompatibilité physique. La taille importante du sexe de JJ lui permet de donner un orgasme vaginal à ma femme, alors que la taille dans la petite normalité de ma verge ne me permet pas de donner un orgasme vaginal à ma femme, son vagin étant très profond et trop large pour qu'elle sente mon sexe. Il est donc parfaitement logique pour Uta de n'avoir aucune excitation à ce que j'éjacule en elle. Avec JJ elle sent son éjaculation. Deux raisons à cela. Il éjacule beaucoup (moi très peu) et son sexe étant plus long de 7 à 8 cm que le mien, il a accès au fond du vagin de ma femme, qui de fait sent parfaitement ses giclées, alors qu'elle ne sent absolument pas les miennes. Surtout, le diamètre du sexe de JJ lui permet de stimuler les zones sensibles de son vagin, et plus particulièrement de comprimer le point "G" de ma femme. C'est au demeurant à l'épaisseur du sexe de leur partenaire auquel sont sensibles les femmes qu'à la longueur, l'diéal étant de réunir les deux qualités. Autant je fais jouir ma femme en stimulant son point G avec simplement 2 doigts, autant par la pénétration elle n'est aucunement stimulée, donc il m'est tout simplement impossible techniquement de la faire jouir avec ma queue. J'arrive donc en la fistant ou en insistant avec mes doigts à la rendre fontaine (éjaculation féminine) alors que JJ simplement avec sa queue parvient dès la première pénétration à lui donner un premier orgasme, et dès la seconde pénétration la rend fontaine avec sa queue. C'est évidemment pour Uta un plaisir incroyable que lui donne JJ à chaque fois qu'ils baisent ou font l'amour...
S'y ajoute pour JJ le fait qu'il soit extrêmement expérimenté, mais quand bien même ne le serait-il pas, la simple taille de son pénis lui permet de faire jouir "mécaniquement" ma femme.
Incontestablement, et Cassandra décrit cela à la perfection, en s'habituant au plaisir avec d'autres que son mari, une femme évolue physiquement et psychiquement. Comme Uta, je pense que Cassandra est excessive. Sans doute est-elle d'une nature plus dominatrice encore que n'est ma femme !
Ce qui est une réalité, qui me dépasse comme elle dépasse Uta, est pour ne citer qu'un exemple, que des choses absolument inconcevables pour un couple dit "normal" sont totalement normales pour un couple candauliste disons expérimentés comme l'est le nôtre. Cela fait en effet 2 ans que ma femme est aussi la femme de JJ. Cela ne fait que quelques mois qu'il est normal pour eux deux d'avoir des rapports sexuels aussi libres qu'ils les ont devant moi.
Nous vous laissons regarder une des nombreuses vidéos d'Uta et JJ, sur laquelle plusieurs internautes nous écrivent félicitant Uta de son naturel. Il est difficile pour nous d'en juger. Cette vidéo a été faite sans aucune préméditation. JJ allait partir, et Uta a eut envie de lui avant qu'il ne parte... Ce fut si soudain qu'elle refusa ma suggestion d'aller dans notre chambre. Elle me demanda d'apporter une serviette pour épargner le canapé et de filmer...
bon visionnage
http://xhamster.com/movies/929522/16._u ... _2011.html
par cassandra
#869515
« Kapo, foldingue, âme répugante... »
Et bien, rien que ça... quelle agitation hystérique, quel déchaînement de haine.
(Me serai-je permise une telle liberté de propos à votre égard ? Non...)
Après la cellule d'isolement (la femme potiche), la chambre psychiatrique (la femme névrosée), la prison (la femme castratrice)... me voilà vouée aux gémonies, telles les sorcières antiques ! C’est faire trop d’honneur
à ce qui n’est qu’un témoignage personnel.
Si mes envois sont aussi peu de votre goût messieurs, il n’en est pas moins vrai que vous mettez une attention assidue à les lire.
Un avis différent est toujours enrichissant. À condition qu’il soit courtois (merci à utoeuta et au grand nombre de témoignages privés que je reçois de le prouver). L’objection n’est pas la guerre...

