©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par corsica2
#97684
Bonjour à tous. Voilà bien longtemps que je n'étais venu proposer ma prose à ce forum si sympathique. Encore une fois, comme le précédent(progression), ce texte est issu de mon imagination mais le vécu tient néanmoins une place qui m'a permis d'échafauder l'ensemble. J'ai tenté de faire le moins de fautes d'orthographes ou de syntaxes possible, pour autant, que les acharnés du dico aillent se faire voir, je n'ai pas la prétention d'aller à l'Académie Française.
Voici la 1ère partie. La suite viendra si vous pensez que ce texte a sa place ici. Bonne journée à tous.

Quand Margot devient chienne.
La garden partie.

-« Permettez-moi de me présenter, je suis Bertrand Hautecombe de Villedieu, mes amis m’appelle « BHV ».
- Heu ….. Oui… Heu …. Pardon, moi c’est Laurent.
- Je vois que je vous dérange. Vous étiez en train de contempler cette charmante personne qui est là-bas en train de converser avec ce groupe de messieurs.
Heu…… Oui, en effet. Il se trouve qu’elle est ma femme. En quoi cela vous intéresse-t-il ?
- La-la, ne vous méprenez pas. C’est juste que je vous observais moi-même et certes, j’ai bien vu de l’amour dans vos yeux bien qu’ils étaient me semble-t-il un peu dans le vague. Mais, si j’en juge par la bosse qui orne votre pantalon, j’ai dans l’idée que vous aviez aussi autre chose en tête. Je me trompe ?

C’est par ces quelques mots échangés que je faisais la connaissance de « BHV », lors d’une garden partie où nous étions invités ma femme et moi, par un couple d’amis, eux-mêmes affiliés à nos hôtes.
La propriété était tout simplement splendide. Une maison immense décorée avec luxe et goût. Ce n’est pas toujours le cas. Un parc, oui, à partir d’une certaine surface ce n’est plus un jardin, et là, de la terrasse on ne voyait pas les clôtures même en mettant la main au dessus des yeux comme un indien. De grands arbres prodiguaient une ombre bienfaitrice par cette chaude journée de début juillet, ça et là des bosquets de fleurs, d’arbustes ou plantes plus ou moins tropicales, ornementaient la pelouse taillée de frais.
Un petit chapiteau abritait un buffet gargantuesque où se pressait depuis un moment, une bonne partie des invités.
L’ambiance était des plus conviviale, pas du tout guindée comme nous avions pu le craindre lorsque nos amis nous avaient proposé de les accompagner chez leurs cousins, les « Mouton-Lagarigues ».
Il est vrai que je suis très fier de mon épouse. Je la trouve très belle et je ne suis pas le seul. Il est rare qu’en de telles circonstances elle soit isolée. Je veux dire par là, qu’elle est systématiquement accaparée par un, mais plus souvent par des hommes qui adorent sa compagnie. D’abord pour son physique certes, mais aussi pour sa gaité communicative. Elle est aussi bonne cliente aux plaisanteries de tous crins.
Et là, précisément, elle est entourée par cinq ou six messieurs d’âges différents, elle rit à leurs blagues, contribue elle aussi à animer la conversation semble-t-il, mais je crois surtout que c’est sa petite jupette qui virevolte sur ses cuisses déjà bronzées qui attire le regard de ces messieurs.
J’étais effectivement perdu dans les méandres d’un scénario que j’imaginais au fur et à mesure des gestes et attitudes de mon épouse parmi ces mâles qui, j’en suis sur, n’avaient pas tous des idées pures, lorsque « BHV » me faisait donc remarquer que je bandais !
- Hein ?!..... Heu, quoi ?..... Je ….. Vous me …..
- Je dis que je suis persuadé que vous êtes entrain d’imaginer votre chère et tendre dans des situations que la morale réprouve. N’est-ce pas ?
- Heu…..
- Mais ne vous inquiétez pas, je trouve cela charmant. Quand on a une si jolie femme, il me paraît assez naturel d’avoir des fantasmes en adéquation. De plus, en la voyant papillonner autour de ces hommes en rut, comment ne pas avoir l’imagination fertile. Je suis tout comme vous, convaincu que ces hommes plaisantent et rient avec votre femme en apparence, mais ils n’ont tous qu’une idée en tête, la sauter ! N’êtes-vous pas de mon avis mon cher Laurent ? Et soyez gentil, ne me dites plus « heu », essayez d’autres lettres.
- Oui, pardonnez-moi, vous avez raison. Excusez ma surprise, mais je ne pensais pas être démasqué ainsi. En fait, j’étais ailleurs lorsque vous m’avez abordé. J’échafaudais effectivement un scénario où ma douce avait le premier rôle. Et je dois bien avouer que si elle le savait, elle m’arracherait probablement les yeux !!!
- En êtes-vous sur ?
- Hein ?! Comment ça, si j’en suis sur ?
- Oui, croyez-vous vraiment que votre femme vous reprocherait d’avoir ce genre de pensées ?
- Heu ….. Oui, heu non, enfin je ne sais pas. On ne parle pas de ces choses.
- Vous voulez dire que lorsque vous êtes ensemble vous n’évoquez pas vos fantasmes ?
- Ben, non ou du moins pas les miens. Je veux dire pas ceux auxquels je pensais tout à l’heure.
- Donc vous en parlez quand même un petit peu. Et me feriez-vous la confidence de ceux de votre femme ? Oui je sais vous ne me connaissez pas, mais justement, il est plus facile de se confier à un quasi inconnu qu’on ne reverra peut-être jamais, ne croyez-vous pas ?
Il est vrai que « BHV » dégageait beaucoup de charisme et qu’il donnait confiance d’emblée. C’était un très bel homme d’environs cinquante, cinquante cinq ans, du moins c’est ce qu’il semblait à priori. Plutôt grand, carré, un cou épais de rugbyman, pas de bedaine et sans doute une musculature entretenue sous un costume de lin ample qu’il porte avec aisance. Le cheveu poivre et sel court, pas de barbe ni moustache, une mâchoire bien dessinée, des yeux bleus vifs qui soutiennent aisément le regard. Bref, un très bel homme.
- Oui, peut-être. Mais vous savez, ce n’est rien d’extraordinaire. Nous avons une vie sexuelle assez traditionnelle. Nos extravagances se cantonnent à avoir baisé une fois ou deux dans la voiture sur un parking, une fois sur notre balcon alors qu’on pouvait être vu et dans un bois, cachés dans un bosquet alors que des gens cherchaient des champignons. Quant à ses fantasmes, elle évoque parfois des caresses entre femmes et une fois elle m’a raconté qu’on lui avait peloté les fesses dans le métro et serrée dans la foule, elle avait imaginé qu’un homme l’obligeait à la suivre, que sinon il me dévoilerait qu’elle s’était laissée caresser par un inconnu, il exagèrerait même en disant qu’elle avait même mis sa main dans la braguette dudit monsieur. D’ailleurs je me souviens que lorsqu’elle m’a raconté ça, elle a beaucoup mouillé et notre partie de baise a été plutôt hard ce soir là. Elle a eu un violent orgasme comme jamais avant et elle n’a rien dit quand j’ai mis deux doigts dans son fondement, ce qu’elle m’avait toujours refusé. Et la sodomie n’en parlons même pas.
- Bien, bien, je vois. Mais elle semble à l’aise avec son corps quand même, non ?
- Oui, bien sur, tout à fait. Elle n’a aucune honte. On pratique le naturisme. Elle ne fait pas d’exhibe, mais ne s’offusque pas quand un mec lorgne dans son décolleté.
- Très bien ça.
- Hein ?
- Non, rien, je pensais à voix haute. Et vous, vos fantasmes ?
- Moi … Et bien, c’est-à-dire … C’est peut-être un peu plus coquin.
- Coquin ou plutôt hard ?
- Heu …
- Voilà que ça vous reprend. Soyez franc. Comment imaginez-vous votre épouse lorsque vous laissez votre imagination vagabonder ? Allez, lâchez-vous, soyez honnête avec moi et avec vous-même d’ailleurs.
Je ne sais pas si c’est son charisme, la confiance qu’il donne ou l’autorité naturelle qui se dégage de lui, sans doute un peu tout ça, toujours est-il que je me suis laissé aller.
- Ben en fait, dans mes fantasmes, c’est une salope. Elle adore le sexe. Hommes, femmes, tout y passe. Tous ses trous sont en fonction. Je la dirige. Elle m’obéit.
- Oui, oui, je vois que ça vous tente, vous avez encore une érection.
Merde ! Ce mec voit tout, c’est incroyable. Il est vrai que je ne me suis même pas rendu compte que je bandais, quel con je fais. Mais bon, c’est vrai, quand je suis perdu dans mes fantasmes, je ne vois plus rien autour. Je les vis de l’intérieur mais ça se voit à l’extérieur.
- Dites-moi mon cher Laurent, maintenant que nous sommes des intimes. Si, si ne protestez pas, je connais quand même quelques détails désormais qui, si je les racontais à votre femme, auraient peut-être quelques conséquences, non ?
Là, je crois que je fis la mine déconfite de celui qui se dit merde, je viens de me faire avoir, je fais confiance, je me confis et il va tout raconter.
- Mais non, ne faites pas cette tête, je ne vais rien raconter. C’est juste que je me disais que je pouvais vous être utile.
- Hein ?! M’être utile ? A quoi ?
- Et bien, à réaliser vos fantasmes.
- Mes fantasmes ?
Je crois que je suis passé par toutes les couleurs, par toutes les expressions que mon visage pouvait exprimer. Je ne comprenais rien. Ou j’avais peur de trop bien comprendre. Que me voulait ce type ? Après tout, je ne le connaissais pas trente minutes plus tôt. Bon d’accord il inspirait confiance, du charisme, etc … mais merde, il parlait de ma femme !!!
- Reprenez-vous. On discute, c’est tout. Nous sommes entre hommes, on parle sexe. Votre femme est magnifique et attire la convoitise, vous ne pouvez le nier. Vous me confiez vos fantasmes et je vous propose de vous aider à les réaliser si vous le souhaitez. Rien de plus. C’est vous qui décidez. Je ne vous oblige à rien. Si vous refusez on se quitte bons amis et voilà tout.
- Mais je ne comprends pas. Comment pouvez-vous m’aider dans cette démarche ? C’est entre ma femme et moi, comment pouvez-vous influer ? Me donner des conseils, c’est ça ?
- C’est une partie de l’aide que je peux vous apporter en effet. Mais je peux faire beaucoup plus si vous en êtes d’accord. Si vous voulez en discuter, retrouvons-nous un autre jour, prenons rendez-vous dès maintenant. Mais si vous souhaitez que vos fantasmes restent fantasmes, n’en parlons plus.
- Mais je … comment … vous allez … Il faut que … Mais si ma ….
- Calmez-vous. Reprenez vos esprits. Disons que pour vous mettre un peu sur la voie, j’ai assez d’autorité sur les femmes en générale et sur certaines en particulier. Pour être tout à fait honnête avec vous, je ne vous ai pas abordé par hasard. J’ai observé votre femme pendant un bon moment et ce n’est qu’après que je suis venu vous voir. Je vous ai vu arriver ensemble avec vos amis. Je suis un petit peu expert dans ce domaine si vous voulez et il m’a semblé que votre femme avait quelques dispositions à la soumission. C’est la raison pour laquelle j’ai engagé avec vous la conversation sur ce sujet. Et donc si j’en crois ce qu’elle vous a raconté et que vous m’avez retracé, je ne me suis sans doute pas trompé. Comme il se trouve que c’est votre fantasme, que peut-être d’ailleurs votre inconscient avait deviné, je me propose de vous aider à le concrétiser, voilà.
- Je ne sais pas quoi vous répondre en fait. Tout cela va un peu vite en vérité. Il est vrai que ce fantasme m’excite énormément, de là à le réaliser, c’est une autre histoire. Et puis je ne connais pas la réaction de ma femme. Qu’elle ait des dispositions comme vous dites n’en fait pas pour autant une soumise salope. Je ne voudrai pas la perdre.
- Rassurez-vous, il ne s’agit pas de lui sauter dessus dans la seconde. Tout ceci est progressif. Comme vous le dites rien de prouve qu’elle pourra devenir une bonne soumise. La première question à vous poser c’est : Est-ce que je veux réaliser ce fantasme ? La seconde est : Est-ce que je supporterais de la voir avec d’autres en vrai ? Si la réponse est oui, alors on se revoit et je vous explique comment je procède. Prenons rendez-vous car je vois votre femme s’approcher. Revoyons-nous, disons, le week-end prochain, ça vous fait la semaine pour réfléchir à la question. Si la réponse est non, ne vous inquiétez pas je ne dirais rien à votre épouse. Voici ma carte, appelez-moi, à bientôt.
Amabelone, zztop, Noste a liké
#98252
Voici la suite. Je ne vais peut-être pas poster les suites chaque jour car je suis encore entrain d'écrire cette histoire. J'ai quelques épisodes d'avance mais je veux me laisser le temps d'écrire la fin. Bonne lecture et n'hésitez pas à me faire quelques commentaires, ça fait toujours plaisir de savoir qu'on est apprécié. Les critiques sont aussi bienvenues, ça permet de s'améliorer. Cordialement.
Quand Margot devient chienne.
La prise de contact.

