- 03 janv. 2012, 00:59
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Val raconte :
Depuis mon premier rapport avec une femme, Marie, mon mari et moi parlions depuis quelque temps du fantasme de faire des photos par un professionnel.
Il avait
rencontré sur internet un photographe professionnel, un dialogue était né, et mon mari était venu à lui et avait demandé s'il accepterait, en étant payé bien sûr, de me faire poser.
Quand il m'en a parlé, au début, j’étais un peu réticente.
D'abord parce que je n’ai jamais posé nue hors mis devant l’objectif de Phil.
Je me voyais mal commencer devant quelqu'un que je ne connaissais pas dans ce genre pour poser. En plus, je considérais que ce sont des choses qu’on fait plutôt à 20 ans qu’à 40 ans. Même si j’ai un corps bien conservé je suis assez mince, entretenue de nature mais aussi par le faite de la gym.
Mon mari m’ayant montré le site internet assez complet de ce photographe, il avait aussi publié plusieurs livres de nus d’une grande qualité. Il était sans contestation que les femmes qui posaient pour lui étaient belles, et bien mises en valeur, que ses photos étaient douces, qu’elles exprimaient quelque chose. Mon homme me flatta en disant qu’il n’avait jamais tant aimé mon corps, qu’il désirait en avoir un souvenir qu’on regarderait avec plaisir dans dix ou vingt ans, qu’il me demandait ça comme un cadeau. Il sait être très persuasif quand il le faut. Et j’ai accepté pour lui faire plaisir mais aussi, pour repousser mes propres limites.
J’ai moi même contacté le photographe pour prendre rendez-vous, lui laissant parler à mon époux pour les modalités. Au téléphone, il semblait sympa, convivial, et me disait de ne pas m'inquiéter, qu'il avait déjà plusieurs fois photographié des femmes qui n'avaient jamais posé nues, à la demande de leur mari, et que ça c'était toujours très bien passé.
Le jour J, sur le départ, j’avais préparée un sac contenant, une paire de chaussures à talon haut, des dessous féminin qui dégageait beaucoup de charmes, un bustier mais aussi des sous-vêtements sexy et d’autres carrément sexes que nous avions acheté chez Lola Lun… tous ouverts, tantôt la perle, la pierre ou la plume reposent naturellement sur le haut des lèvres intimes toujours à la recherche du clitoris. Les soutiens gorges eux, laissent libre les auréoles et les pointes à l’airs libres glissant juste sous le mamelon.
Nous avons pris la voiture pour Nancy, j’étais habillée normalement, en dehors de mes sous-vêtements et de mes bas surmontés de mon porte jarretelle, mais sans en rajouter.
Une fois notre véhicule garé, mon Phil et moi nous nous sommes approchés de l’adresse, découvrant un immeuble bourgeois à l’entrée contenu surmonté d’une porte massive. Mon mari sonna à l’interphone sur le nom approprié, se présenta et le sésame de la gâche se fit retentir, Phil m’ouvrit la porte et nous découvrîmes une grande cour pavée, de grands bacs contenant des arbres boules au centre, ce qui ajoutait beaucoup de charmes.
Mais une chose impensable se passa, imprévisible pour moi, mon mari m’annonça à cet instant là, qu’il ne m’accompagnait pas, que je devais avoir confiance en lui et aussi que cette situation avait été demandé par le photographe, par intimité avec son modèle, ne voulant pas être dérangé par une tierce personne, pour une parfaite communion en quelque sorte …Un peu débité et déçu au fond de moi, aussi, un peu furieuse de cette situation, le laissant par obligation, après un échange de bisous langoureux, il s’en est aller en face, au bar, le portable à bout de bras, au cas ou.…
J’étais quand même assez intimidée et seul de surcroîts, la boule serrée dans la gorge et un peu la peur au ventre quand j’ai traversé cette arrière cour au fond de laquelle était son atelier. Mais il m’a mise à l’aise tout de suite. D’abord, ce n’était pas un apollon, avec des lunettes rondes, grand et fin, la quarantaine aussi, grisonnant.