Je ne saurai astreindre ceux qui se reconnaîtront ici à cesser leurs grondements, ni à les prolonger.
De quelque bord que vous soyez, vous êtes de fidèles lecteurs...
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par Erosverde76
#869722
Vous pouvez toujours retourner votre dialectique dans tous les sens, cela ne changera rien au fait que tirer du plaisir, jouir, de la souffrance de l'autre, de l'être qui vous aime le plus au monde, le faire participer, acquiéscer (du bout des lèvres et dans la peur d'être jeté) à sa déchéance progressive, le contraindre par la manipulation mentale à se résigner à être seul à la maison (en pleine possession de sa force d'âge mûr) durant des soirs et des soirs ainsi que des weekends succédant à des semaines, toujours seul, à attendre que son aimée daigne revenir. (Revenir mais pour aucune relations ni sexuelles ni affectives, revenir peut être pour vérifier qu'il s'étiole bien et qu'il n'a pas fait de bêtise avec le compte en banque mais a-t'il seulement encore un compte bancaire à son nom et une carte bleue?)
Jouir de cela en se persuadant d'être celle dont le monde entier rêve d'avoir pour femme mais que son mari ne mérite pas!
bref l'enfermer dans un "choix" qui n'en n'est pas un et prendre son pied de savoir qu'il meurt à petit feu cela porte un nom: PERVERSE NARCISSIQUE !
C'est tout.
par cassandra
#869790
Oui, oui... c’est drôle, continuez... à ne lire dans mes témoignages que ce qui sert vos invectives...

Vous pouvez à votre tour convoquer Céline, Jacques Brel, le Troisième Reich, (ah la fameuse loi Godwin !)... bientôt les éminences médicales, l’amirauté papale et tout le St Frusquin vous prêteront la main pour cimenter vos convictions.
Toute cette armada contre une pauvre femme seule... Bouuuuhh !

Ils voulaient me faire expier mes péchés, me mettre la camisole, les voilà qui projettent d’arracher ma langue de vipère pour me faire taire...

Au secours, au secours, disent-ils... cette femme est l’incarnation du Mal... nous l’avons retrouvée, c’est la sorcière du fond des âges... l’Eve perfide... elle ensorcelle son mari.... un maléfice, je vous dis... portons-là à la foire de Hautefaye... appelons la Sainte Inquisition !
(Je l’entends déjà qui arrive, traversant les siècles, comme un troupeau malodorant)
Modifié en dernier par cassandra le 30 nov. 2011, 18:46, modifié 1 fois.
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par Erosverde76
#869796
Cher Uto,

En cherchant à relativiser le comportement de cassandra avec son mari vous vous appuyez sur votre expérience de couple et les performances sexuelles d'Uta et JJ. Cette situation semble vous convenir, UTA ne parle pas de vous priver de toute relation sexuelle ou affective (ou bien j'aurai raté un épisode?) Vous partagez bien le même toit, non?
Quant à leur performance sexuelle, je me garderai bien de les commenter, n'ayant aucun goût pour le journalisme sportif et laissant à feu Jacques Anquetil l'exploit d'enchaîner Bordeaux - Paris le lendemain de Paris -Nice (tout en ayant pris le champagne dans l'avion) :D
Sans doute JJ et UTA ne sont pas éreintés par les journées de travail ce qui est nettement mieux pour la libido... ;)
Ce qui différencie le mari de cassandre et vous c'est que lui subit complètement et à son corps défendant ce qui lui arrive, que ses révoltes où tentatives de rebufade se soldent par des gifles bien ajustées; vous me direz qu'est-ce qui dans ce cas l'empêche d'en balancer une à son tour? :oops:
-l'amour soumis d'un type qui a été amené là par un subtil lavage de cerveau! :cry:
Le courage voudrait qu'il demande le divorce et se tire (ou la vire) mais ce pauvre malheureux est persuadé que tout ce qui lui arrive est de sa faute :( (pas à la hauteur, une femme exceptionnelle qu'il ne mérite pas et qui reste par pur charité avec lui [sans doute gagne-t -il encore un peu de sous qu'il lui ramène avec dévouement] :lol:
Elle est intelligente (elle a eu son brevet des collèges :lol: et sait aligner un sujet un verbe et un complément ce qui lui vaut l'extase de quelques-uns dont le talent d'écriture est du même modèle que leur b---- ;) ) donc elle sait parfaitement où elle emmène son mari et le risque de lui faire perdre la raison puis la vie... :evil:
Ici nous ne sommes plus dans la gymnastique sexuelle qui passionne peut-être votre femme et son amant, nous sommes dans l'aliénation d'un homme prisonnier psychique d'une manipulatrice! :(

"L'amour c'est pas de la gymnastique,
C'est pas "prenez la position"
C'est la liberté frénétique
Ca fleurit pas dans les prisons"... (Jean Ferrat)
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par Erosverde76
#870636
cassandra a écrit :Oui, oui... c’est drôle, continuez... à ne lire dans mes témoignages que ce qui sert vos invectives...