Le samedi suivant, comme convenu, je retrouvais « BHV ». Il était déjà installé à la terrasse du café où nous avions convenu de nous retrouver lorsque je l’avais appelé au téléphone, la veille.
Il avait toujours belle allure. Panama sur la tête, polo gris perle et pantalon de lin. Il me sourit en me voyant arriver tel le fraichement diplômé se rendant à son premier rendez-vous d’embauche. Je devais avoir piètre allure car il fit tout ce qu’il pouvait pour me mettre à l’aise. Je commandais un demi et regardais droit devant moi sans oser démarrer la conversation.
Ce fut donc lui qui aborda le sujet qui justifiait notre présence en ce beau samedi ensoleillé de juillet.
- Si vous êtes là mon cher Laurent c’est que la réponse aux questions que je vous ai suggéré de vous poser est oui, exact ?
- Et bien, pas tout à fait en vérité. Enfin c’est plutôt oui mais. Ce sera un oui définitif ou pas d’ailleurs, lorsque vous aurez répondu à mes questions.
- Ah ! Nous y voilà. Notez que je trouve ça plutôt raisonnable. Vous m’auriez dit, go, allez-y, faites ce que vous voulez, comme ça sans préalable, je vous aurais pris pour un fou. Alors que voulez-vous savoir ?
- Ben, tout. Enfin je veux dire, comment tout cela va-t-il commencer ? Qu’allez-vous faire ? Que suis-je sensé faire moi-même ? Enfin tout quoi.
- Alors comme je vous l’ai dit déjà, cette soumission va se faire progressivement. Il ne s’agit pas de claquer des doigts et hop là tout va bien. Vous allez tout d’abord me l ‘amener.
Devant mon air ahuri, « BHV » se met à rire. Je dois avoir vraiment l’air con tellement il se tord sur sa chaise. Il se tient les côtes et fait des petits bonds sur son siège. Finalement il se calme, boit une gorgée de sa bière et continue.
- Excusez-moi, mais vraiment votre tête était à mourir de rire. Lorsque je vous dis de me l’amener, ce n’est pas comme un agneau qu’on mène à l’abattoir. Nous allons préparer tout notre projet dans un premier temps, ou du moins les grandes lignes, car pour les détails vous devrez avant tout me faire confiance, mais nous en reparlerons tout à l’heure. Je vous inviterai chez moi avec d’autres amis pour une nouvelle garden partie. Là, je prendrai contact avec elle et c’est là que tout commencera. Mon rôle sera de la séduire. Ne vous méprenez pas, je n’ai pas l’intention du tout de vous prendre votre femme, ni d’en faire ma maîtresse attitrée. Mais c’est le passage obligé. Il faut absolument qu’elle soit mienne. Ensuite je ferai en sorte qu’elle soit en manque. C’est à ce moment que nous verrons si elle peut devenir soumise car je commencerai alors à exiger certaines choses d’elle en échange de mes bons soins. Et en fonction de ses réactions et de son aptitude, je déciderai si je continue le dressage ou si je stoppe tout. Cela vous convient-il ainsi ?
- Heu …. Oui, je pense….
- Je vous sens toujours hésitant. Quel point vous semble obscur ?
- Non, aucun. C’est que je ne sais pas encore vraiment si…
- Je vous l’ai dit, deux questions essentielles mais si à l’une d’elle la réponse est non, rien n’est possible, c’est un tout.
- Oui, je sais j’ai bien compris ça. J’y ai bien réfléchi toute la semaine, je peux même dire que cela m’a obsédé. J’ai pesé le pour et le contre je vous l’assure et pour la réalisation du fantasme la réponse est oui. Mais pour l’autre question je ne sais pas trop. Je veux dire qu’à priori je suis d’accord pour la voir avec d’autres hommes, le seul souci c’est que j’ignore encore comment je vais réagir. Lorsque je fantasme, je la vois, je l’imagine en train de sucer une autre bite ou de se faire sodomiser et ça m’excite vraiment, mais lorsque ce sera en vrai, comment vais-je prendre la chose ? Ma jalousie va-t-elle me jouer des tours ?
- Ah ça, il est vrai que vous êtes le seul à pouvoir y répondre et c’est à vous d’en décider. Mais pour vous aider, dites-moi ce que ça vous fait lorsque vous voyez un autre homme lorgner dans son décolleté ? Que se passe-t-il dans votre poitrine quand sur la plage naturiste on mate sa chatte car cela doit bien arriver non ?
- Oui bien sur que ça arrive. C’est même très souvent, surtout l’été où elle est toujours vêtue légèrement et bien sur à la plage comme vous dites, surtout qu’elle n’est pas pudique et qu’elle ne fait pas spécialement attention quand elle se baisse ou se lève ou s’allonge en écartant les cuisses. Donc, oui, elle se fait mater.
- Et alors, que se passe-t-il dans cette poitrine ? Ou dans cette tête ?
- Ben justement, c’est ça le souci. Dans mon cœur ça fait boum et je fusillerais bien tout ceux qui regardent et dans ma tête je leur dis allez, venez la fourrer cette salope, elle n’attend que ça.
- Je vois. Alors on a un petit dilemme. Vous voulez encore réfléchir quelques jours ? On a le temps vous savez.
- Non, non, je suis venu pour ça, pour me décider justement. J’avais besoin de vos explications pour me déterminer. Il faut que je me décide maintenant.
- Comme vous voulez mais vous remarquerez que je ne vous force en rien.
- Oui, je sais, merci. Mais je voudrais savoir une dernière chose. Si j’accepte, quelle sera la finalité ?
- Mais ça c’est à vous de le déterminer dans un premier temps et ensuite ce sera votre femme, selon ses aptitudes et ses envies de dire jusqu’où elle veut et peut aller. Tout sera fait dans le respect de l’intégrité de votre épouse et de sa volonté. Rien ne lui sera imposé qu’elle ne veut pas faire. Vous savez ou plutôt vous ne le savez pas encore, mais j’ai déjà une bonne expérience du dressage de soumises.
- Oui je m’en doutais quand même un peu.
- Quels sont vos désirs à vous, perso, que voulez-vous que votre femme fasse ? Jusqu’où êtes-vous prêt à la voir aller ?
- J’avoue que je ne le sais pas avec précision. Dans mes fantasmes elle se fait prendre pas tous les trous en même temps. Elle se retrouve sur un parking de routiers la nuit et suce tout ce qui passe à sa portée. Un arabe l’entraîne dans une cave de la cité voisine et appelle ses potes. Son patron lui fait faire des trucs avec des clients pour gagner un contrat, etc…
- Ah oui, quand même ! C’est bien crade. Vous êtes un vrai pervers vous ! Mais je pense que nous n’irons pas si loin au début en tous les cas. Nous verrons si elle en redemande et dans ce cas on avisera. J’ai déjà eu une soumise insatiable que je devais amener régulièrement sur un chantier de travaux public plein d’ouvriers blacks et arabes.
- Je vous propose un truc.
- Oui, quoi ?
- Je suis d’accord pour qu’on commence son éducation. Mais une fois que je l’aurai vu avec vous, je prendrais ma décision définitive.
- Hop, hop, hop ! Ce n’est pas comme ça que cela fonctionne mon cher Laurent. Faire de votre femme une chienne soumise ce n’est pas rien. Vous allez ou pas bouleverser sa vie et sans doute la vôtre. Vous devez absolument être sur de votre choix. Si vous avez le moindre doute sur quoi que ce soit, ne le faites pas. Mais si c’est vraiment ce que vous voulez pour votre femme et pour vous, je vous demande un engagement total. C’est moi qui vous dirait si je continue ou pas selon les évènements. Certes ce ne sera qu’une partie de votre vie. Vous continuerez vos activités professionnelles comme avant, car je vous conseille bien sur de ne jamais mélanger les deux. Mais votre vie sexuelle sera complètement bouleversée, il faut en être conscient.
- Oui, je sais tout ça. J’y avais déjà songé. Bon, c’est d’accord, je suis décidé, on commence.
- Ok, ok, alors attendez une seconde, voilà, vous allez me signer ça. Surtout lisez-le bien, c’est très important et ça conditionne la suite des évènements.

C’était un contrat. Un vrai contrat. Un contrat par lequel je léguais tous mes droits sur la personne de Margot, ma femme à Monsieur Bertrand Hautecombe de Villedieu. Il se portait garant de sa santé physique et morale en échange de quoi il s’engageait à transformer mon épouse en véritable chienne soumise obéissante à la moindre sollicitation de son nouveau maître. J’avais moi l’autorisation d’être présent lors des séances de dressage, ou durant les soirées où le maître et sa soumise étaient invités ou lorsque lui-même organisait une petite fête en sa demeure. Il était prévu que je puisse aussi participer et profiter de ma femme lors de ces dites soirées comme n’importe quel invité. Il était également convenu qu’il pouvait l’emmener où bon lui semblait sans mon accord si cela était nécessaire à son évolution. Un second contrat serait signé par Margot le moment venu.
Je pris donc soin de lire attentivement toutes les rubriques du contrat et signais en bas de page.
- Voilà, c’est fait, elle est à vous. Faites-en une belle chienne si vous pouvez.
- Non, Laurent, elle est toujours à vous, soyez-en sur. Je ne suis qu’un intermédiaire entre elle et votre fantasme. Imaginez que ayez conçu une maison. Il vous faut un maçon car ce n’est pas votre métier pour réaliser ce que vous avez mis sur le papier. Et bien je serai votre maçon, voilà tout.
- Oui je comprends. Excusez-moi, je suis vraiment novice ça se voit. Mais maintenant j’ai hâte que cela commence. Je me sens libéré d’un poids, c’est curieux comme sensation.
- Et bien je vais répondre à vos souhaits jeune homme, ce n’était pas prévu pour ça, mais samedi prochain je reçois quelques amis, vous êtes donc cordialement invités. Mais pour plus de vraisemblance, je vais vous adresser un carton d’invitation, ça fera plus officiel si je puis dire et ainsi vous n’aurez pas à mentir à Margot.

J’ai quitté « BHV ». Il se recommandait une autre bière. En retournant au parking où j’avais laissé ma voiture, j’ai dû croiser au moins cinquante personnes, mais je n’ai rien vu. J’avais la tête dans les étoiles. Des étoiles filantes même, car tout s’entrechoquait dans mon crane. Je voyais le cul de Margot, des bites , sa chatte, des godes énormes, d’autres chattes qu’elle bouffait avec ardeur. C’est quand je me suis pris le poteau dans le visage que je suis revenu sur terre.
KneelDown, zztop, Noste a liké
#99251
Tout simplement merveilleux et agréable à lire car il y a du suspense, de l'action et du sentiment.
On se sent à la place du mari, en tout moment, et l'excitation va crescendo, on en profite bien.
Merci pour ces bons moments et vivement la suite.
#99462
Ah, ben voilà!! Maintenant je sais qu'il y a des amateurs. J'ai vu qu'il y avait des lecteurs mais j'ignorais si ma prose était appréciée? Merci donc à ceux qui prennent le temps de mettre un petit mot. Voici donc le 3ème épisode.
Quand Margot devient chienne.
Le début.