Pas du tout l’image qu’on se fait d’un photographe habitué à faire des nus avec des mannequins, et rien non plus du type qui cherche à séduire des femmes en les prenant en photos. Ensuite, comme il prenait une tasse de thé, il m’en proposa également une , j’acceptai parce que ça détendait forcément l’atmosphère entre nous et rendait ce qu’on allait faire plutôt neutre. Il me fit rire aussi en me racontant des anecdotes de certains modèles qui avaient posé pour lui. Il proposait de l’alcool tant elles étaient mal à l’aise, mais qu’avec moi le thé suffirait. Cela me fis plaisir qu’il ne me considérait pas comme une femme coincée.
Il me montra son studio, sur ce grand plateau avec toutes sortes d’estrades tantôt recouvertes de moquette noire tantôt blanche ou d’autres couleurs, sur des fonds de drap en coordonnés, des éclairages partout, de grands carrés blancs disposés autour pour renvoyer la lumière surmontés de parapluies. Il m’explique les fonctions des divers spots toujours très technique, très pro. Des miroirs ornaient sur tout un pan de mur juste en face des estrades, de ce fait le modèle pouvait se voir, mais ce qui me gênait un peu, la pièce dépourvue de fenêtres, sans lumière du jour naturel. Il m’expliqua que c’était normal, que c’était pour avoir une lumière constante sans avoir à faire de réglages.
Je découvris un peu plus le personnage, l’observant avec un peu plus d’attention, il était pied nu, par évidence des pieds soignés, un Thiaya très coloré (large pantalon Sénégalais) surmonté d’un teeshirt du même esprit, de ces mouvements je décelai qu’il ne portait rien dessous, son sexe certainement de bonne taille, allait d’un coté à un autre, comme un essuie glace à l’envers…
Il m’a demandé me désignant une porte de passer me changer dans la salle de bain, et de mettre un peignoir.
Après être rentrée dans l’endroit, je fis pose à mon cerveau, puis je me changeai, me passant une lingette parfumée au passage. Je n’ai pas osé mettre mes hauts-talons, pas tout de suite, ça aurait fait trop, idem pour les sous-vêtements trop sexy et encore moins ceux de chez Lola, gardant mes jarretelles et choisissant des dessous dentelles de même couleur de chez Barbara. A la réflexion Je les trouvais aussi trop sexy, mais ils correspondaient un peu plus à la situation, et de toute façon je n’avais rien de plus sage.
Quand je suis revenue, recouverte de mon peignoir court en soie vert pastel, il me demanda de le retirer et de tourner sur moi même, découvrant au passage la dentelle immiscée entre mes reins qui me laissait les fesses nues. Là ce fut un moment difficile pour moi, parce que je sentais son regard. Il me regardait vraiment, comme s'il me détaillait, me déshabillait du regard, demandant de me pencher en avant, me foulants de sa vision de toute parts.
Je me demandais s'il ne me trouvait pas trop banales, par rapport à des mannequins, forcément mieux faites et plus jeunes que moi. Heureusement, ses note d’humours étaient toujours présentes, il se voulait rassurant à mon égard, me proclament que pour moi le plus dur était passé, le cap pénible pour toutes les femmes qui posaient pour la première fois, mais il me pris de court en me demandant de me séparer temporairement de tous mes bijoux. J’en porte toujours plusieurs, chaîne, médaillon… J’aime çà, je trouve qu’ils soulignent ma personnalité. J’ai tout enlevé, même mon alliance couronnée de diamant, et après, j’avais vraiment le sentiment d’être complètement nue, comme je ne l’avais pas été depuis longtemps, étrange et même bizarre de cette situation.
Heureusement, la séance a commencé, et après ça a été plus facile car il me parlait beaucoup, prenait plein de photos très vite, en me faisant changer de poses, d’attitudes, il tournait autour de moi comme une abeille. J’avais l’impression d’être prise dans un tourbillon, avec juste le bruit de ses mots et de son appareil photo, comme si je n’étais pas nue face à un homme qui me regardait mais un appareil photo muni de la parole. Ce qui m’aida à prendre de la distance, me sentant de plus en plus à l’aise. Et il savait me faire des compliments, vrais ou faux, peu importe, me dire que j’avais un beau corps, que je bougeais bien. Parfois, il me touchait pour placer mon bras, ma cuisse. Au début, je n’ai pas pu réprimer un réflexe de recul: c’était tout de même un homme qui me touchait alors que j'étais presque nue !