Vous pouvez à votre tour convoquer Céline, Jacques Brel, le Troisième Reich, (ah la fameuse loi Godwin !)... bientôt les éminences médicales, l’amirauté papale et tout le St Frusquin vous prêteront la main pour cimenter vos convictions.
Toute cette armada contre une pauvre femme seule... Bouuuuhh !

Ils voulaient me faire expier mes péchés, me mettre la camisole, les voilà qui projettent d’arracher ma langue de vipère pour me faire taire...

Au secours, au secours, disent-ils... cette femme est l’incarnation du Mal... nous l’avons retrouvée, c’est la sorcière du fond des âges... l’Eve perfide... elle ensorcelle son mari.... un maléfice, je vous dis... portons-là à la foire de Hautefaye... appelons la Sainte Inquisition !
(Je l’entends déjà qui arrive, traversant les siècles, comme un troupeau malodorant)


Enfin un peu d'énervement de votre part... vous apparaissez un peu plus humaine et moins machine !

J'échange donc mon « 3ème Reich » contre votre « Sainte Inquisition »

Néanmoins votre texte est révélateur sur au moins un aspect de votre vision de la sexualité « libre » ou « hors norme »
En 1er lieu le fait que lorsqu'on vous attaque sur l'asservissement de votre mari vous le prenez aussitôt comme un refus de notre part de votre libération sexuelle (référence au pêché originel et tutti quanti)
Ainsi vous ne concevez pas que l'on puisse à la fois être libre sexuellement et avoir un mari tout aussi libéré sexuellement et disposé à être candauliste par choix assumé mais toujours au cœur d'une relation amoureuse forte.
Pour vous il y a toujours une dichotomie, une opposition dans le couple entre liberté de l'un et de l'autre. Ainsi, si je suis votre pensée explicitée dans votre texte ci joint, vous ne pouvez être libre sexuellement si et seulement si votre conjoint est privé, brimé, asservi, humilié, réduit à une virgule dans l'infini.
A l'inverse, s'il était libre de ses choix et épanoui sexuellement, ce serait pour vous, attentatoire à votre liberté chèrement acquise de votre part contre les préjugés et la morale religieuses remontant ainsi à la chasse aux sorcières.
Nous vous aurions placée sur la sellette  face au frère inquisiteur!
Pauvre de vous, je ne vous laisserai pas torturée par de tels bourreaux !
La différence entre vous et moi, voyez-vous c'est que vous n'en êtes qu'au stade de la révolte anti catholique traditionnelle et que vous n'êtes en rien débarrassée de toute la mécanique de pensée qui veut que le rapport homme-femme est forcément inégalitaire, rapport de domination soumission dans un sens ou dans l'autre. Mais toujours rapport inégal.
Vous êtes en révolte contre la papauté et la sainte-inquisition mais pas une révolutionnaire accomplie.
Il y a loin entre vos conceptions et celle d'un athéisme militant, humaniste et libertaire (et libertin)
Votre aliénation perdure en ne concevant pas que votre mari puisse être libre et épanoui en même temps que vous et qu'il puisse avoir son libre arbitre sans pour autant que vous soyez à nouveau reléguée au rang de « femme potiche ou soumise »
Vous partez d'une conception du couple et de la femme qui date et contre laquelle vous croyez être à contre courant alors que vous ne faites que renverser une dialectique maître/esclave en une autre dialectique de même nature maîtresse/esclave. Vous n'en sortez pas !
En cela votre intervention ci-dessus et ses inférents religieux est révélatrice d'une pensée qui n'a jamais été gagnée par l'humanisme et la pensée révolutionnaire du 18ème siècle mais est restée à la porte du confessionnal et de l'acte de contrition.
Amen !

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