La propriété de « BHV » n’est pas mal non plus. Le parc n’est peut-être pas aussi grand que chez les « Mouton-Lagarigues » mais tout de même, c’est assez impressionnant. Déjà la maison, c’est plus près du château que de la chaumière. Dans un angle, il y a une grande tour dont le haut est crénelé. Le reste de la bâtisse est imposant sans être énorme. Au rez de chaussée, de grandes baies éclairent une salle à manger immense et un salon tout aussi grand, tous deux donnant sur la terrasse côté parc. L’autre côté étant l’entrée, avec vestibule, vestiaire et salle d’eau.
De la terrasse, on surplombe légèrement une piscine digne des jeux olympiques où déjà, barbotent quelques invités. Plus loin sur la gauche un petit étang se dissimule derrière les ajoncs et les roseaux, et on devine plus qu’on ne voit sa surface argentée sous les rayons du soleil qu’une cavalcade d’oiseaux anime de ses cris et de ses plongeons incessants.
Tout le reste n’est que pelouse, là aussi tondue de frais, à l’exception d’un ilot de verdure luxuriante rappelant la forêt tropicale. D’ailleurs pas très loin de cette jungle reconstituée, une petite annexe ouvre grand ses portes, offrant aux convives un buffet « louisquatorzesque » ! Je veux juste dire que c’est énorme.
Nous venions d’arriver, Margot et moi. Un larbin d’un autre siècle nous avait accueillit et débarrassé du peu de vêtements qui encombraient nos bras. Nous étions tous les deux debout sur la terrasse à contempler tout ce que je viens de décrire plus haut. Nous tentions de voir si parmi les invités certains étaient déjà à l’autre garden partie. C’était le cas. Nos amis n’étaient pas là mais d’autres dont nous avions fait la connaissance nous saluaient du bord de la piscine ou des transats où ils profitaient du soleil.
Toute la semaine passée, depuis mon rendez-vous avec « BHV », j’avais échafaudé toutes les hypothèses. Comment allait-il s’y prendre ? Qu’allait-il lui faire pour l’obliger à lui obéir ? Il allait la jeter au milieu d’une troupe de mâles en rut ? Lui faire le coup du métro à sa sauce pour qu’elle soit coincée en flagrant délit ? La violer et prendre des photos pour la faire chanter ? J’avais tout retourné dans ma tête si bien que c’était un bordel pas possible sous mon crane en ébullition. J’avais finalement décidé, mais ce n’était qu’hier soir, que j’allais suivre le cours des évènements et réagir en fonction de ceux-ci. En même temps, que pouvais-je bien faire d’autre ? Maintenant que les dés étaient jetés, à part tout avouer à Margot je ne voyais rien d’autre à faire.
Je n’en fis rien bien entendu et j’en étais là de mes réflexions lorsque « BHV » vint vers nous les bras ouverts.
- Ma chère Margot, Laurent mon ami, quelle joie de vous recevoir.
Ce faisant, il embrassa Margot sur les joues, me serra chaleureusement la main et nous fit signe de descendre rejoindre les autres sur la pelouse. Margot ouvrait la marche dans sa « toute » petite robe à bretelles qui ne cachait pas grand chose de sa poitrine. D’ailleurs on pouvait aisément penser que cette dernière tenait grâce à la pointe de ses seins. De plus, selon l’orientation du soleil on devinait qu’elle portait un micro string dessous. Lorsqu’à mon tour je m’engageais dans la petite descente, « BHV » profita de l’occasion pour me glisser un mot.
- Je vous en prie mon cher Laurent, profitez bien de votre journée. Tout ici est à votre disposition, faîtes comme chez vous. La seule chose que je vous demande, tout en restant naturel, ne vous occupez plus de Margot. Autant que faire se peut, restez à distance, tachez de vous occuper ailleurs. Mais vous pouvez regarder quand même, cela va sans dire. Bonne journée mon cher.
Bon, ben voilà me dis-je, c’est parti. C’était d’ailleurs tellement parti que Ma chère femme ne m’avait même pas attendu et était déjà assise au bord de la piscine, les pieds dans l’eau, à discuter avec les trois hommes qui l’entouraient. Deux étaient assis de part et d’autre de mon épouse et le troisième était tout bêtement dans l’eau devant elle. Et vu sa position je me demandais même quelle vue il pouvait bien avoir à ce moment. Mais bon, faisons comme si je ne voyais rien, c’est mieux sinon je vais me faire des nœuds au cerveau. Je me suis donc approché de l’annexe afin d’y quérir une boissons fraiche. En chemin je rencontrais quelques connaissances de fraiches dates puisque de la dernière garden partie. J’engageais la conversation sans plus me soucier de Margot qui sans le savoir s’engageait elle sur un tout autre chemin.
Tout en devisant avec mes nouveaux amis, j’observais quand même du coin de l’œil les allers et venues du côté de ma femme. Eh oui, on ne se refait pas en si peu de temps. Et donc, outre les trois cocos toujours présents, deux femmes dont une dans l’eau avaient rejoint le groupe. Tous semblaient discuter avec Margot. Ils donnaient l’impression qu’on essayait de lui expliquer quelque chose. Sans être houleuse, la conversation paraissait animée. De mon côté j’entendais mes interlocuteurs comme à travers un filtre de coton. J’essayais de comprendre ce qui se passait au bord de la piscine. C’est alors que j’ai entendu distinctement un grand « AH » !!! de tous les protagonistes entourant ma femme.
Dans l’instant qui suivit, Margot se leva, fit passer sa minuscule robe par dessus sa tête et s’apprêtait à plonger lorsqu’elle se ravisa, baissa son string, le jeta derrière elle et disparu dans l’eau.
Je crois que je n’ai pas été le seul à m ‘en apercevoir car beaucoup des invités ce sont comme par magie dirigés vers le bassin aquatique. Margot nageait à poil sans complexe, rejoint par quelques mâles sans doute excités et voulant peut-être cacher un début d’érection, ainsi que par d’autres femmes encouragées par la désinvolture de ma chère et tendre. Néanmoins, à ce que j’ai pu voir, aucune n’était complètement nue.
Au début je n’avais pas fait attention à lui, mais lorsque Margot sortit de l’eau en empruntant l’échelle dans un angle, c’est « BHV » qui l’attendait avec une serviette qu’il tendait devant elle.
Elle le remercia d’un large sourire tout en secouant sa chevelure telle une chienne s’ébrouant au sortir du marais et se laissa enrouler dans ladite serviette. Chacun retournait à ses occupations alors que « BHV » essuyait négligemment ma femme qui se laissait d’ailleurs faire.
Elle se fit un paréo de la serviette, garda ses seins à l’air et ne chercha ni sa robe ni son string qui visiblement lui semblaient inutiles. « BHV » l’entraîna ensuite vers l’annexe où je n’étais plus afin de lui offrir un rafraîchissement. Le contact étant établi, je décidais de m’efforcer à ne plus la surveiller du tout.
Oui mais bon, zut, ce n’est pas évident. D’abord c’est ma femme et comme tous les hommes une fois marié on croit que c’est notre propriété. Et puis là, quand même, c’est important. Je voudrais bien voir comment il va s’y prendre. Je suis sans doute comme beaucoup un peu voyeur, alors y-a pas de mal à jeter un œil, hein ? Mais faut être discret. Avoir l’air de rien. Surtout que « BHV » me l’a bien dit, je ne dois rien faire et laisser ma femme se débrouiller seule. Bon, je jette juste un œil. Que font-il ? Je ne les vois plus ! Voilà que je panique. Merde ! Où sont-il ?
Ah, ouf les voilà. Je n’avais pas vu ce banc de pierre à côté de la jungle tout à l’heure. Ils sont gentiment assis tous les deux. Elle, les nibards à l’air, comme si de rien n’était. Elle est assise normalement alors que « BHV » est à cheval sur le banc, tourné vers elle et semble lui expliquer quelque chose. Elle a l’air de comprendre puisqu’elle fait des petits signes de tête. Apparemment elle à l’air d’accord avec ce qui se dit. Notre hôte lui prend la main qu’elle avait posée sur sa cuisse gauche et la fait se lever. Qu’est-ce qu’il mijote ? Elle est debout devant lui, sans bouger et lui la regarde sous toute les coutures. Il lui fait signe et elle se retourne, puis reste de dos. Là, pareil, il l’observe. Sans doute lui a-t-il dit encore un mot car elle se retourne encore mais cette fois-ci, elle continue à tourner sur elle-même, puis lève les bras et enfin retire son paréo improvisé qu’elle tend à son mentor. Elle s’arrête de tourner, pose un pied sur le bord du banc. J’imagine bien la vue qu’il doit avoir à ce moment. Finalement elle se rassoit complètement à poil. Je les vois discuter encore un peu puis « BHV » lui prend un sein à pleine main. Il semble le soupeser ou en évaluer la tenue et elle, elle ne se défend pas. Elle ne proteste pas, ne dit rien, le laisse faire, le regarde et écoute ou plutôt boit ses paroles. Je n’en reviens pas. Je l’ai déjà dit elle n’est pas très prude mais jamais elle n’a laissé un autre que moi lui tripoter les nichons. Mais qu’est-ce qu’il fabrique ? Je ne comprends rien du tout à sa manœuvre. Qu’a-t-il bien pu lui raconter pour qu’elle se laisse peloter ainsi. C’est vraiment inouï. Je sais que c’est ce que je voulais, mais quand même, si vite, ça me la coupe.
Je me calme un peu en me disant que finalement notre projet prenait une bonne direction. Donc je ne vais quand même pas m’en plaindre. C’est bien ce que tu voulais, alors ? Ben oui c’est ce que je voulais, mais merde, là, ça arrive vraiment, ce n’est plus dans ma tête seulement. Oui, mais tu fais confiance à « BHV » tu te souviens qu’il t’a dis avoir de l’expérience dans ce domaine, non ? Oui, je sais. J’ai confiance. Je sais, en tous cas c’est ce qu’il dit, qu’il en a dressé d’autres et peut-être des plus rétives. Mais la, c’est ma femme, ma petite Margot, il va avoir ses gros nibards, sa chatte lisse comme un œuf, ses fesses fermes, voir même sa petite rondelle plissée pour lui tout seul, sans moi.
Bon, allez, ça suffit maintenant ! Reprends toi. Tu l’as voulu, tu l’as eu. Tu avais surement inconsciemment deviné les aptitudes cachées de ta petite chérie et tu vas simplement l’aider à les révéler, c’est tout. Elle va même t’en remercier après, tu verras.
Oui, c’est ça, tout à fait, c’est ça. Voilà, tout va bien, je suis calme. Bon mais où sont-ils maintenant ?
Perdu dans les pérégrinations de mon cerveau jaloux, je ne les ai même pas vu se lever et quitter le banc. Je n’ai pas le temps d’y réfléchir d’avantage que je suis happé par un groupe d’invités qui m’entraîne vers le buffet.
KneelDown, zztop a liké
#100895
Voici l'épisode 4 et un grand merci à ceux qui me laisse un petit mot d'encouragement.

Quand Margot devient chienne.
Le stratagème.

Lorsque nous avons repris le chemin du retour en fin d’après-midi, je trouvais Margot bien songeuse. Je sais qu’il ne s’était rien passé entre elle et « BHV » puisqu’ils étaient restés en permanence parmi les invités. Allant d’un groupe à l’autre. Notre hôte présentait ma femme à ceux qui ne la connaissaient pas déjà. J’ignore d’ailleurs ce qu’il en disait, s’il parlait aussi de moi ou pas. Mais en tous cas, tout le monde semblait ravi d’être en leur compagnie. Le reste de l’après-midi s’était fort bien déroulé, quelques jeux avaient été organisés sur la pelouse ou dans la piscine où, bien entendu, ma chère femme avait encore fait sensation en y plongeant nue. Pour autant je n’ai vu personne avoir de gestes déplacés envers elle.
Lorsque nous avons pris congé, notre hôte nous a remercié de notre présence et souhaité nous revoir alors que nous le félicitions pour sa magnifique demeure. A peine eut-il un regard appuyé pour Margot lorsqu’il se pencha pour l’embrasser sur les joues. Il me serra la main et me gratifia d’un coup d’œil discret.
Maintenant que nous étions en voiture Margot était silencieuse, le regard dans le vague. Elle répondait évasivement à mes questions sur notre ajournée à cette garden partie. Je n’insistais pas. Il me fallait attendre qu’elle se décide à me parler d’elle-même. Surtout ne pas la brusquer. Faire comme si de rien n’était. Une maladresse de ma part et elle pouvait deviner ma connivence avec « BHV ». Je ne disais à mon tour plus rien.
Le soir, après nous être douchés nous avons pris un léger repas en regardant les infos à la télé. Je suis ensuite aller me coincer dans mon fauteuil favori avec un bouquin. Du coin de l’œil je voyais bien que Margot était nerveuse. Elle allait et venait. Elle attrapait un magazine et le reposait une minute plus tard. Elle s’asseillait dans le canapé et se relevait l’instant suivant. Elle filait à la cuisine, j’entendais alors qu’elle se servait un verre d’eau et revenait dans le salon.
Je me décidais donc à l’aider un peu.
- Dis-moi mon amour, as-tu l’intention de courir le marathon dans la maison ? Ou as-tu quelques démangeaisons qui t’empêchent de rester en place ?
- Heuuu ….. Je …. Non, ce n’est pas ça.
- Ah bon, d’accord, je me demandais juste.
- Laurent. Mon chéri. Je …
- Oui mon amour, quoi ?
- Tu ne vas pas te fâcher hein ?
- Me fâcher ? Pourquoi devrais-je me fâcher ?
- Non ce n’est pas ça. C’est que je … Oh zut ce n’est pas facile.
- Mais qu’est-ce qui n’est pas facile ? Bon, je vois bien que tu as quelque chose à me dire. Alors vas-y, dis-moi.
- Oui mais justement. Je ne veux pas que tu te fâches pour ce que je vais te dire. Promets-moi s’il te plaît.
- Mais enfin je ne me suis jamais fâché contre toi mon amour, pourquoi voudrais-tu que cela soit différent ?
- Promets !
- Oh mais tu as l’air vraiment très sérieuse. C’est si important ?
- Promets !
- Bon, bon, je promets, vas-y.
- Et tu ne m’interromps pas !
- Non, non promis.
- Alors voilà. A la garden partie, tu as vu que j’ai plongé toute nue dans la piscine. Sur le coup je n’y ai pas vraiment réfléchi. On a tellement l’habitude de se baigner nu tous les deux que pour moi c’était naturel. Personne d’ailleurs n’a été choqué à priori et tout c’est bien passé. Aucun mauvais geste ni réflexion, tout au plus quelques regards masculins appuyés sur mes rondeurs. Tu sais aussi que ça ne me gêne pas vraiment dès lors que ça reste des regards. Le problème, enfin ce n’est pas vraiment un problème. Mais je ne sais pas trop comment dire. Toujours est-il que « BHV » m’a aidée lorsque je suis sortie de l’eau et m’a entrainée à l’écart.
- Ah bon ?
- Oui, tu ne nous as pas vu sans doute, mais nous étions sur le banc de pierre un peu en arrière du bosquet exotique.
- Ah ok. Je n’avais pas fait attention qu’il y avait un banc par là.
- Si, si. Bref, il a dit qu’il m’avait vu plonger et m’avait trouvée très jolie.
- Ben ça je ne suis pas surpris, tout le monde te trouve jolie.
- Oui mais ce n’est pas tout.
- Ah bon ? Tu m’intrigues. Qu’y-a-t-il d’autre ?
- Et bien il m’a dit qu’il était artiste. Qu’il faisait de la peinture, de la sculpture, de la photo et qu’il me voulait comme modèle.
- …
- Tu ne dis rien ?
- Ben non. Que veux-tu que je dise ?
- Si je dis oui, il faudra surement que je sois toute nue, toute seule dans son atelier avec seulement lui. Cela ne te fait rien ? Tu es pourtant jaloux non ?
Je comprenais surtout que « BHV » avait trouvé le bon truc pour aborder Margot. Cela flattait son égo d’une part car elle se sait très belle et même si elle n’est pas du tout prétentieuse, c’est toujours plaisant de s’entendre dire qu’on est jolie. Mais surtout, cela lui permettait sous couvert artistique, de la faire mettre à poil comme il voulait. Et bien entendu une fois la porte ouverte, qui sait jusqu’où ça peut aller.
Je décidais donc de donner un petit coup de pouce au stratagème de « BHV ».
- Je suis jaloux, je suis jaloux, c’est vite dit quand même. Tu remarqueras que j’ai beaucoup évolué sur ce sujet, reconnais-le. Cela dit, je crois que « BHV » est quelqu’un de sérieux. Tous les invités avec lesquels j’ai discuté m’ont tous dit du bien de lui. Je n’ai entendu aucun sous-entendu plus ou moins scabreux. Mais toi, qu’en penses-tu ? Quelle impression t’a-t-il fait ?
- Ben, plutôt bonne je dois dire. Lorsque nous étions sur le banc il a voulu me voir. Je veux dire voir mon corps. Il m’a fait lever, tourner sur moi-même, j’ai même posé un pied sur le banc et il a regardé ma chatte. Il ne m’a pas touchée je te jure.
- Mais je te crois ma chérie. Que penses-tu de tout ça alors.
- Honnêtement je me suis fait peur après coup.
- Comment ça ?
- Et bien, nous sommes naturistes et tu sais que ça ne me gêne pas d’être regardée. Mais là, je crois bien que j’ai eu plaisir à me faire scruter pas cet homme. Il a un tel charisme que j’aurai sans doute pris n’importe quelle position qu’il m’aurait demandé. C’est ça qui me fait peur chéri.
- Je comprends. C’est pour ça que tu craignais que je me fâche ? Rassures-toi. Je ne me fâche pas et je suis heureux que tu m’en parles. Cela dit, la réponse t’appartient. Personnellement je fais confiance à « BHV ». Je ne te cache pas non plus que je suis plutôt fier de la proposition qu’il te fait. Plus exactement je suis fier de toi. Un artiste qui remarque ta beauté c’est plutôt flatteur. Je sais bien que tout le monde se retourne sur toi, même des femmes parfois mais je ne suis pas dupe, je sais bien pourquoi et ce qu’ils ont en tête. Mais là, c’est différent. C’est vraiment pour ta plastique. Il te voit comme une toile, une sculpture, c’est artistique. Mais c’est toi qui voit. Je ne veux pas t’influencer. Ce que tu décideras, je l’appuierai. Je t’aime mon amour. Je veux que tu fasses ce dont tu as envie. J’ajouterai que j’ai entièrement confiance en toi.
- Ouf ! Je suis contente de t’avoir parlé. J’avais une grosse boule sur l’estomac. Je ne savais pas trop comment aborder le sujet et j’avais un peu peur de ta réaction. Je sais bien que tu n’es plus un gros tigre jaloux mon chéri, mais là, me savoir nue et seule avec un autre homme, je me demandais. Cela dit je ne lui ai pas dit oui encore. J’ai dit que je voulais t’en parler d’abord et selon ma décision, avoir ton accord.
Ce soir là, nous avons baisé dans le canapé. Le lit était trop loin. Nous étions excités sans doute pour des raisons différentes d’ailleurs, encore que…….
Noste, KneelDown, zztop a liké
#102231
Je vois que c'est toujours pareil. Beaucoup de lecteurs mais personnes ne pense à celui qui écrit et à qui les encouragements font plaisir. Ce n'est pourtant pas très compliqué de mettre un petit mot pour dire ce qu'on pense. Même si c'est une critique, c'est parfois enrichissant et ça permet de s'améliorer.
Enfin, je vous poste quand même l'épisode 5.