Il s’en est évidemment aperçu, me disait la normalité de la chose, de ne pas penser à lui comme un homme, mais comme un photographe professionnel devant un mannequin, et de me mettre dans la peau d’un mannequin. C’est quand même le rêve de beaucoup de femmes, être considérée comme telle, une fois dans sa vie. Alors, je me suis encore plus détendue, j’ai joué le jeu, j’y ai même pris du plaisir, et il me disait que mon mari serait surpris et heureux du résultat. Cela commençais quand même à me faire quelque chose, le contact de ses doigts, la chaleur de sa peau. C’était un peu trouble, un peu érotique malgré moi. Pas de sa part je supposais, bien sûr, puisque lui faisait son métier et que chacun de ses gestes était justifié. Mais moi, oui, j’étais devant un homme que je ne connaissais pas, que je ne désirais pas, et qui touchait mon corps. C’est quand même une situation inhabituelle !
Quelque chose me troublât fortement, quelque chose qui inexorablement attirais de plus en plus mon regard, je décelais à ses passages devant certains spots de lumière, la forme entre ses jambes, elle me paraissait grossissante, tendant un peu plus son Thiaya…
Il s’interrompit à un moment me demandant avec un sourire chaleureux suffisamment désarment pour que je ne m’offusque pas, de passer d’autre sous vêtements plus chaud… M’avouant que mon mari lui avait parlé de dessous très sexes qui me mettait très en valeur… La je dois dire que j’aurais volontiers serré la gorge de mon Phil de mes deux mains…Le salaud.
J'ai cru un moment que je ne ressortirais jamais de cette pièce !
Mais me voila, devant lui toute rougissante, tenant mes bras croisés devant mon adorable poitrine ronde, ferme, surmonté d'adorables tétons roses et lisses, le tous tenu par la dentelle minimaliste, mon porte jarretelle et mon string ficelle ne cachant plus rien, la perle opaque reposante sur l’endroit défini. La démarche un peu maladroite, j'avais l'impression de mesurer deux mètres, de l’émoie plein le corps malgré la chaleur de la pièce.
Reprenant nos places respective, lui derrière l'objectif et moi sur l’estrade m’empressent toujours malgré tous de couvrir mes seins avec mes mains, mes cuisses serrées. Il shoota quelques photos de plus, surement pour me donner le temps de dépasser ma pudeur me demandant de temps en temps de changer de pose ce qui me libera tous doucement à sa vision. La tension retombant sous les flashs, les poses se faisant moins figées, et lui venant corriger sans un mot, plaçant tantôt un main sur ma hanche, tournant parfois mon corps vers la lumière. Je me sentais a la fois protecteur et offert à ce photographe qui me manipulait comme une marionnette. Je m'abandonnais de plus en plus à ses directives, offrant toute mon inimitée à son objectif.
A un moment, il pris un verre d’eau froide et se dirigeât vers moi, y mettant les doigts, et posa ceux-ci au contacte de ma poitrine, sur mes tétons plus précisément pour obtenir le durcissement de ceux ci en les mouillant, en les pinçant un peu, et en soufflant dessus, ce qui devait arrivé arriva très vite et sans contrôle possible, mes tétons se développèrent sans scrupule, me créant une multitude de frissons dans tous le corps, lui toujours en me parlant, très « technicien », mais moi, une fois la surprise passée, cela me fit forcément quelque chose.
Il m’enveloppa d’un regard admiratif et de plus en plus désireux et m’avoua qu’il me trouvait très sensuelle puis me signifia d’aller au devant de l’appareil, aller vers lui, s’ouvrir pour lui, comme si je désirais cet appareil photo, afin qu’elles expriment le désir du ressentis vis-à-vis de mon mari. Là encore, j’ai joué le jeu, j’ai creusé mes reins, j’ai tendu mes seins en mettant mes bras en arrière. Il parlait toujours aussi vite, me faisait tout le temps changer de position. J’avais de plus en plus chaud, sous la chaleur des projecteurs.
Une brève pause intervint à son signal pour me changer de nouveau, adoptant la tenue la plus osée qui soit, je prenais à mon retour un verre qu’il me tendait, le buvant d’un trait, une sorte de cocktail légèrement alcoolisé aux fruits.