Quand Margot devient chienne.
L’atelier.

Le soleil était déjà haut dans le ciel. Je me prélassais, allongé dans l’herbe haute qui chatouillait mes pieds nus. Tout à coup, une vache se mit à me lécher le visage. Sa langue me passait sur les joues, dans les oreilles, sur les yeux. Je n’arrivais pas à me relever. Je faisais un effort quand elle me marcha sur l’entre-jambe ! Et ne voilà-t-il pas qu’elle m’appelait !????
- Chéri ! Chéri ! Réveilles-toi !
Ma femme me couvrait de bisous et avait commencé à branler doucement mon érection matinale. Ouf, j’aime mieux ça. Mais nom d’une pipe comment ais-je pu faire un pareil rêve ?! En tous cas je ne décourageais pas ma douce épouse et bien que pas tout à fait au top de ma forme, je profitais de sa position pour lui enfoncer deux doigts dans l’abricot. Abricot qui soit dit en passant était bien mûr puisqu’il coulait déjà.
Tout à mes caresses et à celles que me prodiguait Margot, je me mis néanmoins à reprendre mes esprits et à réfléchir. Ce n’est pas que cela ne nous était jamais arrivé, mais l’amour de bon matin n’est pas une de nos pratiques les plus régulières. Certes nous étions dimanche matin et sans contrainte, mais compte tenu des derniers événements, l’idée que ma petite femme avait quelque chose à me demander ou à se faire pardonner ou peut-être tout simplement qu’elle ne m’avait pas tout dit hier soir commençait à faire son chemin dans les méandres de mes neurones embrumés.
Je lâchais prise quand même lorsqu’elle engloutit entièrement mon sexe au fond de sa gorge. Elle faillit s’étouffer et recracha l’objet de sa convoitise afin de reprendre son souffle. Elle alterna ensuite entre les gorges profondes et la branlette avec juste mon gland dans la bouche. Elle me pétrissait les bourses et s’égarait parfois d’un doigt sur ma rosette ce qui avait le don de faire grossir ma bite d’avantage. A ce rythme là, la chose fut entendue rapidement et je me déversais d’abondance sur sa langue tendue.
Nous avons prie notre petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée sans qu’elle n’aborde le sujet qui, j’en étais sur, occupait ses pensées immédiates. Je ne faisais rien pour l’aider. J’ai même parlé de mon boulot et demandé ce qu’elle voulait faire de notre après-midi. Ensuite direction salle de bain où une bonne douche nous remis d’aplomb tous les deux.
Nous avions décidé d’aller faire un tour au marché. C’est donc équipé d’un panier en osier chacun que nous quittions la maison. Nous pensions trouver une idée pour le déjeuner, après quoi nous irions faire un tour dans le grand parc qui jouxte notre petite bourgade. Une petite balade en barque sur le lac, aller et retour en bicyclette et soirée tranquille à la maison.
Ce n’est finalement que le soir qu’elle se décida à me parler.
- Tu sais chéri, j’ai réfléchi à la proposition de Bertrand.
Tiens, elle l’appelle déjà Bertrand. D’accord c’est son prénom mais jusqu’alors c’était « BHV », même pour elle. Curieux. Mais bon, attendons la suite.
- Oui mon amour, et alors, le fruit de cette intense réflexion ?
- Laurent ! Ne te moque pas de moi s’il te plaît. Tout ça est tellement nouveau et inattendu pour moi. Tu ne fais vraiment rien pour m’aider. On dirait que tu le fais exprès.
- Moi ?! Alors là, non, pas du tout.
- Oui c’est ça, quelle mauvaise foi ! Mais bon, passons. Je disais donc que j’ai bien réfléchi et je vais accepter sa proposition.
- OK.
- Comment ça OK ?! C’est tout ce que tu trouves à dire ? Je viens en gros de te dire que je vais aller rejoindre Bertrand, seule, dans son atelier, me foutre à poil devant lui et toi tu me dis OK !!!
- Calme-toi mon amour. Tu ne m’as pas vraiment laissé le temps de développer non plus. Je dis simplement OK parce que hier je t’ai dis que ta décision serait la mienne. Tu dis avoir réfléchi et j’en suis convaincu. Tu décides d’accepter la proposition de « BHV ». Je prends donc acte de ta décision et OK, ça veut dire que je suis avec toi et que je te soutiens. Voilà !
- Bon, d’accord, ça va alors. Cela ne te dérange donc en aucune manière ? Tu ne vois rien à m’opposer ? Tu n’as aucune mise en garde à me faire ?
- Bébé, arrêtes ! Tu es une grande fille. Tu n’as pas peur de ton corps. Je te fais confiance, point !

- Quelle joie de vous accueillir ma chère Margot. Vous êtes radieuse comme toujours. Vous savez que je ne vis plus depuis votre coup de téléphone où vous me « donniez » votre « acceptation » (il choisissait ses mots visiblement). Depuis j’ai pensé à beaucoup de chose vous concernant. Vous verrez, j’ai plein de « projets pour vous » (on en remet une couche). Mais je parle, je parle, avancez-vous, venez que je vous fasse visiter mon « antre » (et rebelote).

La visite fut relativement rapide et elle s’acheva dans l’atelier de l’artiste. L’atelier se trouvait tout en haut de la tour. Plus exactement au dernier étage. Le haut étant une terrasse. Il lui fit faire le tour, la pièce était vaste. C’était un vrai bord…. Pardon, un vrai capharnaüm. Des toiles achevées, d’autres non. Des sculptures sur leur socle. Certaines, la aussi en voix d’achèvement. Sur tous les murs, là où il n’y avait pas de fenêtre ou de porte, des photos, d’autres toiles mais encadrées couvraient les surfaces.
Dans un angle, une petite salle d’eau que protégeaient des parois en verre opaque. Un peu à côté, un paravent devait permettre de se déshabiller pensa-t-elle.
Et pour finir, des canapés, des fauteuils, certains comme celui du film Emmanuelle, une estrade, des projecteurs sur pied, une grande table jonchée de pinceaux, de tubes de couleur, de papiers, de photos, d’appareils de prises de vue divers et variés et disséminé ça et là, plusieurs chevalets de tailles différentes.
- Voici mon antre chère Margot, qu’en pensez-vous ?
- Et bien, c’est impressionnant. Tout ceci est nouveau pour moi, j’avoue que je me sens toute petite dans cette grande pièce.
- Ne vous inquiétez pas petite Margot, je serai votre « guide ». Voulez-vous que nous commencions dès maintenant ou souhaitez-vous réfléchir encore ?
- Non, non, pas de problème, je suis décidée. On peut commencer. Dois-je me déshabiller ?
- Ce n’est pas nécessaire. Du moins pas encore. Pas cette fois-ci. Nous allons déjà commencer par vous faire prendre la pose. Je veux voir si je ne me suis pas trompé. Saurez-vous tenir la pose autant que je le souhaiterais. Car je vous veux « obéissante » ! La peinture comme la photo et d’autres choses demande de la patience, de la docilité. Avez-vous ces qualités Margot ?
- Euh… Je ne sais pas, je crois, oui. Je vous écouterai n’ayez crainte, c’est vous le maître. Je ferai tout mon possible pour tenir la pose.
La pauvre, elle ne pensait pas si bien dire. Aussi « BHV » ne la découragea pas et lui demanda de bien vouloir grimper sur l’estrade. Il l’accompagna et lui fit prendre la pose qu’il souhaitait. Pour qu’elle soit tout à fait dans la position requise, il lui positionna bras et jambes lui même. Ces gestes étaient emprunts de douceur. Mine de rien il lui prenait la taille, tenait ses fesses pour la faire tourner, lui relevait le menton, etc… Bref comme l’artiste qui prépare son sujet.
- Voilà, ne bougez plus. Regardez bien droit devant vous. Il doit bien y avoir une photo ou un tableau dans votre ligne de mire, alors concentrez-vous dessus cela vous aidera. Vous me direz quand cette position deviendra difficile.
« BHV » attrapa un chevalet, y posa une toile vierge et commença son œuvre. Margot ne bougeait pas. Elle était très concentrée. Pourtant il lui semblait bien qu’au bout d’un demi heure, elle se raidissait un peu. Mais bon, elle ne se plaignait pas alors il poursuivit.
C’est vingt minutes plus tard qu’elle donna des signes de fatigue.
- Bravo Margot ! Vous avez tenu cinquante minutes sans bouger. Pour une première c’est excellent. Qu’avez-vous ressenti ?
- Honnêtement, ce n’était pas si facile. Je vous ai obéi, j’ai fixé un point sur une des toiles et j’ai essayé de penser à quelque chose d’agréable. Je dois avouer que sur la fin j’avais du mal à penser à quoi que ce soit. Je pense que demain je vais avoir des courbatures.
- Oui, c’est possible mais vous verrez, certaines positions sont bien plus agréables (un peu d’ambigüité ne peut pas nuire). Si vous en êtes d’accord j’aimerai que vous preniez une autre pose et nous en aurons fini pour aujourd’hui.
- Oui, bien sur si vous voulez. Que souhaitez-vous que je fasse ?
- Vous allez vous assoir dans ce fauteuil. Vous posez une jambe sur l’accoudoir. La jambe droite s’il vous plaît. Vous déboutonnez votre chemisier afin que je vois la naissance de vos seins. Voilà, oui comme ça. Votre bras gauche pend à côté du fauteuil et votre main droite est posée sur votre genou droit. Oui, très bien. Maintenant regardez sur la droite et ne bougez plus.
Ainsi positionnée, la robe de Margot était bien remontée. Ses cuisses étaient largement découvertes, surtout la droite et on apercevait un bout de string blanc. « BHV » reprit son chevalet avec la même toile où, Margot aurait été surprise de n’y rien voir du tout si elle y avait eu accès. L’artiste continua son manège encore un bon moment. Se déplaça afin de bouger un bras, une jambe, d’enlever un bouton supplémentaire au chemisier et d’en écarter les pans et même de replacer ses seins pour en accroître le galbe disait-il. Il mit enfin un grand linge sur sa toile et annonça que la séance était finie.
- Voilà pour aujourd’hui. Je suis content de vous. Vous avez tenu bon. Pour une première séance de pose c’est très bien. Vous êtes docile, je pense qu’on pourra faire de belle chose ensemble. Comment vous sentez-vous ?
- Bien. Je vais bien. La dernière pose était plus commode. Je crois que j’aime bien ça finalement. Il me tarde de revenir vous voir.
- Formidable ! Demain je ne peux pas mais revenez après-demain d’accord ?
- C’est entendu je serai là.
Noste, KneelDown, zztop a liké
#103010
Comme j'ai bien avancé dans l'écriture de la suite, voici l'épisode 6. Bonne lecture et merci de vos commentaires.

Quand Margot devient chienne.
Retour à l’atelier.

Avant hier au soir, à son retour, je lui ai demandé comment cela c’était passé. J’aurai bien laissé venir, mais Margot aurait sans doute trouvé ça suspect. Elle aurait surement trouvé curieux que je ne lui demande rien et comme elle est quand même loin d’être idiote, sans être inquisiteur, je lui ai tout de même posé quelques questions.
Elle était enchantée de sa visite. « BHV » était un homme absolument charmant. Certes elle avait noté son côté dirigiste, mais elle ne trouvait pas ça désagréable.
- Tu sais, on voit qu’il sait ce qu’il veut. Mais rassures-toi, il est très gentil. Malgré son côté autoritaire il a les gestes doux et attentionnés. Il est rassurant en quelque sorte, voilà, c’est ça le mot.
- Tu m’as l’air subjuguée mon amour !!
- Mais non ! Es-tu bête. Cela n’a rien à voir. C’est juste que ses manières donnent confiance. Je pense que c’est très important quand on demande à quelqu’un de poser nu devant soi.
- Et c’est ce que tu as fait ?
- Non, pas du tout. Il voulait que je reste habillée pour la première séance de pose. Sinon je l’aurais fait tu sais.
- Oui ça je sais. Tu aimes bien l’exhiber ton petit corps hein coquine ?!!
- Oh, Laurent !!! Tu exagères, je ne suis pas comme ça tout de même, hein ? Si ?
- Mais non je plaisante. Mais reconnais que tu ne te caches pas non plus.
- Oui c’est vrai.
Bref, elle m’avait à peu près tout raconté ce que je savais déjà car « BHV » m’avait téléphoné pendant qu’elle faisait le trajet de retour.
Et là, je l’entendais se préparer dans la salle de bain. Elle en sortit vêtue d’un tee-shirt plutôt moulant vert pâle et d’une jupette beige aérienne qui ne lui couvrait pas la moitié des cuisses. On voyait sans peine qu’elle ne portait pas de soutien-gorge eut égard à ses tétons qui semblaient vouloir déchirer le tissu. Quant au bas, certes la jupe n’était pas transparente mais j’imagine qu’il ne fallait pas qu’elle se penche en avant sans plier les genoux. Cela dit, je pense qu’elle avait quand même mis un string. Ce n’était pas dans ses habitudes de se promener le cul à l’air. Du moins pas encore espérais-je….
- Voilà, je suis prête ! Je file. Je ne veux pas faire attendre « BHV ».
Nous avons quitté la maison tous les deux ensemble et chacun dans sa voiture a pris une direction différente. Moi, au boulot et Margot sur les traces de son apprentissage.