De nouveau devant lui sur un décor neuf, mes seins bandés à l’extrêmes, j’étais dés lors, bercée par ses paroles, par le bruit de l’appareil photo, certaines positions qu’il me faisait prendre, étaient presque vulgaires mais comme une sorte d’hypnose plutôt agréable, je l’écoutais, je me découvrais, je lui montrais mes parties intimes. Il me demanda alors d’être chatte, de pénétrer ma bouche d’un doigt, de laisser couler ma langue sur mes lèvres de façon provocante, se que je m’appliquais à faire…
Rapproché de moi, il prenait ses photos de plus près, ses mains venaient plus souvent sur mon corps, le tutoiement créait aussi une forme de proximité, comme si un cap avait été franchi entre nous. Sa main à proximité de ma rose à vouloir ouvrir doucement mes longues jambes, me montrant la position voulue, je réalisais que j’étais très humide et il ne pouvait pas, ne pas apercevoir.
Puis il me demanda plus de rythme avec toujours les clics de l’appareil photo… De me caresser se que je fis sans butter sur l’ordre, glissant mes doigts sur ma fente et me mis à imaginer mon homme me faisant l’amour, de transformer chaque battement de mon cœur en coups de buttoir de la queue de mon mari dans ma chatte, de poussez mon bassin en avant… Mon string vola, retombant sur le coté de l’estrade, libérée de la dentelle qui emprisonnait mes généreuses babines vaginales, elle se dévoilait voluptueuse et pulpeuse, le bas de ma vulve baillait désormais, mon puits était visible, laissant échapper sans retenu et avec abondance le liquide blanc opaque, un parfum subtil émanait de me jambes… L’effet était d’un érotisme fou. Je sentais son regard concentré sur mon entrecuisse et cela me donnait encore plus de frisons dans le bas du ventre, créant des tourments supplémentaires dans mon vagin, je commençais à perdre pied dans ce plaisir à m’exhiber ainsi devant mon voyeur. J’avais l’impression que mes lèvres intimes se dilataient et, sans pouvoir me retenir, un jet de cyprine s’échappe de mon sexe, glissant sur mon fessier.
Profitant de l’occasion, il enfonça un peu plus loin ses doigts, effleurent mes premières lèvres distendues ainsi humidifiées, conscient alors de l’état dans lequel je me trouvais. Nos regards se croisaient et devenaient sans le vouloir complices.
Par moment je fermais les yeux, mais une chose attirât mon regard, son pantalon avait disparu, sa main droite tenait son membre tendu vers le ciel, le gland circoncis et brillant, une goute de pré-sperme perlant sur le méat, ruisselant et sucré de sa chair, absence de tous poils, d’une belle taille, toute veinée, d’un bel aspect, c’était comme si l’ange sur mon épaule m’interdisait la chose, le diablotin sur l’autre me disant ,vas-y juste une fois, touche là, tu meurs d’envie de te saisir de cette bite…
Il posa son doigt sur mon bourgeon décapuchonné ce qui m’électrisa faisant évaporer les deux personnages de mes épaules, mon clitoris saillant était dur, sans contact direct il me titillait de douleur, il le massait toujours shootant avec son appareil, ne dissimulant pas ces doigts sur les photos, en appuyant juste un peu, le titillant. Paralysée par l’envie, interdite de toute résistance, je ne voulais pas le regarder, je gardais les yeux fermés, je ne voulais pas, à tous pris… Ne pas gémir.
Prenant possession de ma caverne à délice, mes cuisses décidaient bien malgré moi de lui ouvrir plus amplement l’entrée, son doigt inquisiteur s’y engouffra généreusement pendant que le pouce titillait mon bouton d’amour, mon bourgeon rouge vif sortait de son capuchon protecteur. Un deuxième et un troisième retrouvèrent leurs autres frères en moi au coeur de ma braise, il les ressortait remplis de mouille filandreuse pour mieux y retourner, je libérais un gémissement, j’étais toute atlante, Emporté par le rythme de la pénétration, mes seins qui se balançaient rapidement, accentuant encore plus le mouvement de va et viens.