- Ah Margot ma chérie, bonjour, excusez-moi je suis au téléphone, vous connaissez le chemin. Allez-y je vous y retrouve. Déshabillez-vous et allongez-vous sur le grand canapé, le rouge. J’arrive de suite.
Bien qu’il ait eu le combiné à la main, nul correspondant ne l’attendait à l’autre bout du fil. Il voulait la faire patienter à poil dans son atelier et l’observer par une autre porte qu’elle n’avait surement pas vu.
Elle s’était éclipsée derrière le paravent et son peu de vêtements pendaient sur la patère. Ensuite elle s’est mise à marcher dans l’atelier, sans pudeur, furetant parmi l’entassement d’objets hétéroclites et de cadres et toiles amassés ça et là. Derrière un grand panneau sur lequel étaient punaisées des photos de femmes nues, elle découvrit un miroir en pied. Comme toute femme qui se respecte, elle en profita pour remodeler sa coiffure, se tourna pour regarder ses fesses, se les prit à pleine main pour se les remonter puis se remit devant la glace. Là, elle agrippa ses seins, les soupesa, les resserra, les remonta puis tira carrément sur les tétons. Elle mit un bras sous sa poitrine et de l’autre main se caressa le ventre en descendant vers son pubis où une fine toison blonde en forme de V indiquait une direction bien tentante. Elle cessa d’un coup se disant que l’artiste n’allait pas tarder et qu’il valait mieux qu’il la trouve comme il l’avait demandé, dans le grand canapé rouge, allongée, à poil.
- Voilà, voilà, je suis à vous. Mille excuses pour ce petit contretemps. J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyée.
- Non, non, pas du tout, j’en ai profité pour regarder un peu.
- Vous avez bien fait. Bon, êtes-vous prête ?
- Oui bien sur, comment dois-je me mettre ?
- Alors, oui, vous allez vous mettre à genoux dos vers moi. Voilà, oui c’est bon. Penchez-vous vers la gauche. Oui, le bras droit posé sur le haut du dossier. OK. Mettez votre joue sur ce bras et la main gauche sur le dossier aussi mais plus loin, le bras presque tendu. Voilà. Tournez votre buste d’avantage vers la gauche que je vois vos seins. Oui comme ça, très bien. Maintenant écartez vos genoux un peu plus. Cambrez-vous juste un peu. OK parfait ne bougez plus.
Ainsi positionnée, « BHV » avait en se décalant légèrement sur sa droite, une vue magnifique sur la chatte de Margot. Comme elle lui tournait le dos, elle ignorait totalement ce qu’il faisait. D’ailleurs il ne faisait rien. Comme l’avant veille, le chevalet et sa toile toujours vierge était devant lui mais il n’y touchait pas.
Par contre il prit quelques photos de tous côtés.
- Je vous prends en photo car si des fois j’ai besoin de retravailler ma toile et que vous n’êtes pas là, au moins j’aurai de la matière. Et puis même, cela vous évitera de reposer pour la même chose. Est-ce que ça va toujours ? Pas de crampe ?
- Non, non, tout va bien, merci.
« BHV » profita qu’il était juste derrière elle pour modifier légèrement la position d’une de ses jambes. Pour ce faire il lui prit la cuisse des deux mains et par conséquent, l’une d’elles se trouvait à l’intérieur et pas loin de sa chatte. Elle ne sembla pas s’en offusquer même s’il nota une brève réaction épidermique, aussi il lui caressa le dessous de la fesse comme pour la remettre en place. Aucune réaction la non plus. Il se remit derrière son chevalet et fit semblant de travailler. Cela dura une bonne heure.
- Voilà, détendez-vous maintenant quelques instants. Marchez un peu cela vous fera du bien.
Disant cela, il retira la toile et la retourna contre un mur afin de la cacher au regard fureteur de Margot.
- Alors ma chère, comment trouvez-vous ces séances de pose pour l’instant ?
- Fort agréable je dois dire. Je vous soupçonne de ne pas m’avoir encore fait prendre des poses difficiles, mais pour l’instant j’aime beaucoup ça je l’avoue.
- Parfait, parfait. Nous allons reprendre si vous le voulez bien. Cette fois-ci vous allez vous mettre sur l’estrade. Vous vous asseyez. Vous remontez vos genoux contre votre poitrine et vous les entourez de vos bras en posant votre menton sur ceux-ci. Voilà, un peu comme si vous rêviez à quelque chose de mélancolique. C’est très bien. Maintenant essayez d’écarter vos pieds mais sans bouger vos genoux. Oui comme ça, encore un peu, voilà, ne bougez plus c’est nickel. Dans cette pose je dois vous avouer que votre sexe est très visible. C’est d’ailleurs l’effet que je voulais obtenir. Est-ce que cela vous gène ?
- Euh… Non, pas vraiment. Je me doutais bien que j’aurai à prendre des poses un peu ambigües et puis vous savez très bien que je ne suis pas très prude.
- Oui en effet je le savais. Vos exploits dans ma piscine ont fait sensation vous savez.
- Ah bon, à ce point ?
- Oh rien de grave, n’ayez crainte, personne n’a été choqué. Ce serait même plutôt le contraire, votre plastique a beaucoup plu. Quelques uns de mes amis m’en ont reparlé et même de mes ami « ies ». Cela vous étonne ?
- Non, pas vraiment. En fait j’ai l’habitude d’être regardée lorsqu’on fait du naturisme avec Laurent. Maintenant ça ne me fait plus rien.
- Bien, je vais mettre une autre toile et auparavant prendre encore quelques photos comme tout à l’heure.
Cette fois-ci la séance de pose dura près de trois quarts d’heure. Mais à l’inverse des autres, il esquissa quelques traits effaçant la virginité de la nouvelle toile.
- Voilà, nous en avons terminé. Mais dites-moi, êtes-vous disponible cet après-midi ?
- Euh, oui, pourquoi ?
- J’aimerai bien vous avoir encore. D’ailleurs, c’est décidé, vous êtes mon invitée nous allons déjeuner au bord de la piscine et on reprend après.
- Ah ! Euh… Oui, bon et bien d’accord j’accepte.
- Parfait. Allons-y, venez dans cette tenue il fait si chaud dehors.
- Dans cette tenue ? Mais je n’ai rien.
- Oui c’est ça, aller, venez !
Noste, zztop a liké
#103794
Pour les accros voici l'épisode 7

Quand Margot devient chienne.
La séance de l’après-midi.

Le déjeuner fut des plus agréable. A peine arrivée au bord de la piscine, Margot ne put résister à l’appel de cette eau, promesse de fraicheur bienfaitrice et plongea instantanément.
En ressortant, comme lors de son premier bain ici même, « BHV » l’attendait, une serviette à la main. Il l’enveloppa et appliqua ses mains un peu partout afin que le tissu éponge absorbe les gouttelettes d’eau restées sur la peau de Margot. Et le « un peu partout » était aussi bien sur son dos que sur ses fesses ou ses cuisses et peut-être bien ailleurs aussi. Cela dit, Margot se laissait faire. Peut-être trouvait-elle cette attitude paternaliste ou alors prenait-elle goût à ces attentions.
Elle se frictionna les cheveux pour en évacuer l’eau restante et jeta la serviette sur la pelouse en se dirigeant vers la table dressée à proximité. Deux couverts étaient déjà sur la table, ça sentait la préméditation mais bon, elle n’en fit pas plus de cas et s’installa sur un fauteuil que lui tendait « BHV ». A peine lui-même assis, le fameux larbin qui nous avait accueillit à notre première visite arriva, portant avec prestance, un plateau de victuailles. Il ne sembla pas porter attention à la nudité de Margot. Il avait dû en voir d’autres.
Les deux convives déjeunèrent de bon appétit en discutant de choses et d’autres. « BHV » revint sur la séance de pose à venir.
- Dites-moi ma chère, voudriez-vous me faire plaisir ?
- Euh… Oui, que voulez-vous dire ?
- Accepteriez-vous des poses, disons, plus osées ?
- Vous voulez dire pornographique ?
- Non, non, pas ça. Quand je dis plus osé, c’est par rapport à ce matin par exemple. Des poses plus….. Comment dire ? Plus sexe quoi.
- Je ne comprends pas trop ce que vous me demandez.
- Je veux dire des poses où vous seriez plus exposée. On verrait tout votre corps, partout. Vos seins, vos fesses, votre sexe, tout quoi.
- Ce n’était pas déjà le cas ce matin ?
- En fait, c’est comme ce matin mais en plus « coquin », vous me comprenez.
- Je crois oui. Les poses ne seront pas seulement académiques mais un peu « suggestives » ?
- Voilà, vous avez tout compris. Êtes-vous d’accord pour me faire ce plaisir ?
- Comment vous refuser ? Bien sur j’accepte.
- Merci ma douce Margot, je sentais bien que nous allions pouvoir faire de belle chose avec vous. Mon flair ne m’a pas trompé. Je dois passer un coup de fil, je vous laisse un moment. Profitez-en pour vous rafraîchir ou vous détendre, à tout de suite.
Et il disparut. Margot était seule. Elle s’étira penchée en arrière sur son fauteuil, ses seins pointaient vers le soleil, les tétons raides. Elle s’en aperçut et se demanda ce qui pouvait bien provoquer cette excitation. A poil, elle l’était très souvent. A la maison en quasi permanence, en vacances ou en week-end dans les camps naturistes, bref dès qu’elle le pouvait. Mais là, quelle sensation curieuse. Était-ce le lieu ? Ben non, elle avait déjà nagé nue dans cette piscine et devant plus de monde qu’aujourd’hui. Était-ce « BHV » ? Bon d’accord elle le trouvait charmant. Son charisme, sa prestance, son autorité naturelle. Elle le trouvait sécurisant comme elle avait dit à Laurent. C’était un bel homme d’âge mûr, mais bon, c’est tout. Alors était-ce la perspective de prendre des poses obscènes ? Car c’était bien ça qu’il voulait le beau « BHV », elle n’était pas dupe. Il voulait qu’elle fasse voir sa chatte pas son sexe, il voulait voir son cul pas ses fesses, il voulait voir ses nibards pas sa poitrine. Et si c’était un gros cochon vicelard ? Peut-être bien qu’il cache son jeu avec adresse. Mais en même temps, n’était-ce pas ça qui l’avait excitée un instant auparavant ? Elle résolut le problème en plongeant dans l’eau fraiche afin d’éteindre le début d’incendie qui lui montait dans le bas ventre.
Comme il ne revenait toujours pas, Margot décida de retourner à l’atelier. Soucieux qu’elle ne puisse voir les toiles qu’il était censée avoir commencée et l’ayant vu partir en direction de l’atelier depuis la fenêtre de son bureau, « BHV » se précipita à sa suite et arriva sur ses talons.
- Ah ! Vous êtes déjà là, parfait nous allons pouvoir commencer si vous le voulez bien.
- Oui bien sur je suis prête, dites-moi ce que vous voulez je le ferai.
- Voilà qui fait plaisir à entendre, je crois que nous sommes bien en phase. Alors pour la première pose, vous allez vous remettre sur l’estrade mais à quatre pattes comme si vous faisiez l’amour en levrette. Aller, j’attends !
Il avait volontairement appliqué ce ton un peu rude afin de voir sa réaction. Elle ne parut pas offusquée mais l’instant d’une seconde son visage s’était légèrement figé. Du moins c’est ce qu’il lui sembla. Pour autant elle n’en dit rien et fila se mettre comme il le désirait. Il se posta exprès derrière elle, donc elle ne pouvait ignorer la vue qu’il avait, et encore une fois, comme le matin, il lui toucha les cuisses afin de les écarter d’avantage. Là, il vit un frisson lui parcourir l’échine. Son duvet blond se hérissa mais de réaction, aucune. Voilà qui le confortait de nouveau dans son sentiment. Cette petite allait faire une belle chienne il en était sur.
Il redescendit de l’estrade et se remit à son chevalet. Il fit quelques esquisses et rapidement laissa tomber le crayon pour attraper son appareil numérique. Il mitrailla Margot dans cette position érotique de tous les côtés. Ses nibards qui ballotaient sous elle furent pris de chaque côté, même par derrière entre ses jambes. Il lui avait demandé d’avoir la tête relevée, donc par devant la vue de ses seins était tout aussi intéressante. Bien entendu sa chatte et sa rondelle n’ont pas été oubliées. Quelques gros plans d’ailleurs iront sans doute rejoindre la collection dont elle pensait qu’il devait avoir cachée quelque part.
Tout d’un coup nos deux amis entendent la porte de l’atelier s’ouvrir et se refermer. Margot se relève, aussitôt reprise par le maître.
- Gardez la pose !
Interloquée mais obéissante, Margot se replace dans la position initiale. Encore un bon point se dit « BHV ». Décidément……
- Ah Karim ! Je t’avais oublié.
- Je me suis trompé, ce n’est pas aujourd’hui ?
- Mais si mon pauvre Karim, mais je dois perdre la tête. J’avais complètement oublié notre séance.
- Vous souhaitez que je reparte, maître ?
- Non, non, puisque tu es là nous allons travailler d’autre sujet avec mademoiselle. Au fait je te présente Margot mon nouveau modèle féminin. Margot, Karim, Karim, Margot. Voilà, les présentations sont faites. Karim va te déshabiller et rejoins nous.
- OK, j’arrive.
- Margot ça ne vous dérange pas de poser avec Karim ? C’est un modèle avec qui je travaille régulièrement.
- Euh, non. C’est vous qui voyez.
- Oui en effet c’est un peu ça.
Bien entendu tout ceci était absolument prémédité. Vu l’évolution rapide des circonstances, « BHV » avait téléphoné à son modèle juste après le repas avec, on l’imagine une idée bien précise derrière la tête.
Karim revint de derrière le paravent. « BHV » lui dit de monter aussi sur l’estrade.
- Bon Karim, tu te positionnes derrière Margot. Tu prends ses hanches en main et tu te mets comme si tu voulais la pénétrer mais avec un écart afin que ton sexe soit visible.
- Ok, comme cela ?
- Oui, parfait ne bougez plus tous les deux.
Margot avait tourné la tête lorsque Karim lui avait saisi les hanches. Il avait les mains douces et ma foi, elle le trouvait plutôt pas mal le bougre. Et puis il faut bien dire qu’elle n’avait pas pu éviter de voir son sexe. Et nom d’une pipe, même au repos, l’engin était assez impressionnant sans être monstrueux. Forcément, elle ne put s’empêcher de l’imaginer en action. Mon dieu se dit-elle, faîtes que je ne mouille pas. Si non, forcément ils vont le voir et qui sait après ce qui peut se passer.
Mais bon tout se passa bien et si Margot mouilla, personne ne le vit ou n’en fit la remarque. Le maître avait fait prendre d’autres poses à nos deux protagonistes. Des poses assez suggestives bien entendu, il fallait bien voir si Margot se rebellerait ou pas. Et il n’en fut rien. Elle se prêta toujours de bonne volonté aux caprices de l’artiste même si parfois, elle avait bien senti la protubérance masculine lui effleurer certaine partie de son corps en fonction des positions.
- Parfait les enfants, on en reste là pour aujourd’hui. A demain tous les deux, aller, filez.

Margot rejoignait son domicile alors que « BHV » envoyait un mail à Laurent avec la plupart des photos qu’il avait prises. On dit bien qu’une photo vaut un long discours, là, Laurent allait être servi se dit-il.

En effet, chaque jour de pose, je recevais des photos. Ces séances comme celle décrite plus haut, durèrent quelques jours, une bonne semaine. Comme l’avait dit « BHV », il ne fallait rien précipiter. Tout arriverait si on y mettait de la patience. Et manifestement notre ami en avait à revendre et il semblait bien savoir ce qu’il faisait. En tous cas je n’ai jamais contesté ses méthodes. De jour en jour, de pose en pose, les positions étaient de plus en plus osées. Karim était systématiquement là, comme par hasard. Tous les meubles de l’atelier ont servi de support. De plus en plus les corps des deux modèles se touchaient, certaines fois on pouvait même penser qu’il lui faisait vraiment du broute minou et je ne parle pas des fois où il lui tenait carrément les nichons, ou lorsqu’elle avait ses jambes autour de son bassin. S’il bandait c’est sur qu’elle devait le sentir lui caresser le trou du cul avec son gland. Mais bon, tout se passait à merveille. Lorsqu’elle rentrait elle avait pris l’habitude de ne pas raconter tout à fait les évènements. Comme j’avais les photos sur mon ordi, je pouvais mesurer ce qu’elle me cachait et du coup mesurer l’évolution de ses mensonges. D’un côté elle faisait des choses un peu osées sans être porno, mais de l’autre elle me les cachait. Cela voulait dire qu’elle y prenait goût mais qu’elle n’osait pas me l’avouer. Intéressant.
Et puis un jour, alors qu’elle sortait nue de derrière le paravent, « BHV » prit un air hésitant, le bougre jouait bien la comédie.
- Margot ma douce amie, je voudrais vous faire voir quelque chose. J’hésite un peu je l’avoue car c’est un peu spécial.
- Vous m’intriguez Maître. (et oui, depuis quelques jours, tout comme Karim, elle l’appelait Maître. Mais « Maître » avec une majuscule. Vous voyez, quand elle le prononçait on entendait la majuscule). De quoi s’agit-il ? Comment ça « spécial » ?
- Margot, j’ai un autre atelier à vous faire visiter, venez.
Noste, zztop a liké
#104891
Bonjour à tous les lecteurs et merci de vos appréciations, ça fait toujours plaisir. Voici donc l'épisode 8

Quand Margot devient chienne.
Le donjon.

A son retour à la maison, Margot ne m’avait pas parlé du tout de ce nouvel « atelier ». Pour quelle raison ? Mystère ! A-t-elle eu peur ? Au contraire cela l’a-t-il excitée ? Je pense que c’est plutôt cette dernière option que je vais privilégier. D’ailleurs j’en ai eu confirmation avec le mail de « BHV ». Quelques explications et beaucoup de photos. Avec cet éclairage, je voyais un peu mieux ce qui devait se passer dans la petite tête de ma femme chérie. Et ça, c’était plutôt bon signe. « BHV » me disait justement que « nous » étions sur le bon chemin. Le « nous » me faisait plaisir aussi car depuis le début des séances de poses, même si j’avais des comptes rendus de la part des deux protagonistes, je me sentais quand même un peu exclu. Ce qui était le plus frustrant surtout, c’est de ne pouvoir encore avouer à ma femme que j’étais parfaitement au courant et que je rêvais de la voir se faire défoncer le cul par Karim ou qui elle voulait. Mais je devais rester en retrait pour l’instant et même, c’est de Margot que viendrait l’aveu de la soumission. « BHV » m’avait dit que cela faisait parti du dressage et de l’acceptation de cette soumission. J’attendais donc impatiemment ce jour béni. Enfin je l’espérais béni.
Margot me disait juste que les poses étaient plus osées. Que Karim était toujours avec elle. Mais rien de plus, pourtant…
« BHV » ouvrit la porte de l’atelier et fit sortir Margot. Ils redescendirent les marches de concert jusqu’au rez de chaussée et Bertrand lui fit voir une petite porte, un peu dans le renfoncement à gauche de l’escalier, à laquelle elle n’avait jamais fait attention. Karim arriva à ce moment là et nos trois compères continuèrent la descente ensemble. Arrivée la première au dernier palier, Margot stoppa devant une lourde porte en bois cloutée. Déjà que la descente dans cet escalier de pierre froide était lugubre, cette porte cloutée fichait le frisson. « BHV » lui dit de l’ouvrir et contre toute attente, la porte tourna sur ses gonds sont le moindre couinement. La pièce était plutôt sombre, Margot fit quelques pas avant que sa vue ne s’habitue à cette pénombre. Quand ce fut fait, elle s’arrêta net et se figea, bouche ouverte. Derrière elle les deux hommes l’observaient non sans un petit sourire narquois.
Bertrand juste derrière elle posa sa main sur une de ses fesses et la poussa en avant.
- Allez-y ma chère, visitez !

Margot n’en revenait pas. Bien que faisant quelques petits pas, elle bougeait à peine, elle avait les yeux grands ouverts tout comme sa bouche qu’elle n’avait toujours pas refermée. Elle ne savait pas où porter son regard en premier. Ici, c’était le moyen âge ! Des armures en pieds. Au mur des épées, des hallebardes, des mousquets, des arcs, etc … Des poutres du plafond pendaient des chaines, des sangles de cuir, d’autres objets qu’elle ne saurait identifier. Au centre un grand lit rond recouvert de velours rouge. Dessus des objets que par contre là, elle connaissait très bien pour en avoir elle-même. Des godes de tailles et de couleurs différentes, des vibros, des menottes, des martinets, un fouet, des trucs dont elle imaginait bien la destination sans pour autant les connaître, un gode monté sur un attirail en cuir (tiens, pour quoi faire ?), des bracelets en cuir aussi avec des anneaux, bref elle commençait à savoir où elle se trouvait. Surtout qu’à côté du lit, une croix en forme de X était fixée au mur. D’un autre côté un carcan d’où la tête de l’occupant devait se trouver à quatre vingt centimètres du sol. Et puis d’autres engins métalliques dont elle n’imaginait pas du tout l’emploi et enfin une poutre horizontale et une cage où il devait être impossible de se tenir debout.

« BHV » laissa Margot absorber toutes ces surprises dont la plupart devait être des objets d’un autre âge pour elle. Enfin elle donna des signes de vie. Elle revenait sur terre. Après la surprise, c’est l’incompréhension qui se lisait sur son visage. Son cerveau devait bouillir. Qu’attendait-on d’elle ? Qu’allait-elle devoir faire ici de gré ou peut-être de force ? Ils étaient deux hommes et n’auraient aucune difficulté à la maîtriser. Un début de panique commençait à la prendre. « BHV » s’en aperçu et repris l’initiative.
- Comment trouvez-vous cet atelier chère Margot ? N’est-ce pas étonnant ?
- Étonnant !!! Le mot est faible, je suis abasourdie. Je n’ai jamais rien vu de pareil. Je ne sais pas si je vais continuer les poses.
- Holà ! Ma douce ! Ne vous emballez pas. Je ne sais pas ce que vous vous imaginez, mais je ne vous ferai rien faire que vous n’acceptiez, soyez-en assurée. C’est un atelier, rien de plus. Certes il est très différent de l’autre mais comme vous le voyez, j’ai ici aussi chevalet, pinceaux et appareil photo. Vous prendrez ici les poses que vous preniez là-haut, mais sur des supports différents voilà tout. Maintenant si ça ne vous convient pas vous voyez, la porte est restée ouverte, je vous en prie, partez ! Mais tout de suite !
- Mais euh… Non, je vous fais confiance. C’est juste que tous ces appareils me font peur. Je ne sais pas ce que vous attendez de moi mais si vous me l’expliquez je suis prête à vous écouter.
- Mais je viens de vous le dire ma chère. Rien de plus que ce que vous faisiez là-haut : Poser. Je vous dis ce que je veux et vous le faîtes ou pas, ça dépend de vous.
- Bon, bon d’accord je continue. Mais ça ne fait pas mal ces trucs, hein ?
- Mais non jeune fille ! Du moins ça pourrait, mais là c’est seulement pour les photos et la peinture. Je vous l’ai déjà dit, rien ne vous sera fait que vous ne désiriez.
- Bon alors allons-y, que dois faire ? Où dois-je me mettre ?
- Et bien, pour que vous ne soyez pas trop dépaysée, nous allons commencer par un siège que vous connaissez surement et que semble-t-il vous n’avez pas vu, caché en parti par le paravent là-bas dans le coin.
Margot regarda aussitôt dans la direction indiquée mais ne semblait toujours pas voir ce dont il s’agissait. « BHV » la fit avancer en la poussant par les hanches qu’il tenait dans ses deux mains. Margot n’était pas bien grosses, il pouvait presque faire le tour. C’est en arrivant à quelques pas de l’engin qu’elle le reconnut. Un fauteuil de gynécologue.
- Qu’en dites-vous Margot, je ne me suis pas trompé, vous connaissez ça, non ?
- Oui en effet je connais.
- Alors hop, en selle. Installez-vous
Margot monta donc sur le fameux siège et s’allongea les jambes pendantes. « BHV » avait donné une blouse blanche à Karim qui prit soin de mettre les pieds de sa « patiente » dans les étriers. Chacun sait ou imagine ce qui se passe dans ces conditions. La vue de cette chatte bien ouverte ravissait les deux hommes. Karim passa ensuite de l’autre côté et attacha chaque bras avec les sangles fixées sur les côtés de l’appareil. Margot ne pouvait s’empêcher de regarder craintivement ce qui se passait, se sachant désormais à la merci de ces deux costauds.
« BHV » installa son trépied devant les jambes écartées de Margot qui ne bougeait plus. Il donna quelques ordres et Karim vint se poster entre les jambes de la patiente impatiente de savoir ce qu’ils allaient lui faire.
- Karim, tu es le praticien, donc tu prends une pose adéquate. Il faut que tu donnes l’impression de l’ausculter mais je dois voir sa chatte.
Ah, voilà se dit-elle, maintenant je n’ai plus de sexe mais une chatte. Je m’en doutais bien, quel cochon. Tout d’un coup, Karim lui prit les fesses et la tira vers le bord du siège. Elle imaginait que là, il devait avoir une telle vue, qu’il devait voir dans son estomac ce qu’elle avait prit au petit déjeuner. De plus, se sachant tout au bord du siège, elle se mit à penser que du coup sa rondelle devait aussi être accessible.
Karim se mit accroupi. Il posa sa tête le long de la cuisse droite de Margot, laissant ainsi sa chatte dans la ligne de mire. Il posa sa main droite dans le creux de l’aine ce qui eut pour effet d’ouvrir encore plus les grandes lèvres déjà bien béantes. « BHV » avait l’air satisfait, Margot dans sa position ne pouvait pas voir grand chose mais elle entendait les clics de l’appareil photos.
Ensuite, le trépied fut déplacé. « BHV » le fit monter plus haut de sorte que là, Margot pouvait voir comment il allait la prendre en photo. Il monta sur un petit marchepied et fit bouger Karim. Il lui dit de se mettre face à la chatte de Margot. Margot qui pensait qu’elle n’était plus qu’un bout de chair. Et il lui dit de placer ses deux mains de part et d’autre de la chatte et de regarder dedans. Il commença à mitrailler la scène alors que Karim écartait les lèvres encore un peu plus de cette chatte qui, curieusement ne semblait pas tout à fait insensible au traitement. D’ailleurs dans son viseur, « BHV » avait pu constater que les tétons étaient plutôt raides.
- Margot est-ce que ça va toujours ?
- Euh … Ou…i, oui, ça va très bien.
- Je voudrais que ça fasse plus réaliste, vous voulez bien ?
- Euh, comment ça plus réaliste ?
- Et bien comme chez un vrai gynéco.
- Mais encore ?
- Que Karim vous touche.
- Mais n’est-ce pas ce qu’il fait depuis tout à l’heure ?
- Si bien sur. Mais je veux dire « dedans ».
- Hein ?
- Mais il va mettre des gants de chirurgien comme un vrai et il va juste poser son doigt à l’entrée, c’est tout. Vous voulez bien ?
- Euh… Je… Mais alors juste… Bon d’accord, mais il… OK, on y va.
- Formidable ! Merci ma petite Margot, je suis fier de vous. Je vois bien que vous vous dépassez. C’est très bien. Aller, on y va, en position Karim, tu as mis les gants. Oui, c’est bon, alors vas-y, mets-toi en place.
Margot appréhendait un peu. On la sentait crispée. Karim lui caressa les cuisses, doucement, pour la calmer. Il remonta progressivement vers son sexe. De nouveau il mit ses mains de chaque côté pour l’ouvrir un peu plus. Margot s’était détendue, il l’avait senti dans le relâchement de ses muscles. Mais Margot s’était tellement détendue, que sa respiration semblait tout d’un coup un peu plus rapide. Et puis lorsque Karim présenta un doigts ganté à l’entrée de son orifice, nul besoin de lubrifiant. Le doigt entra sans peine.
« BHV » tout comme Karim se rendait bien compte de la situation. C’est bien ce qu’il espérait de toute manière. Il tentait d’accentuer la chose en faisant bouger les mains de Karim soit disant pour mieux voir, ou parce que ça ne faisait pas assez « vrai ». Sans demander l’avis de Margot dont la poitrine se soulevait à un rythme plus soutenu, il donna l’ordre à Karim, mais par signes, de mettre un deuxième doigt avec l’autre. Puis de bouger sensiblement. Ensuite il lui fit comprendre de retourner sa main, paume en dessus et de chercher le point G tout en agaçant le clito qui lui, sans qu’on lui demande non plus, était sorti de son capuchon. Bien entendu le résultat ne tarda pas à se concrétiser. Margot se mit à bouger son ventre, allant vers la caresse. Elle ondulait sous les doigts agiles de Karim. Des petits cris sortaient de sa bouche dont elle humectait les lèvres desséchées. On voyait qu’elle aurait bien voulu se libérer les bras afin d’empoigner ses nibards grossis par l’excitation et tirer sur ses tétons durcis. Karim en était maintenant à trois doigts d’enfoncés dans le vagin d’une Margot déchainée alors que « BHV » bombardait la scène de son numérique.
Le souffle de Margot était devenu rauque. Maintenant elle criait carrément. Elle gueulait des « Vas-y », « Plus fort », « Enfonces ta main », « mais putain, vas-y, bourres ma chatte », bien que lié au fauteuil elle arrivait à faire des bonds et Karim avait bien du mal à garder sa main, oui sa main, enfoncée entre les cuisses de cette sauvageonne. Elle jouit une première fois en feulant comme une tigresse en rut. Bien que j’ignore comment feule une tigresse en rut, mais bon, j’imagine. Elle retomba sur le siège comme apaisée. Karim retira sa main et commença à lui bouffer le clitoris resté au garde à vous. De ses doigts pour le coup bien lubrifiés, il commença à jouer avec sa rondelle. D’abord doucement. Il tournait autour. La jouissance de Margot avait coulée par la aussi et il ne lui fut pas très difficile d’introduire un premier doigt. De nouveau elle miaulait, poussait des petits cris, mouillait ses lèvres de sa langue, contractait ses fesses puis les relâchait pour facilité le passage. Elle guidait Karim. Lui disait comment entrer et faire tourner ses deux doigts afin d’assouplir le muscle. Tout d’un coup, alors qu’il avait introduit un troisième doigt et qu’il suçait son clito, la jouissance fut fulgurante. Elle lâcha un râle profond et c’est une fontaine qui se déversa dans la bouche de Karim. Il se recula d’instant surpris par la soudaineté du geyser, mais il reçu néanmoins le flot sur sa poitrine et fut trempé en un instant. « BHV » perché sur son escabeau n’avait pas raté une miette de la séance et prit quantité de photo.
Quand après un bon moment Margot reprit ses esprits, elle était gênée de ce qui venait de se passer. Bien sur elle ne pouvait niée avoir pris un pied d’enfer. Elle ne se souvenait pas avoir jamais jouit de cette façon. Avec une telle intensité. Et puis comment elle avait coulée. C’était incroyable. Bien sur qu’elle mouillait abondamment, mais là, c’était les grandes eaux de Versailles !!! Et Laurent ? Je ne peux pas lui dire ça. Que vais-je devenir ? Il fallait compter sur la discrétion de « BHV ».
- Bertrand ? Euh… je ne sais pas trop quoi dire.
- Alors ne dites rien. Vous avez pris du plaisir, c’est là l’essentiel. Et je dois vous dire que vous êtes absolument magnifique lorsque vous prenez votre pied. C’était extraordinaire de beauté et d’érotisme.
- Mais pour Laurent ?
- Quoi Laurent ? Il n’est pas là. Alors pourquoi vous torturer l’esprit. Cela dit ma petite, maintenant que je vous connais mieux, nous n’allons pas en rester là ! A partir de maintenant, je vous veux ici tous les jours sauf le dimanche. Compris ?
- Hein ! Tous les jours ?
- Oui absolument, c’est comme ça. Reconnaissez que je ne vous ai forcée en rien. Quand vous avez commencé à vous exciter, vous pouviez dire stop. Vous ne l’avez pas fait. Alors épargnez-moi vos jérémiades et obéissez. Quant à Laurent je lui expliquerais que j’ai besoin de vous, ne vous inquiétez pas. Maintenant assez discuté, allez vous habiller et rentrez chez vous. A demain sans faute.
Noste, KneelDown a liké
#106151
Quel texte delicieusement ennivrant de'erotisme et de perversité!! humm une ecriture des plus envoutantes avec un plaisir d'ecrire qui se transmet dans la lecture!! une superbe jouissance intellectuelle et pas seulement...;) :twisted:
#106213
Merci les amis! Vos éloges vont me faire rougir. Cela dit je suis très heureux de voir que je suis parvenu à transmettre ce que j'avais dans la tête. Si mon plaisir d'écrire se retrouve à la lecture je suis comblé. J'espère ne pas vous décevoir dans les épisodes à suivre.
Encore merci
#106342
Voici l'épisode 9. J'espère que ça vous plaira toujours.