A un moment, il a dû sentir que j’étais près de jouir, à mes balancements du bassin qui accompagnaient ses doigts. Il ralentit le rythme de ses caresses.
J’aurais aimé trouver la force, lui dire que je ne trouvais pas ça bon, mais au contacte de sa bouche sur mes lèvres, mes dernières résistances s’évaporerais définitivement, m’entrainant dans un long et délicieux baiser ou nos langues se mêlèrent et se caressèrent, en échangeant nos salive.
Saisissant au détour d’une caresse ma main pour la poser délicatement sur son long sexe, que je me mis à caresser, un peu chancelante, l’enserrent et entament de lent va et vient. Il semblait apprécier, sa queue accompagnant le rythme de ma main. Alors que sa main remontait vers mes seins, l’autre venait se poser sur ma nuque, a chaque allez retour sur sa verge, le gland grossissait, plus large désormais que ça base, je la sentais m’attirer vers elle, bientôt la voyant devant mon visage restreint à des millimètres, son phallus au contact de mes lèvres, de ma bouche qui s’ouvrait, comme si elle ne m’appartenait plus, posant ma langue sur cet intrus en l’enroulant, prenant possession de la perle sur la pointe, le déguster, gouter l’enivrant. Le va et viens lancé, ma langue ne cessait de le caresser à chacun de ces mouvements, j’avalais le flot de son désir, lui prodiguer une délicieuse fellation me donnant plus de fièvre, ma main malaxant ses bourses que je trouvais énormes. J’en avais envie, trop envie…
J’ai entendu qu’il posait son appareil photo, mais le crépitement d’un autre appareil motorisé pris le relais sans savoir comment… Et le bruit d’une enveloppe de préservatif qui se déchirait.
Puis il m’invita en me tenant par la taille à me coucher sur le dos et présenta sa colonne de marbre recouverte, Il s'est couché sur moi. Je n’ai rien fait pour l’en empêcher... A l’entrée de mon antre gluant, son gland contre ma chatte, coulissait dans mon sillon, je cambrais les reins. La pression de son sexe s’accentua, mon vagin s’ouvrait, réclament le pieu de chair, mon trou s’écartaient encore plus comme pour mieux le happer cherchant à l’avaler tous entier, la poussée continua, de sa queue pénétrante en moi, je la sentais m’envahir jusqu’au contact de ses bourses contres mes fesses. D’exquises sensations s’emparent de mon corps. Il resta ainsi quelques secondes puis adopta immédiatement un rythme rapide de va-et-vient. À chaque pénétration, ses bourses venaient me cogner. Sa queue était douce et chaude, d’un bon diamètre je la sentais parfaitement glisser d’avant en arrière dans mon vagin. De ma chatte émanait de grand bruits mouillé, des bruits de ventouses aussi…
Des gémissements émanaient de nos gorges dans un même plaisir, de grands coups de reins me soulevait le bassin, la température de mon sexe montait dans la zone rouge, je jouissais délicieusement prenant un plaisir immense à me faire défoncer ainsi de ces puissants coups de reins. Après deux autres profondes et brutales pénétration il s’immobilisa en moi dans un râle, relâchant son emprise sur moi, détectant parfaitement au travers du plastique le liquide chaud qu’il venait de déverser à l’intérieur À cet instant mon plaisir est à son maximum, j’avais chaud, tout mon corps brillait de transpiration, j’était si trempée et ruisselante, inondant le haut de mes cuisses.
Après, je l’ai serré dans mes bras, j’accompagnais ses derniers mouvements de reins, je l’embrassais dans le cou, toujours ce besoin féminin de tendresse, de contact, après le plaisir. Il a joui à son tour, est sorti de moi tout de suite. J’ai entendu qu’il enlevait son préservatif.
Il s’est penché vers moi en souriant gentiment et posait un baiser rapide sur mes lèvres, un baiser d’ami, pas un baiser d’amant. Il me dit de ne pas m’en faire, que ce n’était pas grave, que ce genre de choses arrivait parfois sans qu’on le veuille vraiment, que les photos d’un corps de femme ne fussent jamais si belles qu’après l’amour. Moi, je ne disais rien. Et il a repris la séance, comme si rien ne s’était passé, avec le même ton professionnel, le même débit, la même manière de tourner autour de moi, de m’aider à trouver, de ses mains, la pose qu’il voulait.
Il me faisait des compliments sur mon corps, me trouvait très expressives, me disait que mon corps était détendu, apaisé, tranquille, et que ça allait très bien avec mon air timide. La séance a encore duré un bon quart d’heure. Puis il m’a de nouveau posé un rapide baiser sur les lèvres, je n’en avais pas envie mais je ne pouvais quand même pas détourner mon visage après ce qui s’était passé, me signifiant la fin, que j’avais été un excellent modèle, que les photos seraient très belles, et que je pouvais aller me changer dans la salle de bains.
Bêtement, je ne sais pas pourquoi, j’ai remis le peignoir avant d’y aller. Il connaissait pourtant tout de moi, même mon intimité. Mais je voulais sans doute lui montrer que c’était fini, bien fini. J’ai ramassé tous mes bijoux, mais je ne les ai pas remis, dans la salle de bains, je voulais me rhabiller vite, partir vite. Je craignais aussi qu’il m’attende à la sortie, et me propose d’aller dans sa chambre, puisqu’il vivait là. Mais ce n’était pas le cas. Il fumait une cigarette, faisait défiler les photos sur l’écran de son appareil, me proposant une cigarette. J’ai dit non. Il me montra quelques photos, découvrant les planches, les séries de l’étreinte entre autre, en me disant qu’on ne voyait pas grande chose sur cette taille, mais qu’elles étaient réussies, que je les verrai mieux quand il me montrerait les tirages papier. Il n’a fit aucune allusion à ce qui s’était passé, me serrent la main en partant en me disant qu’il m’appellerait quand les photos seraient prêtes, et que nous serions contant du résultat, mon mari et moi.
En sortant, je ne suis pas allée dans le café tous de suite. Je devais réfléchir, remette de l’ordre dans mes idées, me préparer à répondre aux questions de mon mari quand il me demanderait si tout s’est bien passé, ne voulant pas lui mentir. A l’approche du café, je tremblais un peu, je m’en suis aperçue en remettant mes bijoux. Ca me faisais drôle de remettre mon alliance. Je me suis détendue un peu, pensant au plus bizarre, c’était le sentiment d’avoir fait l’amour, et d’y avoir pris du plaisir, avec un homme que je ne désirais pas, qui ne me plaisait pas, que je n’aie pas choisi. Il n’y avait pas eu de rencontre, pas d’affinités, pas de séduction, aucun signe annonciateur. Deux heures avant, je sonnais à sa porte sans le connaître. Ca ne m’était évidemment jamais arrivée, je ne pensais même pas que ça soit possible, et surtout d’avoir du plaisir dans ces conditions. Je me disais qu’il avait sans doute raison, que ce genre de choses devaient arriver parfois dans une séance de photos, qu’il m’avait emmenée sur un chemin un peu glissant, sans qu’on réalise lui et moi où il pouvait lui mener. Sauf que j’ai réalisé que lui le savait, puisqu’il avait sans doute fait çà avec d’autres modèles, et qu’il avait quand même un préservatif dans sa poche, pas dans la table de nuit de sa chambre. Ce qui m’a aidée à me remettre d’aplomb, c’est le sentiment, à tort ou à raison, que je n’avais pas réellement trompé mon mari. Je n’avais pas désiré un autre homme que lui, je n’y avais pas pensé avant, je ne le reverrais pas, ce n’était le début de rien. C’était juste un concours de circonstances, un accident de parcours.
Quand je suis rentrée pour le retrouver à sa table dans un coin, je n’ai même pas eu besoin de mentir à mon mari, il le savait, il l’avait deviné…
J’ai dit simplement que tout s’était bien passé, que le photographe avait été très sympa, très délicat, très professionnel dans sa manière de me mettre à l’aise, qu’il pensait que les photos seraient très belles. Mon mari m’a embrassé en disant qu’il était fier de moi.
C’était un samedi matin, le week-end est passé, la seule chose que je redoutais, c’était le coup de fil du photographe. Je craignais qu’il veuille recommencer. Il m’a appelée le mercredi, les photos étaient prêtes.