Quand Margot devient chienne.
Et qu’elle y prend goût.

Sur le chemin du retour, Margot était perdue, désemparée. Elle faillit bien avoir plusieurs fois un accident tant elle était absorbée par ce qui venait de se passer. « BHV » avait été dur avec elle. Autoritaire même. Et sur un ton qui ne suggérait pas la réplique. D’ailleurs elle n’avait pas répliqué et c’est tête basse, car pour elle la queue entre les jambes ne peut s’appliquer, du moins dans ce cas précis, qu’elle retourna dans l’autre atelier se revêtir et fila sans demander son reste.
Puisque c’est ça je n’irai plus se disait-elle avec véhémence. Non mais pour qui il se prend. Je ne suis pas à ses ordres tout de même.
Durant toute la durée du parcours elle parlait toute seule. Faisant des mouvements de tête, haussant les épaules. Puis, peu à peu elle se calma et c’est en même temps que moi qu’elle arriva à la maison.
Elle se refit vite une façade avenante en venant se jeter à mon cou. Alors qu’on se faisait une bonne fricassée de museau, j’en profitais pour lui caresser les fesses bien qu’encore dans l’allée de notre maison, côté rue. Je constatais l’absence de string et lui en faisais la remarque.
- Oh, c’est que j’ai juste enfilé ma robe en vitesse pour rentrer plus vite. Et puis tu ne vas pas faire le difficile tout de même. Dis-moi que ça t’embête d’avoir un accès direct à mon abricot, hein, dis-le !!
- Certes non ! je suis bien content et si j’osais, je te remonterai bien ta robe. Je suis sur que les passants ne seraient pas mécontent. Qu’en penses-tu ?
- Oh ! Quand même tu exagères, vilain garçon. Allez, viens vite à la maison, je sens mon abricot qui coule.

Eh oui, parfois ma charmante épouse fait dans la dentelle. Mais comme elle le dit si bien, je ne vais tout de même pas me plaindre. Et le fait est que, probablement son expérience de gynécologie un peu plus tôt, l’avait plus excitée qu’elle ne voulait bien se l’avouer, la séance de baise dont elle me gratifia fut d’un niveau compétition. Là aussi elle a mouillé comme rarement en jouissant. Elle a voulu que je la prenne en levrette et c’est elle qui m’a demandé de lui introduire un doigt dans le cul. Autant dire que je ne me suis pas fait prier. J’ai enduit mes doigts de son abondante cyprine et voyant l’effet d’un doigt dans son fondement, j’en ai rajouté deux autres que son trou du cul n’a pas refusés. C’était bien la première fois qu’elle m’autorisait de telles privautés, preuves de son évidente évolution.
Par contre, après, aucune allusion à la dernière séance de pose, ni à « l’atelier » moyenâgeux. Tout allait bien dans le meilleur des mondes. Non, elle n’avait rien de spécial à me dire. Non, tout se passait à merveille. Oui, « BHV » était toujours aussi gentil avec elle et Karim était adorable aussi. Juste, « BHV » souhaitait qu’elle vienne plus souvent pour avancer dans son travail. Il devait m’en informer, est-ce que je n’avais pas eu de coup de fil de sa part.
- Non, pas encore. Mais toi, tu as envie d’y aller d’avantage. Cela ne te contrarie pas dans ton emploi du temps ?
- Non, ça ne m’embête pas trop et puis tu sais, je me sens engagée vis à vis de « BHV », je ne voudrai pas lui faire faux bond.
- Oui, je te comprends tu as raison. Il faut respecter sa parole. Mais j’ai hâte de voir le résultat. J’espère qu’il y aura exposition de l’œuvre.
- Oh ben ça, je n’en sais rien. A vrai dire, je ne sais même pas ce qu’il fait, je ne peux rien voir. Il prend toujours des photos et il dessine sur ses toiles. Je suppose qu’il peaufine lorsqu’il se retrouve seul dans son atelier.
- Oui, ça doit être ça.

Le lendemain matin, Margot se tenait dans l’atelier du haut, toute penaude, encore habillée, une fesse posée sur un accoudoir de fauteuil.
- Ah vous êtes là. Très bien. Alors ne traînons pas, Karim sera là plus tard, nous commencerons sans lui. Allez, déshabillez-vous en vitesse et venez me retrouver en bas.
- Oui, j’arrive.
L’autorité évidente de ses paroles ne se reflétait pas dans le ton employé. « BHV » n’avait fait aucune remarque sur l’épisode de la veille, ni d’allusion malveillante sur l’aspect érotique de la séance de pose. Il avait parlé normalement comme depuis le début de leur collaboration. Il avait aussitôt tourné les talons et redescendu l’escalier.
Margot frissonna encore lorsqu’elle se retrouva dans l’escalier aux pierres froides, elle franchit le seuil dont la porte était restée ouverte avec un petit pincement au cœur. « BHV » était là, s’affairant sur son appareil photo argentique. Il lui tournait le dos et semble-t-il, ne l’avait pas entendu arriver. Il est vrai qu’elle était nu pied. Elle en profita pour observer d’avantage le local où la présence de l’enchanteur Merlin n’aurait pas choquée. Puis « BHV » se rendit compte de sa présence et se rapprocha d’elle.
- Bien, bien ma chère Margot. Vous avez l’air très en forme. Tout va bien ?
- Oui, je vous remercie je vais très bien.
- Parfait. Nous pouvons donc continuer ?
- Euh … oui je suppose. Que voulez-vous faire aujourd’hui ?
- Alors aujourd’hui, c’est à vous de choisir.
- De choisir quoi ? La pose ?
- Oui et non. Je veux que vous choisissiez le support. Et donc ce choix risque d’induire la pose. Prenez quelques minutes. Refaites le tour de cette salle. Observez tous les engins, les sièges, etc … Et lorsque vous serez décidée, dites-le moi.
Margot avança donc dans la pièce et cette fois-ci, elle prit le temps de bien regarder tout. Certains objets lui étaient complètement inconnus. La plupart même, mais certains, de par leur forme ou leur équipement permettaient d’en supposer l’usage. Elle ne savait pas trop lequel choisir. D’instinct elle se dit qu’elle ne devait pas opter pour un truc trop basique, elle devinait que ça pouvait déplaire à « BHV ». D’un autre côté elle se sentait attirée par la croix. Elle avait vu qu’il y avait des lanières qui manifestement devaient servir à attacher la suppliciée aux poignets et aux chevilles. Et elle ne savait pas trop pourquoi, mais l’idée d’être écartelée, à la merci de son tourmenteur, comme offerte, lui faisait envie. En même temps, elle commençait à se faire peur toute seule. Déjà hier, sa première réaction fut de se rebeller contre elle. Elle avait eu honte de céder aussi facilement à la jouissance. Elle s’en voulait. Mais cependant, après coup, la colère passée, elle avait bien dû admettre qu’elle avait pris un pied d’enfer. Et rien qu’avec les doigts. D’avoir été attachée à ce moment là avait décuplé son orgasme. Elle avait bien vu comment elle avait giclé sur Karim. Jamais auparavant elle n’avait jouie comme ça. De même qu’elle n’en revenait pas qu’il est pu lui fourrer sa main entière dans la chatte. Probablement plusieurs doigts aussi dans son trou du cul qui lui avait fait mal toute la nuit, surtout qu’elle avait demandé à Laurent de remettre ça le soir même, excitée qu’elle était. Alors qu’elle se posait quelques questions sur ses nouveaux besoins sexuels, elle se dirigea ostensiblement vers l’objet de son choix.
- Celui-ci.
- Très bien, excellent choix. Allons-y alors.
D’elle même Margot se mit devant la croix, adossée, et écarta ses bras au dessus d’elle, les posant sur chaque montant supérieur. « BHV », avec un sourire intérieur, commença à fixer les poignets de sa désormais prisonnière à l’aide des bracelets de cuir fixés sur les bois. Il n’eut rien à demander ensuite car Margot avait écarté ses jambes de façon à être dans l’alignement des montants inférieurs. Il finit donc d’entraver la belle.
- Vous êtes absolument magnifique ainsi ma chère Margot.
- ….
- Vous ne dites rien ?
- Euh, non, que pourrais-je dire ?
- En effet que pourriez-vous dire. Si ! Vous pourriez me dire que vous aimez être ainsi exposée, attachée, livrée. Dites le moi Margot, aimez-vous votre situation présente ?
- …
- Margot !
- Euh …
- Margot !!! Aimez-vous votre situation présente, répondez-moi !?
- Euh … Ouui, j’aime bien.
- Alors pourquoi hésiter. Vous aimez. Vous le dites et voilà, rien de plus simple. Il n’y a rien de mal à aimer son corps et d’en jouir. Voulez-vous que je vous aide à découvrir vraiment votre corps et ses besoins ?
- Comment ça ? Que voulez-vous dire ?
- Margot, me faites-vous confiance ? Attention à votre réponse, c’est important.
- Euh, oui je crois.
- Non Margot, ça ce n’est pas une réponse. Dites-moi : « Bertrand je vous fais confiance ». Allez ! Ou le contraire c’est à vous de voir.
- Euh … Bertrand je vous fais confiance.
- Très bien. Alors à partir de maintenant vous faites ce que je vous dis. Ce sera toujours dans votre intérêt. Jamais je ne vous ferai de mal, ni physiquement, ni psychologiquement.
- Mais Laurent ?
- Laurent n’en saura rien. Et il profitera de votre évolution, alors je serai surpris qu’il s’en offusque.
- Si vous le dites.
- Je le dis.
Sur ces bonnes paroles, « BHV » mit un bâillon boule dans la bouche de son élève qui, pour l’occasion ouvrit de grands yeux mais sans pouvoir émettre le moindre mot de protestation. Ensuite, il amena un pied comme celui d’un appareil photo, mais à la place de l’appareil il y avait une gode noir de belle taille. Il le plaça entre les jambes de l’apprentie soumise qu’elle était devenue plus ou moins consciemment. Il pressa sur un flacon de lubrifiant, enduisant le phallus qui pointait vers les entrailles béantes.
#108168
Bonjour à tous, me revoilà pour l'épisode 10. Et comme toujours, merci de vos appréciations.

Quand Margot devient chienne.
L’engrenage.

« BHV » actionna la manivelle du pied et le gode monta inexorablement vers le sexe béant. Margot s ‘en voulait d’être là. Pourtant elle n ‘avait pu résister à… A quoi d’ailleurs ? Le savait-elle ? Elle avait beau s’être raisonnée, une irrépressible envie d’en connaître d’avantage l’avait poussée à revenir. C’était comme dans certains films où on voit un ange dire « n’y va pas, ce n’est pas bon pour toi » et un diable pousse l’ange pour dire « mais si vas-y, tu vas voir c’est super ». C’est vrai qu’après avoir fait l’amour avec Laurent, elle tournait et retournait dans le lit alors que lui dormait, repu de sexe. Et elle se les posait les questions. Mais qu’est-ce tu veux aller faire là-bas, hein ? Tu n’es pas bien là avec ton Laurent qui t’aime ? Réfléchit, ta vie n’est pas bien ? Tu veux quoi ? C’est parce que tu veux encore jouir comme une salope, hein, c’est ça que tu veux ? C’était bon hein de couler comme une fontaine ? Quelles sensations hein ? T’en veux plus encore, tu ne peux pas te contenter de ta vie actuelle ? Que va dire ton Laurent quand il saura ? Mais je saurai le cacher, il ne saura pas. Avec lui je continuerai comme avant, tout ira bien. Oui ça ira. Et elle finit par trouver le sommeil sur le matin.
Le bout du gode touchait ses grandes lèvres. « BHV » se dit qu’il n’aurait pas dû lubrifier, vu ce qui coulait de la moule bien baveuse de Margot. Le gode s’enfonça doucement au rythme des tours de manivelle. L’objet faisait bien six ou sept centimètres d’épaisseur au plus large mais pas plus de seize ou dix huit de long. C’était déjà un bel engin mais il pénétra Margot sans aucune difficulté. Elle ferma les yeux alors que la moitié était dans son ventre. Sa poitrine se soulevait à un rythme plus élevé et la manivelle tournait, tournait. Le gode avait disparu au trois quart. « BHV » actionna un bouton et un piston se mit en route. Le phallus artificiel se mit alors à bourrer la chatte sans faiblir. Margot malgré son bâillon râlait sous les assauts de la bite en plastique. Ses nibards avaient doublé de volume, les tétons pointaient, raides et son ventre ondulait à chaque coup de boutoir. « BHV » se releva et prit quelques photos. Ensuite il brancha la caméra vidéo et revint vers sa prisonnière volontaire. Il lui caressa le ventre, doucement, en partant du pubis. Il faisait des ronds, la main bien à plat. Il remonta jusqu’à ses seins qu’il prit à pleines mains et les malaxa tendrement. Il s’attaqua ensuite aux tétons, tout durs, qu’il fit rouler entre ses doigts. Il les tira un à un et fixa sur chacun une pince qui arracha un feulement de douleur à Margot. Puis elle se calma, supportant la douleur. Il relia chaque pince à une chainette et tira dessus. Là encore Margot ressentit la douleur et l’exprima par un cri étouffé par la boule qui occupait sa bouche. Elle tenta d’échapper au tiraillement de ses tétons en mettant son buste en avant, mais « BHV » tirait de plus belle alors Margot renonça et tenta de supporter la douleur. Elle y parvint et le gode qui la pistonnait toujours la ramena à d’autres réalités.
La douleur de ses seins était presque devenue une amie. Elle ressentait une espèce de chaleur qu’elle finit par trouver agréable. « BHV » lui caressa le clitoris alors que le gros gode noir s’enfonçait en elle jusqu’à la garde. Il passa son autre main derrière elle et commença à jouer avec sa rondelle. Il mouilla ses doigts dans la cyprine qui coulait d’abondance entre les cuisses et s’employa à ouvrir l’anus de la belle afin d’y introduire son index. Ce fut fait assez rapidement et aisément. Le majeur prit le même chemin. De l’autre côté, le clito était toujours malmené alors qu’il imprimait une rotation à ses doigts dans le fondement qui s’ouvrait. L’annulaire vint rejoindre les autres. A travers la mince paroi, il sentait les allers et retours de la fausse bite qui s’activait toujours avec frénésie. Il retira alors ses doigts du trou du cul dilaté mais les remplaça aussitôt par un plug de belle taille qui fut avalé d’un coup. La rondelle se referma dessus et on ne voyait plus que le socle dépasser. C’est le moment que choisit Margot pour avoir un puissant orgasme. Elle inonda le sol à ses pieds et fut secouée de tremblements qui semblaient ne pas vouloir cesser. Malgré les bracelets de cuir à ses poignets et ses chevilles elle arrivait quand même à se tortiller sous la jouissance. A cet instant, « BHV » tira d’un coup sur les pinces de tétons. Margot poussa un cri que même le bâillon ne put stopper et elle eut un second orgasme aussi dévastateur que le premier. Diable se disait « BHV », comment fait-elle pour couler autant ?

Peu à peu la respiration de Margot redevint plus calme et elle s’affaissa, se laissant quasiment porter par les bracelets qui la tenaient prisonnière de cette croix de jouissance. « BHV » s’employa à la détacher. D’abord les chevilles et il l’aida à resserrer ses jambes devenues molles, puis les poignets. Une fois libérée, elle était incapable de se tenir debout, anéantie par ses deux orgasmes successifs. Bertrand la prit dans ses bras et l’entraîna vers le grand lit rond tout proche. Il l’aida à s’asseoir mais elle tomba de tout son long en arrière sur le satin accueillant des draps rouge.
« BHV » la laissa bien récupérer. Sa poitrine se soulevait encore bien vite trouvait-il. Il s’assit à côté d’elle, se pencha et lui caressa doucement, tendrement, le ventre qui peu à peu s’apaisait. Ensuite la main s’égara. Elle malaxait tout aussi tendrement un sein puis l’autre. « BHV » se pencha et se mit à sucer les tétons. Il les aspirait ou passait seulement sa langue humide dessus. Margot semblait apprécier les yeux mi-clos, cette caresse qui apaisait la morsure laissée par les pinces. Pendant ce temps la main était redescendue vers le ventre, le pubis, les grandes lèvres, un doigt s’insinua, puis deux, le pouce titillait un clito déjà redressé et Margot laissa échapper quelques soupirs de plaisir. Elle s’abandonnait complètement aux mains expertes de son mentor. « BHV » lui prit une épaule et la tira afin de retourner Margot qui le comprit et l’aida dans sa manœuvre. Toujours un peu épuisée cependant elle se laissait faire. Les bras étalés devant elle, la tête enfouie dans les draps, elle attendait la suite sans trop réagir. Et les caresses reprirent. Douces, fermement tendres, d’abord les épaules puis le dos. Elles s’attardaient dans le creux juste au dessus des fesses. Cela faisait du bien. Margot soupirait encore sous les bienfaits de la caresse sur ses reins.
Comme dès le départ elle était assise au bord du lit, avec le retournement elle se retrouvait à genoux par terre, le buste allongé sur le lit. « BHV » se mit alors lui aussi à genoux derrière Margot et malaxa les deux globes charnus qui s’offraient à ses mains exploratrices. Margot gémissait sous la caresse. Ses fesses fermes donnaient vraiment envie d’y enfouir sa langue, ce dont « BHV » ne se priva pas. De ses deux pouces il écartait chaque hémisphère se donnant un accès plus aisé à l’étoile brunâtre déjà malmenée tout à l’heure et pas complètement resserrée. Il donnait de grands coups de langues en partant du clitoris ressorti de son capuchon jusqu’à la rondelle frémissante. Inconsciemment, Margot se cambrait d’avantage afin d’offrir son cul béant à la langue fouisseuse de celui qui, elle l’avait compris, allait devenir sous peu son amant. Mais elle se laissait faire. Elle avait décidé qu’elle jouerait le jeu à fond afin de connaître ses limites. Elle tâcherait de maîtriser la situation autant que faire ce peut, et puis sinon, elle verrait bien. Advienne que pourra ! Pour l’instant elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait qu’elle devait le faire.
Perdu dans sa réflexion, elle n’avait pas vu que « BHV » l’avait délaissée un court instant. Le temps de se déshabiller lui aussi. Quand elle s’en aperçu, le bout de son gland tentait de forcer son trou du cul qu’il avait pris soin de lubrifier quand même. Elle sentit néanmoins le gland passer. Elle ne l’avait jamais vu encore, mais manifestement, il était plutôt gros. L’anus se referma et il resta quelques secondes inactif. Il savait qu’il devait la laisser s’habituer à cette grosseur avant d’aller plus loin. Puis petit à petit, centimètre par centimètre, il s’enfonça inexorablement. Sans discontinuer, jusqu’à toucher les fesses de son pubis. Une fois tout au fond, il s’arrêta de nouveau un bref instant. Puis il ressortit en entier pour mieux replonger. Il répéta le manège trois ou quatre fois. À la cinquième il admira le trou béant laissé par sa bite, se saisit de son appareil numérique et immortalisa la scène. Le trou du cul n’eut pas le temps de se refermer qu’il le remplissait de nouveau d’un seul coup de rein. Margot ahanait à chaque coup qu’elle se prenait dans le fion. « BHV » écartait ses fesses au maximum. Ses couilles frappaient la chatte de Margot comme un métronome et au bruit que ça faisait on devinait qu’elle coulait déjà comme une fontaine. Malgré la situation, sa demi conscience lui permettait de se dire que ce devait être ça une belle salope. Elle avait toujours refusé son cul à Laurent, et voilà que là, elle avait fait des trucs insensés et en plus elle se faisait proprement enculer. Qu’es-tu devenue ma pauvre ? Une salope ! Oui c’est ça une salope ! Mais d’un autre côté, putain de merde, que c’est bon d’être une salope. Bertrand me défonce le trou de balle et c’est bon nom de dieu !!! Pourvu qu’il n’arrête pas.
Et Bertrand n’arrêtait pas en effet. Il tenait la distance comme on dit. Il la limait avec application en ajoutant parfois une petite noisette de gel lubrifiant pour qu’elle ne souffre pas trop quand même. Cela faisait beaucoup de nouveautés pour son cul en peu de temps, alors autant le ménager. Il ne fallait pas décourager autant de bonne volonté, un avenir plein de promesses s’ouvrait à lui.
« BHV » tenait Margot par les hanches et maintenant c’est par grands coups de boutoir qu’il lui emplissait le cul. Il sentait le moment de sa jouissance arriver. Il se retira et fit retourner Margot qui se retrouva assise sur les fesses au pied du lit. Il la souleva par les aisselles et se campa devant elle la queue turgescente en avant.
- Suce !
Margot n’eut pas vraiment le temps de se poser des questions. Il lui avait empoigné la tête et l’attira sur son nœud. Il ne lui força pas vraiment la bouche puisqu’elle l’ouvrit d’elle même instantanément. Elle s’aperçu alors qu’elle n’avait pas eu tort lorsqu’elle avait évalué la taille de l’engin alors qu’il lui forçait l’anus.
Elle se mit consciencieusement à sucer le gland d’abord puis enfourna le reste jusqu’à la gorge. Le bout était plutôt gros mais finalement elle n’était pas si longue qu’elle se l’imaginait. Néanmoins de grosses larmes lui venaient aux yeux et elle avait des hauts le cœur. Elle continua avec juste le gland dans la bouche et le branla d’une main en lui malaxant les couilles de l’autre. Elle sentait la sève monter et voulu se retirer mais « BHV » l’en empêcha en maintenant sa tête par derrière. Ses yeux implorants se levèrent vers lui mais il avait lui même la tête en arrière, les yeux fermés, des cris sourds sortaient de sa bouche ouverte et il ne la regarda même pas lorsqu’il se déversa au fond de sa gorge par saccades chaudes et visqueuses.
Margot hoquetait alors que du sperme sortait sur les côtés de sa bouche. Elle dût tout avaler, « BHV » tenait toujours sa tête, sa bite ramollissante toujours plantée entre les lèvres de Margot qui peinait à déglutir. Il finit tout de même par se retirer et elle put enfin avaler complètement et surtout respirer un bon coup.
KneelDown a liké

Notre boutique candauliste 100% sécurisée