Je suis passée les prendre le lendemain chez lui, entre midi et deux. Je m’étais préparée à cette rencontre. Je me suis habillée de la manière la plus neutre possible, pour qu’il ne se fasse pas des idées, et j’ai refusé la tasse de thé qu’il m’a proposée quand je suis arrivée, pour lui montrer qu’il n’y avait pas d’intimité entre nous, même si, paradoxalement, on avait fait l’amour. Je crois qu’au fond de moi, j’aurais bien aimé qu’il tente quelque chose ou me propose de recommencer. J’y ai pensé en rentrant à mon bureau. Comme çà, j’aurais pu lui dire non, et bien lui montrer que ça n’avait été qu’un accident, qu’un dérapage ponctuel, dû aux circonstances, et que je ne le désirais pas en tant qu’homme. Mais il n’a rien tenté du tout, il était de nouveau très pro, très détaché. Il m’a montré les tirages qu’il avait faits. Les photos étaient très belles. On ne voyait pas mes défauts : je me trouvais les épaules un peu étroites, le visage trop allongé ... Je ne sais pas comment il s’y est pris, mais ça ne se voyait pas. En revanche, il y avait plusieurs photos de mes fesses, qui sont bien cambrées et musclées. Et de mes seins bien plantés aux pointes épuisées, et j’aime le contraste avec mon ventre plat. Je me suis trouvé belle, plus belle que je ne le suis en vérité.
Il m’a montré, mais toujours sur un ton professionnel, comme si ce n’était pas lui qui avait pris les photos, ou pas moi qui avait été le modèle, la progression des photos. Au début, quand j’étais un peu raide. Après, quand il me demandait de tendre mon corps vers l’appareil. Et ensuite, pendant et après qu’on ait fait l’amour, certaine obscène, sa queue plantée dans ma chatte, en gros plan... Réalisant sans comprendre que tous nos ébats étaient sur le papier glacé, de loin, de près, de très près, des détails les plus sordides mais à la fois excitants, mon corps me trahissait une nouvelle fois, je m’humidifiais.
Il me disait que mon corps était apaisé par le plaisir, plus détendu, moins conquérant, que mon regard était plus doux. J’étais gênée parce que j’avais l’impression que c’était vrai, mais en même temps il me disait çà gentiment, comme si ce n’était pas lui qui m’avait fait l’amour.
En me quittant, il m’a serrée la main. J’ai eu envie de lui poser un baiser sur les lèvres, moi aussi, pour lui montrer que c’était bien fini, que je ne lui en voulais pas, que je n’en faisais pas une montagne. Mais je n’ai pas osé. Et au bureau, un moment où j’étais seule, j’ai mélangé l’ordre des photos. Sans vraiment savoir comment, je ne voulais pas que mon mari remarque la progression.
Il les trouva très belles, son visage s’illuminant sur certaines, sans poser de question sur mon infidélité, me disant que c’était un magnifique cadeau, qu’on aurait plaisir à les regarder dans quelques années. Tous de suite, nous n’avons pas fais l’amour mais nous avons baisé, autant lui que moi avec un peu de violence dans nos actes, suivi de grandes jouissance multiple pour moi, et deux pour mon homme.
Après, il m’a quand même demandé si le photographe n’avait pas été insistant, et si moi j’avais ressenti du trouble à être photographiée comme çà, sur le faite d’être prise par un inconnue Je lui avouai le contraire sur le trouble, mais son sourire ne fit que s’amplifié.
Après, j’ai eu un doute, le fait de me demande de poser nue. Et il avait abordé quelques mois avant le sujet d’une sexualité plus libre dans notre couple, comme s’il cherchait à me pousser dans cette direction. Alors, je me suis demandée si le photographe et lui, si ce n’était pas ce que mon mari cherchait. Mais comme il ne m’en a pas reparlé, je crois que non.
Si mon mari voulait renouveler l’expérience, par désir, par force, je serais partante avec grand intérêt, toujours bien malgré moi, le grand oui remportant sur le non.
Ces photos, il m’est arrivé de les regarder seule, dans l’émotion à chaque fois. J’en connais l’ordre, ou à peu près. Et c’est troublant pour moi de voir la progression : avant le désir, pendant le désir, et après. C’est vrai que je ne suis pas la même, que mon corps n’exprime pas la même chose, mais c’est peut-être juste dans ma tête.
Val.